Chapitre 4 Partie 2 - Jérôme
Chapitre 4 partie 2 - Jérôme
Jérôme
Dés que Barth a commencé a exposé son idée, mon esprit s'est perdu. Je vois ma mère a travers lui, son ingéniosité, sa créativité.
Flash back. Nous sommes le samedi 29 août 1952 à 11h25
Je suis réveillé par Yves Lounes, le chauffeur de la famille. Ses yeux son perçant et brillant. Il m'annonce qu'un incendie a ravagé la maison familiale et que tout le monde et mort. Je refuse de le croire alors il me donne un journal et je meffondre. Je n'arrive plus à respirer, je métouffe, je ne vois plus claire, ma poitrine va exploser, mon cur veut en sortir et je finis par perdre connaissance. C'est le trou noir
Lorsque je me réveille, Yves m'apprend que j'ai dormi 3 jours et me confirme que je n'ai plus de famille. Je pleure toutes les larmes de mon corps et ce dernier me console. Il caresse mon dos, mais plusieurs fois, je sens sa main toucher larrête de mes fesses. Je ne m'en offusque pas et mets cela sur le compte de la maladresse.
Le lendemain, il me convoque au salon et m'explique son plan. Il a fait changer mon nom à la banque grâce a un de ses amis qui y travailler. Je suis passé de Jérôme Luise à Jérôme Lounes qui était le nom de famille du chauffeur. Il m'a aussi procuré de nouveaux documents d'identité avec ce nom et je suis devenu ce jeune homme.
Yves m'a laisser à Nice et repartie a Paris pour régler des affaires en suspend. Alors j'ai commencé à souffrir de solitude. À l'époque, j'avais à peine 18 ans et j'étais puceau. Mais riche, 1m80, blond aux yeux bleu, mince, mais plutôt athlétique, vue que je courrais 1 heure par jour tout les jours même en temps de plus. J'avais un sexe de taille normale dans les 16 cm en érection, mais avec un beau diamètre de 5cm. Pour rompre la solitude, je suis sortie dans un café qui fermé tard. Les gens dansés et rigoler, j'avais de l'argent sur moi alors je me suis payé quelque bière. Jessayai de regarder les filles, faire attention à leur cambrure, le tour de reins, leurs seins.
Je l'ai ramené chez moi, parce que je ne voulais pas que cela se termine. Ses amis sont venus et nous avons encore un peu fait la fête. Le champagne a coulé à flots. Vers 4 heures du matin Karl, m'a pris dans ses bras et on a s'est endormis.
Le lendemain, le réveil fut dur pour moi. Je n'avais pas l'habitude des soirées arrosé et encore moins en excès. Les autres paraissaient normaux surtout lorsqu'ils vinrent nous réveiller dans ma chambre. J'étais dans les bras de Karl en cuillère et lui était derrière moi. Il s'est redressé à leur entrée dans la chambre, j'ai essayé de me dégager pour lui éviter la gêne. Mais il m'a tenu fermement et m'a embrasser sur la joue.
Le lendemain au réveil, j'ai l'impression de rêver en le voyant tous coller contre moi. Mes mouvements ont dû le tirer de son sommeil et la première chose qu'il fait, c'est m'embrasser passionnément. Nos langues dansent un ballet incessant, rythmé uniquement par nos respirations. Une fois rassasié, il me caresse le sexe à travers mon slip. Quil est beau comme ça, ses cheveux noirs en bataille, ses épaules musclées et nues luisant au rayon du jour.
- Tu as aimé ?
- Oui.
- C'est tout ? Je suis vexé.
- J'ai adoré, c'était l'extase.
- La, c'est mieux, mais sache que ce nest que le début.
- Jattends la suite avec impatience, mais pour le moment nous devrions aller voir les autres.
- Tinquiètes les copains savent qu'on est ensemble et qu'on a mieux à faire que traîner tout temps avec eux.
Il me tire vers lui et m'enlace. Je finis par me rendormir. Je me réveille trois quarts d'heure plus tard, mais je suis seul dans le lit. Je suis pris d'une euphorie étourdissante, le souvenir de la fellation qu'il m'a fait et vif. Je ne me rappele pas avoir pris autant de plaisir dans ma vie. Il a réapparu dans la chambre avec un plateau et a prit un air faux fâché.
- C'est pas juste tu devais dormir et que je te fasse la surprise du petit-déjeuner au lit
- Bon, ok, je me rendors
- Non, non, c'est bon !!!
Il m'embrasse et pose le plateau devant moi. Après avoir mangé, on sort en ville se balader. Ils me font découvrir la ville et cela me change les idées. Je suis toujours triste pour ma famille, mais leur présence me distrait.
Lorsqu'on rentre à la maison, nous avons acheter plein chose, des vêtements pour Karl, pour moi, de la nourriture pour tout monde et quelques appareils utile. Lorsqu'on rentre à la maison, nous avons acheté pleine chose, des vêtements pour Karl, pour moi, de la nourriture pour tout monde et quelques appareils utiles. Je sais ceux qu'on peut se dire, il profite de moi. Mais la réalité, c'est que c'est moi qui profite de leur présence pour rompre ma solitude. Nous passons dans la chambre faire un essayage et pour une fois, c'est moi qui prends linitiative de nos ébats.
Il bande comme un taureau dans son nouveau pantalon, je l'embrasse et le déshabille totalement. Je le retourne sur le dos et me pose sur son érection sans toutefois me faire pénétrer. Je commence un massage sensuel. Cest vraiment agréable d'avoir un peu de contrôle. Il gémit et lâche de petits cries de plaisir. La phase de découverte passée, je me retourne et mes fesses encore couvert par mon pantalon et mon slip sont en direction de son visage et mon visage pointe vers sa bite. Je commence a le branler doucement. Je suis brusquement retourné et mes vêtements sont arrachés sans ménagement. Il me renverse sur le lit et a ma grande surprise, il empoigne nos deux bites et les masturbe simultanément. Je ne sais pas ce qui marrive, mais je suis dans un état dexcitation intense. Le fait quil ma sauvagement arraché mes vêtements ma plut et je le vois redescendre vers mon sexe érigé, je sais ce quil va faire. Après mavoir doucement masturbé, il titille mon gland de sa langue, puis mon frein, puis mon pénis entier. Je vois ses lèvres pulpeuses engloutir mon sexe un a rythme effréné. Ayant entendu des copains le dire, je fais moi aussi des va et viens avec mon bassin. Le fait de sentir mon sexe cogner contre le fond de sa gorge, augmente mon excitation. J'y vais comme un démolisseur et lui baise la bouche, jusquà jouir dedans, entraîner par un jouissant sournoise et éclaire. Il me dit avec un air faussement contrarié. Tu ny as pas été de main morte avec ma bouche. Je suis confus, mais très vite, il rigole et rajoute qu'il a aimé ça.
Après ça nous sommes retourner avec les autres, sans avoir un peu honte de mêtre autant donné en spectacle. Mais les amis de Karl s'en ficher. Les jours passèrent et j'étais de plus en plus obsédé par l'idée de faire l'amour avec Karl. Un soir, alors que je n'avais rien prémédité, une envie soudaine me vint. Je lui demandai de venir m'aider a trié le linge dans la chambre. Personne n'était dupe, tous savaient qu'il me sucer une à deux fois par jour.
Je l'ai laissé dans la chambre quelques minutes le temps de faire le nécessaire dans la salle de bain. Je ne sais pas si je veux qu'il m'encule ou si je veux le faire. Mais une chose et sur, c'est que lorsqu'il me suce, je prends un pied de fou. Il veut me sucer, mais je refuse cette fois, c'est à mon tour. J'empoigne son sexe et ma bouche en lèche chaque centimètre. Pendant que je fais ça nous nous sommes installé en 69. J'ai cru qu'il allait me sucer, mais a la place, il commence à tâter mon anus. Il commence à faire tourner sa langue autour de mon trou et mes gémissements augmentent. C'est très agréable, plusieurs doigts pénètrent mon intimité préparée au paravent. Ça fait assez bizarre, mais c'est très bon. Je suis essoufflé, mais j'ai envie de plus et l'exprime. Il se lève, prend la matière grasse que j'ai disposée à proximité et m'en applique sur l'anus avant de s'en badigeonner sur le sexe. Il présente enfin son magnifique sexe aux portes de mon intimité et essayé dentrée et c'est une douleur vive qui me foudroie. Je pousse un hurlement de bête blessé, dailleurs, c'est ce que je suis a cet instant. Il voit que je souffre et tente de tout arrêter, mais je l'en dissuade. La douleur est vive, j'ai jamais eu aussi mal. Une fois entré à fond, il reste en moi le temps que je m'habitue. J'ai vraiment mal, alors je me branle pour faire passer la douleur et cela marche un peu. Peu à peu la douleur laisse place à une douce sensation d'endolorissement. Un vrai bonheur.
Il accélère les mouvements et je l'exhorte à y aller plus fort, je prends totalement mon pied jusqu'à jouir abondement. Nous nous endormons paisiblement dans les bras l'un de l'autre. À cet instant, je suis totalement comblé...
Je n'en revenais pas. Je venais de perdre ma virginité avec l'homme que j'aime. La douleur cuisante entre mes cuisses n'était rien. Pour preuve durant les cinq jours suivants nous avons remis ça sept a huit fois par jour et je n'étais pas le seul en demande. Karl me solliciter autant que moi je lui demandé. On éclipsait pour aller baiser à toute heure du jour et de la nuit.
Durant deux semaines ont a vécu ensemble des journées de pur bonheur. Jusqu'au jour où... ?
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