La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1129)
Une nouvelle lopette au Château (suite de l'épisode précédent N°1128)
Le Seigneur fit tinter sa cloche et Chiennasse quitta la pièce à quatre pattes pour une nuit de repos quil avait bien mérité
Chiennasse se réveilla vers 7 heures, son érection matinale fut contrainte par la cage de chasteté lui rappelant sa condition de chien soumis. Monsieur Le Marquis dEvans, magnanime, lui avait permis de dormir dans une chambre du Château, et même si ce nétait quau pied dun lit, sur une simple descente, cétait toujours plus confortable que sur la paillasse du Chenil. Le soumis ne savait plus quel jour on était et seul le souvenir de la panne de sa moto lui revenait, mais aussi les évènements quil avait vécu dans le Château. Le Majordome avait reçu pour instructions de faire venir le mécanicien du village, mécano attitré du Châtelain, cétait un homme frustre qui vivait dailleurs tout seul. Il connaissait très bien Monsieur le Marquis et sa réputation. Il entretenait tout le parc automobile du Châtelain. Cétait un très bon mécanicien et son garage en pleine zone rurale avait du succès. Monsieur le Marquis lui confiait dailleurs toutes les réparations à faire sur tous Ses nombreux véhicules, de la simple bétaillère à la Rolls-Royce. Le Noble comptait, dailleurs une quinzaine de véhicules soit, entre autres, trois 4x4, deux Ferrari, une Jaguar, deux limousines noires, trois puissantes camionnettes pour tracter les vans ou pour ses gardes chasse, des petites cylindrées de fonctions, etc
. Le mécanicien fut surpris de recevoir lappel téléphonique du domestique du Noble lui demandant de venir au Château pour réparer une moto. Un gros client comme Monsieur le Marquis (son meilleur client, dailleurs) ne se fait attendre alors il laissa de suite son travail pour aller au plus vite au Château. Il arriva vers 10 heures et fut accueilli par Walter. Le Majordome lui montra la moto entreposée dans un vaste bâtiment à lopposé du Château, derrière le parc et qui sert de remise.
- Cest cette moto ? Quest ce qui est arrivé ? Jai besoin de savoir comment la panne sest déroulée avant dintervenir. Cest toi qui la conduisais ?
- Non, mais je dois téléphoner à Monsieur le Marquis pour savoir si je peux aller chercher le propriétaire. Celui-ci étant resté au Château bénéficiant de notre hospitalité.
Paul pensa que le Seigneur dEvans était fort courtois en rendant service de cette manière. Walter se saisit du téléphone permettant de joindre le Noble Seigneur, il demanda :
- Monsieur le Marquis, Paul est devant la moto, là dans la remise, et il veut voir Chiennasse
euh ! Pardon
Patrick
Quest-ce que je fais ?
- Walter, il ny a pas de problème, tu peux aller le chercher. En revanche, quil reste dans sa condition de chien, collier, laisse et à quatre pattes, dit le Seigneur.
Le Majordome sourit, se tournant vers le mécano du village :
- Deux minutes, je vais chercher le motard de cet engin.
Le mécanicien se posa la question sil avait bien entendu, le mot Chiennasse. Il savait que des bruits couraient dans le village, sur ce qui se passait au Château, on parlait de soirées spéciales et même de véritables orgies. On avait vu Marie la cuisinière accompagnée dune femme avec la tête rasée qui avait un collier de chien au cou faire ces courses dans lépicerie. Donc il sattendait à tout mais quoi quil découvrirait, il naurait jamais crié au scandale car comme la moitié des habitations du village et pratiquement toute la superficie des terres agricoles et forestières entourant le bourg appartenaient à Monsieur le Marquis, et comme aussi le Noble était un très grand mécène pour la commune, Lui qui finançait allègrement le budget communal, tout le monde trouvait envers le Noble, une généreuse personne et tous lappréciait comme tel et le respectait profondément pour son altruisme et humanisme réputé
Le Majordome au bout dun instant arriva et derrière lui se trouvait un animal tenu en laisse enfin cest ce que supposa Paul, mais quelle ne fut pas sa surprise quand il comprit que cétait un homme, en plus cette homme chien était nu comme un vers.
- Voilà le motard, enfin comme il a été très impoli en parlant avec Monsieur le Marquis, il a été rapidement mis au pied. Nest-ce pas chiennasse ?
Paul nen revenait pas, il avait devant lui un chien soumis, il lisait de temps en temps des récits BDSM pour meubler ces soirées de célibataire et il comprit rapidement à quoi servait ce type dindividus, ils étaient de véritables vides-couilles et ce soumis devait être la propriété du Noble. Il fallait donc attendre son aval pour pouvoir se soulager sur cette pute car le mécano se sentait tout excité à la vue de ce soumis tenu en laisse. Walter annonça :
- Chiennasse, je te présente Paul, il est le meilleur mécano de la région et il va soccuper à réparer ta moto mais il faudrait que tu lui expliques comment la panne est arrivée.
- La moto a calé brutalement, dit le chien soumis, je ny connais rien, cest la première fois quelle cale comme ça.
- Ok, très bien, dit Paul, je vais regarder.
Il sapprocha alors de la moto et en se baissant à côté de lengin, il lança un regard vers la pute qui se trouvait à moins de deux mètres, il remarqua la cage métallique qui enserrait le pénis.
- Eh bien ! Cette pute, se permit-il de dire, elle est bien appareillée, il ne risque pas de bander.
- Oui, dit Walter, il a été puni par le Maître, dailleurs cela na pas été sa seule punition, il a été sodomisé, godé et bien entendu il a avalé la Noble Semence de Monsieur le Marquis.
- Ah ! dit-il en se grattant les couilles.
Le Majordome remarqua le geste du mécano, il savait que lhomme vivait seul et peut-être quil envisageait de baiser le soumis, cela méritait réflexion. Il jugea quil serait opportun de faire venir le Noble. Le mécano se pencha sur la moto et remarqua que le fil de bougie sétait débranché, ainsi la moto avait dû couper net.
- Je viens de trouver, dit-il ce nest pas grand-chose.
Il sortit alors une pince et en un tour de main, il répara la moto, dailleurs pour vérifier cela, il monta dessus et en appuyant sur le démarreur le moteur salluma de suite. Chiennasse commença à se lever pour marquer sa satisfaction, le rappel à lordre fut brutal, Walter tira un coup sec sur la laisse tout en imposant sèchement :
- Salope, à terre, qui a dit de te lever ?
- Ces chiennes, aucune éducation !, dit le mécano.
Le Majordome sourit en regardant Paul
- Cette pute vient darriver, Monsieur le Marquis vient juste de démarrer son éducation, elle est encore jeune. Cest pour cela quelle est encagée
Je suis sûr que si on libère sa nouille, ce chien, il va bander de plus belle.
Paul, mit alors sa main dans son pantalon lui aussi manifestement il bandait. Le Majordome compris que seul Monsieur le Marquis pouvait laider à prendre la décision qui simpose. De plus le mécano demanderait dêtre payé pour le déplacement et la réparation et Chiennasse navait comme moyen de paiement que son corps à proposer. Walter prit alors le téléphone.
- Monsieur le Marquis, Paul a terminé, je ne sais pas quoi faire pour le paiement
(il regarde Chiennasse avec attention)... Je pense que cela mérite votre assentiment.
- Bon entendu, dit le Noble, jarrive...
Cinq minutes après le Châtelain, tout en allant à la remise en traversant le parc, élaborait le scénario. Il savait que tout travail mérite salaire et il trouva normal que le mécano se paie sur Chiennasse qui navait aucun autre moyen de paiement. Monsieur Le Marquis poussa la porte de la remise, le mécano baissa la tête devant le Noble pour le saluer respectivement comme on lui avait appris quand il était à lécole communale en présence de haute personne.
- Monsieur le Marquis, bonjour, je viens de réparer la moto mais jaimerais être payé au black.
- Bonjour Paul
Comment ça au black ?, dit le Seigneur, je ne suis pas le propriétaire de cette moto, il appartient à Chiennasse, ici présent et qui profite de mon hospitalité, de régler ton déplacement et ta réparation.
Se faisant, le Châtelain posa sa chaussure sur le dos du soumis. Le chien soumis baissa alors la tête, il ne souhaitait pas sattirer le courroux du Noble.
- Tu vois, ce chien soumis est Ma chose maintenant de ce fait est de son plein consentement. Encagé comme il est, Je contrôle tout chez lui
Paul, accepterais-tu pour règlement que Chiennasse soit à ta disposition pour une heure par exemple ?
- Daccord Monsieur le Marquis, je nosais pas vous le demander, répondit Paul
Je peux faire ce que je veux ?
- Oui, dit le Châtelain, la seule condition : Pas de brutalité pouvant conduire à une mise en danger de sa personne, il ne sagit pas de lui casser quelque chose. Quest ce qui te ferait plaisir, mon cher Paul, continua le Noble.
- Ho, Monsieur le Marquis, ça fait tellement de temps que je nai pas baisé, je peux lenculer mais dabord jaimerais quil vienne me sucer la queue.
- Bien entendu, dit le Maître des lieux
Chiennasse, tu sais ce quil te reste à faire. Fais-moi honneur et récompense comme il se doit ce brave homme en payant ta dette de la réparation de ta moto
.
Le Majordome tira sur la laisse :
- Aller le chien, va chercher ton os.
Le mécanicien se défroqua très vite étant hyper excité de ce que lui offrait Monsieur le Marquis et sa bite déjà raide apparut épaisse et déjà baveuse. La verge à la main, il sapprocha de Patrick, sa main agrippa les cheveux du chien soumis et dun coup son gland écarta les lèvres buccales.
- Aller, avale mon chibre, suce bien, fais-toi plaisir, cest de la bonne queue qui na pas juté depuis très longtemps...
Sur la poussée Patrick déglutit le phallus qui avait un gout aigre, le gland ne devait pas être décalotté souvent mais il savait ce que le Maître attendait de lui alors il sappliqua à prodiguer une fellation bien baveuse de par sa salive. Il léchait cette verge de haut en bas et prenait bien soin de lavaler bien au fond. De toute façon, le mécano ne lui laissait pas le choix car sa main poussait de plus en plus fort sa tête contraignant ainsi à ce quil avale toute la longueur bien plantée jusquà la gorge. Ce qui arriva, arriva, Chiennasse suffoqua.
- Allons, dit Monsieur le Marquis, pas de sensiblerie, avale tout, montre-moi que tu es une bonne pute.
Chiennasse entendant lexigence du Maître avala dun seul trait le vit du mécano poussant sur ses mains pour que le sexe rentre encore plus au fond de sa bouche et cest quand ces lèvres touchèrent le pubis que le mécano lança :
- Quelle bonne chienne, regardez comme elle a tout avalé, son cul va faire pareil, vous pensez ?
- Oui, je pense que de ce côté-là, cette lopette est encore en rodage mais elle peut commencer à monter dans les tours, répondit le Majordome
- Moi le rodage cela me connait, dit-il. On va bien voir taurais été une gonzesse je taurais pris la chatte mais comme tes un mec, cest ton fion qui va prendre ma grosse queue de mécano. Regarde comme elle bande de plus en plus, mais dabord lèche mes couilles pour vérifier quelles sont bien pleines, répondit Paul en rigolant.
Patrick lécha alors les deux couilles, il sentait quelles étaient bien chaudes car remplies de foutre depuis trop longtemps. Paul poussa le chien soumis.
- Pas tout de suite, tu vas me faire éjaculer si tu continues, Met-toi visage contre le sol et présente-moi ton cul bien haut, écarte bien les jambes que je puisse voir ton trou du cul.
Le soumis obéit, le Châtelain se positionna dailleurs devant lui ne voulant rien manquer du spectacle, il prit aussi la parole :
- Paul, tu vas sodomiser ce chien, quel dommage que tu ne sais pas manier la cravache, rien de telle que de prendre un cul tout en donnant des coups sur lintérieur des cuisses. Les chiens quon encule ont toujours tendance à fermer les cuisses, la cravache évite cela.
- Mais, je ne demande quà apprendre, Monsieur le Marquis, répondit le mécano
Le Majordome interrogea son patron des yeux, le Noble dun signe de la tête lui fit comprendre quil pouvait donner sa cravache à Paul. Celui-ci se saisit de lobjet et fendit lair de droite vers la gauche, visiblement il avait compris comment manier lengin. Maintenant, il devait maitriser la force et la visée.
- Le plus important est de ne pas frapper trop fort, cela ne sert à rien, il faut plutôt viser une zone sensible, les couilles, lintérieur des cuisses, le gland par exemple, conseilla le Châtelain.
Paul poussa le chien soumis, face contre terre.
- Aller, écarte bien tes cuisses de salope, dit-il.
Le premier coup tomba sur la cuisse droite puis il alterna des deux côtes de lentrejambes et au bout de dix coups, il sarrêta. Le soumis écartait tellement les cuisses que ses fesses dévoilaient son anus, le trou du cul était à portée, Paul allait pouvoir le prendre. Le mécano posa la cravache en prenant bien soin de la laisser à portée de main, il prit sa volumineuse queue des deux mains et positionna son gland violacé sur le trou rosée du cul de Chiennasse. Et dun coup de reins puissant lattrapa, il allait sen souvenir de son dépannage ! Le mouvement de va-et-vient fut brutal seul comptait le plaisir du mécano qui besognait sauvagement le soumis. Le Châtelain apprécia le spectacle offert et il entendait les grognements de satisfaction de Paul.
- Humm, humm, quil est bon ce cul, aller encore bien au fond ! voilà ! oui, oui ! disait-il en cadençant ses allers et venues puissants dans le cul
Patrick sentait que lhomme allait décharger rapidement et tout dun coup le premier jet de sperme lui crépit lintérieur de lanus. Paul sécroula sur son dos vaincu par le plaisir, seul son chibre continuait à juter le forçant à donner des petits coups de reins. Quand il estima en avoir terminé, il se retira, il avait tellement juté que son sperme séchappait déjà du cul du chien soumis. Paul se rhabilla content de son sort, une bonne partie de baisse cela faisait tellement longtemps et puis là, il y avait de la nouveauté. Le Noble prit la parole :
- Bon tout cela est bien, Chiennasse sest bien comporté, il a payé sa dette
- Ho oui, un grand merci Monsieur Le Marquis, que ça fait du bien
Et je serai toujours à votre service pour nimporte lequel dépannage ! Nhésitez pas à mappeler, je viendrais toujours le plus vite possible
(A suivre
)
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