Des Revisions Et Des Decouvertes 2
Suite à cet épisode érotico-récréatif, ou, je le rappelle, javais découvert la belle Valérie sous un jour plus sensuel encore que je ne limaginais., je pensais avoir fait un grand pas, et, dans un raisonnement légèrement macho, mais romantique, espérais que ses faveurs étaient lexpression de son amour pour moi. Je métais trompé, en partie, et les jours qui suivirent, nos relations, pendant et entre les cours restèrent , sinon distantes, au moins sans évolution notoire. Jessayais de lui parler à plusieurs reprises, mais elle était souvent entourée dun groupe de copines, et je ne voulais pas quelles soient témoin de nos échanges. Le vendredi suivant, nous avions education sportive, toute la matinée, et nous rendions sur des installations, a lextérieur de la ville. Les filles étaient séparées des garçons, mais le trajet en bus était mixte. Je profitais de loccasion pour mengouffrer derrière elle , dans le car, en jouant un peu des coudes, et vint masseoir près delle. Valérie, ne parut pas étonnée :
« Salut toi, ça cà ? me dit elle, en me claquant une bise sur la joue »
Jen profitais pour saisir discrètement sa main.
« ça va, mais ça te dirait de réviser avec moi ce midi ? » lançai-je en serrant sa main.
Elle pencha la tête et baissant le ton.
« Réviser quoi ? lanatomie ? »
« entre autres, lui répondis-je (toujours spirituel)
« Ou devrai-je dire, mon anatomie, murmura telle en faisant glisser nos mais jointes, entre ses jambes »
« pourquoi ne pas méler lutile à lagréable, et unir nos connaissances ? »
« jai limpression que tes connaissances, sont un rien moins évidentes que les miennes » glissa telle
« Tu verras, japprends vite, et tu pourrais être surprise »
« Nous verrons donc, conclut, elle. Disons 12h30. Tu connais ladresse ? »
Je ne jugeai pas utile de répondre, et la remerciai dun regard, en quittant ma place, car nous étions arrivés. A la sortie du vestiaire, Liam, un des mes meilleurs potes, dorigine américaine, me chambra gentiment.
« dis donc, ça a lair daller avec Valérie »
« oui, on sentend bien » éludai-je
« ce nest pas doreille que je parlais » dit il en me tapant dans le dos, prouvant quil maitrisait les subtilités du français, malgré son accent.
Après un footing de plusieurs kilomètres, le temps nétant pas au beau, certains optèrent pour un basket, et je choisis le volley ball, plus dans mes cordes. Pendant près de deux heures, je me concentrais sur le jeu, mais je profitais dun changement pour quitter le terrain un peu plus tôt, et passer plus de temps à la douche. Je voulais faire bonne impression. Lavé, coiffé, parfumé, je pris le bus du retour, pestant intérieurement contre les basketteurs, qui nayant pas su sarrêter à temps, avaient sauté la douche et répandaient dans lair une odeur de transpiration qui, me semblait il allait se déposer sur moi.
De retour au lycée, je me dépéchais daller avaler vite fait un plat à la cantine. Je cherchais Valérie des yeux, mais ne la vis point. Elle déjeunait parfois dans son studio. Je décidais donc dy aller sans perdre de temps, et cinq minutes plus tard je sonnais chez elle. Elle mit assez longtemps à répondre, et sans attendre que je me présente, me dit :
« monte, la porte est ouverte »
Je grimpais les deux étages et trouvais la porte entrouverte. Jentrais dans la pièce principale, mais Valérie ny était pas. Jentendais couler leau dans la salle de bains. Je refermais la porte, quelle dut entendre, et me cria.
« installes toi, jarrive. Je déposais ma veste sur un dossier de chaise, et massis sur le lit.
Leau sarrêta de couler, et quelques instants plus tard, Valérie sortit de la salle deau, vétue dun peignoir éponge blanc qui tranchait sur sa peau mate.
« tu es bien pressé, dit elle dans un sourire. Jai juste eu le temps de me doucher. Jaime bien passer du temps sous leau, après la gym » Ses cheveux chatain clair, coupés court, étaient encore mouillés, et gouttaient sur le peignoir.
Je la suivis de bas en haut, écartant ses lèvres délicates, pour venir faire sortir son bouton damour, que je tétais, en alternant des incursions de ma langue de plus en plus profond dans son antre. Au fur et à mesure, de mes attentions, elle mencourageait, me guidait de ses mains, autour de mon visage, en gémissant de plus en plus fort, son bassin montant de plus en plus impatiemment, réclamant toujours plus. Jentrepris, sans cesser de la lutiner, dintroduire un doigt, puis deux, dans son vagin, quelle accueillit dun Ouiii soulagé.
« Oui, cest bon comme ça !, narrête pas ! accélère, viens, viens »
La sarabande éfrenée dura jusquà ce quelle sarrête dun coup, et pousse un râle rauque, puis un soupir, ses jambes desserrant ma tête, vinrent se reposer sur le lit, largement ouvertes, comme une invitation que je ne pouvais refuser . Je remontais le long de son corps, et vint me positionner, ma queue trouvant instantanément le chemin de sa grotte.
Je lembrassais, lui faisant gouter au passage, son propre jus, tandis quelle remontait les genoux pour mieux macceuillir. En quelques coups de reins, je fus au fond de sa matrice, et la besognai avec entrain, mais après quelques allers et retour, elle se déroba et me fit mettre sur le dos. Là, elle revint menjamber, et sempala de tout son poids sur mon vit. Elle commença a monter et descendre, de plus en plus vite sur moi, qui empoignai ses seins, et les malaxai, les pinçai les triturait provoquant ses onomatopées expressives de son plaisir. Sentant venir son plaisir, elle se redressa, et debout sur ses genoux, continua son periple
« viens, caresse mon clito » dit elle en amenant ma main vers sa chatte. Je titillais le bouton, maintenant très dur, le frottant du bout des doigts à chaque mouvement, et elle entama un mouvement davant en arrière sur mon ventre, qui mexcita tant que je sus que jallais bientôt jouir.
Valérie se dégagea, ensuite et se releva, pour aller chercher ses cigarettes. Elle en alluma une , et nous fumâmes ensemble, allongés côte à côte, les yeux perdus vers le plafond, repus et heureux. Après la cigarette, nous échangeâmes des caresses, sur un mode plus doux, plus patient, explorant mutuellement nos corps. Jadorais ses fesses, fermes et hautes, bronzées comme tout le reste de sa personne.
« Tu es naturiste ? » lui demandai-je
« non Pourquoi ? »
« tu es bronzée et sans la moindre marque »
« jhabite à la montagne, et mes parents ont une piscine . Quand nous y sommes nous sommes tous nus »
« tes parents aussi ? »
« oui, on a toujours fait ça. Mais pas question de sexhiber à la plage devant du monde. » « Parfois, je ne mets pas de soutif, mais ça dépend. »
« de quoi ? »
« des gens avec lesquels je suis »
« ? »
« Cest au feeling, il faut que je me sente à laise. Je ne suis pas vraiment pudique, sauf si je sens des regards malsains «
« par exemple ? »
« tu vois la cour intérieure ? regardes bien la deuxième fenêtre à gauche, à létage au dessus »
« Cest une fenêtre de salle de bains »
« exact, cest celle de mon proprio, et elle est souvent ouverte »
« Il te mate ? »
« assez souvent oui. »
« la il nous a vu »
« non, le lit, je lai placé pour quil soit au fond de la pièce dans un angle mort, mais dès quon approche du bureau, il voit tout. »
« mets des rideaux ! »
« Jy ai pensé, au début, mais je nai pas pu mempêcher de lui dire darrêter de mater mon cul. Finalement, on a discuté. Cest un petit vieux, voeuf. Oh, il se faisait bien des idées, mais je lui ai fait comprendre que je ne faisais pas dans les vieux. Il ma demandé, juste de ne pas mettre de rideaux, pour quil puisse me voir. Ça lui rappelle son jeune temps, dit il. Je pense surtout quil est encore un peu vert, et doit sastiquer en me matant. »
« et ça ne te fait rien ? »
« bof, ça gène qui ? et puis, jai un des loyers, les moins chers du centre ville, parce que, du coup, il me fait un prix. Mes parent me donnent largent du loyer, et jen garde la moitié, qui me sert pour mes sorties. »
« Je comprends mieux ».
Mes mains effleuraient ses hanches pleines, et nos caresses mutuelles, privilège de la jeunesse qui a les hormones en bandoulière, produisaient un effet quelle ne manqua pas de remarquer.
« On dirait que tu es en regain de forme, me murmura telle , mutine en empoignant ma verge. »
Elle se leva, me tirant par la queue, et après avoir écarté la chaise, vint se plier, les coudes sur le bureau, le cul tourné vers moi, jambes écartées. Je comprise ce quelle voulait, mais ne pus mempêcher daviir un mouvement de recul.
« Oui mais là, il va nous voir »
Elle se tourna vers moi avec un sourire ; et me dit
« ny penses pas, ou dis toi que tu fais ta B.A »
Elle passa son bras entre ses jambes et saisit mon sexe quelle vint enfoncer dans le sien.
Je commençai à la limer un peu timidement, mais elle saisit mon bras droit et vint le poser sur son sein que je crochais aussitôt. Elle accentuait mes mouvement de hanches et venait elle même au devant de chaque poussée, jusquà ce que mon ventre claque contre son cul.
Le tempo, et la matrice aux muscles chauds me firent oublier la situation et je la pris de plus en plus fort. Levant les yeux , je devinais une tête a la fenêtre den face, tout en labourant Valérie. Partant des hanches , une de mes mains vint englober sa fesse et se dirigea vers son petit trou que je forçais avec mon pouce. La belle sagita encore plus et notre chevauchée sacheva dans une sorte de Ulullement long et aigu. Je la perforais encore avant de sortir et de lacher ma semence sur son dos et son cul, . Elle releva le tose et vint sappuyer sur moi. Jempaumais ses seins magnifiques, et caressais son ventre.
« Avec tout ça, je suis bonne pour reprendre une douche soupira telle »
« Moi aussi, je vais venir avec toi »
« Si tu viens avec moi, on va rater le premier cours de laprès-midi »
« oui, mais le vendredi après-midi, ce nest pas si important »
« des promesses, monsieur, des promesses ! » me défia telle
« tu verras , jai de la ressource »
« cest vrai que tu tes pas mal débrouillé
pour un débutant »
« cest toi qui me motives »
« en tout cas, ne te fait pas didées, je ne suis pas amoureuse et je ne donne jamais dexclusivité. »
« qui en a parlé ? »
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