A Trois ... Enfin Plutôt À Six
Je lavais invitée à souper au resto. Resto branché de Barcelone sur la place Royale. Il était tard. En Catalogne on soupe tard.
Elle était bien belle, blonde dans les lumières du resto et de la place. Son blond vénitien saccordait aux lumières diverses, du lampadaire municipal en fer forgé à sa gauche, du grand lustre de terrasse du resto et de la petite lampe de chevet avec abat-jour blanc posée sur la nappe de notre table.
Moi je la matais concupiscieusement et jétais tout séduit de sa beauté presque ibérique de teint mat sombre étonnement éclairée de cheveux très clairs à la française.
Je pensais, aura-t-elle cette couleur en concordance, aussi, entre les cuisses ?
Faut dire que moi je suis un voyou qui ne pense quà ça. Sans vergogne aucune.
Je minterrogeais sur le naturel ou non de cette couleur et sur lopportunité qui me serait peut être bientôt donnée de le vérifier. Javais fait petit investissement de repas dans un resto classe en vue, exclusivement, de la sauter en suivant.
On est comme ça, nous les mecs, avec des idées, plein didées, derrière la tête...
Cétait une fille rieuse et je me régalais du moment passé avec elle sur cette place Réal de Barcelone.
Nos voisins de tablée, deux couples dauthentiques Catalans qui parlaient lidiome local à toute allure comme vrais Espagnols, nous avaient fait lhonneur dengager conversation et de faire compagnie. Nous bavardions en sabir franco castillan catalan de choses et dautres en reluquant les chemisiers bien tendus de nos copines respectives.
Lesquelles faisaient les fières, mentons haut et poumons bien gonflés.
Manifestement ma copine plaisait bien aux deux voisins qui bichaient à lidée de se faire, peut-être, une petite Française. Plus tard dans la nuit
si opportunité.
Javoue que javais alors en tête de me faire en contre-partie deux petites Espagnoles. Brunes aux chevelures épaisses et lourdes.
Dautant que la mienne nétait pas encore mienne, alors que les leurs paraissaient être en main depuis belle lurette... Une occasion déchange gratifiant.
Pour moi. Deux contre une, je ne perdrais pas au change.
Comme souvent en Catalogne, nous fûmes invités à finir la soirée, tard passé minuit, en lhacienda de lun des senors, le plus beau des deux Catalans. À proximité disait-il...
Encore des sornettes. Le chemin qui menait à son home était à peine carrossable et je pensais que le Catalan inviteur devrait nous offrir, après les digestifs, lhospitalité.
Il eût été inconvenant quil en fût autrement vu la complexité du dédale de petites routes menant à lhacienda, totalement inextricable dans la nuit noire.
Néanmoins je minterrogeais sur la suite des événements après le Xérès au salon dété en bord de piscine dans de grands verres genre armagnac. Aurions-nous chacun une chambre dami, leurs copains catalans et nous Français ou bien nous serait-il proposé une autre formule, un peu plus conviviale ?
Et bien oui, cest exactement cela qui nous fut proposé.
Létape intermédiaire était dévidence le bain de minuit, à poil bien sûr vu quaucun dentre nous navait prévu de maillot pour se rendre à cette invitation impromptue de fin de repas gastro. Étape qui avait le goût la couleur lodeur forte du préliminaire.
Au sortir du bain tout mouillés moitié séchés des grandes serviettes qui nous drapaient, on a suivi nos hôtes au « solarium » Dans la pénombre vu quil faisait nuit noire soleil couché depuis longtemps qui ne se lèverait daube que bien plus tard.
Moi, jétais mouillé mais déjà bien bandé et matais les petites fesses ibériques dansantes devant moi. Et je pensais, je leur laisse le beau postère de ma Française. Généreux je suis, comme toujours.
Faut dire que celle-ci avait de quoi satisfaire la main de lhomme et même pire de deux dentre-eux.
Javais pour ma part une petite Catalane à chaque bras, mes mains à leur tailles fines dures et musclées. Les filles riaient. Elles avaient compris que leurs mecs étaient en grande vadrouille avec la Française et quelles devraient, elles, se rabattre sur le Français. Elles rigolaient et cela ne semblait pas leur déplaire.
Le solarium était garni de très larges matelas et jai décidé que lun seulement suffirait à nos ébats à trois.
Les serviettes étaient tombées au sol et les filles toutes nues se roulaient contre moi, moi aussi nu comme un ver, dans la chaleur de lété catalan.
Je sentais leurs touffes épaisses racler contre mes cuisses. Elles se frottaient, humides et ouvertes. Elles cherchaient. Moi je pensais que ces Catalanes avaient bon esprit et je les serrais toutes deux dans mes bras avec tendresse et amitié.
Bien entendu, ce qui devait arriver arriva, et je me suis retrouvé planté au fond de lune delles, étroite et profonde, gluante de sucs damour. Lautre na marqué aucune jalousie et me caressait les fesses avec une certaine tendance, ardente, indécente à vouloir visiter mon cul.
Et jétais, étonnamment, plus intéressé par ce doigt inquisiteur qui parcourait mon périnée que par le fourreau serré qui accueillait ma bite.
Encore que les deux sensations complémentaires memmenaient en paradis.
A côté de nous, sur le large matelas symétrique du solarium, les trois acolytes sadonnaient dans la sombre obscurité à des jeux érotiques similaires. Et la Française chantait.
Larchet ramonait langoureusement ses intérieurs et elle disait en mélopée son bonheur.
Les deux Espagnols avaient manifestement trouvé le mode demploi de la jolie blonde et, soit lun seul à la manoeuvre, soit à quatre mains, ils faisaient chanter la belle sur les hauteurs de Barcelone au milieu des lauriers roses de lhacienda.
Quand les trilles sinterrompirent nous avons compris tous trois quelle nen pouvait, bouche pleine.
Les Catalans criaient des mots de bucherons canadiens et, au moment de leur aboutissement, ont lâché les hurlements de leur satisfaction simultanée.
La fille française semblait apaisée et ronronnait comme un chat en sieste, boule de poils au soleil.
Enfin, cest ce que nous pensions, mes deux copines et moi, emmêlés sur le matelas dà côté.
Lune contractait son ventre en cadence pour me donner à penser. Et je pensais effectivement que la vie était belle ici à Barcelone serré amoureusement contre le corps chaud et musclé de la petite Catalane.
Lautre avait trouvé la porte étroite et, après lavoir longuement pourléchée de salive gluante, mavait enfilé son major jusquà la garde. Ma prostate en délire sépanouissait sous la poussée du charnu tandis que mon gland cherchait par ailleurs le dur du col de lautre petite.
Moi aussi jai chanté et mes trilles valaient bien celles de ma conquête de resto de la place Réal.
La fille espagnole, celle au doigt inquisiteur, a sagement attendu quapaisement se finisse. Elle a dit vois, tu nes maintenant plus réfractaire et elle ma alors engoulé subrepticement dun coup dun seul, jusquà la glotte. A fond. Sans crier gare.
Du matelas de solarium dà côté plus aucun son ne nous parvenait pour dire une éventuelle activité. On eût pu croire que les protagonistes sétaient endormis.
Alors jai accepté loffrande de ce gosier profond et de ces glandes amygdales végétations muqueuses trempées nappant mon gland de viscosités accueillantes. Et les mouvements de déglutition qui malaxaient comme trayeuse de ferme laitière normande.
Jai pensé, maintenant on dort. Sinon les deux Catalans vont venir en visite sur ton matelas te sodomiser.
Cest pas que je sois bégueule mais côté cul je suis plutôt sur la retenue
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