La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1130)
Une nouvelle lopette au Château (suite de l'épisode précédent N°1129)
- Nhésitez pas à mappeler, je viendrais toujours le plus vite possible
Paul sen alla très emballé, sur cette phrase enjouée et pleine denvies !... Pour chiennasse la journée nétait pas terminée, le Noble décida quil devait faire connaissance avec une de Ses soumises. Il était important que les chiennes et les chiens se reniflent de temps en temps.
- Walter, dit Monsieur le Marquis, amène Chiennasse au Chenil, on va voir comment il se comporte avec Erika.
Erika était une chienne soumise qui venait régulièrement faire des stages au Château. Dans la vie vanille, elle occupait un poste important dans lAdministration ou elle faisait régner un climat denfer causé par son tempérament à tout vouloir diriger, le Châtelain avait eu avec elle, maille à partir pour une histoire de cadastre sur une de Ses propriétés forestières bordant sur une commune limitrophe au village. Narrivant pas à obtenir gain de cause, il décida demployer les grands moyens en linvitant au Château. Monsieur Le Marquis repensa alors à ce moment où il fit plier cette femme dirigiste. Cétait il y a trois ans, le Noble devait justifier la propriété dune parcelle forestière qui était dans sa famille depuis très longtemps, il ne comprenait pas le courrier quil avait reçu, lintimant de répondre sous quinze jours, la missive était signée par une certaine Erika Charvet, chef de service. Le courrier lui réclamait un acte notarié de 1898 justifiant de son titre de propriété, alors quil avait toujours payé le foncier relatif à cette parcelle. Bien entendu, le Noble trouvait que lon se moquait de lui car lAdministration refusait toute copie, elle voulait loriginal. Les précieuses archives ne devant pas quitter le Château, il eut lidée dinviter cette Erika au Château pour lui montrer lacte original en question. Cest ainsi quun beau matin, cette Erika débarqua, et cest avec une certaine morve quelle entra dans lancestrale Demeure voulant montrer au Châtelain qui décidait.
Le Châtelain se souvint quà lépoque, et une fois les présentations de politesse faites, quIl lui proposa daller dans Sa Grande Bibliothèque où le document lui avait été préparé. Erika marchait dun pas assuré en claquant les talons, ce qui amusait Monsieur le Marquis car il savait quil lui faudrait moins dune heure pour la trouver nue et prosternée à Ses pieds. En effet, il en avait acquis la certitude grâce à sa profonde connaissance sur la psychologie humaine. Oui, il avait décelé en un clin dil, chez cette femme hautaine, une certaine frustration envers sa sexualité logiquement bridée par une enfance certainement trop stricte et ceci lui empêchait de vivre ses fantasmes de soumission. Fantasmes, que le Noble était persuadé quelle devait avoir bien ancré en elle à son regard affecté quand elle lavait tantôt salué pour le bonjour de politesse. En effet, derrière ses grands airs hautains, elle navait pas pu sempêcher de baiser les yeux quelques secondes devant le regard Dominateur du Châtelain qui lavait fixé droit dans les yeux et intensément sans cligner pendant la poignée de main. Elle navait pas pu tenir son regard très longtemps avant de se ressaisir par une phrase bateau pour se sortir de la situation, phrase du genre :
- Je vous prie, Monsieur, de me monter le document en question, on ne fait pas attendre lAdministration.
A lévidence, ce détail prenait tout son sens pour le Noble et sa longue expérience suffirait à la faire plier, cétait une certitude, une évidence pour Lui
En entrant dans la Bibliothèque, Erika constata que le Noble avait beaucoup de goût, la décoration luxueuse était superbe, mais elle était pressée et voulait rentrer dans le vif du sujet.
- Monsieur
je vous
dit-elle. (Et elle ne put terminer sa phrase coupée sèchement par le Noble).
- Madame, vous êtes chez Moi et donc respectez les usages, veuillez mappeler Monsieur le Marquis dEvans.
Erika venait dêtre rabrouée, cétait la première fois quelle subissait un affront aussi rapidement. Surprise et déstabilisée par le regard toujours aussi intense, perçant et dominateur mais aussi par le ton empli dautorité, de charisme du Châtelain, elle se reprit presque maladroitement.
- Heu
Excusez-moi, Monsieur le Marquis dEvans, auriez-vous en votre possession loriginal de lacte de propriété réclamé.
Le Noble sourit, mais dun sourire sans concession démontrant toute sa hauteur et son sens de la domination de la situation, il venait de marquer un point.
- Oui, bien entendu, mais pourquoi avez-vous refusé une copie ?
- Cest ainsi, cest moi qui décide quel type de document je dois avoir, pour effec mon travail
- Fort bien mais ici cest moi qui décide, dit le Noble (qui savait quelle nirait pas bien loin dans la joute verbale). Je décide, par exemple, quel type dattitude auquel je dois attendre de la part de mes visiteurs, et pour vous, je vais vous montrer ce que jen attends.
Erika fut surprise par cette réponse, quinsinuait Le Châtelain. Elle se haussa sur ses talons pour se donner de limportance. Mais sans le montrer (enfin cest ce quelle croyait) quelle était également troublée quon lui tienne tête
- Madame, vous arrivez chez moi et vous pensez que vous saurez me commander, vous nêtes pas dans votre Administration, ici, dit le Noble.
- Mais pas du tout, je ne fais que mon travail.
- Alors faites-le avec moins de dédain et plus de considération pour le contribuable que je suis, dit le Châtelain. Si je le voulais, je pourrai même vous faire muter dans votre travail
Je sais que vous êtes au Service administratif de la Direction Générale des Impôts de Villefranche-sur-Saône.
- Comment ça, me faire muter dans mon travail ?, répliqua Erika qui commençait véritablement à pâlir, à se décomposer devant le ton sec du Noble
- Vous connaissez, Monsieur Fontenet, je suppose ?
- Oui bien entendu, cest mon directeur du Centre des Impôts de de Villefranche-sur-Saône, mais je ne vois pas
- Voyez-vous, cest aussi un très proche ami à Moi, et pour vous, il serait préférable que je ne lappelle pas. Alors arrêtez de faire du zèle avec Moi, avec lhonnête citoyen que je suis et qui a toujours réglé ses impôts en temps et en heure et qui na absolument rien à se reprocher. Alors acceptez une copie de lacte de propriété, ce sera beaucoup plus favorable pour votre situation
Erika était, cette fois-ci vraiment déstabilisée, décontenancée. Ses jambes en tremblaient, elle qui se croyait intouchable, elle comprit de suite à qui elle avait à faire. Elle se sentait dun seul coup, toute petite, sensation quelle navait pas ressentie depuis son enfance. Même ses mots devenaient hésitants, et cest en balbutiant quelle trouva la force de capituler :
- Heu
je
je comprends
Heu
une co
copie fera donc laffaire
oui
oui, bien entendu
Mais nappelez pas mon directeur, sil vous plait, je
je ne veux pas dennuis et
je
vous présente mes excuses
- Ici cest à genoux quon me présente des excuses, jamais debout. Alors à genoux jai dit, répliqua le Seigneur dune voix ne permettant pas la contestation.
Erika troublée comme jamais, recula, avait-elle bien entendu ?
- Comment ? Je ne vous permets pas
Je
Etant déstabilisée, troublée, en disant cela, elle avait baissé les yeux presque naturellement comme pour se protéger du regard insistant et dominant du Châtelain. Le Noble avait même remarqué limperceptible attitude de la femme qui consistait à ne pas montrer son envie dobéir en faisant mine de se rebeller.
- Jai dit à genoux, salope ! Tu crois que je ne tai pas jugé dès le départ ? Tu fais partie de ces gens très insuffisants que je reconnais de suite au premier clin dil
Je te donne une minute pour te mettre agenouillée à mes pieds et gouter à ma verge
Alors choisit, soit tu prends cette copie, de lacte de propriété que je tai préparé et tu décampes et dans ce cas, compte sur ma discrétion, je resterai magnanime, je nappellerai pas ton directeur car je hais le chantage donc tu peux partir sans crainte pour ta carrière professionnelle, soit tu tagenouilles, texcuses tout de suite et tu me suces ensuite, salope !
Erika était une célibataire endurcie, Le Châtelain avait vu juste en évoquant quelque chose qui devait lui manquer, en effet elle navait pas vu de sexe dhomme depuis très longtemps, tant elle était exigeante et imbue delle-même. Mais le Noble représentait le type dhomme quelle cherchait sans même le savoir, classe et autorité, elle ressentait, elle réalisait quelle en avait vraiment besoin de se faire dominer. Jusquà ce moment, elle en navait même jamais eu conscience mais la situation fut pour elle comme une révélation... Elle était vaincue
Et cest ainsi quelle se mit à genoux devant le Seigneur des Lieux et sexcusa dune voix douce tout en sentant son bas-ventre réagir mais aussi un bien-être intérieur quelle se découvrait, comme si elle était à sa place, ce qui était dailleurs le cas. A partir de cet instant, sa vie en avait été changée
Maintenant et donc depuis trois ans, elle venait régulièrement au Château, regagner sa niche ou elle se sentait si bien au bon soin du Maître. Erika ne fut pas surprise de voir au pied du Seigneur un jeune chien encagé, Monsieur le Marquis savait quErika était soumise mais quelle aimait se défouler sur des chiens mâles et à ces moments là aussi elle devenait très vicieuse.
- Erika, je veux que tu toccupes de Chiennasse, je veux savoir sil ferait un bon mâle pour couvrir de temps en temps Mes soumises. Je te donne tout pouvoir sur ce chien.
Erika se leva et remercia le Maître, et questionna :
- Même le fouet, Maître ? ?
- Oui, mais dabord, jexige quil te prenne.
- Oui Maître, mais pourrais-je ensuite moccuper de lui avec un gode ceinture ? demanda Erika.
- Oui Ma chienne, mais dabord quil vienne en toi, je veux voir sil bande correctement avec une femelle et sil est capable de faire une saillie. (Le Seigneur donna les consignes) - Tout dabord, tu vas lui enlever sa cage de chasteté, puis tu te mettras en levrette et on va voir si son instinct de mâle prend le dessus, si tu trouves sa prestation insatisfaisante, je tordonne de le fouetter par la suite
Erika obéit et Chiennasse fut libéré de sa cage quil portait depuis deux jours. Sa molle verge était toute rabougrie. Erika en se mettant en levrette attendait que Chiennasse se comporte en mâle mais le chien soumis était comme anesthésié, sa nouille restait tout flasque. Monsieur Le Marquis voyant la scène sexclama :
- Allons Chiennasse, un peu dentrain, regarde le beau cul que je toffre, choisi le vagin ou lanus, aller, montre nous ?
Chiennasse se caressa la verge pour la réveiller, mais le Châtelain reprit :
- Non Chiennasse, pas avec les mains, un bon chien soumis comme toi pour aller à la saillie monte sur la croupe offerte, aller montre-moi
Patrick comprit lordre et il savança tel un chien et monta sur la croupe de la soumise Erika, enveloppant le dos de la soumise par sa poitrine incurvée. Il donnait des coups de reins pour essayer dintroduire son sexe dans le vagin mais comme le chien narrivait pas à bander, ces tentatives dintromission étaient vouées à léchec. Cétait cela que voulait vérifier Monsieur le Marquis, ce chien soumis était bon à être enculé, ce serait donc le rôle quil allait lui être assigné. Le Châtelain savait quil ne pourrait donc pas compter sur Chiennasse pour saillir Ses femelles. A peine encagé depuis 48 heures et il ne bandait déjà plus, mains peut-être quil fallait le stimuler autrement !
- Chiennasse au pied ! dit Monsieur le Marquis, regarde ta petite nouille, elle fait peine à voir, tu vas venir me lécher les pieds, je veux voir ta langue de chien sur mes chaussures.
Erika savait que Chiennasse naturellement allait prendre la position de la levrette, elle savait que le Maître allait aimer la scène puisque Il lui avait autorisé à enculer le soumis. Alors rapidement, elle prit le gode ceinture et prestement, il fut attaché autour de son bassin, la verge factice faisait bien 20 centimètres de longueur, cétait vraiment un gros morceau dressé. Une fois bien positionnée, elle vint viser avec le gland, bien imité, lanus de Chiennasse et en deux poussées le trou anal souvrit comme un fruit défendu. Chiennasse tout occupé à lécher les chaussures du Maître se trouvait aussi en position bien inconfortable. Erika pistonna alors le chien soumis et le spectacle quelle offrait au Maître des Lieux était pour le moins puissant. Patrick léchait avec application le cuir et en même temps gémissait comme une pute en chaleur. Sa bite mouillait mais il ne bandait toujours pas. Au bout de 15 minutes, Chiennasse sentit un filet de sperme couler de sa verge, le gode appuyait sur sa prostate et ce fut la première fois de sa vie que Chiennasse éjacula sans jouissance
Monsieur Le Marquis fit un geste de la main pour faire comprendre à Erika que le mâle soumis était prêt pour le fouet, il venait de jouir sans permission et il convenait de le corriger. Erika se saisit alors du fouet, attendant le signal du Maître qui sadressait au soumis par ces mots :.
- Chiennasse, puisque maintenant tu jouis tout seul sans autorisation alors que je tavais offert le cul dErika pour copuler
Tu crois que je vais te laisser faire ? Et bien non, cest une correction au fouet que tu vas recevoir, il y aura 10 coups, cest le premier niveau de correction pour toi que je tapplique. Tu vas te lever, mains écartées en appui sur le mur, croupe bien cambrée ave les jambes bien écartées.
Chiennasse sexécuta sachant bien que cette position allait déclencher le premier coup de fouet. UnSchlaaak fusa dans les airs pour retomber sur le corps du soumis, en effet le premier coup atteignit Chiennasse sur le bas du dos, la peau se marqua instantanément, une fine ligne de 25 centimètres là ou avait frappé le cuir. Il en fut ainsi jusquà la fin, Chiennasse avait le dos boursouflé mais il en survivrait. Cest quand le Noble lui dit quil pouvait chercher sa récompense que la douleur sestompa. Monsieur le Marquis attendait la bite à lair, bien dressée et Chiennasse allait pouvoir faire une bonne fellation au Châtelain. Patrick fit quelques mètres à quatre pattes une fois face au Noble, sa langue délicatement sempara du gland violacé. Ce nest quaprès avoir joué avec le gland et les testicules, que sa bouche sempara de toute la hampe longue et épaisse. Chiennasse pompait bruyamment, et voulait recueillir en sa bouche la divine semence. Le Maître savait à quel moment propice il devait lâcher son sperme, et cest quand le chien soumis ouvrit grand la bouche que le premier jet parti, Monsieur le Marquis juta par de longues saccades dans la bouche du soumis. Le Noble ordonna à tout avaler, ce que fit le soumis, très honoré de pouvoir avalé la noble semence
- Ah ! Salope, tu aimes ça, hein ? dit le Noble
- Oui Maître.
Monsieur le Marquis essuya son gland sur le visage du soumis. Une bonne recrue, pensa-t-il, vive les aléas de la mécanique !
(A suivre
)
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