Série Insolite. Épisode 15 « Sarah » : Quelle Joie De Se Faire Baisée Par Son Nouveau Boss. Partie 6/13
Je mappelle Sarah, lors de la seconde partie de mon histoire, dans la série insolite N°14, je vous ai expliqué comment javais refusé de faire la pute pour mon patron. Je vais poursuivre en vous expliquant ma rencontre avec mon nouveau PDG en 2014, lorsquAndré me présenta en disant : « William ! Je tenais à te présenter Sarah, de loin ma petite préférée. » Lorsque jétais sortie du bureau, javais des étoiles dans mes yeux, jétais impatiente que cet homme prenne son nouveau poste, pendant toute la semaine suivante, javais attendu sa venue, ce type pourtant bien plus âgé que moi mavais totalement subjuguée.
Je navais jamais pu limaginer, depuis que je lavais vu la première fois, deux ans auparavant, je savais que cet homme me plaisait et lorsquil était venu à mon secours quelques semaines plus tôt avec lallemand, je dois avouer que javais flashé sur lui. Je me souvenais de ce jour où un contrat de vente était en négociation avec le plus important client dAllemagne, un géant bavarois dun mètre quatre-vingt-dix avec un corps dathlète. La petite cinquantaine, avec ses cheveux blond coupés en brosse et ses bleus clairs, Helmut était très attirant. Je lavais déjà rencontré plusieurs fois, il venait habituellement avec sa fiancée, une jeune russe de trente-cinq ans dun mètre quatre-vingt, avec un corps aux formes très avantageuses.
Même si je voyais un certain désir pour moi dans son regard, cet aryen de pure souche, ne mavait jamais manqué de respect. Cependant, ce jour-là, la fiancée dHelmut étant absente, il était accompagné de son bras droit, de son conseiller juridique et de William Fischer le Directeur de la région Grand-Est. Pendant toute la réunion, assise entre André et Helmut, ce dernier avait posé sa main sur mon genou. Discrètement, je lui avais retiré mais il insistait et comme un fait exprès, il montait toujours plus haut. Il était parvenu, pendant que je parlais à André, à me prendre par surprise en glissant sa main sous ma robe pour la poser sur ma petite culotte en disant avec son accent guttural : « Jétais certain que tu nen portais pas.
Par réflexe, javais serré mes cuisses emprisonnant ainsi sa main posée sur mon pubis. Il ne fit rien pour lenlever, jétais rouge, tétanisée par la honte, javais envie de le gifler. Non pas, parce que je ne voulais pas mais parce quil me traitait comme si jétais quune simple prostituée. Cependant je ne pouvais pas compromettre la vente et il le savait le salop, il en profita :
Ça te plait ! Ne me dis pas le contraire. Me souffla-t-il dans mon oreille.
Ni une ni deux, dune main ferme, je saisi son sexe qui mavait semblé énorme et pinçai fortement son membre. Immédiatement, tellement surpris de ma réaction, il retira de lui-même sa main dentre mes cuisses. À mon tour de lui répondre dans loreille : « Que dirais votre fiancée si elle savait ça. » Puis de colère, je métais levée soudainement pour me diriger aux toilettes, mon comportement ne passa pas inaperçu. Ce géant allemand était pourtant parvenu à mexciter, jétais vexée, javais le fond de mon string humide. Assise sur la cuvette des WC, je nosais plus revenir à la table. Néanmoins après de longues minutes, André était venu me rejoindre et me demanda de sortir immédiatement :
Que fais-tu bon Dieu ? Helmut ne veut plus signer le contrat dexclusivité et suspend les négociations. Cest très important pour notre société. Tu es virée si tu ne fais rien.
Il ma doigté André ! Sil veut aller plus loin, je dois me laisser baiser comme une vulgaire putain, cest ça ?
Tu nes pas une sainte Sarah ! Reviens à la table. Pour le reste, laisse-toi tripoter. Dit-il en repartant.
Ce fut à cet instant que Mr William F était intervenu en ma faveur en expliquant à André que javais raison et quil soccupait personnellement dHelmut qui était son client mais également son ami. Malheureusement, André ne lentendit pas de cette oreille et lui répondit assez sèchement : « Aujourdhui William cest encore moi qui commande, bientôt tu feras ce que tu voudras.
Trois-quarts dheure plus tard, le dossier était prêt à être signé le lendemain matin. Helmut ne mavait plus quitté pendant le pot de lamitié et lorsquil me demanda de le suivre dans les sanitaires, en me disant quil allait me prendre sauvagement comme une pute, javais hésité à le suivre mais si je voulais rester dans lentreprise je me devais de le faire : « Vous ne pourrez plus jamais revenir en arrière Sarah. Réfléchissez ! » Mavait dit Mr F. Cétait la seconde fois quil venait à mon secours, il alla voir lallemand et lorsquil était revenu, tout était arrangé. Ce qui navait pas du tout plu à André, pourtant le contrat était signé.
William avait 47 ans, il était divorcé depuis quatre ans, ce nétait pas Brad Pitt mais était bel homme, Pascale et Sophie avaient déjà tenté toutes les deux de le séduire lors de ses précédentes venues. Pour ma part, javais bien senti lors des quelques entrevues que nous avions eues, que je ne le laissais pas indifférente. Vivant seul, il accepta de prendre lappartement de fonction que je dus débarrasser à la hâte, en occupant la chambre dà côté pour le moment. Javais toutefois tenu à le recevoir, devant prendre ses fonctions le lundi matin, il était arrivé le dimanche peu avant midi. Il fut dailleurs très surpris de ma présence, il pensait être reçu par Éliane, la femme de service que javais volontairement remplacée.
Je lui avais donc fait visiter lappartement personnellement, cétait très facile car je connaissais lendroit parfaitement, lui montrant à tour de rôle la petite cuisine, lui expliqua en détail le fonctionnement de tous les appareils ménager, lui montrai le salon, la salle de bain et les toilettes, son petit bureau et limmense chambre à coucher avec un lit King size.
Je ne voudrais pas r de vous Sarah. Cest dimanche vous avez sans doute autre chose à faire à votre âge.
Non Mr Fischer, jai prévu de rendre votre arrivée la plus agréable possible. Vous savez, je vis seule et je
Enfin soit ! Jai un peu faim connaissez-vous un petit restaurant ?
Comme javais fait en sorte quÉliane remplisse copieusement le réfrigérateur, je lui répondis :
Pas la peine Mr, je vous ai préparé un petit repas à la bonne franquette.
Super, cest très gentil de votre part, restez sil vous plait !
Cétait une aubaine pour moi, je voyais que je lui plaisais, il avait très apprécié mon petit plat et fut ravi que je range toutes ses affaires à la perfection : « Non seulement vous êtes un vrai cordon bleu mais aussi une femme dintérieur hors pair, ça me change de mon ex épouse. » Mavait-il dit sincèrement. Nous avions fait connaissance pendant le repas puis vers seize heures, lorsque javais fini de ranger ses affaires de toilette dans la salle de bain, je lui proposai de lui faire visiter le quartier. Vers dix-huit heures, en revenant devant limmeuble, je me lançai, je devais dormir ici et lui dit : « Ce soir, si vous ne voulez pas rester seul, je pourrais peut-être vous faire un petit repas. Quand dites-vous ? »
À son regard, je vis quil comprenait mes réelles intentions et sil me faisait des avances, je nhésiterais pas une seule seconde pour coucher avec lui, cétait ce que jattendais et ce nétait pas pour le travail, cétait pour moi, javais des sentiments pour lui. Pendant nos conversations de laprès-midi, javais appris que William avait toujours attendu ce poste, il avait toujours fait passer sa vie professionnelle avant sa vie sentimentale et quil avait bien lintention de se rattr car il se retrouvait ici en célibataire. Ce fut la raison pour laquelle, il avait probablement accepté ma proposition de lui préparer le diner.
Ce soir-là dans la cuisine où il était resté avec moi, nous avions beaucoup discuté de nos vies, sans rentrer dans les détails. Néanmoins après lapéritif que nous avions pris dans le salon, avec lalcool et le vin bu pendant le diner, sa langue se délia un peu. Il me dit quil était cocu mais quil avait attendu plus de douze ans avant de divorcer. Puis il sétait entiché dune jeune femme qui elle aussi était infidèle mais quil ne lui en voulait pas. Pour ma part, je lui avouai quAndré mavait aidé à me trouver ce poste et quil aimait que je sois avec lui. Nous avions fini le débarras lorsque je lui dis franchement que son prédécesseur mhébergeait dans cet appartement :
Vous viviez ici ? Vous navez pas dautre endroit où aller ?
Non ! Jai appris vendredi soir que vous désiriez prendre lappartement de fonction. Jai donc fait mes bagages pour vous laisser la place. Finis-je par lui dire en faisant mine de pleurer.
Il ne savait pas exactement quoi faire, ni quoi dire. Il menlaça et me passait la main dans mes cheveux pour me rassurer, il compatissait tout en cherchant ses mots :
Pour ce soir, vous dormirez ici, je prendrai le canapé.
Oh Merci Mr Fischer ! Lui dis-je en lui faisant la bise.
Il désirait en savoir plus sur la relation que jentretenais avec André. Nous nous étions installés dans le salon où je continuais à tout lui dévoiler, je me sentais bien en sa compagnie, il en profitait pour poser des questions intimes, auxquelles je nhésitais pas à lui répondre. Ce fut ainsi que je lui appris que son prédécesseur était impuissant et quil me donnait du plaisir uniquement avec sa bouche et des sextoy et quil me regardait lorsque je faisais lamour avec mes copains dans la chambre. Puis il avait changé, il voulait que je me laisse tripoter par les clients afin de conclure les contrats de vente :
Mes cela, vous lavez vu de vos propres yeux. Au fait comment avez-vous fait pour décider lallemand à me laisser tranquille.
Helmut est un bon ami, je lui ai simplement dit que javais des vues sur vous et que vous nétiez pas une prostituée comme Elena sa fiancée.
Je navais pas rêvé, il venait bien de dire quil avait des vues sur moi : « Était-ce un stratagème ou la vérité ? » Je métais abstenue de lui en reparler, je mapercevais quune bosse tendait la braguette de son pantalon.
Ah bon ? sa femme est une
Pute oui Sarah ! Helmut a rencontré Elena dans une maison close, il la racheté à son souteneur. Et vous Sarah ! Auriez-vous coucher avec lui ce jour-là ?
Jétais excité comme ce nétait pas permis, surtout quil me regardait droit dans les yeux pour voir ma réaction. Je métais rendue compte de son érection et ne voulant pas dire la vérité, je répondis :
Je préfère arrêter là car cela va vous donner une mauvaise idée de moi. Enfin encore merci pour ce soir. Demain je vais me mettre à la recherche dun appartement.
Vous pourriez rester ici le temps que vous trouviez, jadore votre cuisine. Me dit-il en blaguant.
Je me penchai sur lui et lembrassai sur la joue, nous étions restés un moment enlacer, ma cuisse se pressait contre lui, je crus que sa verge allait exploser dans son pantalon : « Je savais que vous étiez un homme au grand cur, vous ne vivrez pas seul longtemps Mr Fischer. » Il se leva, me pris la main et mattira vers la chambre :
Vous me plaisez beaucoup Sarah ! Venez avec moi.
Vous aussi William ! Dis-je en lui sautant au cou.
Depuis le premier jour où je tai vu, je rêve du jour où je te tiendrais dans mes bras. Me dit-il en mattirant à lui.
Je tremblais, ma respiration saccélérait, jétais très excitée, il était si délicat, il passait une main dans mes cheveux, lautre sur son dos, j'avais l'impression que mes jambes se dérobaient, je magrippais à lui. Nous nous embrassions, ses lèvres étaient généreuses et douces, sa langue était chaude et sa main descendait le long de mes reins. Lentement et sensuellement, il enleva mon chemisier pendant que je faisais de même en lui retirant sa chemise. Je pris les devants en passant ma main sur sa verge tendue et raide à travers le tissu :
« Vous avez envie William. Laissez-vous faire. » Je me mis à genoux, débouclai sa ceinture, déboutonna son pantalon et le baissai. Ne voulant pas paraitre comme son prédécesseur, il retint ma main mais je len empêchai. Quel bien énorme, lui avais-je fait en sortant son sexe de sa prison. Je mis dans ma bouche, sa queue que je trouvais belle, un peu petite peut-être mais bien dure. Jenfonçais son pénis entre mes lèvres et mes doigts le serraient en un va et vient lent et sensuel. Je mattardais sur le gland turgescent que je léchais puis embrassais de temps à autre, du bout de mes lèvres pendant que je lui enfonçais mes ongles dans ses fesses.
Juste avant quil néjacule dans ma bouche, il me demanda de me relever. Je me dévêtis et le tirai sur le lit. Tout en nous embrassant, il me flatta la poitrine dune main, tout en me doigtant un moment, de lautre. Jétais trempée, cela faisait un moment que je navais pas fait lamour, je désirais quil passe à l'acte immédiatement. Je me couchai à plat dos tout en écartant au maximum mes cuisses, en levant jambes : « Venez William. » Lui dis-je en le vouvoyant toujours. Ce qui lexcitait encore plus, jétais complètement soumise, il mavait pénétrée en missionnaire, il progressait lentement, cétait bon de sentir sa queue glisser dans ma fente, jétais toute mouillée.
Je magrippais à ses fesses fortement comme si javais peur quil sen aille, je gémissais tout doucement puis il râla lorsque je contractai mes muscles vaginaux autour de son gland qui frappait au plus profond de mon intimité. Il allait et venait en moi doucement, tout en me malaxant les seins. Son sexe en pleine érection, fiché au plus profond de mon ventre, il désirait prolonger le moment fatidique, mais je sus quil ne pouvait plus se retenir, quil allait exploser : « Attendez ! J'en veux encore, je veux vous sentir mieux. » Dans un mouvement brusque mais avec beaucoup dadresse, je le fis se basculer sur le dos et lui montai dessus, ce qui lui avait permis de se retenir.
Dune main experte, je lui pris sa queue et ne fit pénétrer que son gland quelque instants dans ma chatte avant de massoir entièrement sur lui, en enfonçant sa verge jusquà la garde : « Que cest bon William, hum ! » je gémissais tout en lembrassant de temps en temps. Une fois que sa queue était au plus profond de mon vagin, je commençai à faire des mouvements en arc de cercle avec mon bassin et mes hanches puis jalternais en montant et en descendant avant de reprendre mes ondulations : « Oui ! Jen veux encore. » Il me regarda jouir et me dit : « Que tu es belle. » Il mavait retournée, enleva son préservatif et il se coucha sur moi, sa queue entre mes seins pour éjaculer dans mon sillon mammaire.
Cétait fabuleux, je navais jamais ressenti cela auparavant, je savais à présent que je laimais, cétait une évidence, cétait lhomme de ma vie. Tout me plaisait chez William, jétais follement amoureuse de lui et quand il me dit : « Sarah ! Je crois que je taime ! » Je crus que jallais tomber à la renverse. Le voyage, lalcool, le bon petit repas et cet acte damour lavaient épuisé, après mavoir souhaité bonne nuit en membrassant, il me repéta : « Je taime Sarah ! Je veux que tu restes avec moi ? » Je navais pas pu imaginer autant de joie : « Oui ! Moi aussi je taime. » Il sétait endormi comme un dans mes bras pendant que javais longuement réfléchi à mon avenir.
Ce fut pour nous, le vrai coup de foudre, le lendemain matin, il me confirma quil me voulait à ses côtés, jétais sur un nuage, je nageais dans le bonheur. Cependant je soulevai mon inquiétude sur les rumeurs qui allaient probablement salir ma réputation. Nous avions donc décidé dun commun accord, de prendre énormément de précautions. Pendant un mois, hormis les hommes de la sécurité, personne ne savait que jhabitais avec lui. Je quittais les bureaux comme les autres employés et je revenais plus tard le rejoindre en prenant discrètement lentrée privée.
William était formidable sur tous les points, nous nous entendions parfaitement, jétais sa petite reine, même sil nétait pas très porté sur les parties de sexe, il savait mapporter tout le plaisir nécessaire. Seulement je me languissais lorsquil sortait pour le travail, je regrettais toutes ces soirées où jétais aux bras dAndré, celles-ci me manquaient. Il mavait dit quil avait un problème mais navait pas voulu men dire plus, en me promettant quil le ferait le moment venu.
Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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