Ma Belle-Soeur Et Moi
Voila, je me présente : Je me prénomme Loïc, je suis la cadet dune fratrie de six s et jai 20 ans depuis le printemps. Je suis le seul des s à vivre encore à la maison, mes frères et surs lont quittée depuis bien longtemps puisque jai 10 ans de moins que la sur qui ma précédée dans ce monde.
Nous vivons en Bretagne au bord de la mer mais je nai jamais voulu faire ce que mes frères avaient fait : embarquer pour la pêche hauturière
Actuellement je suis en fac où je prépare une maîtrise en droit maritime
Je ne suis pas très grand avec 1.70m, des cheveux noirs légèrement ondulés, des yeux bleus, une bouche aux lèvres minces. Jusquà maintenant, javais des succès faciles avec mes épaules larges et ma taille étroite et javais été plutôt sage côté sexe : de temps à autre une copine pour quelques semaines, quelques jours, une nuit, cela suffisait à mon bonheur.
Lan passé, le bateau sur lequel était embarqué Serge, mon frère ainé (nous avions 18 ans de différence), a coulé lors dune campagne de pêche et léquipage a été porté disparu. Depuis ma belle-sur Odile âgée de 25 ans élève seule ses jumeaux de 18 mois. A tour de rôle, les frères et surs lui rendons divers services et nous ne manquons jamais de lui tenir compagnie lorsquelle na pas le moral. Cest au cours de lété dernier que tout a basculé.
Jaimais beaucoup être en compagnie de ma belle sur avec qui je partageais beaucoup de choses
Malgré son chagrin, elle avait su rester coquette et spirituelle, ne manquant jamais une bonne histoire un peu leste, souvenirs de ses années de jeunesse disait-elle ! Très souvent le weekend, je passais plusieurs heures avec elle et les jumeaux qui ne lui laissent pas beaucoup de répit. En semaine, cest ma mère qui faisait fonction de nounou pour les deux petits diables
Cest une femme svelte, pas très grande non plus avec environ 1.65m mais je dois reconnaitre quelle a un certain charme : De longs cheveux noirs, toujours coiffés en une queue de cheval, elle a des yeux gris comme le ciel de Bretagne lorsquun grain se prépare.
Ayant achevé mon année universitaire, un des derniers samedis de juin jai proposé à Odile une séance de cinéma à la ville voisine. Je métais arrangé avec ma mère pour quelle garde les jumeaux chez nous jusquau lendemain matin
Ce serait plus pratique que de les déménager en pleine nuit alors quils étaient endormis
Après quelques réticences, elle ma avoué :
Oh oui, ce serait bien, çà me changerait de ma routine.
Nous avions fait le choix du film sur le site du cinéma et je lui avais payé les billets malgré ses protestations. Puis nous étions partis en voiture pour diner dune série de crêpes avant la séance. Heureusement que nous ne reprenions pas la route immédiatement car au cours du repas, nous avions pas mal abusé du cidre bien frais
si bien que nous étions quelque peu euphoriques lorsque nous sommes entrés dans la salle choisie du complexe CINEVILLE de Vannes.
Un grand gobelet de popcorn en main, nous nous sommes installés dans les derniers rangs le long dun mur pour ne pas être dérangés par les spectateurs en retard... Alors que le film arrivait à la moitié, je sentis lavant bras dOdile recouvrir le mien et elle ma pris la main pour la serrer doucement en se penchant vers moi et me dire :
Merci Loïc ! Tu ne peux pas savoir comme je me sens bien !
Moi aussi, je suis bien près de toi !
Et là, cest la surprise, Odile ma embrassé tendrement dans le cou, juste sous mon oreille gauche. Un immense frisson de plaisir ma parcouru et instantanément je sentis mon sexe sémouvoir dans mon boxer ! Je me suis tourné vers elle et nos lèvres se sont rencontrées pour un baiser furtif, puis un autre plus appuyé, puis encore un autre plus torride car nos langues se sont cherchées.
Merci Loïc !
Merci de quoi ?
De cette soirée, de ta tendresse et de ta gentillesse !
Lorsque le film sest terminé, nous étions toujours dans la même position mais ma main était descendue imperceptiblement sur larrondi de son épaule et désormais, elle était glissée dans le décolleté du sweatshirt de ma belle sur qui ne faisait rien pour se retirer ou fuir cette amorce de caresse !
Lorsque nous sommes arrivés devant son domicile, Odile ma demandé dentrer avec elle pour boire un dernier verre avant de nous séparer et aussi, dit-elle, pour me remercier encore une fois de cette belle soirée
Dès que la porte a été refermée, elle sest littéralement jetée dans mes bras :
Loïc, je ten supplie, fais moi lamour ! Depuis que Serge est parti, je nai plus dhomme !
Mais je suis son frère !
Ce sera notre secret ! Une fois
je ten prie, jai tellement envie de sentir le corps dun homme contre le mien.
Au cours de ce bref dialogue, Odile se pressait contre moi, roulait des hanches contre mon pubis si bien que je ne tardai pas à bander comme un cerf
Doucement elle nous a emmené jusquau salon et nous nous sommes écroulés enlacés sur le canapé où nous avons entamé une série de baisers et de caresses pour finir entièrement nus, les jambes emmêlées, pubis contre pubis ! Mais comment pouvais-je résister à cette invitation :
Viens prends moi !
Laisse-moi me couvrir !
Jai récupéré aussitôt un préservatif dans mon porte feuille et dès que jai eu déchiré lenveloppe, Odile sest emparée de la capote et la déroulée sur ma queue qui nen pouvait plus tant je bandais. Elle était vraiment en manque :
Viens vite ! Baisse-moi ! Je suis une salope
mais jai tellement envie dune bite dans ma chatte !
Je dois dire quà ce moment, jai été un peu surpris du langage mais puisque nous étions partis sur ce registre, je répliquai aussitôt :
Tu veux de la queue
et bien tu vas en avoir une ! Je vais te baiser dans tous les sens et cest toi qui va demander grâce !
Ouuiii ! Baise-moi comme une pute ! Encule-moi si tu veux ! Inonde-moi de ton foutre !
Dès que je me suis trouvé à lentrée de la chatte dOdile, je lai prise dun coup sec, je me suis enfoncé dun seul trait jusquà la garde en faisant claquer nos pubis lun contre lautre et elle mencourageait :
Ooohhhhh ! Oouuuiiii ! Foooorrrt !
Je navais pas besoin dencouragements : je baisais Odile vigoureusement, sortant et entrant de sa chatte de plus en plus vite et de plus en plus fort : elle mouillait tellement que ma queue glissait avec facilité.
Odile, tu as vraiment une bien jolie poitrine
Oui, elle sest développée quand jai été enceinte des jumeaux et ensuite je les ai nourris presque un an et en plus, mes seins sont devenus très sensibles.
Ce soir là, Odile devait être vraiment en manque car elle jouit bien avant moi ! Je restai un peu dans sa chatte et quand jen sortis, je me débarrassai du préservatif en disant à Odile :
Tes seins me font trop envie, je vais finir entre !
Oh oui, une branlette espagnole ! Ce sera une première pour moi !
Aussitôt je me suis mis à genoux de part et dautre de son buste et je glissai ma bite entre les seins que je rapprochai pour faire un fourreau bien doux et souple à mon membre. Le va et vient ne tarda pas à faire son effet si bien quen jouissant à mon tour, je giclai copieusement sur le haut du buste de ma belle sur ! Odile est venue cueillir quelques gouttes de mon sperme avec le bout de ses doigts quelle a portés à ses lèvres pour le goûter :
Hummm ! Tu as bon goût ! Il faudra que je te suce à fond pour que tu décharges dans ma bouche !
Je ne taurais pas crue aussi salope ! Comme çà, tu moffres de recommencer !
Oouuiii ! Jassume ! Je suis une SALOPE ! Mais quest ce que cest bon de se faire tringler ainsi ! Je vais te sucer
et tu me prendras comme une chienne en levrette ! Serge ne voulait jamais !
Jai basculé à côté delle et dès que je ai été assis sur le divan, les cuisses écartées, Odile sest précipitée sur ma queue encore à moitié bandée et la engloutie jusquau fond de sa gorge. Waouh ! Quelle bouche ! En quelques minutes, jétais de nouveau raide comme si je navais pas joui quelques dix minutes plus tôt ! Odile mayant demandé de la prendre en levrette, je me suis dégagé de sa bouche et je me suis couvert une nouvelle fois pendant quelle prenait la position, à genoux sur lassise du canapé, les bras en appui sur le dossier.
Je veux te voir me prendre ! Je veux voir ta bite entrer dans ma chatte de salope !
Quà cela ne tienne ! Jai mis mes mains de part et dautre de la taille et sans avoir besoin de guider mon sceptre de chair, je suis entré une nouvelle fois dans cette chatte accueillante. Un feulement ma répondu :
Oouuuhh ! Que cest bon et tu vas bien au fond !
Cest toi qui es bonne !
Pourquoi on na pas commencé plus tôt ?
On nétait pas prêts à çà ! Mais on va rattr le temps perdu !
Oh oui ! Je vais prendre la pilule comme çà tu nauras plus besoin de te couvrir !
Ce bref dialogue ne mempêchait pas de baiser Odile à longs traits. Puisquelle voulait voir ma bite défoncer sa chatte, je sortais et jentrais de plus en plus vite dans son vagin dont je sentais les muscles intimes triturer doucement mon gland quand il se trouvait tout au fond ! Et Odile mencourageait toujours :
Oouuii ! Cest si bon ! Cest meilleur que mes doigts ou un concombre !
Y a pas, tes vraiment une salope ! Te masturber avec un concombre ! Tu navais pas mieux ?
Nnooonn ! Je nai jamais osé aller dans un sex-shop de Vannes, jai trop peur dêtre reconnue !
Et bien, on va se faire un plan et on ira à la ville tous les deux comme des amants
Dans le même temps, chaque fois que mon pubis venait frapper ses fesses, je voyais l anneau plissé dOdile palpiter sous mes yeux. Humm ! Joli ! Je pense aussitôt quil na pas du servir souvent et je ne manque pas daller placer un doigt à lentrée du sphincter ! Je suis surpris :
Dis donc coquine, je ne savais pas que Serge passait par la porte arrière !
Oh non, ce nest pas lui ! Il na jamais voulu me prendre le cul !
Et alors, raconte pourquoi tu sembles aussi ouverte
Je vais pouvoir te le dire ! En fait, cest le copain que je fréquentais en terminale au Lycée qui ma tout appris. A Noël cette année là, nous sommes partis à trois couples pour aller à la montagne. Tu dois bien te douter que nous en avons profité pour baiser : le premier soir il ma dépucelée après mavoir envoyée en lair avec deux cunnilingus particulièrement savants. Le matin, nous avons recommencé après quil mait expliqué comment lui tailler une plume
Finalement, un après midi où nous navions pas envie de skier, nous avons fait une sieste coquine et cest là quil ma défoncé la pastille !
Et cétait bon ?
Absolument dantesque ! Après les premières douleurs, jai eu beaucoup de plaisir. Il avait un sexe mince mais long ce qui fait que jai pris un pied denfer ! Depuis jai recommencé plus dune fois avec des partenaires différents
Jétais étonné car Odile avait toujours eu la réputation dune fille sage, et je nai pas pu mempêcher de le lui dire. Cest là quelle ma raconté après que nous ayons joui presque en même temps et que nous récupérions, enlacés sur son divan :
Tu sais que pour financer mes études, jai été obligée de travailler dans un bar de Nantes
cest là que je me suis perfectionnée avec les copains de la Fac et certains clients qui moyennant 150 ou 200 euro memmenaient à lhôtel pour finir la nuit ! Jai même baisé avec deux mecs en même temps !
Alors comme çà, tu as plus ou moins fait la pute ?
Oui ! Et alors, Je nétais pas la seule à le faire à la Fac
Cest dailleurs une étudiante de seconde année qui ma présenté au patron du bar en lui disant que je devrais être bonne !
Décidément ce soir-la, je suis allé de surprise en surprise
et Odile a continué :
Cest un secret que je garde jalousement ! Serge na jamais rien su de ce qui se passait à Nantes, dailleurs à cette époque, je ne le connaissais pas ! Je sais que je peux te faire confiance, tu ne diras rien de cet épisode. !
Sois tranquille, cela restera entre nous.
Après cela, nous sommes allés dans la chambre pour nous glisser entre les draps, nus et enlacés
Le sommeil nous a rapidement gagnés
et lorsquau matin nous nous sommes réveillés, nous étions toujours dans la même position, face à face, sur le côté, nos jambes emmêlées. Je regardais Odile qui dormait encore : son visage était radieux
Je nosais bouger de peur de la réveiller mais elle a ouvert les yeux pour me dire tendrement :
Merci mon amour ! Cétait merveilleux !
Après une douche rapide, nous nous sommes habillés et nous nous sommes séparés. Odile est partie chercher ses s chez mes parents et j'ai regagné la maison familiale en faisant un grand détour
Il ne sagissait pas darriver ensemble !
La semaine suivante sest écoulée trop lentement à mon goût ! Il avait été convenu que je retrouverais Odile chez elle samedi prochain soi-disant pour laider à bouger des meubles
Lun comme lautre nous savions que ce nest quun prétexte mais un empêchement de dernière heure nous a obligés à renoncer. A plusieurs reprises nous avons échangé des SMS. qui étaient de plus en plus chauds et explicites
Puis une seconde semaine est passée
toute aussi longue car nous navions pas loccasion de nous voir, juste entre deux portes et toujours avec quelquun autour de nous
Enfin cest samedi. En début daprès-midi, je suis arrivé chez Odile et pendant quelques temps jai joué avec les jumeaux pendant que leur mère achevait de préparer un gâteau pour le goûter. Ensuite, nous sommes allés nous promener sur la plage avec les garçons avant de rentrer peu avant lheure du diner.
Dès que ses s ont été couchés, Odile est arrivée près de moi dans la pièce à vivre
elle a mis un morceau de musique et a commencé à se déhancher en rythme. Elle a ôte ses vêtements un à un dans un strip-tease très coquin et lascif qui na pas tardé à faire son effet : Je commençai à bander illico ! Dès quelle na plus porté que son string, Odile sest approchée de moi, sest agenouillée entre mes cuisses et dune main habile, elle est allée cueillir mon sexe dans mon boxer. Elle la flatté quelques instants de ses mains puis elle fait glisser mon jean et mon boxer et les a ôtés prestement. Dans le même temps mon polo a volé par-dessus tête, si bien que du côté vêtement, nous étions presque à égalité
Odile a avalé ma queue le plus profond quelle pouvait et après lavoir copieusement enduite de salive, elle a entamé une série daller-retour qui a vite fait de me faire durcir ! Mais je lai laissée faire : je savais ce quelle voulait et la nuit ne faisait que commencer
Je me suis penché vers elle et dune main je caressai ses cheveux et de lautre, je palpai successivement ses beaux seins
La fellation quelle me donnait était véritablement un délice : Odile alternait les gorges profondes, les succions des lèvres ou plus sur le gland, un massage en douceur des bourses du bout de la langue et je sentais que je ne tarderais pas à me répandre
Je le lui dis :
Attention, je vais partir !
Oui ! Vas-y ! Tu sais que jai envie de te déguster !
Quelques aller-retour et je me lâchai dans un râle puissant tant cétait bon de gicler ainsi dans une bouche accueillante ! Cette coquine a ouvert la bouche pour me monter le sperme qui la maculait puis elle a dégluti le tout en disant :
Waouh ! Quest-ce que cest bon ! Depuis Nantes, je navais plus goûté à ce nectar !
Odile se mit ensuite à califourchon sur mes cuisses. Je sentais mon membre se dresser entre nous tout contre sa toison et nous nous embrassions à en perdre de souffle. Mais Odile, si elle avait recueilli mon nectar, elle navait pas encore eu de jouissance
Elle dit alors :
Viens dans ma chambre, nous serons mieux dans un lit !
OK ! Ça marche !
Nous sommes retrouvés cette chambre où quinze jours plus tôt nous avions fini notre première nuit dans les bras lun de lautre après avoir baisé sur le divan du séjour
Jallongeai Odile en travers du lit et je me suis précipité entre ses cuisses pour un cunnilingus et là, jai découvert quelle était littéralement inondée de mouille. Je lapais comme un chien ce liquide qui séchappait non sans aller agacer son bourgeon damour qui pointait comme une phalange dressée. Odile se tortillait dans tous les sens sous ma caresse buccale et elle jouit une première fois.
De mon côté, je bandais à nouveau, la queue dressée, prête à partir pour un nouvel assaut ! Dès que je me suis relevé, Odile ma tendu les bras et ouvert ses cuisses :
Viens, ne te couvre pas, en ce moment, on peut baiser tranquillement !
Daccord, ça nen sera que meilleur !
Je lai fait languir un peu en jouant de mon sexe au bord du sien, ouvrant ses lèvres intimes gorgées de sang et de cyprine avec le gland, le pointant à lorée de son vagin, repartant dans sa toison pour finir par éperonner vivement ce sexe qui nattendait quune chose : être pris par un sexe male !
Dès que je suis entré en elle, Odile a noué ses jambes sur mes reins comme pour me maintenir en elle, mais il nétait point besoin de cela !
Jentrepris de lents mouvements de va-et-vient, sortant et entrant dans la chatte de ma belle-sur puis quand je sentis que le plaisir montait à nouveau en elle, jai accéléré mes mouvements, retenant ma jouissance pour arriver en même temps
Soudain, la délivrance est arrivée, Odile a commencé à jouir et aussitôt je lâchai quelques puissantes giclées de sperme qui sont allées la frapper au plus profond, au plus intime de sa chatte
Et cest vrai que cest bien meilleur de baiser sans préservatif !
Cette joute amoureuse avait été rude, lun et lautre, nous étions essoufflés, si bien que nous basculons sur le côté, bras et jambes emmêlés, mon sexe encore enfoui au fond de la chatte de ma belle-sur
Nous sommes restés ainsi quelques instants, je contemplais le visage et le buste dOdile
et ma main venait caresser les tétons qui pointaient au milieu de laréole :
Oh oui caresse mes seins ! Cest tellement bon quand ils sont stimulés ! Quand je donnais à téter aux jumeaux, il mest arrivé de jouir à sentir leur petite bouche vorace sur mes mamelles.
Je continuai mes caresses sur la poitrine dOdile puis je glissai ma main libre dans son dos, je la fis courir le long de sa colonne vertébrale jusquà la fente de ses fesses où je glissai un doigt inquisiteur. Aussitôt Odile sest encore rapprochée de moi pour me dire dans un souffle :
Prends-moi le cul ! Jen ai envie et toi aussi certainement !
Oh, oui, depuis lautre jour, jai envie de ton petit cul bien ferme !
Je bandais déjà bien mais lorsque ma belle sur sest placée en levrette au centre du lit, cela a achevé de faire son effet. Jai attrapé un préservatif sur la table de chevet, je lai déroulé sur ma bite. Avec mes doigts, je suis allé chercher de la mouille dans la chatte dOdile pour lui humidifier un peu le sphincter dans lequel je me suis introduit en douceur mais sans difficulté.
Je savourais cette sodomie en faisant des mouvements lents, ressortant de cet antre interdit pour mieux y entrer ensuite de plus en plus vite, de plus en plus fort
A chaque fois que jarrivais au maximum de la pénétration, Odile poussait un feulement de plus en plus fort au fur et à mesure de la montée de son plaisir. Elle venait même au devant de moi pour mieux me sentir si bien quelle a joui une première fois. Je sentais les contractions de ses muscles autour de ma bite
et cétait bon. Jai continué de la besogner mais là, le plaisir nous a emportés en même temps. Odile sest allongée et, couché sur son dos, je suis resté de longs moments en elle.
Pour que personne à la maison ne pose des questions, je me suis inventé une conquête dune jeune vacancière mais presque chaque soir, je vais retrouver Odile chez elle. Je veille à garer ma voiture assez loin
On ne sait jamais ! Puis les vacances se sont terminées
Quelques mois plus tard et après en avoir longuement parlé avec Odile, nous avons décidé dofficialiser notre liaison. Tout le monde a accueilli cette nouvelle avec enthousiasme ! Si nous avions su, nous laurions dit bien avant
Nous avons aussi décidé dattendre la fin de mes études lété prochain pour nous marier et mettre un en route.
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