L'Éducation D'Une Bourgeoise Bcbg Suite 11
Nous venons de quitter le bureau et nous nous dirigeons vers le marche de noël qui se trouve à quelques pas de là
S
n'est rassurée que partiellement, et pour cause. Elle déambule à mes côtés, uniquement vêtue de son manteau dont les pans, je le rappelle, ne sont retenus que par la ceinture
autrement dit, aucun bouton n'est utilisé par maintenir le manteau, correctement fermé
en plus, le collier auquel est accrochée la laisse est extrêmement visible. La chaîne de la laisse pend et descend entre les seins de S
A chaque pas, les jambes de S
se dévoilent sensiblement entre les pans du manteau. Heureusement les cuissardes qu'elle porte minimisent la vue sur le haut de ses cuisses et la couture des bas et l'accroche du porte-jarretelles
enfin, tout en marchant elle m'indique qu'elle est terriblement gênée car elle a l'impression que tout le monde, surtout les femmes, la dévisage et peuvent ainsi remarquer que son maquillage n'est plus aussi net sachant que les traces de sperme sur son visage doivent être visibles
Pour toute réponse, je la félicite pour son courage et pour son degré d'obéissance et d'acceptation quant à son statut de belle bourgeoise BCBG soumise et salope en devenir
Sur ces propos le visage de S
rougit alors qu'un petit sourire éclaire son visage.
Mais très vite S
ressent une réelle crispation car nous arrivons aux abords du marché, qui est bien sûr, noir de monde
S
se rend compte qu'il va être extrêmement délicat, pour elle, de déambuler dans les allées, plus ou moins éclairées, plus ou moins noires de monde, et qu'inévitablement, elle risque de se faire remarquer. Cette petite rébellion à juste pour effet de me crisper
je le lui fait savoir qu'elle me déçoit, et immédiatement, je lui indique qu'elle va en subir les conséquences.
Le visage de S
se décompose alors que je lui demande de se glisser derrière les premiers chalets du marché. Immédiatement elle me demande pardon et me promet de ne plus se rebeller.
Je lui indique qu'il est trop tard et que, si elle le souhaite, il est encore temps pour elle de rentrer chez elle avec les conséquences que cela implique quant à notre relation, ou alors, de se résigner et d'obéir
son silence à duré, à mon goût, bien longtemps, trop longtemps. Je lui dis sèchement qu'elle peu rentrer, que notre relation va s'arrêter là, et qu'il n'y aura pas de retour en arrière possible
S
me regarde, le visage en larmes
elle est désemparée mais elle se reprend immédiatement et se jette à mon coup
je sens son corps qui se colle contre le mien, ses seins gonflés frottent mon torse, ses cuisses entourent mes jambes
et c'est à ce moment précis qu'elle me susurre à l'oreille :
« pardon monsieur, pardon Maître, je ne souhaite pas vous perdre, j'accepte vos ordres et vos punitions
je ne suis qu'une petite salope soumise, votre bourgeoise BCBG qui est toute à vous... »
Heureux de la tournure des événements je décide de mettre S.. . dans une situation de dépendance totale et certainement inconfortable
pour ne pas dire, selon la situation, humiliante.
Je sors de ma poche la paire de menotte et en quelques secondes S
se retrouve avec les poignets à nouveau attachés dans son dos
ce qui n'était pas initialement prévu mais l'état de rébellion de S
m'a obligé à faire ces choix
Une paire de moufles me permet de « camoufler » les menottes qui enserrent les poignets de S
Je prends S
par les bras et en quelques pas nous nous retrouvons dans les allées du marché. Je remarque que S
est concentrée sur ses pas pour ne pas trébucher. Elle se sent vulnérable d'autant plus que sa silhouette avec ses bras tirés en arrière dans son dos n'est pas des plus discrète
et que dire du collier et de la laisse qui pend entre ses seins
elle observe les personnes que nous croisons qui, pour certaines dentre elles, se retourne sur elle... son trouble est au comble quand je lui demande d'aller commander deux verres de vin chaud
auprès d'une vendeuse
elle hésite quelques secondes mais se rappelle son « statut »
Elle s'exécute et se retourne vers moi se sachant totalement impuissante.
Notre petit manège ne passe pas inaperçu et quelques remarques fusent. J'en profite pour indiquer à S
qu'elles lui sont adressées mais qu'elle se doit d'en être fière. Son visage se relève, ses yeux sont légèrement embués mais un petit sourire éclaire ce dernier.
Quelques minutes plus tard, j'indique que notre balade au marché de noël va se terminer mais que notre soirée ne fait que commencer
S
le sait, puisque l'invitation lui a été faite pour une soirée en deux temps : une petite balade sobre au marché avec dégustation de vin chaud, avant d'aller retrouver une amie à moi qui nous attend dans sa maison de maître dans un quartier huppé de Colmar. Tout en retournant à la voiture je rappelle à S
l'invitation de mon amie, qui affiche clairement son penchant pour les femmes, avec en plus, un tempérament de femme autoritaire.
En fait, après avoir longuement discuté avec S
, suite à son passage au garage, et le réel trouble qu'elle a ressenti auprès de la jeune vendeuse, nous avions convenu, d'un commun accord, que nous allions passer une soirée avec cette maîtresse femme et que S
en serait le « centre d'intérêt »
S
m'avait posé qu'une seule condition : que je sois continuellement présent et que je reste « son Maître »
conditions validées.
Je profite du court trajet qui nous amène devant la propriété de mon amie pour lui rappeler que le début de la soirée a été plus que chaotique et que de fait, comme nous avons perdu beaucoup de temps, elle resterai avec ses poignets attachés dans son dos. Nous arrivons devant le portail de la propriété, qui s'ouvre suite au sms que je viens d'adresser après à mon amie.
Je demande à S
de sortir de la voiture et d'attendre que j'arrive à sa hauteur, S
s'exécute.
Arrivé à sa hauteur, sans un mot, j'ouvre la ceinture de son manteau, écarte largement les pans de son manteau puis je prends la laisse dans mes mains et tire dessus.
S
résiste un peu, mais elle se sent tellement impuissante qu'elle emboîte, vaincue, mes pas.
Mon regard s'attarde sur S
je la trouve superbe, presque totalement nue, ses seins ballottent au rythme de ses pas, je constate que ses tétons sont bien durs, peut être à cause du froid
et que dire de son pubis totalement glabre, de ses cuisses gainées de bas retenus par un porte-jarretelles et de ses cuissardes qui complètent sa tenue.
La porte de la maison s'ouvre et nous découvrons, dans l'entrée mon amie qui, je dois le dire est resplendissante : elle porte une superbe robe moulante en vinyle noir très courte. Cette longueur laisse apparaître la couture de bas résilles qui mettent en valeur ses belles jambes ces dernières étant rehaussées par une paire d'escarpins à talons hauts
très hauts
Nous nous embrassons et, alors que je pensais que mon amie allait en faire de même avec S
elle recule que deux pas et elle la dévisage et me remercie de l'avoir déjà « conditionné » en constatant qu S
avait les poignets attachés dans son dos
Après quelques mots d'explication, elle tire sur la laisse et nous entrons dans la maison ;
Au bout d'un long couloir nous arrivons dans une grande pièce de type salon salle à manger, elle est haute de plafond, elle est séparée dans son milieu par des poutres qui donnent un superbe cachet à cette pièce
mon amie m'invite à m'installer dans un fauteuil
quant à S
elle reste debout
à suivre
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