Ma Première Soumission (Partie 1)

Je roulais à toute allure dans la nuit noire, j’étais en retard je le savais. Pourtant j’étais partie de chez moi à la bonne heure mais il ne m’avait pas prévenu qu’il y avait des travaux sur la route pour aller chez lui. Les arbres défilaient et je me remémorais nos conversations sur ce site de rencontre. Un homme charmant de 10 ans de plus que moi. Au fil des discussions, nos conversations ont déviés sur le sexe, je le sentais sûr de lui, ce qui m’excitait beaucoup. A force de me poser des questions je finissais par lui avouer que j’avais des fantasmes de soumises depuis longtemps mais que je n’avais eu que des hommes qui n’étaient pas vraiment dominants. Bien sûr j’avais déjà eu le droit à quelques petites claques sur les fesses, un de mes ex m’avait vaguement essayé de me sodomisé une ou deux fois mais ça n’était jamais allé plus loin. Dans la suite de notre conversation il me répondit qu’il était lui-même dominant pratiquant et que si je voulais nous pourrions nous rencontrer. Nous avions tout d’abord convenu d’un verre dans un bar la semaine suivante, puis au fil des jours qui passaient et de nos échanges, le rendez-vous s’est transformé en un repas chez lui. Il était gardien dans un camping fermé pour l’hiver.
Enfin j’arrive à l’entrée du camping, il était isolé de toutes habitations, ce qui ne me rassure pas du tout. Tout est noir et sombre. Je roule doucement jusqu’à l’endroit qu’il m’avait indiqué pour me garer. Je suis vraiment en retard, le rendez vous était convenu pour 19h et il est déjà 19h30. Je me gare, coupe le moteur, prends la bouteille de vin que j’avais ramené pour le repas et sors de la voiture. A peine la porte fermée, je vois une lampe de poche se diriger vers moi, la lumière m’éblouie et je ne vois pas qui s’avance vers moi. Je lance un timide « Bonsoir ! ». J’entends une voix d’homme me répondre durement « Tu es en retard. ». Il me prend la bouteille des mains et m’entraine derrière lui en me tirant par le bras.

Nous arrivons devant une porte et sans me lâcher le bras il me fait rentrer. La maison est grande pour un gardien, c’est bien rangé et une petite musique de fond sors de la tv. Je l’entends verrouiller la porte à double tours. Je me retourne et le vois enfin. Il est fidèle aux photos qu’il m’avait envoyé, très grand avec un regard très perçant.
Il m’amène devant le canapé, pose la bouteille de vin sur la table basse et me dit de rester debout devant lui. Il s’installe confortablement sur le canapé, s’allume une cigarette et me dit « Maintenant déshabille toi il faut que je t’inspecte ». Je le regarde avec des yeux interrogateurs n’étant pas bien sûr de ce qu’il me demandait. Il reprend « Mets-toi toute nue immédiatement ». Je m’exécute lentement, honteuse, je ne pensais vraiment pas que la soirée allait commencer comme ça, je m’attendais à un verre, une discussion, mais ça n’était pas dans ses intentions pour le moment.
Je me retrouve en lingerie devant lui penaude essayant de me camoufler comme je le peux.
« J’ai dis TOUTE NUE, enlève ton soutien gorge et ton shorty ». Je m’exécute sans rien dire. Me voilà toute nue devant cet homme que je vois pour la première fois, je me sens vulnérable et honteuse. Je commence à me demander si j’ai vraiment eu une bonne idée en acceptant ce rendez vous.
Il se rapproche de moi et commence à me soupeser les seins. « Effectivement ils sont petits mais tu m’avait prévenu dans tes messages ». Il tire sur mes tétons, ce qui me fait frémir « Par contre tes pointes sont vraiment trop petites, il va falloir travailler ça, mais nous verront ça plus tard ».
Il descend ses mains et effleure mon sexe intégralement épilé (je fais de l’épilation au laser), il écarte légèrement mes grosses lèvres et fait apparaitre mon clitoris. « Jolie chatte bien lisse, ça me plait. Clitoris trop petit, à travailler aussi. Maintenant tourne toi ».
Je me tourne. « Penche-toi » me dis t’il d’une voix sourde. Je me penche légèrement.
« Plus que ça, pose tes mains sur la table basse. » J’obéi et pose mes mains sur la table. Je sens son souffle au niveau de mes fesses tellement sa tête est proche de moi. « Ecarte tes jambes ». J’écarte mes jambes, la honte m’envahie de plus en plus. « Maintenant garde cette position et écarte bien tes fesses avec tes deux mains ». Je ne bouge pas, ça en est trop, je suis mortifiée. Il m’assène une claque sur les fesses qui me fait pousser un cri de surprise et répète son ordre. Je m’exécute, tremblante, écarte mes deux lobes et dévoile mon petit trou devant son nez. Il reste silencieux pendant un moment qui me semble durer des années et me dis de me remettre droite.
« Maintenant nous allons parler de ton retard. Tu as eu 30 minutes de retard, ce qui est inamissible. Tu apprendras avec le temps que je ne supporte pas d’attendre, et je vais faire ne sorte que tu t’en rappelle pour la prochaine fois. » J’essaye de protester qu’il ne m’avait pas dis qu’il y avait des travaux. Il me coupe : « Je ne veux rien savoir, c’est de faute, uniquement de ta faute, tu n’avais cas prévoir de l’avance au cas où. Maintenant tu vas venir t’allonger en travers de mes genoux, les fesses bien en évidence et recevoir ta punition sans un bruit. » J’hésite, il le voit, alors il m’empoigne par les cheveux et me force à me mettre en position. « Déjà d’une, tu obéis quand je te donne un ordre, ça te vaudra 10 fessées pour bien le comprendre. A ça, nous allons rajouter ton retard, de 30 minutes si je me rappelle bien, ce qui te fera 30 coups, plus les 10 que tu viens de gagner à l’instant, ça nous fera un total de 40 coups. Joli début mademoiselle je n’en espérais pas tant aussi rapidement ! »
Il m’immobilise en appuyant sur mes hanches et de son autre main abat une claque sur ma fesse gauche, fortement et puissamment, ce qui m’arrache un cri de surprise, je ne m’attendais pas à recevoir une correction aussi forte ! « EN SILENCE J’AI DIS ! Sinon j’en rajoute 10 à ton compteur ».
La deuxième claque tombe sur la fesse droite, je serre les dents pour ne pas faire de bruit. Les claques s’enchainent, je compte mentalement les coups, je sens mon fessier chauffer de plus en plus, j’essaye toujours de ne pas faire de bruit. 37, 38, 39, 40. Le supplice s’arrête, mes fesses sont en feu. « As-tu bien retenu la leçon ? » . Je réponds que oui. Il m’abat encore une énorme claque sur les fesses qui me fait crier. « OUI QUI ? ». Je réfléchis rapidement et vois où il veut en arriver, alors je réponds « Oui Maître ». Il émets un rire satisfait « Voilà tu comprends vite, c’est très bien. »
Il me caresse les fesses comme pour apaiser la chaleur qui s’en dégage, puis commence à faire filer ses doigts le long de ma raie, il descends vers ma chatte et je l’entends une fois de plus ricaner « Mmmm regardez moi ça, tu es toute mouillée, je ne m’étais pas trompé sur ton compte ». Je ne m’en étais pas rendue compte jusqu’à qu’il me le dise mais je ne pouvais pas le contester j’étais effectivement trempée !
Il m’insère son pouce dans le vagin, je commence à me trémousser de plaisir, mais il n’en est rien, il le ressort aussitôt et le dirige vers mon anus et commence à le masser en cercle. Je proteste, je n’ai quasiment pas eu de rapports de ce côté-là et il le sait très bien ! PAF !!! Une grosse claque retombe sur mes fesses. Je crie encore une fois. « Tu peux crier, personne ne t’entendras ici. Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te sodomiser, c’est toi qui t’en occuperas. Je veux juste nettoyer tout ça et détendre un peu ce petit anus tout vierge. » Petit à petit à force de faire des ronds avec son pouce, mon petit trou cède. Il rentre juste le bout de son pouce en continuant à faire des cercles. Il s’arrête et je sens un petit truc mou et froid rentrer dans mes fesses. « Ne t’inquiète pas, je viens de te mettre un suppositoire à la glycérine. Je veux que tu sois propre, ça te permettra de te vider et de lubrifier l’intérieur. » Je réfléchis, je me souviens étant petite avoir été souvent constipée et ma mère me mettait souvent de ces fameux suppositoires.
Je me rappelle surtout de la difficulté de ne pas courir aux toilettes dès qu’elle me l’avait mis. En effet l’effet laxatif produisait des contractions de l’anus limite insoutenables ! Sa voix me fait sortir de mes souvenirs « Je vais rajouter une sureté, je n’ai pas envie que tu chie sur mon canapé ». Je le sens m’enfoncer un petit plug en acier tout froid doucement jusqu’à que la base vienne buter à l’entrée. « Nous voilà tranquille pour cette partie. Maintenant je veux que tu viennes me sucer, il est temps pour toi de découvrir ma grosse queue dont je t’avais parlé. » Il me pousse de ses genoux et s’allonge sur le canapé.
Je me dirige vers son pantalon, j’appréhende un peu depuis le début la taille de ce fameux ‘’engin’’. Il m’en avait parlé et m’avait prévenu être très bien membré et rares sont les hommes qui se vantent de la taille de leur sexe. Je constate une énorme bosse qui déforme son pantalon. Je déboutonne un à un les boutons, et sort son sexe. Il est monstrueux, non pas par sa longueur qui est dans les ‘’normes’’ mais par son diamètre. Je n’ai jamais vu une si grosse queue de ma vie. Je la prends dans la main, je n’arrive même pas à faire le tour avec mes doigts.
« Ouvre bien grand ta bouche ma petite » Il m’att par les cheveux et m’enfonce son sexe au plus profond de la bouche. J’ai un haut le cœur irrémédiablement qui me contracte le ventre, je sens mon anus essayer d’expulser le plug et je comprends tout à coup ses paroles de tout à l’heure, sa ‘’suretée’’. Il se retire et se renfonce aussitôt. Encore un haut le cœur. Le suppositoire commence à me provoquer des spasmes, j’ai une irrémédiable envie de l’expulser mais le plug le retient bien dedans. Sa queue continue de faire des allers retour dans ma bouche, toujours plus profond à chaque fois. « Tu vas voir, à la longue tu arriveras à l’avaler toute entière ». Tout en me maintenant la tête par les cheveux il continu ses aller retours imperturbable, mes yeux sont rouges et mouillés à force d’avoir des haut le cœur. Il accélère et fini par me lâcher dans la bouche une quantité incroyable de sperme. Je me demande si il ne s’est pas retenu plusieurs jours pour en avoir autant. Il m’immobilise la tête, sa queue qui m’écartèle toujours dans ma bouche et me dis « Maintenant je vais me retirer, tu n’as pas intérêt d’en perdre une goutte, je veux que tu le savoure et je te dirai quand est ce que tu pourras avaler. » Il se retire, je prends grand soin de ne rien laisser échapper.
Il remonte son pantalon, s’allume une cigarette et commence à me parler des travaux sur la route, pourquoi ils y sont et depuis combien de temps. Je l’écoute la bouche pleine de son sperme chaud, le goût est amer et légèrement salé. Le suppositoire dans mon cul est intenable, j’ai juste envie de courir au toilettes. Il continu de fumer lentement en me regardant avec un air satisfait. Au bout de 10 minutes il écrase sa cigarette dans le cendrier et me dis « Maintenant tu vas avaler en 2 fois, je veux que tu le sentes bien couler dans ta gorge. » J’obéi : première gorgée, ça pique dans ma gorge, c’est gluant et amer. Deuxième gorgée, j’ai limite la nausée.
« Très bien maintenant tu vas aller aux toilettes te vider, tu passeras ensuite à la douche te laver correctement. Je ne vais pas tarder à préparer le repas. »

A suivre.....

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