La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1509)

esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode précédent N°1508) -

- Très bien, vous pourrez vous occuper à cela tout à l’heure, je vous l’offre…

- Merci beaucoup, très Cher Edouard
- Je t’en prie, Charles

Monsieur le Marquis continuant à manipuler pute d’une main baladeuse, lui pinçant fermement ses tétons de mâles au passage…

- Ses tétons sont bien formés également et comme vous pouvez le voir, sont encore bien sensibles… Est-ce que, par hasard, l’un de vous aimerait le faire couiner ? …
- Edouard, si tu me permets, j’aimerai bien m’en occuper.
- Mais bien entendu, cher Hubert, lorsque Charles aura terminé avec lui, occupes-toi en et distrais-nous de ton côté.
- Merci très cher Edouard

Le Maître prend en même temps et de Son autre main les couilles de pute et les fait sauter en les soupesant dans sa main… pute encaisse le pincement de ses petits tétons de mâle soumis sans rien dire, mais grimace et je vois quelques larmes.

- Ses boules sont également disponibles, il faut peut-être les étirer correctement avant qu’elles remontent de trop… Quelqu’un d’intéressé ?
- Moi je veux bien, cher Edouard, je pourrai les faire se balancer…
- Bien sûr, Louis.

Le Maître retourne pute, le fait incliner en avant et lui écarte les fesses

- Et bien entendu, ses trous sont à vous ! Même si celui du bas est un peu avachi, je lui ai fait travailler ses muscles avec ce plug depuis que je l’ai remis en cage… Ses trous sont donc disponibles pour chacun de vous et autant qu’il vous plaira de les utiliser à volonté.

Et moi dans tout ça ? M’a-t-on oublié ? Un jeune homme, pas plus vieux que moi et peut-être même un peu moins, prend la parole en me regardant fixement et me montrant du doigt, faisant tourner tous les regards sur ma petite personne :

- Monsieur le Marquis d’Evans qu’est-ce que fait cet esclave, là, avec cette queue de chien ?
- Ah, celui-là ? Je l’avais totalement oublié ! Il est tellement insignifiant… C’est le premier cadeau de pute pour Me faire oublier sa fuite.

Ce n’est pas un cadeau d’une grande valeur, mais bon … peut-être que je pourrai en tirer quelque chose de ce petit chien en devenir… Et donc je l’ai tout de même accepté… Je vais également le munir d’un collier ce soir et s’il vous donne satisfaction, je commencerai son dressage comme esclave à tout faire, bref, en faire un véritable larbin...
- Et comment peut-on l’utiliser Monsieur le Marquis ?
- Victor, je vais d’abord te présenter à nous tous … Tu es le fils de mon ami, Maître Roger, le premier adjoint du maire du village voisin… Ton père m’a dit que ce soir, c’est ta première orgie de Domination/soumission pour toi ? N’est-ce pas !…
- Oui Monsieur le Marquis et je suis très honoré que Vous ayez accepté la demande de mon père pour que je participe à une de Vos fameuses soirées. Sachez que j’apprécie déjà beaucoup avec ces superbes créatures serviles qui nous servent.
- C’est un plaisir, Victor, d’accueillir un nouveau membre Dominant parmi nous. Je ne doute pas que ce soir tu sauras nous montrer tes capacités dans la Domination.
- Monsieur le Marquis, j’essaierai au mieux, mais je compte beaucoup sur Vous en particulier pour m’aider dans l’apprentissage de cet Art dont mon père m’a dit que Vous excelliez et que Vous êtes un Grand Maître. Votre réputation n’est plus faire…
- Merci, mon jeune ami. Il est vrai que j’excelle dans cet Art de la Domination depuis mes jeunes années, à 20 ans et grâce à mon père, j’avais déjà un Cheptel d’esclaves (NDLA : lire La jeunesse de MDE avait 20 ans…), grâce aussi à la formation donnée par lui-même qu’il détenait de nos ancêtres. Mes aïeuls pratiquent la Domination/soumission depuis le Moyen-Age et cela de génération en génération…. Et l’apogée de cet Art a été celui où un de mes ancêtres a côtoyé le Marquis de Sade Lui-même venu à plusieurs reprises dans ce Château (NDLA : lire Les Origines de la Saga…). Tu peux donc compter sur Mes connaissances pour t’aider...
- Merci beaucoup Monsieur le Marquis.
- Mais revenons à ce futur esclave qui n’est encore à mes yeux qu’un chien bâtard. Il va nous divertir également, comme je me sers de mes nouveaux animaux de compagnie, en faisant le jeu de la loterie !
- Très bonne idée, Edouard, j’ai hâte de gagner au moins un des lots que tu nous réserve, qui sont d’ailleurs toujours merveilleux, s’exclame Hubert.
- Victor, puisque c‘est toi qui m’a rappelé, à juste titre, la présence de cet esclave en devenir, Je te mets à contribution en le disposant sur ce plateau tournant, ses jambes et ses bras largement écartés sur les points d’ancrage afin qu’il maintienne bien sa stabilité.
- Avec plaisir, Monsieur le Marquis.

Monsieur Victor, me prenant donc par la corde, me fait monter et me dispose couché, sur le plateau ressemblant à une géante roue de loterie, en position horizontale. Ce plateau tournant est monté sur roulement à billes avec des barres sur la circonférence pour permettre de le faire tourner.

- Mes amis, pendant que nous terminons nos apéritifs je vous propose de jouer à la loterie. Je rappelle pour ceux qui ne connaitraient pas ce jeu, que nous nous disposons autour de ce plateau tournant. Je commencerai à le faire tourner au moins deux tours. Celui qui aura la queue de chien de son plug en face de lui pourra le retourner au moyen de cet appendice pour le mettre face à lui, puis soit lui faire retirer, soit le faire lui-même un vêtement qui porte une petite enveloppe contenant son gain. Ce sera au gagnant de faire tourner à nouveau le plateau et ainsi de suite jusqu’à la mise à nu complète. Deux derniers tours de plateau et le vainqueur gagnera de pouvoir, après moi bien sûr, prendre alors officiellement possession de cet objet de plaisirs en l’enculant ou offrir cette possibilité à la personne de son choix. Des gode-ceintures sont à la disposition des Dominas en cas qu’une Maîtresse veuille enculer cet esclave...
- Bravo ! Bravo ! La loterie, la loterie, la loterie !, s’exclamait l’assemblée enthousiaste

Comme des s, ils ont tous hâte de jouer et c’est moi qui va en faire les frais… Cela fait bizarre, mais je suis heureux que je puisse servir aux plaisirs des Dominants, moi qui n’aspire qu’à servir. Les convives en oubliant totalement pute et les quatre esclaves en attente se place autour de moi… le Maître fait tourner le plateau, pas trop vite, je fais un tour, puis un deuxième et un troisième. Je reste stable… La roue s’arrête enfin et le gagnant au moyen de ma queue-plug me met face à lui. C’est, me semble-t-il, Monsieur le Préfet.

- La chaussette gauche…

Je me baisse pour retirer cette chaussette, en fléchissant les jambes… Immédiatement je reçois un coup de badine sur mon cul

- Un soumis ne fléchit pas les jambes, sauf si exigé, il doit faire profiter les Dominants de son cul… chien.

Je me relève, fléchis mon buste et en laissant voir mon cul encore couvert, je retire la chaussette et la tend à Monsieur le Préfet. Celui-ci me la prend des mains, sans remerciement comme il se doit car je suis rien à ses yeux, il ouvre l’enveloppe.

- Super j’ai gagné un gigot de sanglier chassé dans la forêt du Château… Merci Edouard !

Sans faire attendre ses amis, le Préfet fait tourner à son tour le plateau, j’ai du mal à garder l’équilibre, ce qui fait rire les invités de Monsieur le Marquis.

- C’est pour moi ! s’exclame une Domina

Je suis de nouveau tourné vers la gagnante. Elle n’a pas été présentée. Une femme d’une cinquantaine d’année, très belle femme, à la poitrine que je devine généreuse. Avant d’exiger un vêtement, elle profite de sa Dominance en caressant mon visage, m’ouvrant la bouche et sortant ma langue en tirant dessus…

- Cette langue fera l’affaire tout à l’heure quand tu auras la chance de me lécher, petit chien… donne-moi ta deuxième chaussette.

Je fais attention à bien exposer mon cul, puis lui tend la chaussette à bout de bras sur mes paumes.

- Voyons ? ai-je autant de chance que Monsieur le Préfet ? Super ! Deux repas dans le plus luxueux Bouchon lyonnais… Merci Edouard !

Le plateau se remet à tourner, je fais attention, j’ai la tête qui tourne un peu…

- Voyons ce que j’ai gagné ?

C’est le Notaire du Maître des Lieux qui s’approche de moi et me retire lui-même mon pull, puis il me crache au visage…

- Merci Monsieur, d’honorer ma figure de votre crachat… (une paire de gifles vole subitement)
- Qui t’a autorisé à parler, esclave ! Je t’honorerai de beaucoup plus tout à l’heure… J’ai gagné une invitation à la prochaine chasse à courre, à côté de Monsieur le Marquis, monté sur l’un de ses superbes chevaux. Oh ! Merci Edouard
- De rien mon ami, répond le Châtelain … De plus, tu connais la sorte de gibier bipède lors de mes chasses à courre ! Il se pourrait même que ce nouvel esclave en devenir soit utilisé à cela, il ferait un bon gibier à pister dans Ma forêt …

Le plateau se remet à tourner avec vigueur, je n’arrive pas à me maintenir et je tombe par terre sous les moqueries des invités. Ils me remettent sur le plateau en me tirant par les cheveux… Je titube un peu mais finis par reprendre ma stabilité… le plateau tourne à nouveau et s’arrête

- La chemise et vite, j’hâte de voir ce que j’ai gagné.

Bien évidemment j’obtempère, j’enlève et tends la chemise de nouveau à bout de bras. C’est une Domina aux yeux sadiques, qui après avoir retiré l’enveloppe de la chemise, me prend un téton et le tourne d’un sens puis de l’autre, jusqu’à ce que je grimace et sur le point de crier de douleur.

- Tout à l’heure tu crieras, petit chien mais pas pour l’instant… J’ai gagné un ou une esclave de mon choix du Cheptel de Monsieur le Marquis, à disposer pendant une semaine chez moi … Super cadeau ! Merci Edouard !

Le plateau tourne et tourne ainsi que ma tête, mais je tiens bon.

- Qu’ai-je gagné ? Une caisse du meilleur beaujolais des vignes du Château, s’exclame Louis ! Merci Edouard ! …

La soirée se poursuit et je suis utilisé sans modération où je suis sodomisé maintes fois par de viriles verges et des gode-ceintures. Ma bouche a aussi beaucoup servi de dévidoir à sperme. J’ai été bondagé, fouetté, j’ai même servi d’urinoir pour dames, la bouche grande ouverte…

(A suivre …)