Lucette Fait Des Siennes...

Lucette l’héroïne de (l’excitation n’a pas d’âge) allait et venait dans le salon, sous mon regard. Ses seins lourds se balançaient légèrement à chacun de ses mouvements. Elle se tournait un moment devant moi, agitant ses délicieuses fesses juste sous mon nez puis, d’un geste lent, détacha ses épingles, libérant son chignon, laissant ses cheveux ondulaient sur son dos.
Les poignets solidement attachés au fauteuil à l’aide de bas de nylon, je ne pouvais qu’embrassais Lucette du regard. J‘étais nu, les mains liées aux accoudoirs. Mes chevilles étaient également immobilisées. Je bandais très dur alors que la mamie prenait un malin plaisir de m’effleurer la peau du bout des doigts.
Je savais que lorsque Lucette m’avait téléphoné dans l’après-midi, de sa belle voix qui m’avait fait frissonner de la tête aux pieds, me donnant rendez-vous pour le soir même, qu’elle m’avait réservé une surprise. Et moi les surprises j’adore ça. Ce fut que pour ça que j’avais couru à l’appel, oubliant ma fatigue.
J’avais à peine franchis l’entrée, que déjà elle m’embrassa du haut de ses talons qui cambraient ses jambes. M’envoyant tout de suite au septième ciel. Au-dessus elle était vêtue d’une robe de couleur noir en mailles, un peu filet de pêche, qui comprimait ses seins, et moulait son corps comme une seconde peau. S’arrêtant au-dessous de ses fesses. Faisant ressortir sa croupe rebondie. Tout cela était délicieux et faisait briller mes yeux d’une manière équivoque.
Elle me caressait le torse du bout des doigts en me couvant d’un regard lubrique.
- Ma surprise te plaît ?
- Es-je besoin de te le dire ! Tu ne vois pas dans l’état où je me trouve ?
Elle récupéra sa main, pour la passer à plat, sur le haut de ses cuisses laiteuses. Effleura les petites lèvres de ses doigts, avant de les pincer, en me regardant en soupirant d‘aise. J’étais aux anges. Puis elle caressa la motte luxuriante d‘un mouvement tournant tout en s’avançant au plus près de moi.

Elle renonça à sa caresse pour lui permettre à se hisser sur le fauteuil. Celui-même où j‘étais ficelé. Elle positionna un pied sur chaque accoudoir en bois. Puis après avoir prit appuie sur le dossier à l’aide de ses mains, elle avança son bassin jusqu’à plaquer son entrejambe au contact de ma bouche.
- Allez régale-toi…
Avec avidité, je fis glisser ma langue le long de sa fente. De ses lèvres à son clitoris. Lapant entre temps, sa vulve juteuse. Tout en dévorant son sexe, je captais par-dessous son regard pour ne plus le lâcher.
J’assistais à son déhanchement d‘avant en arrière. Frottant sa chatte contre mon visage. Criant sans discontinuer son plaisir. Son jus coulait dans ma bouche, sur mes joues, sur mon menton. Lucette eut une série de spasmes. Elle appuya sur ma tête, en me tirant les cheveux. Elle poussa un cri, avant de répandre un liquide salé sur mes lèvres.
- Putain ! Quel pied que je viens de prendre… me lança-t-elle, en s’affalant sur le divan à seulement quelques centimètre d’où j’étais toujours ligoté. Elle écarta largement ses cuisses et promena une main joueuse sur sa chatte. Elle eut un sourire en sortant ses doigts mouillés de l’intimité qu’elle venait de visiter sans vergogne.
- Vient plus tôt t’asseoir sur ma queue, la suppliais-je. Moi aussi j’ai besoin de jouir…
Espiègle, elle jeta un œil sur ma queue bandée à tout rompre.
- C’est vrai que tu bandes bien, mon cher. Mais sache que dans la position où tu te trouves, tu n’as rien à m’ordonner. Tu ne crois
Pas ?
- Oui ! Je m’excuse…
- En voilà des manières, répliqua-t-elle, pour un individu qui s’est laissé attacher bêtement…
Je la maudissais des yeux. Elle remit pieds à terre et s’éloignait en oscillant exagérément des fesses. J’écumais de désir, alors qu’elle revenait bientôt avec son portable à la main.
- Bon… bon… après réflexion pourquoi pas ! Mais il me faut une autorisation.
- Demandez l’autorisation ? Mais à qui ?
Elle ne répondait rien, me lançant seulement un sourire satanique.

- Tu réponds… à qui ? Qui appelles-tu ?
- A ton avis ? Pose-toi simplement cette question ?
- Je ne sais pas…
- Aller fait un effort. Fait marcher ton cerveau.
J’étais dans le flou à cet instant. Jouait-elle toujours
Ou ? Des craintes les plus folles vinrent polluer à ce moment mon cerveau, alors que je la regardais pianoter les touches de son portable. Elle ajouta :
- Alors ? Tu ne devines pas ? Un peu de patience mon cher, qu’elle décroche et alors tu comprendras…
Après quelques secondes de silence, elle joignit un :
- Allô ? Catherine, c’est bon, je crois qu’il est prêt… Tu peux venir.
Non ! La salope ! Elle avait appelé ma femme. Tout depuis le début était prémédité.
- Si c’est à ma femme que tu as appelé, je te tue…
- Tu n’as qu’à rester sage ! me répondait-elle d’un ton démoniaque en raccrochant et en posant le portable.
Je rouspétais contre moi-même de m’être fait avoir. J’essayais encore et encore de protester.
- Détache-moi, il est encore temps que je file… lui soumettais-je. Je te promets de faire tout ce que tu désires de moi.
Mais c’était peine perdu. Mon sort était déjà jouer.
- Alors, mon choux ? Veux-tu toujours que je m’assois sur ta queue. Je ne serais pas contre. Mais que dirais-tu de me baiser devant ta femme.
- Mais tu es devenue folle ! Ou quoi ?
- Hmmmm ! Tu ne peux pas savoir ce que je donnerai pour être plus vieille de quelques minutes. De jouir de la tête que tu feras quand elle sera là, debout devant tes yeux…
- Aller… tu as gagné. Arrête de déconné, détache-moi… vite…
D’un effort désespéré, je tentais de me libérer de mes entraves, mais c’était peine perdu. Elle m’avait bien immobilisé, la salope. J’enrageais une fois de plus contre moi. Comme je ne l’avais jamais fait auparavant. Je grognais sans retenue. Me débattais sans discontinuer sans pour que cela mes liens cèdent. À bout de souffle je me laissais choir sur le fauteuil.
Vaincu.
- Je te laisse imaginer sa surprise quand elle va passer le pas de la porte.
Je gardais le silence… fatigué…
- Et peut-être qu’elle pourra en profiter encore une fois avant de te virer de chez elle… s’amusait-elle à dire.
Et la sonnette retentit soudain, me faisant sursauter. Coupant court sa plaisanterie de mauvais goût. Je sentais mon sang se glacer dans mon corps. Et très vite je fus pris de panique.
- Oh ! Elle a fait vite. Elle est sans doute pressée d’en découdre. Rigola Lucette.
En roulant encore et toujours des fesses, elle disparut, comme avaler par le couloir. Je l’entendis ouvrir la porte menant à l‘extérieur, et dire.
- Salut Catherine. Viens, il est là… il est impatient de te voir, entre.
L’oreille aux aguets, je cherchais aux pas de reconnaitre ma femme. Mais rien n’y fit. D’ailleurs s’était peine perdu, déjà Lucette viola mon champs de vision et derrière elle… une petite rouquine. Ce fut à cet instant pour moi un des plus grands soulagements de ma vie. Putain ! La salope m’avait bien eu.
- Je ne te présente pas mon amie, fit Lucette. Vous vous connaissez déjà.
Et comment que je la connaissais cette rouquine. Qui se nommée bien Catherine. Elle n‘était qu‘autre, qu’une prétendante qui n’arrêta de me donner autour. Elle entra dans la pièce dans une démarche chaloupée. Comme à son habitude elle portait un tee-shirt qui moulait parfaitement sa poitrine et un jean trop serré. La couture de son entrejambes s’incrustait entre ses lèvres moulant à la perfection son sexe. Sans être trop belle, je reconnais que pour l’occasion, elle avait fait un effort sur elle. Coiffée et maquillée avec goût. À un tel degré de perfection qu’elle avait dû perdre pas mal d’heure dans la salle de bains. Elle portait un sac en toile qu’elle déposait sur l’autre fauteuil. Elle me salua d’un sourire, puis regardait mon sexe et observait :
- Mais il ne bande pas ton mec. Tu ne l’as pas chauffé avant mon arrivée.

- Je me suis surtout occupé à me faire du bien…
J’étais en sueur et je tremblais presque. Je lisais autant d’excitation que de malice dans les yeux bleus de la nouvelle venue.
- Je crois qu’il est temps de jouer avec notre joujou, murmura la rouquine à sa copine.
Dont son bas ventre ruisselait de désir. Pas le temps de m’attarder dessus que déjà la rouquine collait ses lèvres aux miennes. Sa langue violant mon espace. Elle me roula une pelle fougueuse et sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, elle m’attrapa les couilles. Je n’étais pas proprement parler en érection. Mais après un bon massage de sa part, je sentais mon membre se déployer entre ses doigts. Pour son plus grand plaisir. Dont un roucoulement lascif s’échappa de sa bouche.
Elle glissa le long de mon corps, pour s’empaler le gosier sur ma queue. Dans un grognement sourd, elle se mit à me sucer avec fougue tout en me caressant ma paire de pendentifs velus.
Ce fut mon tour de gémir. Je tentais tant bien que mal d’accompagner du bassin les va-et-vient rapides et profonds de la bouche qui entourait mon sexe.
- Tu vois, fit Lucette. Tu as tort de ne pas t’intéresser à elle. Elle suce bien ?
Que de mieux que mes gémissements pour répondre à la question posée. Je gémissais et soupirais de plus en plus fort, tandis qu’amusée, Lucette me baisait littéralement la bouche avec la sienne. Catherine me suçait fort, vite, profondément. C’était extrêmement bon, que je me sentais fondre. Poussant une longue plainte d’extase en éjaculant copieusement entre les lèvres de ma suceuse qui continuait toujours à me pomper et de me branler sans faiblir. Et cela jusqu’à la dernière goutte.
Après m’avoir recraché, elle s’essuya le visage d’un revers de la main, tout en fixant ma verge.
- Regarde ! Fit-elle. Il ne débande pas tellement il est excité.
Elle se redressa, et se déshabilla avec une idée bien défini en tête. Rapidement, je fus devant un corps à la peau laiteuse. Avec un air coquin, elle m’exposa un entrejambe juste emballé par un tout petit morceau de tissu blanc qui en moulait parfaitement les contours de son sexe. Soulignait en évidence qu’elle s’épilait le minou. Puisqu’aucun poils ne venait offusquer ma vue. Le renflement de ses lèvres était parfaitement dessiné. Elles semblaient même bâiller. Plus haut pointait son clitoris, petite bosse indiscrète. J’en vis pas plus ne tardant pas à la faire glisser sur la courbure de son joli postérieur, le long de ses cuisses, puis de ses jambes, la laissais choir sur ses chevilles et s’en débarrassa avec un trépignement. Avec fierté, elle se redressa, m’exhibant un sexe imberbe. Après m’avoir jeté un regard malicieux, elle lança dans ma direction son sous-vêtement. Que je reçus en pleine figure avant qu’elle finisse sa course sur ma queue.
Comme l‘avais fait son amie avant son arrivée, elle avait grimpé à son tour sur le fauteuil. Avec plus d’aisance. Je jubilais à la pensée de ce qui aller suivre.
J‘avais devant les yeux une vulve dégoulinante, qui sentait fort la femme en chaleur.
Je tirais la langue, pour toucher, puis laper ses lèvres d’où suintait un liquide brillant. Un nouveau goût se révélait à ma bouche. Elle écrasait sa chatte sans poils contre mon nez. À ne plus pouvoir
Respirer. Son sexe gonflait contre ma bouche, se contractait en cadence. Je m’étais saisis du clitoris et l’aspirai entre mes lèvres. Elle émit un délicieux gazouillis. Je le senti se crisper, se raidir, par à-coups. Proche de l’explosion.
Et soudain, elle m’agrippa la tête, se cambra en m’écrasant plus encore contre elle. Tout en me râpant le menton, elle jouissait en hurlant tandis qu’un liquide chaud ruisselait de son sexe à ma bouche.
Pas le temps de reprendre mon souffle que je vis Lucette bondir de sa place, et sans aménagement écarta son amie. S’aperçut qu’elle avait laissé une trace brillante sur le skaï du siège. Elle m’enjamba et vint s’agenouiller à califourchon au-dessus de moi. Je l’entendais haleter et sentais son corps chaud frissonner contre le mien. Elle s’était assise sur moi. Son vagin plaqué sur mes couilles. Une coulée de jus les humidifier. Elle fit glisser mon sexe sous le sien, le long du périnée et ajusta mon gland à son vagin poisseux. Il glissa facilement dans ses chairs chaudes et trempées.
Elle commença à se pilonner d’abord doucement puis de plus en plus vite, se défonçant brutalement. Je sentais les fesses de ma tourmenteuse claquer contre ses cuisses. Elle frémissait. Ses cris et ses gémissements se mélangeaient. Elle avait le souffle coupé à chaque fois qu’elle se laissait retomber sur moi. Mes plaintes se confondaient à ceux de Lucette qui semblait exténuée, tournant la tête en tous sens. Sa lourde poitrine s’écraser sur mon torse et son souffle chaud effleurer mon visage.
Elle s’activa comme ça sans discontinuer jusqu’à ce que je propulse ma semence avec force dans son antre. Se mêlant au liquide chaud qui s’écoulait de la vulve enflammée. Mon plaisir fut intense avec la sensation délicieuse d’être aspiré.
À bout de souffle, nous restâmes soudés l’un à l’autre. Puis Lucette se décida à se retirer, une main plaquée entre ses cuisses. Avec un Kleenex tendu gracieusement par Catherine, elle s’essuya méticuleusement en décollant chaque lèvre de sa vulve.
Pour reprendre des forces, Lucette avait fait livrer des pizzas. Autour d’une bonne bouteille de vin rosé nous avions discuté, jusqu’à tard. Avant de nous séparer nous avions décidé de remettre le couvert dans les jours qui suivait. Comme j‘avais affaire à deux affamées de sexe, je leur soumis d‘amener un ami à moi, ce qu‘elles avaient tout de suite accepté.
Cette rencontre libertine avait eu lieu, peu de temps après. Une soirée très jouissive…

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