Le Jeune Jason Et La Fée Miranda

Jason est un jeune homme timide et réservé au point de n’avoir jamais osé aux filles qui l’attirent qu’il aimerait bien leur offrir un moment câlin entre ses bras. Pourtant, il est d’une grande beauté avec un corps mince autant qu’élancé, et de longs cheveux blonds qui lui arrivent jusqu’aux épaules.
Voir les autres garçons sortir avec de jolies compagnes l’attriste, car en secret, le jeune puceau désire tant une présence féminine entre ses doigts qu’il passe des nuits entières à pleurer. Bien qu’il réussisse dans ses études, ses parents se désespèrent de le voir un jour heureux.
Le soir tombe. Demain, il aura dix-huit ans. Jason a décidé de pas les fêter, ni en famille, ni avec ses amis. Désespéré, il ne veut plus voir personne. Alors que minuit vient de sonner à l’église de son village, il sort dans le jardin afin d’invoquer le ciel auquel il promet d’accepter n’importe quel destin, aussi tourmenté soit-il, pourvu qu’il soit transformé en satyre assoiffé de sexe, infatigable entre ses jambes, et surtout, entreprenant avec les filles et les dames et débarrassé de toute peur de séduire.
Aussitôt, une fée descend des étoiles et ordonne à notre éphèbe de retirer son pyjama. Elle se présente : Miranda, enchanteresse, descendante d’Aphrodite, experte en voluptés charnelle, chargée d’aider les humains à exaucer leurs désirs sensuels. Elle connait Jason depuis sa naissance, et même sa conception par une torride nuit d’été au cours de laquelle ses parents se sont aimés passionnément. Les présentations faites, elle pose sa baguette magique - en fait, un vibromasseur avec lequel elle s’offre de la volupté, à ses moments perdus, entre la grande ourse et l’étoile polaire - sur le pénis qui ne sera plus jamais flaccide. Lequel pénis se mue instantanément en un superbe phallus à la tige longue et fine, parcourue de grosses veines bleues, et terminée à un gros gland sphérique et tout violacé, bien humide, fendu en son milieu par une ouverture ressemblant à l’œil d’un chat.

Le grand dadais s’est mué en une bête sexuelle prête à bondir pour combler de ses charmes mâles tout ce qui porte jupon.
Devant sa providentielle magicienne, après avoir tendrement embrassé celle-ci et s’être perdu en remerciements, il fait vœu de ne plus jamais se vêtir avant d’avoir honoré douze fois douze mille femmes de sa virilité nouvelle. Qu’importe si toute une vie humaine ne peut y suffire. De ce jour, nul ne le verra autrement que dévêtu. La fée s’éclipse avant de se laisser pénétrer par son protégé.
Le lendemain, les filles de sa classe, avec la complicité de ses parents qui désespèrent de le voir triste en permanence, surgissent à la maison : c’est un anniversaire-surprise. En guise de cadeau, elles avaient décidé de s’offrir sexuellement à lui afin de le dérider, et ne pouvaient certainement pas mieux tomber.
Les jeunes Léna, Coralie et Doriane, qui sont dans la même classe que Jason, arrivent en ensemble, vêtues légèrement de jupes et de robes faciles à enlever. Elles sont bien surprises par la tenue minimale du garçon, et aussi par la superbe bandaison qu’elles ne peuvent que constater dès qu’elles ont franchi le seuil de la maison. Tous trinquent d’un verre de champagne. Elles s’étonnent de voir leur ami se masturber devant elles :

- Ne gaspille pas ta semence !
- Nous sommes venues pour t’initier : ce serait dommage.
- Ne vous inquiétez pas, répond-il. Il m’en restera largement assez pour vous trois.

Elles éclatent de rire car elles ne le croient pas. Elles prennent des photos et des films avec leurs téléphones portables. Lui prend un plaisir visible à s’exhiber nu devant des filles habillées qui s’amusent à chatouiller les bouses afin d’amplifier le plaisir de Jason le masturbateur. Pourtant, elles sont bien obligées de constater que sa longue tige éjacule tant de sperme que la flûte en est remplie à ras bord : elles n’ont jamais vu cela ! Cela déborde même ! De surcroit, cela ne le dérange pas de boire sa propre sève ; puis il bande encore, d’abord mollement, puis d’une manière parfaite dès que les trois invitées se sont mises complètement nues ! Surprises, elles applaudissent à tant d’abondance dans la production de foutre.
Mais elles n’ont encore rien vu.
Maureen, la grande sœur de Jason, observe la scène en secret. D’un caractère naturellement enjoué contrairement à son cadet, elle a toujours été une libertine autant que Jason était timoré avant l’intervention de la fée. Depuis longtemps, elle fantasme sur une union ueuse avec son frère, mais à présent qu’il semble étrangement libéré, elle préfère observer secrètement l’initiation du garçon, sans y participer.
Tournant le dos à Jason, les fesses relevées, Léna, Coralie et Doriane présentent leurs croupes dans un alignement charmant, manifestement disponibles pour la tendre étreinte. À lui de choisir par laquelle il veut commencer. Tout à son aise, il hésite, palpant le postérieur de l’une et tripotant le popotin de l’autre, appréciant la fermeté et la courbure de ces fabuleux globes féminins, humant les six lunes joufflues avec gourmandise, sans se presser, car il sait combien est précieuse cette première fois. Pour se faire une idée plus précise de ce qui l’attend, il fourre un index curieux dans le trou vaginal de l’une, dans la caverne anale de l’autre.
Puis, son choix arrêté, il enduit son long sceptre avec du lubrifiant afin que bien glisser. D’un seul vigoureux coup de reins, il pénètre en levrette Coralie la petite brune à la vulve densément herbue dont il estime qu’elle fleure si bon la cyprine et le stupre qu’elle vaut largement qu’il y laisse son pucelage, et trouve que ce choix était bon, car il fait délicieusement chaud dans cette gaine vaginale : il découvre que quiconque y a goûté n’aura plus jamais froid dans son cœur. Il y trouve son bonheur : aussi continue-t-il son mouvement sans répit pendant un bon quart d’heure, sans éjaculer ni débander, car magiquement, il sait aussi se maîtriser. Les autres, sans être jalouses – il leur promet qu’elles seront comblées à leur tour – commencent à trouver le temps long. Léna, de nouveau, chatouille les testicules : c’est sa spécialité et elle sait, pour l’avoir souvent pratiqué, que son geste est irrésistible.
Doriane est encore plus coquine puisqu’elle sort un long vibromasseur phallique de son sac à mains, le lubrifie, plus sans hésiter l’enfonce par surprise dans l’anus étroit du garçon. Mieux : à l’aide de sangles, elle fixe l’engin à sa ceinture, se transformant ainsi en mâle et son partenaire en giton. Celui-ci d’abord sursaute, puis se cabre sous l’effet de l’intromission inattendue. Ensuite, grâce au contact de la tige de plastique sur sa prostate, éprouve un plaisir nouveau. Il en rugit de volupté avant de déconner (en sens propre du terme) et d’inonder le dos de Coralie du suc bouillant de sa virilité. Le jus coule le long de la colonne vertébrale, et dégouline jusque sur le tapis avec une profusion jamais vue de mémoire de jeune catin. Léna et Doriane s’extasient devant tant de prodigalité dans l’éjaculation, et veulent à leur tour recevoir l’hommage masculin.
Léna se couche sur la table basse, sur le dos, le cul sur le bord et les cuisses relevées. Elle présente son petit trou intime d’entre les fesses, car elle veut être enculée : étant en période de menstruations, elle croit que cela dégoûtera son ami. Nullement : après avoir vaillamment empli les boyaux de la belle blonde d’une nouvelle rasade du fluide masculin, la fille se laisse emplir l’autre orifice, une fois celui-ci débarrassé de son tampon, de sorte que le vit sanguinolent décharge au milieu du vagin bien serré. Dans le même temps, Doriane continue à pilonner le garçon par l’arrière à l’aide de son gode-ceinture, engin dont elle enclanche les vibrations pour plus de stimulations encore.
Lorsque Léna se relève, sa fente de devant autant que son petit troufignon suintent de l’élixir viril le long de ses jambes, jusque sur ses jolis pieds blancs qui foulent le tapis. Jason, inspiré par les petons humides, se met à genoux afin de sucer les mignons orteils et déguster la substance blanche qu’il lape goutte après goutte, avec soin. La fille s’assied pour se reposer un peu ; il en profite pour attr ces extrémités qui l’inspirent beaucoup afin d’y frotter sa verge qui, incroyablement, est encore dure.
Il enduit de nouveau les deux pieds de son foutre copieux qu’il lèche de nouveau, pendant que Doriane continue inlassablement à lui farcir l’anus avec son phallus artificiel, et que Coralie immortalise la scène à grand coups de flash afin que nul ne puisse nier qu’une telle vitalité dans le rut soit possible.
Doriane se couche sur le tapis, sur le dos, entraînant Jason avec elle, dans la même position, car ils sont reliés par le vibromasseur-ceinture. Léna, à son tour, s’allonge sur le couple et s’empale sur le pieu toujours dur, dans la position d’Andromaque. Quant à Coralie, sans lâcher son téléphone, elle s’assied sur la tête du garçon, bloquée entre ses cuisses, afin de recevoir un anilinctus d’abord, puis un cunnilinctus. Les trois filles, complices dans l’amitié coquine, jouissent en même temps, même Doriane qui a l’impression que sa tige de plastique est vivante, innervée et appartient à son corps. Coralie est une fille fontaine dont la giclette est si abondante que le tapis en est tout imprégné, même si Jason en avale une copieuse rasade et découvre que ce liquide a un goût merveilleux. Une fois désaltéré, le garçon submerge de nouveau de semence la sanglante gaine vulvaire de Léna dont les miasmes rouges mêlées de foutre gluant finissent de détériorer le tapis.
Cependant, quoique demeurant invisible, la fée Miranda observe la scène en secret. Elle apprécie la façon dont son jeune protégé profite du don de bandaison illimitée qu’elle lui a offert. Maurenn également, cachée derrière le rideau, n’en perd pas une miette, mais elle pleure amèrement, parce que son frère qu’elle adore baise d’autres filles qu’elle, et qu’elle l’aurait bien voulu pour elle seule. Remplie de compassion et sensible à la peine des humaines, Miranda se rend visible, mais uniquement pour la belle aux longues larmes qui coulent ses joues, et lui propose la consolation charnelle. Miranda, quoique âgée de plus de dix mille ans, est très belle dans sa maturité : ses charmes conviennent parfaitement à Maurenn, qui est bisexuelle.
Après un long baiser sur sa bouche, Miranda se met à genoux et défait le bouton fermant le pantalon de sa partenaire, puis abaisse ce vêtement ainsi que la petite culotte de coton blanc, afin de révéler une chatte absolument charmante, présentée dans son écrin naturel, une fourrure brune toute humide de rosée. En effet, une main discrètement glissée sous le cache-sexe, la jeune fille était en train de se caresser et le chagrin qu’elle éprouvait en observant l’orgie ne l’empêchait pas d’être proche de l’orgasme solitaire au moment où la fée est intervenue.
Une fois les grandes lèvres écartées, il ne faut donc que quelques petits coups de langue agiles de la part de Miranda pour que la jeune fille, sous l’effet de cette puissante stimulation de son clitoris gorgé de sang, bascule sa tête en arrière et se morde la lèvre inférieure, envahie par une divine volupté, gémissant déjà le chant joyeux de l’acmé sexuel. Comme elle est restée debout, ses jambes flageolent : aux prises avec un orgasme foudroyant, elle ne peut s’empêcher de pousser un hurlement qui attire l’attention de Jason et de ses trois amies.
Ceux-ci interrompent aussitôt leur partie fine afin d’aller voir ce qu’il se passe de l’autre côté du rideau et voient que la belle Maurenn est en train de jouir d’une façon étrange. En effet, la fille semble seule, mais sucée par une personne invisible, Miranda ayant décidé de rester inaccessible aux regards pour toute autre personne que sa partenaire féminine. Se voyant découverte, la fille supplie son frère de venir s’occuper d’elle, ce qu’il fait derechef en la sodomisant d’un seul coup de braquemart mouillé menstruel de Léna mêlé à son propre sperme. Le grand est gros et lui fait un peu mal en franchissant l’étroite rosette. Cependant, le plaisir revient une fois le membre entré entièrement à l’intérieur de la gaine rectale, d’une volupté plus puissante que jamais, d’autant que l’invisible fée continue de lécher le clitoris à petits coups de langue bien placés.
Les trois invitées sont un peu jalouses en observant la scène, mais sans perdre de temps – il ne faut jamais perdre de temps pour profiter de sa vaillante jeunesse – elles se consolent entre elles, en un concert de gougnottage et de tribadisme intense où les doigts et les langues explorent tous les orifices du joyeux trio de jeunes filles.
Mais il est déjà l’heure de se séparer. Satisfaite de l’effet de sa magie, la fée s’éclipse, laissant le garçon toujours sous l’effet d’une érection impressionnante : elle vient en effet d’être appelée pour une urgence où son intervention est requise afin de réconcilier câlinement deux amants fâchés. Mais elle ne disparaît pas dans les nues sans avoir chaleureusement remercié les protagonistes de cette aimable partouze, au nom des dieux et déesses de l’Olympe qui, de toute éternité, n’ont jamais vu d’anniversaire aussi joliment pornographique : devant cet excitant spectacle, Zeus s’en tant branlé, assisté en cela par Héra son épouse qui lui chatouillait les bourses, qu’une pluie de sperme divin accompagné de foudre et d’éclairs vient soudain de s’abattre sur toute la surface de la Terre, pour la plus grande perplexité des météorologues. Ensuite, Léna, Coralie et Doriane quittent également la maison, non sans avoir à leur tour remercié Jason et Maureen pour ce très agréable moment passé ensemble
Dans la maison désertée, sur le tapis souillé, les amants s’enlacent encore et encore, reliés par le sexe et par un amour brûlant. Qu’importe que leur liaison soit ueuse : ils s’adorent et n’ont pas fini de crier au monde entier combien est grande leur joie d’aimer.

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