J'Ai Pervertie Ma Collègue -16-

Fanny a eu des nouvelles de R. Il habite dans un appartement à quelques kilomètres de chez elle et il vit pleinement sa vie d’homme soumis. Actuellement, un homme d’un certain âge l’a pris sous son autorité pour l’éduquer un peu plus. Fannie est heureuse de le savoir bien.
Depuis quelques temps, je passe beaucoup de temps chez Fannie. Entre les dîner, les déjeuners et les nuits complètes, je suis souvent à ces côté. La relation évolue bien. Etant souvent dans son appartement, j’ai fait connaissance de certain de ces amis et notamment son amie d’enfance Maëlle. C’est une jolie femme, teinté blonde, cheveux mi-long, la frange à la stone, dégageant quelque chose. Dès le premier jour elle a pris mon numéro de tél.
Cette semaine-là j’ai pris quelques jours de congés pour réaliser un peu de travaux dans l’appartement de Fanny, elle me l’a demandé si gentiment, elle souhaite améliorer son nid douillet. Pourquoi pas.
Mon phone sonne, c’est la voix de Maëlle, elle souhaite passer me voir, car ma soumise lui a dit que je réalisais quelques amélioration chez elle. Je la laisse venir, je ne suis pas chez moi. Dès son arrivée je suis contraint d’arrêter les travaux, afin de préparé un café pour Maëlle. Nous discutons et à un moment, elle s’approche de moi.
-fannie m’a dit que tu étais génial au lit, elle m’a dit que je pouvais t’essayer.
-ah bon, elle t’a dit ça ?
-oui c’est vrai, appel là.
-C’est ce que je vais faire.
J’envoie un sms à Fannie.  « ok je vais baiser ta copine petite garce et en plus il y aura des photos, par contre toi tu vas être punie »
-bon ok, la condition c’est que je fasse des photos pendant cette récré, sinon tu peux partir.
Maëlle réfléchit, puis me dit ok, mais pas du visage si possible. Je l’enlace afin de la déshabiller direct, pas de temps à perdre avec une chaudasse du cul. Elle se laisse faire. Je découvre son corps avec des seins plutôt bien plein et ho surprise, une chatte nature, plein de poils, sans grand entretien, mais pas que, ces aisselles sont également poilus.


-ca te choque les poils ?
-tu rigoles.
Je la prends par le bras et l’allonge sur le canapé, je lui écarte les cuisses et je plonge dans cette touffe. Ma langue trouve l’ouverture et commence à titiller le clito. Cet endroit à une odeur de transpiration du fait de la quantité de poils, mais elle n’est pas crade. Je plonge ma langue dans cette chatte et je lape, lèche, suce le clito. Maëva prend plaisir, sa respiration s’accélère. J’en profite pour prendre quelques clics avec mon portable, cliché à conserver. Ma langue insiste sur ce clito perdu parmi cette broussaille de poils. A un moment Maëlle se raidit et crie, elle vient de jouir sous ma langue. Pas de problème, elle est clitoridienne, ok, sans problème, mais moi je veux la baiser. Pas besoin qu’elle me suce, je la pénètre sans lui laisser le temps de refaire surface. Sa chatte est ni serré ni large. Encore des clics pour la galerie. Mes long va et viens relance Maëlle dans le plaisir. Je la retourne et la prend par derrière, claquant mon pubis sur ces fesses. Encore du clic.
-je vais jouir, prend moi par devant.
Je la retourne et me replonge au fond de cette chatte, mes mouvements font monter le plaisir et Maëlle jouie. Je sors ma queue et me branle pour me vider sur cette touffe.
-oohh, Fannie avait raison, tu es pas mal du tout toi. Là elle a trouvé le bon plan.
-ah ouais tu crois…, je ne suis pas à ta copine, c’est plutôt elle qui est à moi.
-comment ça ?
-peu importe, tu veux prendre une douche ?
-bah non ! je garde sur moi, il faut que je passe prendre mon fils à la sortie de l’école.
Maëlle part, me faisant un grand sourire.
A l’arrivée de Fannie du bureau, comme tous les soirs, elle passe direct à la douche et après elle entre dans la djellaba. Je lui demande des explications sur la venue de Maëlle. Elle s’explique. Je lui montre les photos, Fannie est surprise de voir son amie avec autant de poils et l’ensemble des photos ne la laisse pas indifférente.

-Maëlle m’a dit que tu l’avais fait jouir deux fois, elle a été comblée. Son mec ne s’occupe plus vraiment d’elle, enfin moins qu’avant. Je suis contente que tu me fasses partager ce moment.
-c’est normal, tu n’es qu’une chienne soumise, non, ma chienne soumise et je veux que tu partages ça pour bien t’humilier et te faire mouiller, car je suis sûr que ça te fait mouiller.
Je lève la djellaba, et dans le mile, elle mouille.
-si ta copine veut de nouveau se faire sauter, vu l’effet que cela te fait, tu seras présente, c’est mieux au premier rang.
-elle refusera que je sois là
-elle ne le saura pas, crois- moi, comme-ça tu mouilleras en direct. Bon il y a une punition pour toi. Tu te rappelles la boutique du magrébin de l’autre jour. Ce soir tu vas y retourner, habillé pareille, et tu vas te faire sauter par lui, comme une pute, sans prendre ton plaisir, ou si tu refuses, je te tonds les tifs, au choix.
Fannie réfléchis un peu.
-je préfère le magasin.
-ok. Dans 4 heures tu seras là-bas.
Le moment pour Fannie est arrivé. Elle s’apprête à quitter l’appartement.
-je veux que tu te débrouilles pour me filmer ce moment avec ce smartphone. Tiens prend cette veste tu pourrais avoir froid sur le retour et voilà deux capotes, indispensable, je suis le seul à pouvoir te prendre sans protection, sauf si je devais en décider autrement.
A ce moment, Fannie pose ces lèvres sur ma joue et y dépose un baisé.
1h30 plus tard, ma soumise est de retour avec un grand sourire.
-pourquoi ce sourire dis-moi ? ca c’est bien passé ?
-ça a pris du temps parce qu’il y avait du monde. Il croit qu’il m’a donné du plaisir, en fait, rien, je me suis fait prendre comme une pute, comme tu voulais, je n’ai pensé qu’à cela, être prise comme une pute et j’ai réussis à ne rien ressentir, c’est pour cela le sourire Fred, je suis satisfaite de moi.
-oui, je pense que tu peux l’être. Maintenant fais voir la vidéo, que je vérifie.

Je regarde avec Fannie ce petit moment. Effectivement, ce magrébin as pris Fannie comme une vide couille, rapidement, sans plaisir pour elle.
-je te propose une petite récompense, tu as bien travaillé. Demain c’est samedi, tu vas appeler ta copine Maëlle et lui dire que tu veux qu’elle vienne se faire sauter demain. Tu seras présente pour voir ça et tu auras tout le loisir de prendre ton plaisir, seule, devant ce moment, en te branlant bien le clito.
-je ne sais pas si elle pourra, et puis comment on va faire ?
-nous verrons ça demain, douche toi, remet ce haut, je t’invite à dîner.
Le lendemain, ma soumise contacte Maëlle pour la visite de cet après-midi. Comme je m’y attendais, elle a immédiatement dit oui, son mari et son fils seront au sport. J’organise et mets tout en place pour que Fannie soit au première loge. Elle sera postée dans le petit dressing, à partir duquel, elle pourra tout voir et entendre. Maëlle sonne à l’interphone, Fannie s’installe dans le dressing.
-tu as pu te libérer je vois, Fannie m’a dit qu’elle t’avait demandé de passer me voir.
-oui, ma Fannie est trop sympa, j’avoue, une amie comme ça…à croire que n’es pas son type d’homme.
Maëlle retire sa robe.
-attends un peu, comme l’autre fois des photos obligatoires.
-si tu veux Fred.
Elle retire soutien-gorge et petite culotte, et enlace ces bras autour de mon cou.
-maintenant tu t’occupes de moi, viens me manger.
Je la plaque contre la table, face contre table, j’écarte ses cuisses et ma langue s’engouffre dans les poils. Quelques coup de langue et un doigt prend place pour branler son bouton. Mon doigt alterne avec ma langue pour augmenter le plaisir de Maëlle.
-alors petite salope, ça te plait ?
-ouuii, continu
Je retourne Maëlle dos sur la table, les pieds écartés sur la table, face au dressing, afin que ma chienne puisse tout voir. Je doigte le sexe de cette salope, elle mouille bien, donc elle apprécie.
Je la pénètre d’un deuxième, puis un troisième, réalisant des vas et viens régulier. Constatant qu’elle apprécie, je pénètre un quatrième doigt dans ce sexe qui s’élargit. Je commence à réaliser des cercle dans cette intimité, afin d’ l’ouvrir encore un peu plus. Elle soupir de plaisir, je décide donc d’aller plus loin encore. Je tente la pénétration de la main, après quelques réticente musculaire, cette chatte s’ouvre encore un peu plus.
-tu fais quoi Fred ?
J’accompagne le va et vient de ma main avec la masturbation du clito du pouce de mon autre main, Maëlle râle de plaisir. Je vois ma chienne qui regarde sa copine se faire fister la chatte.
-oooohhhh ! c’est super bon, continu
Je continu cette manipulation génitale, je la baise avec ma main droite et mon pouce gauche la branle de plus en plus vite. Je l’entends râler encore et encore, sa respiration s’accélère pénétration après pénétration. Fannie apparait à la porte du dressing, la main sous sa djellaba, se tripotant le sexe. Je lui fais un clin d’œil et reprend mes aller-retour en intensifiant la vitesse. A un moment Maëlle lève son bassin et part dans un plaisir intense en râlant haut et fort.
-aaaaaaahhhhhhhhhhhh
En attendant qu’elle reprenne ses esprits, je prends des photos de cette chatte béante ouvert.
-oh ! je suis partie loin avec ce que tu m’as fait
-mais maintenant je vais pouvoir te baiser, tu es trop large.
-quoi ? mais tu vas pas me laisser partir sans me donner ta queue quand même.
-mais nous allons faire mieux.
Sans perdre un instant, ma langue joue avec le bouton qui a repris sa taille normale, rapidement mon indexe gauche prend la relève. Mon indexe droit pénètre la chatte encore bien humide, récoltant le maximum de jus. Il descend et se dirige vers la rondelle dans le sillon fessier de Maëlle tout autant poilu que le reste et commence à titiller son trou.
-non pas là, j’aime pas
Je n’écoute pas ce refus. J’accélère la masturbation et essai d’introduire mon doigt dans le cul qui résiste, je force un peu plus, sa cyprine aide à entrer Mon doigt commence de petit aller-retour dans le fondement de Maëlle. Elle n’aime pas ça ? elle n’a dont jamais été prise par là ? il ne faut pas me dire ce genre de chose….
Je trouve, que malgré son refus, sa rondelle s’ouvre de plus en plus, mon doigt fait des petits cercles pour essayer d’élargir ce trou. La masturbation du clito doit certainement aider à relaxer cette femme mariée. Après de longue minute de travaille de sa rondelle, j’opte pour tenter une pénétration. Je sors ma queue, enfile une préso et me présente à l’entrée de ce trou.
-ah non, non et non, je veux pas, arrête.
Je vois ma soumise qui s’approche discrètement pour mieux profiter de la séance, elle a retirée sa djellaba pour une raison de commodité. Afin de satisfaire sa curiosité, je déplace sa copine. Le non est un oui. J’enduis abondamment ma queue de gel lubrifiant et commence à forcer l’entrée. Mon nœud force progressivement cette rondelle poilue.
-arrête tu vas me faire…ah !
Je viens d’ouvrir cette rondelle à la taille de ma queue, je progresse lentement tout en continuant à la branler. Maëlle dit non, mais pour autant elle ne tente pas de ce dégagé. Je commence des vas et viens, l’excès de lubrifiant fait retentir de petits clapotement. Je sors entièrement et la reprend de nouveau, sa rondelle est relâchée, acceptant de subir mes assauts. J’arrête de lui masturber le bouton, et hop ! Photo et encore une. Je passe encore un peu de gel sur ma queue, puis me réengage dans le conduit et je laboure, laboure, encore et encore. Maëlle, subit une sodomie en règle, la peur laisse place à un certain plaisir, sa respiration est un signe qui ne trompe pas.
-alors, tu veux toujours que j’arrête de t’enculer ? hein, dit moi ?
-je sais pas, je sais plus…
Je la sodomise profondément, venant frapper à grand coup son fessier, j’ai l’impression d’être dans la chatte de Fannie, tellement la rondelle est devenue large et hyper lubrifier artificiellement. Je m’active encore et encore, mon plaisir monte lentement, ce qui ne semble pas être le cas pour elle. Je sens que le plaisir pointe son nez, elle respire de plus en plus, elle se mord la main en grognant.
-alors on aime ça finalement ?
-hum ! hummmm
Elle garde sa main dans la bouche et ne répond que par des sons.
-allez salope jouie du cul, tient prend encore ça, tu vas devenir une bonne jouisseuse de la rondelle
Encore quelques minutes de ce traitement et soudain Maëlle accroche le bord de la table d’une main et l’autre toujours dans la bouche pour son plaisir, elle vient de jouir du cul. Satisfait de moi, je me retire et me vide sur les poils de son pubis, j’aime bien le faire. Mon liquide blanchâtre est abondant et coule sur cette toison, prise de photo. Elle prend du temps pour reprendre ses esprits.
-salaud, je ne voulais pas, tu l’as fait quand même, j’ai presque pas eu mal en plus.
-ouais et en plus tu aimes ça.
-non, ne dit pas ça, c’est pas vrai.
-ah oui ! pourquoi tu as pris du plaisir alors ?
-je ne sais pas ?
Maëlle se lève lentement et commence à se rhabiller.
-je suis cassé et je vais avoir mal au cul maintenant.
-tu es venue pour jouir, tu as jouie, que veux-tu de plus, si ça te vas pas ne reviens plus vers moi.
-tu as raison, je vais réfléchir, mais c’est vrai, j’ai pris un sacré plaisir.
Maëlle part.
-a bientôt peut-être.
Fannie sort du dressing, l’entrecuisse coulant de mouille.
-alors tu as aimé ?
-oh oui, j’en peu plus je veux jouir, je peux jouir ?
-tu vois, elle n’a rien vu, rien compris, rien suspecté et en plus elle a découvert un autre plaisir. Aller soulage toi devant moi.
Ma soumise écarte les cuisses, sa main vient se poser sur son bouton et elle s’astique avec frénésie.
-ah oui, ah oui, ooohhh
En quelques minutes ma chienne jouie bruyamment. Ses doigts son luisant de sa mouille.
-lèche-toi les doigts salope
Voir Fannie comme cela, m’a donné envie de la prendre, mais je m’abstiens, c’est ma soumise. Quelques heures après la défloration anale de son amie d’enfance, nous faisons un petit point.
Fannie reconnaît avoir pris un immense plaisir en étant spectatrice, de voir sa meilleure amie se faire utiliser par moi, d’être obligé de se masturbé sans pouvoir prendre plaisir, de jouer la voyeuse. Le téléphone sonne, c’est Maëlle. Elle converse une bonne heure ensemble.





















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