Laurie 1
Je posai mon sac, et minstallai à la table de la bibliothèque. Jétais venu ici pour achever un devoir en retard que javais presque terminé. En cette belle et chaude après-midi de Septembre, jaurais 100 fois préféré être dehors à profiter du soleil et de la chaleur, mais un dernier effort simposait pour finir ce que javais à faire. Je travaillais depuis une heure lorsque jeus besoin de consulter nouvel ouvrage pour achever mon travail. Nayant pas envie de errer à travers les rayons à la recherche du livre en question, je me rendis sur lun des ordinateurs de ma fac, pour chercher sur le site de la bibliothèque lemplacement du livre.
En arrivant aux tables à ordinateurs, je restai un moment planté devant les tables, momentanément scotché par ce que je voyais. Une étudiante, très sexy se trouvait devant lun des ordinateurs, entrain de travailler, un livre posé sur ses cuisses. Elle était vêtue dun débardeur noir, très moulant, au décolleté très large et qui remontait légèrement au-dessus de son nombril. Sa peau était très hâlée, comme si elle avait bronzé tout lété. Ses cheveux châtains et sa peau mat et lui donnaient une apparence de fille du sud. Elle était terriblement sexy, notamment à cause de ses formes très généreuses parfaitement mises en valeur par sa tenue. Sa poitrine était lourde et opulente, et son fessier avait tout lair de soutenir la comparaison.
Je me remis rapidement de ma surprise, et alla masseoir devant un ordinateur, non loin delle. Je trouvai rapidement lemplacement du livre dont javais besoin, mais ne pus me résoudre à quitter comme ça cette magnifique jeune fille. Jallai donc chercher mon livre, puis allai prendre mes affaires, et vins minstaller à côté delle, lair de rien, et me remis à travailler. Pendant lheure qui suivit, chacun de nous travailla sagement de son côté. Cependant, mes yeux ne pouvaient sempêcher de ségarer vers elle, et dépouser régulièrement ses incroyables courbes.
Au bout dun moment, elle rassembla ses affaires, et après un dernier regard, elle partit. Je restai un moment à la table de la bibliothèque, hésitant. Puis, je me décidai soudain, et la suivis. Je la rattrapai au moment où elle attendait devant lascenseur de la bibliothèque. Je lui aurais alors bien adressé la parole, mais dautres gens attendaient également lascenseur, et je navais pas envie de mafficher devant tout le monde. Aussi, je me contentais dattendre lascenseur, en compagnie de la belle étudiante, qui mobservait intensément. Lorsque lascenseur arriva, nous entrâmes tous dedans. La belle inconnue et moi navions dyeux que lun pour lautre, il semblait que sans nous parler nous nous comprenions. Ce fut dun commun accord que nous descendîmes au rez-de-chaussée de la bibliothèque, dun commun accord encore, que nous marchâmes lun à côté de lautre, dun commun accord que nous entrâmes dans les toilettes des filles, et dun commun accord que nous nous enfermâmes dans un cabinet.
Aucune parole navait été échangée, et maintenant, nous nous trouvions seuls tous les deux, sans personne pour nous observer ou nous juger. Après un bref instant dhésitation, nous nous jetâmes lun sur lautre, nous embrassant comme des fous, nous unissant dans une étreinte brûlante. Avec mes mains, je saisis ses fesses et entrepris de les masser, la faisant soupirer dexcitation. Elle enroula elle ses bras nus autour de mon cou, mattirant plus encore contre elle. Pris de fièvre, je la plaquai contre le mur des toilettes, et avec avidité je descendis sur son cou et son décolleté que jembrassais et léchais.
La belle étudiante poussa un gémissement, qui mencouragea à continuer. Il se passa plusieurs minutes avant quelle ne minterrompe.
« Arrête beau gosse, on a pas toute la journée : saute moi ! »
Je me redressai, baissai mon pantalon et mon caleçon, libérant mon sexe ultra tendu.
« Hmm quand je vois ça, je sais que je vais passer un bon moment, roucoula-t-elle. »
Avec un sourire, je lui défis à son tour son jean noir puis son shorty, et dun coup sec, la pénétrai vigoureusement, après lavoir soulevée, et plaquée à nouveau contre le mur. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, mattira contre elle, et alors je démarrai de puissants va-et-vient qui eurent le don de la faire gémir aussitôt. Je la bâillonnai avec ma main, pour ne pas quon nous entende, et accélérai le tempo, la labourant sauvagement, pilonnant le fond de son intimité, me réjouissant de la sentir vibrer et trembler sous mes mains. Je continuai à la baiser ainsi pendant un bon moment, et elle en gémit et gémit encore ce qui me rendait heureux de lavoir bâillonnée ! Cependant au bout dun moment, je voulus utiliser ma main dune autre façon :
« Retiens toi de gémir toute seule, lui ordonnai-je, je veux masser tes seins. »
Je la collai bien contre le mur, voulus saisir sa grosse poitrine. Elle me saisit les poignets et me dit :
« Non ! »
« Quoi ? »
« Enlève ton t-shirt dabord ! »
Souriant, je mexécutai, et me mis torse nu, dévoilant mon corps musclé. Ses yeux brillèrent :
« Hmmm cest encore mieux que ce que je pensais ! »
Je saisis alors sa poitrine, et entrepris de la pétrir, de la malaxer, mémerveillant de la rondeur et de la fermeté de ses seins.
« Hmmm tu les prends bien en main, cest vraiment
. Aaaah ! »
Javais repris soudainement mes coups de reins, tout en continuant de lui masser les seins, et elle poussa de petits cris stridents de plaisir. Impitoyable, je continuai encore et encore, la culbutant contre le mur comme un forcené. Elle se mit à crier de plus en plus fort.
« Mais ferme là, on va nous entendre dans toute la fac ! »
« Jy
jy peux rien bordel ! Oooooh cest trop BON ! »
Pour se taire, elle ne trouva rien dautre que me mordre lépaule, étouffant ses gémissements. Je poussai un grognement de douleur, et redoublai dardeur, lenvoyant littéralement au septième ciel, dopé par lexcitation. Mon sexe allait loin en elle, repartait, revenait, la limant avec une brûlante violence. Je la sentis se raidir, puis se cambrer. Puis dans un soubresaut, la belle explosa dans un orgasme qui semblait merveilleux, car elle en trembla comme une feuille, et sécroula dans mes bras, épuisée, essoufflée et sonnée.
Je navais pas encore joui cependant, aussi je la posai au sol, et la soutins le temps quelle puisse tenir debout.
« Cétait magistral, merci ! me lança-t-elle. »
« Cest pas fini hein. »
« Quoi ? Après ce que tu viens de me mettre tes encore dattaque ? Ca métonnerait... »
Je la saisis par les hanches, la retournai et la plaquai face contre le mur. Je la pénétrai dun coup sec par derrière, et lui donnai deux puissants coup de reins en levrette.
« Alors ? Je suis pas dattaque ? »
Avant quelle ait pu répondre, jentamai de nouveaux et délicieux va-et-vient, en la tenant dune main par les fesses, de lautre par les cheveux, je la prenais avec force, la collant avec autorité contre le mur, et cognant puissamment le fond de son être. Elle reprit aussitôt ses gémissements, mais à vrai dire je nen navais plus rien à faire, trop emporté par le plaisir et le désir.
Elle se redressa et nous nous embrassâmes à nouveau. On se rhabilla, elle se débarbouilla dans le lavabo des toilettes et nous rentrâmes chacun chez nous. Ce ne fut que quelques heures plus tard que je découvris dans mon sac un petit bout de papier sur lequel avait été griffonné un numéro de téléphone et un nom « Laurie ».
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