Ma Première Soumission (Partie 2)

Je cours à la salle de bain précipitamment, m’installe sur le siège des toilettes et enlève le plug de mon trou. Aussitôt, je me vide intégralement. Que ça fait du bien, je n’en pouvais plus de me retenir. Enfin allégée, je m’essuie et tire la chasse.
Je regarde autour de moi et constate que la salle de bain est aussi bien rangée que le reste de la maison. Tout est à sa place et la décoration est très minimaliste. Une vraie maison d’homme !
Je passe dans la baignoire, actionne le mitigeur et savoure l’eau tiède qui coule sur mon corps. Je m’empare du savon, me frotte le corps. Arrivé à mes fesses je constate que mon anus est gluant, sans doute la glycérine du suppositoire qui continue de s’écouler doucement.
Je fini de me laver et att la serviette pendue au mur. Tout en me séchant je m’observe dans le miroir, me retourne et aperçois mes fesses encore rouges après la violente fessée qu’il m’a administré. Les questions se bousculent dans ma tête, que va-t-il me faire encore ? Je n’aurai jamais dû accepter ce repas chez lui, je pensais réellement que nous allions discuter, boire un verre, manger, puis après peut être passer à l’acte, il aurait pu m’attacher les mains pour me baiser histoire de me dominer. Je ne m’attendais pas du tout à ce scénario. Oui cette gorge profonde e m’avait excitée, mais la fessée était tout de même violente et longue pour une première fois. Puis que voulait t’il dire par ‘’ne t’inquiète pas je ne te sodomiserai pas, c’est toi qui va t’en occuper ?’’ J’étais excitée et apeurée en même temps, cet homme était si calme, si sûr de lui et ses yeux étaient vraiment perçants.
D’un coup je sors de mes rêveries en entendant « JE T’ATTENDS ! » venant du salon. Je sors de la salle de bain et arrive dans le salon toujours nue comme un vers. Il est debout au milieu de la pièce, grand, imposant, vêtu de son jean et de sa chemise blanche. Je le sens me regarder de la tête aux pieds comme si il jugeait de la qualité de ma propreté après la douche.


« Bien. Maintenant que tu es propre et vidée je vais préparer le repas. Mais je ne vais pas te laisser sans rien faire, tu vas t’assoir sur une chaise et me regarder faire la cuisine. Dans un premier temps tu ne seras pas d’accord, mais tu verras, tu y arriveras. Reste debout et écarte les jambes. »
J’obéie mais ne comprends pas ce qu’il a en tête.
Il sort une chaise de dessous la table. Horrifiée je constate qu’un énorme cône noir en silicone est fixé au milieu de cette chaise. Il recommence à parler. « Comme tu peux le voir ce cône mesure 20 cm de longueur. Il est gradué tout les centimètres. Bien sûr le bout du haut ne mesure qu’à peine 1,5cm de large, mais ce qui est intéressant, c’est la base qui arrive à 5 cm de diamètre. C’est moins gros que ma queue, mais je ne veux pas non plus nager dans ton cul. Tu verras, que tu le veuille ou non tu y arriveras. »
Il sort un tube de lubrifiant et enduit généreusement tout le cône. Il fait passer la chaise entre mes jambes et me demande de ne pas bouger. Il ouvre la porte d’une armoire et en sors du cordage.
« Maintenant assieds toi. »
Je descends doucement et il m’immobilise à mi chemin. Il s’agenouille pour regarder entre mes cuisses et me saisie les hanches pour continuer à me faire descendre doucement jusqu’à que la pointe du cône pénètre légèrement mon cul. Je trésaille au contact de cette intrusion.
« Ne bouge plus ». Il s’empare des cordes et commence à me ficeler solidement les cuisses et relie le restant de la corde libre à la chaise de telle sorte que je ne puisse plus me remettre debout.
« Maintenant, ça prendras le temps qu’il faut mais tu finiras par t’assoir sur cette chaise. » Puis il me laisse là, se dirige vers le plan de travail et commence à découper tranquillement des tomates.
Ma position me rappelle celle que je prends pour aller faire pipi dans les toilettes publiques et qui est dure à tenir, surtout pour ne pas rentrer en contact avec bords des wc sales.

Je sens déjà mes jambes qui commencent à fatiguer. Au bout de 2 mn je n’ai pas d’autre choix que de descendre légèrement pour bouger les muscles de mes jambes qui commencent à se crisper de plus en plus. Je sens le cône s’enfoncer en moi et élargir mon anus qui glisse sur le lubrifiant. Quelques instant après je descends encore un peu pour me soulager. Le cône recommence à me dilater franchement. Je sens mon petit trou serré s’assouplir au fur et à mesure.
Il se retourne, vient vers moi, s’agenouille et regarde entre mes jambes. « Je vois que ça progresse, tu en es à la 3 ème graduation, donc 3 cm. C’est bien continu comme ça. »
Il repart dans la cuisine.
Je commence à souffrir énormément, mes muscles sont entrain de se tétaniser. Je descends encore un peu, ce cône est entrain littéralement de m’ouvrir le cul.
Je commence à pleurnicher de douleur. Mes jambes flageolent, je regrette vraiment de ne pas être allé plus souvent aux cours de squats.
Au bout d’un moment il revient vers moi et m’observe.
« 4cm, il en manque encore un bon 1cm. Le plus dur. Je vais te donner un petit coup de main. Tu sais ce qu’on dit, des fois il faut penser à autre chose pour atténuer une douleur. »
Il réouvre l’armoire et en sors 2 petites ventouses. Il récupère un peu de mouille sur ma chatte, m’en enduit les tétons, presse au maximum les ventouses avant de les coller sur mes mamelons. Il relâche. La succion est immédiate et violente. Je sens mes tétons être dévorés par l’aspiration, ça fait très mal, je ressens des picotements partout dans ma poitrine.
« 4,5cm, tu vois, les proverbes ne mentent pas ! »
Je ne m’en étais pas rendue compte mais j’étais encore descendue. Mes jambes étaient entrain de me lâcher, mes muscles cuisaient de douleur et la succion sur mes seins était tellement violente que le cône qui m’ouvrait le cul était devenu le moins douloureux des trois.
N’y tenant plus je fini de m’asseoir complètement. La base du cône disparait entièrement dans mon anus et m’arrache une grimace de douleur.

Il ricane, satisfait, et vient serrer les cordes, m’obligeant à rester le cul collé à cette chaise.
Il me caresse la joue « Tu vois, je t’avais dis que tu y arriverais. »
Me voyant grimacer il m’enlève les ventouses des seins. Mes mamelons apparaissent roses vif, les tétons allongées à souhait et une goutte de lait perle à chaque bout.
« Qu’est ce que c’est que ce lait ? Réponds ! »
Je bafouille que j’ai commencé à avoir quelques gouttes de lait à mes 20 ans suite à un dérèglement hormonal et que depuis c’était resté.
« Tu n’as jamais pensé à les stimuler pour lancer une lactation ? Ta poitrine est petite et prendrait de l’ampleur si elle était pleine de lait. »
Non je n’avais jamais réfléchie à ça…
« Bien. Nous nous occuperons de ça une autre fois. »
Il observe mes seins, pensif et pars fouiller dans son armoire.
Il revient avec un soutien gorge harnais qu’il m’enfile, serre bien sous les seins, englobe entièrement mes mamelles avec les lanières et tire bien sur le réglage du cou, ce qui les fait remonter à bonne hauteur. Ma poitrine se retrouve complètement bandée, faisant ressortir les mamelons sous la pression.
« Voilà, c’est parfait comme ça. Maintenant que tu es prête nous allons manger. »
Il pousse ma chaise jusqu’en dessous de la table.
Je me sens ridicule, mes seins pigeonnent juste au dessus de la nappe, mon cul complètement écartelé par ce cône enfoncé au plus profond de moi. Ne pouvant pas bouger d’un millimètre la position de mes fesses sur cette chaise.
Pendant le repas il me pose des questions sur ma vie, mon travail, mes habitudes. Je commence à me détendre, mon cul a commencé à s’habi au cône en silicone. De temps en temps il tire sur mes pointes de seins quand il trouve qu’elles se rétractent un peu trop. A la fin du repas il me dit qu’il trouve que mes tétons ont perdus de leurs belles couleurs roses. Il se lève, passe derrière ma chaise, m’att les deux mains et les mets derrière mon dos.
Il me lie solidement les poignets avec une corde et pars chercher 2 gros glaçons dans le réfrigérateur.
Avec ce harnais et les mains liées dans mon dos ma poitrine se dresse encore plus, vulnérable, à portée de ses mains.
« Ces 2 cubes de glace vont se liquéfier intégralement avec la chaleur de tes bouts de seins.
Il me plaque les glaçons sur les mamelons. Je sens le froid me saisir et mes tétons se rétractent automatiquement. Il reste ainsi pendant 3 bonnes minutes, mes seins commencent à geler et la douleur du froid me transperce la poitrine. Il enlève les glaçons et tire sur mes bouts pour les faire ressortir et faire revenir le sang. Ca fait mal, ma poitrine est toute congestionnée. Quand il estime qu’ils sont suffisamment chaud il replaque les glaçons dessus. Je me tords de douleur. Il finit par les retirer et se remet à tirer et tourner mes tétons dans ses doigts pour que le sang revienne à nouveau. Puis il recommence ce manège jusqu’à que les glaçons soient intégralement fondus. J’en ai les larmes aux yeux.
« Regarde comme ça en valait la peine, regarde cette belle couleur rose pourpre sur tes mamelons, et regarde moi ces bouts de seins bien allongés, exactement comme j’aime ! »
Je baisse la tête et regarde mes tétons. Ils sont vraiment très roses et très étirés sous l’effet du traitement que je viens de subir. Ils sont devenus très sensible, le moindre souffle d’air me fait tressaillir…

A suivre….

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