Un Si Bel Été, Et Ses Suites (15)
Un si bel été, et ses suites (15)
(Où lon découvre quun réveillon de Noël en famille peut effectivement se passer en famille)
Nous passons traditionnellement la soirée de Noël dans la maison de campagne de mon oncle Paul et de Tataline. Lancienne ferme a été aménagée au cours des ans et comporte suffisamment de chambres pour que nous nous y sentions à laise même en hiver. Cette année ne fait pas exception et nous nous retrouvons tous, mon oncle et ma tante Aline, mes deux cousins plus une nouvelle venue, la petite amie de lun deux, ma tante Julie, maman et moi.
Le réveillon est sans surprise, joyeux et animé. Bien quil ny ait plus de jeunes s, un sapin a été décoré et les cadeaux saccumulent à son pied. Bref, un Noël dans la tradition.
Il est près dune heure lorsque nous allons tous nous coucher. Julie ma discrètement demandé lequel de nous deux rejoindrait lautre dans sa chambre et nous avons opté pour la mienne, un peu plus à lécart. Une fois couché, il se passe très peu de temps avant que Tatili se glisse dans ma chambre, puis dans mon lit. Nous ne nous étions pas retrouvés dans cette intimité depuis un certain temps et nous sommes bien déterminés à rattr le temps perdu. Je glisse donc vers le pubis de Julie qui écarte aussitôt les cuisses pour me donner accès à sa chatte, ce petit abricot que je mempresse de lécher comme elle aime. Elle tient ma tête, me caresse les cheveux tandis que je mattarde sur son petit clitoris.
Nous en sommes là quand sentrouvre doucement la porte de la chambre et quune silhouette sy faufile en silence. Julie et moi nous immobilisons et retenons notre souffle. Nous avons reconnu la visiteuse : Cest ma tante Aline ! Je navais pas parlé à Julie de ce qui sétait passé le jour de lanniversaire de mon oncle Paul, et je ne pensais pas que Tataline me donne une seconde occasion. Elle sapprochait du lit, ne doutant pas de my trouver seul, évidemment.
« Ne te sauve pas, surette ! Cest une surprise, mais je suis sûre que Nicolas est prêt à nous faire plaisir à toutes les deux. Et puis ça nous rappellera notre jeunesse, non ?
-Je ne pensais pas te trouver là, je ne veux pas
-Allez, viens vite, Aline. Tu es daccord, Nicolas ? »
Javoue que la situation me dépasse, mais Aline sest débarrassée de son peignoir et nous a rejoint sous la couette. Déjà sa main saisit ma queue et me branle. Julie me caresse la poitrine, me pince doucement les seins et membrasse. Je mabandonne à mes deux tantes. Des lèvres se referment sur mon gland, une langue en titille lorifice, puis mon sexe est absorbé par une bouche chaude qui le suce méticuleusement tandis quune main pétrit doucement mes couilles. Julie se présente au-dessus de moi pour que je reprenne là où nous en étions à larrivée dAline. Jintroduis à nouveau ma langue entre ses lèvres, je lèche son petit bouton et elle commence à gémir doucement. Derrière elle, Aline me chevauche à son tour et introduit mon pénis dans sa chatte chaude et humide. Elle monte et descend lentement tout en plotant les seins de sa sur qui gémit de plus en plus fort. Je sens le vagin dAline se contracter sur ma bite et, nen pouvant plus, jéjacule en râlant de plaisir. Aline, elle aussi, est submergée par lorgasme, suivie de Julie qui écrase sa chatte trempée sur ma bouche.
Nous nous retrouvons tous trois enlacés, haletants, et je nen reviens pas de ce qui vient de se passer. Aline la première reprend ses esprits et se lève :
« Ça reste entre nous, je ne veux pas que
-Ne tinquiète pas, surette, on nen parlera à personne. Mais cétait plutôt une bonne surprise, tu sais. »
Une fois Aline sortie, Julie se tourne vers moi :
« Dis donc, toi, petit cachotier, jai limpression quavec Aline ce nétait pas la première fois.
Je suis obligé de lui parler du précédent. Elle rit :
« He bien, ça avait été un week-end bien rempli ! On peut dire que tu as lesprit de famille, toi ! Mais tu sais, ce qui est amusant, cest que quand on était jeunes, les trois surs, on était très complices. Et puis quand elle a rencontré Paul, ta tante sest achetée une conduite, et je crois bien que tu es le seul accroc au contrat. Toi alors, mon neveu, tu es irrésistible ! »
Nous éclatons de rire avant de nous étreindre à nouveau. Après tout, la nuit de Noël nest pas terminée
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