Voyage De Fin D'Etudes 1

Après, une nuit agitée, et bien arrosée, nous retrouvames nos copains de promo devant notre lycée. Un car nous attendait, et après avoir entassé nos bagages dans la soute, tout le monde s’entassa joyeusement dans le bus. Les exclamations et rires en tout genre fusaient d’une rangée à l’autre. Notre accompagnatrice, du tour opérator eut bien du mal à faire l’appel, pour vérifier que personne ne manquait, mais qui aurait raté un tel départ. Le trajet jusqu’à l’aéroport eut raison du peu d’énergie qui nous restait, et nos professeurs, qui attendaient dans l’aérogare, virent arriver une bandes de jeunes apathiques, trainant péniblement sacs et valises derrière eux. Les formalités d’enregistrement furent remplies dans le plus grand calme. En passant devant nos profs, j’entendis Mr DESPLATS, le prof de comptabilité qui disait à la prof de Français :
« Eh bien, ils ont l’air enthousiastes. Je pense que ce voyage risque de s’avérer déprimant. »
La suite lui prouverait le contraire. Le voyage en avion, fut une sieste générale, les seuls bruits étant quelques ronflements qui n’avaient rien à voir avec les réacteurs.Nous nous posâmes à Ibiza, vers 11 h, et débarquâmes sous un ciel lourd, la pluie sous le tarmac achevant de nous réveiller. Notre hôtel était distant d’une demi-heure, et à midi, nous étions en possession de nos chambres. Je partageais la mienne avec Liam, et Frédéric , mes deux copains. J’avais pris soin de noter le numéro de Chambre de Valérie, qui prévisiblement était avec Clara, et Babeth, ses deux plus proches amie, à l’étage au dessous. A près un détour par la piscine intérieure, où un grand chahut régnait déjà, quelques élèves ayant décidé que tous ceux qui passaient finiraient à l’eau, habillés ou pas, membres de notre voyages ou pas, nous nous repliâmes vers le restaurant ou le déjeuner était servi sous forme de buffet. Nous étions regroupés par tables de huit, mais malheureusement pour moi, la table de Valérie était déjà complète.

. Je me retrouvai avec Nelly, et Léa qui ne firent aucune allusion à notre nuit précédente échevelée. Ce premier repas fut l’occasion de découvrir que l’eau minérale était à payer en supplément, mais que le vin « tinto » était gratuit et à volonté. Nos maigres ressources d’étudiants, ne laissant que peu de choix, tout le monde se rua sur le vin rouge. Nous sortîmes de table, tous éméchés. Certains partirent pour trouver la plage, mais la météo étant mauvaise, nous accompagnâmes nos convives féminines jusqu’à leur chambre .. Ellesétaient au même étage que nous, à un détour du couloir, et nous demandâmes, avec une certaine mauvaise foi, à visiter leur chambre, alors qu’il semblait bien que toutes étaient sur le même modèle. La chambre, en fait était , en fait en longueur, avec trois lits simples alignés et une table de chevet, entre chaque. A droite de l’entrée on trouvait un WC, puis la salle de bains. Après la salle de bain, un coin bureau était aménagé, et, au delaà des lits, une gande baie vitrée donnait sur une terrasse couvert équipée d’un salon de jardin. C’était en tous ponts semblable à la notre et, j’avais déjà remarqué que l’implantation des terrasses était faite pour que leurs occupants ne soient pas à la vue des autres chambres. Tandis que nous examinions les lieux, la porte de la salle de bain s’ouvrit ;
« Eh, vous êtes de retour, les f… »
Sophie, s’arrêta net en nous voyant, et tenta de se couvrir avec une minuscule serviette avant de faire marche arrière dans la salle de bain qu’elle referma. Léa, entreprit de fouiller dans une commode et alla lui tendre une culotte par la porte entrouverte.
Nous allâmes nous installer sur la terrasse, Les filles s’installèrent sur deux des trois chaises et Liam sur la troisième, et nous dûmes, Frédéric et moi nous serrer sur un des deux transats. Après avoir déploré le temps maussade, nous avions décidé de ne pas nous laisser aller à la morosité, et fimes monter, par le room-service une bouteille de champagne espagnol, pas cher du tout.
Sophie, nous rejoint, habillée d’une mini culotte noire et d’un débardeur jaune vif, très échancré. Léa était vétue d’une robe légère boutonnée sur le devant, et Nelly portait un short en jean qui découvrait à moitié ses fesses rebondies, et une caraco noir.
« ouf, j’ai trop mangé déclara Nelly en déboutonnant son short, et dégaegant la fermeture éclair, bien plus bas que la decence l’eut autorisé. La robe de Léa s’était entrouverte, en s’asseyant, dévoilant ses cuisses, et, assis en contrebas sur le transat, j’aperceavais, quand elle croisait les jambes, sa chatte imberbe laissée nue. Le garçon du room service eut bien du mal à ne pas renverser son plateau en voyant ces trois donzelles, peu vétues, et un rien provocantes, Lea ayant ouvert deux boutons de plus en haut de sa robe, laissant le regard plonger jusqu’à la pointe de ses seins, et Nelly glissa ostensiblement la main dans son short en dévisageant le serveur, et en se léchant les lèvres. Liam, prit le parti de l’aider, et il le libéra, avec un bon pourboire en lui assurant que nous ouvririons la bouteille, nous même.
Sitot qu’il fut parti, la discussion s’engagea :
« Les filles, vous ne pouvez pas faire ça, ce gars là travaille » s’insurgea Frédéric
« Oh, on s’amuse, c’est tout » répliqua Nelly « Ici on ne connaît personne, et rien de ce qui s’y passe ne reviendra en France. »
« Oui, mais le serveur, il vit ici, et ne tient surement pas à perdre son job. Tu sais bien que folatrer avec les clientes est un motif de renvoi, n’importe où. »
« En tout cas, il a pris un bon pourboire, tout en se rinçant l’œil » emit Sophie.
« Et je suis sure que entre le pourboire et le spectacle qu’il a vu, il nous aurait choisi sans hésiter. »
« Evidemment, renchérit Nelly, qui déboutonnant plus encore la robe de Léa, en écarta les pans, dévoilant ses seins qu’elle se mit à caresser. Vous pourriez résister à ça vous ? » interrogea t’elle, sa main gauche s’agitant dans son short, alors que Léa fermait les yeux, savourant la caresse.
Nous commencions à nous sentir à l’étroit dans nos jean’s. Je levais alors mon verre à leur beauté et la bouteille fut bientôt vide. Je me levais, ensuite, et incitai mes camarades à m’accompagner. Liam vint avec moi, mais Frédéric, bien aguiché par Nelly, décida de rester un moment. Dans le couloir :
« Pourquoi fallait il qu’on parte, elles étaient chaudes comme la braise là ? »
« Parce que j’ai besoin de récupérer un peu et parce que la soirée va être longue. »
« Oui tu as raison »
« Tu vas faire la sieste aussi ? »
« Non, en fait, j’ai fait la connaissance d’une nana, une anglaise, qui est là avec sa famille. Je vais voir si elle ne traine pas en bas. »
« ho, ho, Monsieur est un rapide, je vois. Eh bien file, moi, je vais dormir un peu. ».
Deux heures plus tard, après un sommeil réparateur et une douche revigorante, je descendis au bar de l’hôtel. En passant, j’aperçus Liam, jouant au billard avec deux types, une jolie blonde, les regardant, un verre à la main. Je présumais que c’était le père et le frère de la blonde, et fis un signe de la main à Liam. Au bar, je retrouvais mon prof de compta, Desplats, qui discutait fermement avec un groupe de ses élèves.
« On a déjà eu des plaintes de la direction de l’hôtel. Des clients auraient été jetés à l ‘eau tout habillés. »
« Ils ont glissé, m’sieur ! » lança l’un
« Et puis que faisaient ils habillés au bord de la piscine ? » argumenta un autre
« admettons pour la piscine, dit le prof, mais les clients se sont plaints du chahut dans les couloirs, des tableaux ont été enlevés des murs. »
« Surement des clients qui n’appréciaient pas les croutes ! »
« Il y a même une chambre où la porte a été fracassée »
« Euh, la clef ne marchait pas. » dit un gars, à la main droite bandée.
« Je suis cool, vous le savez, mais si on n’arrondit pas les angles, il y aura des problèmes »
« quels problèmes, lança une voix. »
La jeune Tour opérator, prit alors le relais.

« Si les dégradations et le chahut continue, l’hôtelier fera certainement le choix de se débarrasser de nous. Nous occupons 22 chambres dans un hôtel qui en compte 200. Si nous n’avons plus d’hotel, c’est retour en France immédiat. Donc merci de faire un effort, et de faire passer le mot. »
Elle s’apprétait à quitter le bar, quand un membre du personnel vint lui parler. Elle se tourna vers nous et nous demanda de la suivre. Intrigués nous la suivimes à travers l’hôtel, jusqu’à la terrasse donnant sur la piscine extérieure, un étage plus bas. Celle-ci était vide de tout mobilier, l’ensemble avait été transféré, tables, chaises, parasols, et la terrasse reconstituée au fond de ladite piscine. Esquissant un sourire, notre prof commenta :
« on ne peut pas parler de dégradation, mais seulement de déménagement » dit il dans un sourire tandis que nous pouffions de rire.
La Tour,opérator, ne riait pas, et nous le fit savoir.
« Dans une heure, tout doit être remis en place, sinon, nous sommes tous virés, et moi, je peux chercher un autre Job »
Desplats se tourna vers moi, et me dit tout bas,
« occupes toi de ça, je m’occupe de la guide. »
Puis il la prit par les épaules et la fit rentrer, l’entrainent vers le bar.
« ne vous inquiétez pas, ce sont des blagues de pôtaches, Je suis sur que tout va rentre dans l’ordre, très vite. Venez, allons boire un petit café. »
Nous n’eumes pas d’autre choix que d’aller nous mettre en maillot, et remettre en place, cette maudite terrasse. Ce qui fut fait rapidement, les filles étant venues nous prêter main forte, replaçant, au fur et à mesure ce qui sortait de l’eau.
Après le repas du soir, vers 23h, je passais un moment avec Liam au billard, où il me présenta son amie Monica, son père, et un des ses amis (et non son frère). Vers minuit, ils nous laissèrent pour rejoindre leurs chambres et nous partimes vers le centre où nos camarades avaient repéré plusieurs boites de nuit. Dans chacune d’elle, l’entrée était gratuite,et les cocktails bien moins chers qu’en France. Notre promo s’était éparpillée , et nous retrouvions des connaissances, à chaque endroit. J’aperçus même Desplats, serrant de près notre guide, dans une des discothèques. Nous rejoignimes notre hôtel vers six heures, , car nous partions en excursion vers sept heures. Juste le temps d’une douche et d’un café, et nous allâmes nous installer dans le car , dèjà en faction devant la porte. Les derniers fétards arrivaient par grappes, ramenés par la guide, déjà exténuée qui avait dû avec notre prof de compta, faire, le tour des boites, pour récupérer les manquants. Enfin, tout le monde fut installé et nous roulâmes un petit quart d’heure, jusqu’à un port, ou un bateau nous attendait. Heureusement la journée était belle, et le ciel bleu. Tout le monde somnolait derrière ses lunettes de soleil, le vent dans nos cheveux et la caresse du soleil du matin sur nos peaux. La traversée fut tranquille jusqu’à ce que le haut parleur du bord annonce que le bar était ouvert. Le bar fut bientôt assiégé par des buveurs, plus tentés par les cocktails que par les expressos. L’ambiance à bord se détendit petit à petit, et sous le soleil de plus en plus chaud, les pulls et vêtements chauds furent abandonnés, les maillots de bains faisnt leur apparition. La radio du bord diffusa de la musique sud américaine, et certains se mirent à danser, en une after improvisée. Le bateau atteignit bientôt une crique à l’eau bleuté transparente ? Sur le fond se détachaient les taches plus sombres des bancs d’oursins. L’accostage se fit le long d’un quai de pierre taillé dans la roche, et tout le monde se retrouva sur une plage de sable fin et blanc. Chacun s’installa par petits groupes, et je rejoignis Valérie, et ses amies Clara et Babeth. Clara ne semblait pas m’apprécier, mais elle avait un faible pour Liam. Les hommes du bord, avaient installé tout un matériel et préparaient un feu de bois, à même le sol. Deux équipes s’étaient formées, et une partie de Volley s’engagea, alors que, plus téméraires, nous choisimes de nous baigner, bien que la mer fut encore fraiche à cette période.. Après un quart d’heure à patauger dans l’eau, nous ressortimes nous réchauffer au soleil de plus en plus chaud. D’immenses poeles étaient en train de chauffer sur les braises, et l’odeur de la paella qui se préparer, venait chatouiller nos narines. Je proposais à Valérie d’aller faire un tour, et nous partimes explorer la côte. J’avais pris appareil photo et je fis quelques clichés de cette baie superbe, vue du haut des falaises qui l’encadraient. Nous longeames le bord de mer, sur les rochers pendans un moment. Valérie s’arrêta sur un grand rocher plat et s’allongea sur la pierre chaude. Je pris quelques clichés, elle portait un maillot deux pièces, qui n’arrivait pas à la faire paraître sage. Je lui demandais alors, si elle me ferait le plaisir de quelques photos, un peu plus osées. Elle se leva, et, sur fond de mer bleue, enleva d’abord son soutien-gorge, qu’elle laissa tomber à ses pieds, puis elle prit la pose, m’offrant ses seins, en coupole dans ses mains. Les laissant , elle fit glisser ses mains vers son bas de maillot qu’elle tira vers le bas, me dévoilant sa toison, savamment coupée, avec un regard quasi in, du plus bel effet pervers. Changeant de posture elle se retourna, et sans plier les genoux, entreprit de faire glisser la culotte vers le bas, penchée en avant, son abricot saillant entre ses deux fesses rebondies. Elle se releva et se tourna vers moi, jambes légèrement écartées, son slip encore tendu entre ses genoux, et vint introduire un doigt dans sa fente. Puis elle remonta d’un coup le maillot et attrappa le haut qu’elle remit prestement.
« a mon tour de faire des photos. » s’exclama t’elle en me prenant le boitier des mains.
Jouant le jeu, je m’avançais sur le rocher, et pris , à mon tour, les poses lascives qu’lle m’avait montré précedemment. Mon T-Shirt, fut prestement enlevé, puis mon bermuda
Descendit, dévoilant mon sexe, que je lui présentai ostensiblement, et qu’elle mitraillait en riant. Elle insista pour faire des gros plans, et s’approcha.
« tu n’es pas au mieux de ta forme, je vais t’aider. » dit elle, en caressant mes bourses, puis remontant pour encercler ma verge de deux doigts qui coulissèrent rapidement sur moi, développant une érection qu’elle lacha, pour en faire un cliché ou deux. Je pensais en avoir terminé, mais elle posa l’appareil et se pencha sur ma queue qu’elle prit en bouche, et commença à pomper.
« c’était juste pour des photos » dis-je
« ouais, c’est ça, dit elle en s’interrompant. C’est quand même dommage de gâcher. » et elle continua de lécher ma hampe, sa langue s’enroulant sur mon gland alors qu’elle levait vers moi ses yeux clairs.
« Si c’est par mesure d’économie, soupirai-je, en appuyant sur sa tête. »
Elle me laissa bientôt, et m’allongea sur le dos, puis écartant l’élastique de son maillot, vint rapidement s’embrocher sur mon mat tendu. En quelques allées et venues, elle atteint son plaisir dans un râle, et j’éjaculais en elle avec un cri libérateur. Elle attrappa une serviette de toilette et après nous être essuyés, nous primes le chemin de la plage, honorablement vétus. A mi chemin, Valérie s’arrêta soudain. Je fis demi tour pour la rejoindre alors qu’elle me faisait signe de faire silence. Notre chemin surplombait une autre sente, un peu plus bas, et dans un recoin de roche, nous aperçumes un couple. Frédéric etait en train de pilonner joyeusement Nelly appuyée debout contre la roche, juste vétue d’un débardeur. Nous les laissâmes et rejoignimes la plage ou l’heure du repas arrivait. On nous proposa une paella savoureuse, arrosée d’un rosé très frais. Un vrai régal qui enchanta tout le monde. Après ce repas, beaucoup s’adonnèrent aux plaisirs de la sieste, et pendant une heure, on n’entendit plus que le bruit des courtes vagues venant s’échouer sur la grève. Les filles avaient, pour la plupart abandonné le haut de leur maillot, pour le plus grand bonheur des garçons, toujours prêts à leur passer de la crème solaire. Le soleil n’est pas mon meilleur ami, et sentant chauffer mon épiderme, je décidai d’aller me rafraichir à la mer. Valérie, préférait rester à se prélasser tel un vrai lézard.
Après ce bain de soleil l’eau était fraiche et j’y entrais avec précaution. Seuls trois ou quatre nageurs s’aventuraient un peu loin du bord. A une cinquantaine de mêtres du bord, je retrouvais Jeane, qui avançait d’un crawl souple, et faillit me percuter.
« Ah c’est toi, dit elle en essorant ses cheveux blonds »
Je la complimentai sur sa nage, et lui demandai si elle faisait de la natation.
« J’ai fait de la natation synchronisée, pendant longtemps » me confia t’elle
« Ahc’est bien, j’ai nagé et nages encore en compétition » lui dis-je pensant l’impressionner
« la synchro, c’est mieux pour l’apnée. »
« c’est ce qu’on dit , mais on peut aussi faire des longueurs en apnée. »
« je te parie que je suis plus forte que toi en apnée » me lança t’elle
« sI tu veux, ma montre fait chrono. On fait comment ? »
« je descends en apnée, et tu me maintiens au fond en appuyant légèrement sur mes épaules pour éviter que je remonte. Celui qui tiens le moins longtemps a perdu. »
« OK, je regle le chrono. C’est quand tu veux » lui dis-je
Elle se laissa couler le long de moi, et je posais ma main sur son épaule, la maintenant légèrement vers le fond, Le chronomêtre était lancé. Je sentis alors ses mains faire glisser mon bermuda, et saisir mon sexe, qu’elle dirigea vers sa bouche et aspira régilièrement, puis fit coulisser entre ses lêvres pressant la hampe de temps en temps, effleurant mes couilles, puis agaçant le gland de plus en plus vite. Je sentais la lave monter en moi, et elle dut le sentir aussi, un de ses doigts venant forcer mon anus, m’amenant à décharger subitement entre ses lêvre qui continuer à pomper mon jus. Elle se dégagea soudain et remonta à la surface, prenant une grande goulée d’air. J’arrêtais le chrono.
« 3mn 30 pas mal ! appréciai-je. »
« a toi » me dit elle en se relevant . Je lui confiais ma montre chron, qu’elle mit a son poignet, et pris deux ou trois aspirations avant de plonger. Elle m’avait passé ses lunettes de nage et l’eau était si claire que je n’eus aucun mal à repérer les ficelles de son maillot que je tirais vers le bas, d’un coup. Elle m’aida,en dégageant une de ses chevilles et je vins rapidement au contact de son sexe rasé. Je passais mes doigts rapidement le long de sa fente et dégageais ses lèvres, puis me cramponnant à ses fesses, je lui léchais la chatte, insistant sur son clitoris, fouillant les chairs avec mon nez. Sentent bien que l’air allait me manquer, je tentais d’enfoncer un doigt dans son fondement en même temps que dans sa chatte ? Je sentis ses jambes s’écarter davantage, et ses orifices s’ouvrir. J’arrivais à mes fins, et l’embrochai des deux côtés mais malgré un limage rapide et en profondeur, je dus lâcher prise, et remonter à la surface.
« 2mn45, tu as perdu, me dit elle espiègle. Mais tu n’étais pas si loin. Je te laisse une seconde chance. »
Je repris de l’air et replongeais, reprenant ma caresse ou je l’avais laissée. Rapidement je sentis le courant chaud sortant de son corps, se mélanger à l’eau fraiche, et elle vint chevaucher mes épaules, serrant ma tête entre ses jambes. Elle atteint l’orgasme, en serrant très fort les cuisses, et poussa un cri que j’entendis nettement, alors que je remontais d’un coup, avant de me noyer.
« Ah, pas mal ce coup-ci, me confia t’elle dans un sourire, tu m’as cueillie »
elle rajusta son maillot et moi mon bermuda, quand Liam rappliqua, Clara dans son sillage.
« un soucis, j’ai entendu crier ? »
« Non, on faisait un concours d’apnée, et j’ai perdu »
« ah, elle est forte alors »
« elle est très forte, précisa Clara, avec un sourire entendu pour Jeane.
Après la baignade tout le monde réembarqua sur le bateau pour le voyage retour.
De retour dans notre chambre, j’attendais mon tour pour passer à la douche, quand on frappa à ma porte. C’était Laurent.
« on a trouvé un truc génial pour ce soir. Il y a un coiffeur dans la galerie en bas, et on va se faire friser les cheveux. »
« Pour quoi faire ? »
« Ce soir c’est soirée bal, à l’hôtel, on va se fringuer en gonzesses, ça sera rigolo. »
« moi, je n’ai pas de fringues de gonzesses »
« Il y a suffisamment de filles ici pour que tu en trouves, tu viens ? »
« oK, je prends ma douche et j’arrives. «
Quinze minutes plus tard, je trouvais le salon de coiffure. Laurent était sous le casque de séchage, et deux autres copains aussi. Je reconnus Daniel, qui avait une tête différente, frisé comme un mouton. Il était entre les mains d’une maquilleuse qui lui donnait assurément un côté très féminin, mais ma surprise fut à son comble quand une grande brune frisée se retourna, pour me dévoiler son minois orné d’une charmante moustache noire !
« Monsieur Desplats ??? »
« Oui, ou madame, peut-être. Je ne sais pas si tout cela est bien convenable. »
une heure plus tard, la coupe frisette et le maquillage m’avaient transformé, et Nelly, que je croisais, eut du mal à me reconnaître.
« Ecoute, je n’ai pas de vêtements qui pourraient t’aller, mais dans ma chambre , il y a Karine, qui est un peu plus grande que moi. Elle m’accompagna jusqu’à ma chambre et me dit. Vas y de ma part, c’est un peu plus loin, au 428. Moi je dois voir Fred. Je la laissais entre dans la chambre et filais jusqu’au 428. Je frappais et Karine m’ouvrit.
« Oui, c’est pour quoi ? Oh c’est oit, je ne t’avais pas reconnu avec ce…cette, enfin tu vois . »
La belle Karine était dans l’autre classe de terminale. C’était une grande blonde, toujours très bien maquillée, bien habillée, souvent un peu rétro. Nous nous croisions souvent, en ville car elle habitait dans le quartier du lycée. Je l’avais rencontrée une ou deux fois dans des soirées chez des copains, mais elle avait disparu, à chaque fois que je voulais l’aborder. Elle ne faisait partie d’aucun clan, à ce que je sache, et contrairement aux autres filles était plutôt solitaire. Comme tous les gens qui ont une part de mystère, des tas de rumeurs couraient sur elle : elle était mariée en secret, ou alors elle effrayait les mecs, car c’était un travelo, sans parler des bruits comme quoi elle obtenait ses examens en couchant avec le proviseur, ou encore ceux qui disaient qu’elle avait les moyens parce qu’elle travaillait vers la rue bayard à la nuit tombée (célèbre rue pour ses prostituées).
D’un seul coup, je me sentais intimidé devant elle.
« Euh, c’est Nelly qui m’a dit que je pouvais te demander un service. »
« Ah, oui, je ne sais pas. Tu sais, je la connais très peu. Nous sommes obligées de cohabiter, mais nous sommes loin d’être amies. Et on a eu de la chance. Nous ne sommes que deux dans cette chambre. Que veux tu, alors ? »
« Nous avons décidé, avec quelques copains, de nous déguiser pour le bal de ce soir. »
« et ? »
« et je voudrais savoir si tu n’aurais pas une robe, ou quelque chose pour que je puisse m’habiller en fille. »
Elle se recula d’un pas, pour me jauger ;
« Oui, évidemment, tu ne rentreras jamais dans mes chaussures. »
Je jetais un coup d’œil rapide à ses pieds, ensérrés dans de délicats escarpins à lacets, aux talons interminables. Sur que je ne rentrerais jamais dans de si petites choses.
« Qu’as tu comme chaussures ?, a part celles ci, dit elle en désigna t mes baskets. »
« J’ai une paire de sabots (c’était la mode à l’époque), et des bottines. »
« Va chercher les bottines et reviens » me dit elle.
Je fonçais à ma chambre , et y risquai un œil. Personne. Je récupérais mes boots .
En passant j’entendis du bruit dans la salle de bains. J’entrebaillais discrètement la porte. L’ami frédéric était debout dans la baignoire, baisant avec délices la bouche de Nelly, agenouillée devant lui. Je refermai et repartis voir Karine. Elle regarda mes bottines à talons hauts, assez fines et hocha la tête.
« Je crois que ça ira. »
Elle alla fouiller dans une grande valise en en sortit une longue jupe à motifs qu’elle étala sur le lit, puis elle sortit un chemisier, en voile transparent rose, et enfin un soutien gorge rouge à motifs noirs en dentelle, et sa culotte assortie.
« Tu veux essayer ? dit elle en m’indiquant les vêtements. »
Je me débarrassais de mon jean, et enfilai la jupe qui , m’allait assez bien, sauf qu’elle me collait de très près, rendant mes mouvements difficiles. »
Karine s’en aperçut et prit les choses en main.
« avec ce genre de jupe, très près du corps, tu ne peux pas faire de grands pas , et encore moins te plier. Il te faut donc enfiler tes chaussures et tes dessous avant la jupe. »
J’examinait la culotte minimaliste.
« Les dessous, c’est obligé ? »
« Les dessous, c’est essentiel, et encore, on est en été, donc tu échappes aux bas. Je n’en ai pas amené. Tu peux te changer dans la salle de bains, dit elle en m’ouvrant la porte.
Dans la salle de bains, je troquais mon slip contre cette culotte, mais l’arrière me rentrait dans les fesses, et l’avant n’était pas prévu pour contenir mon service trois pièces. Je m’équipais du mieux que je pus mais en entrant dans la chambre , son regard, me dit que ça n’allait pas.
« Bon, on va abandonner la culotte, me dit elle en me tendant la jupe »
« je remets mon slip ? »
« surtout pas, ça ferait une marque disgracieuse ? »
Dans la salle de bain je me débarrassai de la culotte et enfilai la jupe. Au moins, j’avais l’impression d’être couvert. Puis je revins dans la chambre.
« C’est nettement mieux, commenta t’elle, la jupe vient juste sur les bottines, découvrant à peine le bas des jambes. Comme tu n’es pas trop poilu ça devrait le faire. Passons au Haut. »
Elle me fit retourner, et m’enfila le soutien gorge, qu’elle agrafa après avoir détendu légèrement les attaches. Elle enveloppa deux mandarines prises dans le frigo, dans du coton et les glissa dans chacun des bonnets du soutif Elle m’aida ensuite à enfiler le chemisier, qui n’avait pas de boutons, mais qu’elle vint nouer sur mon nombril. »
Elle se recula de nouveau, d’un air satisfait.
« ça gratte , le soutif ; » ralai-je
« il faut souffrir pour être belle, me dit elle »
Elle s’approcha, passa sa main sur mes fesses nues, par dessus la jupe, et déposa un baiser léger sur mes lêvres.
« Tu vas faire un malheur, j’en suis sure. »
Je regagnai ma chambre qui heureusement était déserte, et rangeai mon jean et mon slip. La porte s’ouvrit brusquement sur Liam, qui s’arrêta net en me voyant.
« Oh pardon, j’ai dû me tromper, lança t’il en faisant demi-tour. »
« Arrête Liam c’est moi !. »
Il plissa les yeux et s’approchant, me reconnut.
« TOI ? mais tu sais que tu as l’air bonne dans ce déguisement. Pour un peu on te draguerait. «
Il se colla contre moi et me palpa les seins ; puis descendit sur mes hanches.
« et tu as quoi, là dessous, un string ? » dit il en plaquant les mains sur mon cul.
« Mais c’est qu’elle est cul-nu sous sa robe !. »
« oui, stoppe un peu, Calmai-je, je sais bien que la moitié des anglo saxons sont pédés mais pas moi. Que diraient tes copines si je leur racontais que tu me pelotes dans les coins. »
« Eh, déconnes pas avec ça dit il en se reculant, je plaisantais, moi »
« moi aussi conno ! »
« Bon je descends au bar, rejoindre les autres »
« je me change et j’arrive. »

Au bar l’atmosphère était déjà chaude, notre prof de compta, en tailleur et claquettes, était au bras d’un autre moustachu en costume et je mis un moment à reconnaître notre guide, qui dans l’ambiance, n’hésitait pas à passer sa main sous la jupe deDesplats, pour lui caresser les fesses, ou mieux. Nous étions une douzaine, travestis et maquillés comme des voitures volées, mais je dois reconnaître que Karine avait fait un bon boulot, nombreux étant ceux qui avaient du mal à me reconnaître. J’étais dans le hall quand Karine descendit. Je me dirigeais vers elle m’appliquant à une démarche qui fasse rouler mes fesses sous la jupe. Elle se dirigea vers moi et, me prenant par le cou, déposa un long baiser sur ma bouche, puis elle se recula un peu et, à quelques centimêtres me glissa :
« là, je viens de lancer , non pas une , mais deux nouvelles rumeurs. La première est que je suis lesbienne, et la seconde, puisque tu n’es pas une femme c’est que je suis un trans. Quand tu te retourneras, tu verras le groupe de nanas qui espionnent, là bas. »
Elle s’écarta de moi, avec un sourire, et s’éloigna de sa démarche souple, un nuage de parfum la suivant comme une escorte, une protection rapprochée. Je me retournais et vit un petit groupe dans lequel je reconnus Clara, Babeth, et quelques autres, qui détournèrent le regard. J’avisai alors Valérie, qui semblait attendre à l’entrée du restaurant, et m’approchais d’elle à petits pas. Elle se desintéressait de moi et eut un mouvement de surprise quand je posai ma main sur son épaule.
« idiot, me dit elle, me reconnaissant enfin, tu m’as fait peur !. »
« je t’ai eue, avoue »
« ça oui, je croyais que tu étais la copine de la grande Karine ; »
« et tu n’es pas la seule. »
« possible, les rumeurs vont bon train sur elle. »
Nous nous rendîmes au bar ou l’apéro allait bon train. Plusieurs couples dansaient déjà, et je fus rapidement invité par des clients, qui me serraient d’un peu trop près, leurs mains s’égarant souvent sur mon postérieur. Heureusement ceux qui voulurent me frotter d’un peu trop près , rencontrèrent une surprise qui leur fit faire marche arrière. Valérie,et ses amies riaient de nos déboires, nous expliquant qu’être une femme c’etait aussi cela. Cependant, elles eurent pitié de nous et nous invitèrent à leur tour. Je dois dire que c’était bien plus agréable, mais ses mains féminines caressant mes fesses, se glissant entre nous pour vérifier ce que je portais, provoquèrent une réaction qui ne tarda pas à se manifester soulevant le tissu.de la robe. Je m’échappais vers la terrasse extérieure, ou la nuit était tombée, pour griller une cigarette, le temps que mon excitation se calme.La place était déserte, et le fis un tour en fumant. Mais dans un recoin plus sombre, à l’étage au dessous, je découvris un spectacle charmant ; celui d’une homme en costume, dont le pantalon était sur ses chevilles, penché en avant sur le balustrade, pendant qu’une brune frisottée à moustache (mon prof de compta) jupe relevée, la pilonnait copieusement.
« et oui, tout le monde , même les profs. » me sussura une voix que je connaissais. Reste contre la balustre, et laisse toi faire. »
Je sentis deux doigts, tirer la fermeture éclair de ma jupe, puis des mins la firent glisser vers le bas, et une main saisit ma verge et la sortit par dessus la jupe, lui appliquant une masturbation, pas très rapide, mais très excitante, avec un gel qui me picota la queue et exacerba mes sens. J eregardais toujours le couple, en bas. La fille avait maintenant oté sa veste et, assise sur se talons, pratiquait une fellation de concours à notre prof.
« tu vois comme elle aime ça ? tu vois comme ils se font du bien » murmurait Karine à mon oreille sans cesser de coulisser sur mon membre, qui me semblait vouloir s’enflammer. Je fermais les yeux, concentré sur la caresse qu’elle me donnait , a la fois tendu vers le plaisir, et ne souhaitant pas que cette caresse cesse. Elle sentit gonfler ma verge et serra un peu plus, en augmentant sa vitesse . Je n’étais plus qu’un pylone sous tension, et je déchargeais d’un coup, mes jets blancs allant se perdre dans la nuit. elle continua un instant, et finit en épongeant ma queue dans un doux mouchoir. Puis la jupe remonta, la fermeture éclair aussi. J’allais la remercier, mais quand je me retournais, elle avait disparu. En bas, notre guide appuyée à la rambarde, les yeux clos, goutait la caresse des mains de Desplats sur sa ses seins blancs dénudés.
Je rejoignis le bar, où la fête battait son plein, nous bûmes et dansâmes jusque tard dans la nuit. J’étais de plus en plus proche de Valérie, mais je savais aussi qu’elle ne m’appartenait pas. Les filles, durant ce voyage n’étaient pas avares de baisers ou de caresses, sans qu’on puisse en tirer une quelconque conclusion. Tout le monde savait que c’était une parenthèse, qui se refermerait en rentrant en France, et on se fabriquait des souvenirs en découvrant des sensations nouvelles et un sentiment de liberté à bannir les tabous en laissant s’exprimer nos désirs.
Tard, dans la nuit, je regagnais ma chambre, mais je découvris que Frédéric, s’était installé avec Nelly. Comme je ne pensais pas que Liam, allait revenir, je décidais de leur laisser la chambre, et d’aller frapper à la 428, ou je savais qu’il y avait un lit libre. Au pire , j’en serais pour passer la nuit sur un transat, à la piscine intérieure.
Karine m’ouvrit, et me laissa entrer, croyant que je lui ramenais ses affaires. Je lui demandai l’hospitalité, lui apprenant, en même temps que Nelly dormait dans ma chambre.
« ça va un peu vite pour moi, me dit elle. »
« Je sais, mais c’est un cas de force majeure, et puis, on se connaît quand même »
« c’est vrai que tu es souvent dans mes parages, sans que je puisse expliquer comment, ni pourquoi, remarque Karine, mais c’est pour dormir, uniquement, et, personne ne doit le savoir. »
J’étais tellement content que j’acceptais sans réserve.
Karine m’aida à me démaquiller, et une bonne douche fit disparaître la fameuse mise-en-plis qui n’était qu’éphémère. Fourbu, je m’écroulais dans le lit inoccupé, mais par un reste de grivoiserie, gardais un œil ouvert , guettant l’arrivée de Karine au sortir de la salle de bains. J’en fus pour mes frais. Elle était enveloppée d’un serviette couvrant ses formes, qu’elle ne retira qu’une fois sou les draps.
« Bonne nuit, voyeur me lança t’elle »

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