Ma Rencontre Avec Monsieur
Javais dix-huit ans et je venais demménager sur Paris. Après des années à vivre dans un petit village isolé, je découvrais la capitale et la vie nocturne qui allait avec. Malheureusement, peu habituée, je ne savais pas encore comment en profiter. Sur les conseils dun ami de longue date, je minscrivais sur un site de rencontre mais sans grand succès. Les hommes avec qui je parlais étaient soit bien trop directs et meffrayaient, soit pathétiquement maladroits dans leurs techniques dapproche. Je continuais cependant de correspondre avec certain dentre eux.
Il y en avait un avec qui je parlais plus souvent que les autres. Nos conversations étaient assez anodines et, vivant dans le nord, il nétait présent à Paris que de temps en temps.
Plus les semaines passaient, plus il devenait curieux, séducteur, voir un peu coquin. Nous nous sommes accordés sur une rencontre juste après les fêtes de noël. Je rentrais donc en famille pour le réveillons, mais tous les soirs nous continuions de nous écrire. Il me cernait de mieux en mieux et devina sans que je neu à lui en parler les fantasmes secrets que jentretenais mais dont javais encore honte à cause de mon jeune âge et de mon manque dexpérience.
Pour commencer, il me proposa comme on propose un jeu dabandonner le tutoiement. Amusée, et aussi un peu excitée, jacceptais. Cest à partir de ce moment quil devint beaucoup plus cru et directif. Il minterrogea sur les expériences que javais déjà pu avoir : quel était mon avis sur la fessée, la gorge profonde, les menottes et bien dautres pratiques encore. Jétais intimidée. Cela faisait longtemps que je nétais plus vierge, mais je navais eu jusque là que des expériences très sages entre adolescents. Cet homme de quinze ans mon ainé me proposait des choses que je navais jusque-là pu quimaginer mais à mon grand étonnement : cela mexcitait énormément. Mon manque dexpérience ne sembla pas linquiéter bien au contraire.
Les règles étaient fixées : je lattendrai dans ma petite robe bleue, en talons aiguilles et sans aucun autre sous-vêtements quun porte-jarretelles. Je lappellerai Monsieur et ne parlerai que sil me le demandait.
Je suis assise sur mon lit, jattends, le cur battant. Je suis lavée, maquillée, habillée depuis plus dune heure. Cest la première fois que je reçois quelquun chez moi sans le connaitre. Cest pourtant contraire à tous mes principes : jaime me faire courtiser avant doffrir mes charmes à un homme. De plus, je sais quil est dangereux pour une femme seule de donner rendez-vous à un quelquun rencontré sur internet directement chez elle. Quimporte
Il mobsède, il hante mes nuits et mes fantasmes depuis trop longtemps maintenant. Je le veux. Je veux tout ce quil ma promis. Je veux le vouvoyer, je veux lui obéir, je veux lui appartenir le temps dune soirée. Mais jai peur. En serai-je capable ? Vais-je vraiment arriver à garder mon sérieux au moment de lappeler Monsieur ?
Mon portable sonne. Sans un mot, je décroche.
" Descends mouvrir. "
Il met immédiatement fin à la communication. Ça yest il est là, il est vraiment là
Je me regarde une dernière fois dans le miroir et je saute dans lascenseur, mi excitée, mi terrorisée.
Quand les portes souvrent au rez-de-chaussée, jai la désagréable surprise de tomber sur tout un groupe. Javais oublié que mes voisins organisaient une fête ce soir-là. Je me pétrifie sur place. Moi qui dordinaire mhabille de façon très décontractée, voir baboss, je nassume ni le maquillage sophistiqué ni la robe légère et très décolletée que je porte. Ces secondes semblent durer une éternité alors que je reste là, plantée dans ce minuscule ascenseur en regardant mes pieds.
" Cest bien
Cest très bien. "
Je me détends un peu alors quil passe doucement sa main dans mes cheveux. Mais tout à coup, ses doigts se serrent, il approche dun geste sec mon visage du sien. Je crois quil va membrasser mais il sarrête au dernier moment. Nos regards sont plongés lun dans lautre. Le mien est interrogatif, le sien est dur. Je sens nos souffles se mêler lun à lautre. Je nose plus bouger. A tout instant, les portes peuvent souvrir et nimporte qui nous surprendre. Cela na pourtant pas lair de linquiéter car il plonge une main ferme sous ma robe et y trouve un sexe nu et rasé -ainsi quil lavait demandé- quil excite avec une unique caresse puis il répète :
" Très bien
"
Nous arrivons au sixième. Il me relâche et mouvre même la porte dun geste galant. Dans le couloir, pendant que dune main tremblante je déverrouille mon appartement, jai le loisir de mieux lobserver. Il est grand, il est beau, il est viril, il me veut et je le veux. Je sais déjà que ce soir je ne pourrai rien lui refuser.
Une fois rentrés, je me rends compte que je nai toujours rien dis. Je pose mes clefs dans le vide poche et alors que je mapprête à lui proposer quelque chose à boire, je sens quil sest glissé dans mon dos et avant que je naie pu prononcer le moindre mot, il plaque sa main contre ma gorge et vient glisser sa bouche contre mon oreille.
" Tu ne parles que si je te le demande, tu te souviens ? "
Je sens un frisson dexcitation me parcourir le corps tout entier. Je joue donc le jeu, du moins cest ce que je pense, et ne réponds rien. Il accentue alors un peu plus létreinte quil exerce et reprend dune voix sévère :
" Tu te souviens ? "
Je comprends alors mon erreur et réponds timidement :
" Oui
" Il sert encore un peu plus sa main.
-Gentille fille
Ces quelques mots sont pour moi comme une décharge électrique. Je sens déjà mon sexe dégouliner dun désir ardent. Instinctivement, sans même men rendre compte, mon dos se cambre et ma bouche sentrouvre. Je suis offerte, fiévreuse dexcitation. Je voudrai quil me prenne là tout de suite sans plus de cérémonie. Mais il reste sans bouger, derrière moi. Je sens sa respiration dans mon cou, son sexe durcit à travers son pantalon et ses mains qui commencent à se balader sur mon corps. Nous ne parlons pas. Nous néchangeons même pas un regard. Ses caressent sont à la fois douces et rassurantes, mais aussi dune certaine fermeté. Cela semble durer des heures, comme sil voulait connaitre chaque centimètre carré de mon corps avant denfin lutiliser à sa guise.
Bien que rien ne men empêche, je nose esquisser le moindre geste. Pourtant, cette position est de plus en plus inconfortable. Je nai pas lhabitude de porter des talons et mes jambes tremblent de plus en plus. Dun moment à lautre, je sens que je peux perdre léquilibre. Cest alors que fermement, il me fait me retourner et me ratt juste avant que je ne tombe à la renverse. Je suis totalement à sa merci.
"Ca cest une bonne pute
"
Il me fait alors tomber à genoux devant lui et plaque son entrejambe contre mon visage avec force. Les boutons de son jean me font mal et sentant que jessaye de méloigner il renforce sa poigne et imprime un mouvement de va et viens contre ma joue. Je sens la forme de sa verge dure, son odeur qui me font bouillir denvie. Je ne peux plus attendre, il faut que je la touche, que je la goute ! Mais à peine ai-je esquissé un geste pour défaire le bouton de son pantalon quune main sabat avec violence sur ma joue.
Je suis choquée, cest la première fois que lon me gifle. Je caresse mon visage endolori, un peu perdue. Il le remarque et se penche vers moi pour membrasser. Il minterroge du regard : est-il allé trop loin ? Je suis bien e dadmettre que, passée la surprise, jai aimé ça.
Son sexe mapparait enfin, gonflé, puissant. Il est à quelques centimètres seulement de moi, je nen peux plus je le veux ! Mais il prend un malin plaisir à me frustrer. Il caresse mes joues avec son gland, le fait effleurer mes lèvres. Je le sens chaud et humide. Je le supplie du regard et ce nest quau bout de longues minutes dattente quenfin, avec un puissant râle de satisfaction, il lengouffre jusque dans le fond de ma gorge. Peu habituée, mes yeux se remplissent de larmes et je narrive pas à refreiner un haut le cur. Il me laisse reprendre ma respiration, me rassure en me caressant les cheveux et cest de mon propre chef que je ravale son sexe comme une affamée. Ma langue le parcours avec gourmandise, je mapplique du mieux que je peux à laspirer, à le satisfaire. Je nai que cette idée en tête : lui faire du bien.
Il dirige mes gestes avec de plus en plus dautorité. Au début il ne faisait quimposer un rythme en appuyant légèrement derrière ma tête. Maintenant, il me tient fermement par les cheveux et me gifle à chaque fois que mon regard quitte le sien. Ma vulve est en feu. Je sens la cyprine dégouliner contre ma cuisse. Je suis folle de désir, cela en devient presque douloureux.
Tout à coup, il attire ma tête en arrière et explose sur mon visage dans un long soupir de satisfaction. Cest la première fois que lon me recouvre de sperme.
Je reste par terre hébétée, mais toujours aussi excitée, pendant quil fouille dans les placards de ma petite cuisine. Il en sort deux verres quil rempli deau et men tend un que je vide rapidement. Dun simple geste, il me fait ensuite comprendre quil veut que jaille sur le lit. Mexécutant, je cherche du regard quelque chose pour messuyer mais il le remarque et puni cette insubordination dune fessée. Encore une fois, je suis surprise de voir à quel point cela mexcite. Je massoie donc dans le lit, mattendant à ce quil my rejoigne, mais vois avec surprise quil sinstalle dans ma chaise dordinateur et me fait face.
-Touche toi.
-Qu
Quoi ?
Jai mal entendu ? Me laisser faire jy arrive, mais là
Cest différent. La masturbation est encore quelque chose de très tabou pour moi. Jamais je noserai faire ça devant quelquun. Il se rapproche, affichant un visage dune grave sévérité. Il att alors lune de mes mains quil plaque contre mon sexe et me siffle avec un sadisme évident :
"Je veux te voir te faire du bien "
Très timidement, je commence à caresser mon clitoris alors quil retourne sassoir. Je nose même pas le regarder. Mes gestes sont brouillons, je ne suis pas à laise. Je fais cependant du mieux que je peux. Jécarte mes lèvres de façon à lui offrir une vue imprenable sur ma vulve et je me pénètre avec un doigt, puis deux
Du coin de lil, je laperçois déjà se durcir à nouveau, ce qui mexcite et mincite à y aller plus franchement. Je commence à gémir et me mord la lèvre en pensant à ce que les voisins pourraient entendre. Sans que je ne men rende compte, mon bassin commence à bouger, ma respiration saccélère, mon corps entier le réclame en moi.
Il fini par me faire signe de marrêter et mintime lordre de me mettre à quatre pattes. Je mexécute et quand il passe derrière moi mon bas-ventre nest plus que désir et douleur. A peine meffleure-t-il dun doigt que je lâche un râle incontrôlable. Mais ce doigt ne sarrête pas là et rapidement, il vient caresser mon anus. Jai alors un geste de recul.
-Je sais que ton cul est vierge. Laisse-moi faire, tu nauras pas mal, je te le promets.
-Jai
Ma voix est entrecoupée de gémissements denvie et de frustration. Jai peur.
Il me caresse tout doucement les fesses et pose même un baiser sur lune delles.
-Est-ce que tu me fais confiance ?
Jai quelques secondes dhésitation
-Oui.
-Oui ?
-Oui Monsieur.
Il introduit alors son pouce. Cest la première fois que quelque chose me pénètre par derrière. Je me crispe. Mais il prend son temps en me gratifiant de quelques caresses et paroles rassurantes. Quand il me sent prête, il ajoute un doigt, puis un autre. Je commence à y prendre du plaisir malgré une certaine anxiété. Il a gagné le premier combat.
Quand il présente son gland sur ma rondelle mon cur saccélère encore et je plonge le visage dans un oreiller au moment où il me pénètre. Violemment, il matt par les cheveux et redresse mon visage, ce qui me force à me cambrer encore un peu plus.
" Ne me prive plus jamais dentendre les effets que te fait ma queue. Salope. "
Il commence à me pilonner sans ménagement. Jai mal mais me sentir complètement abandonnée à lui mexcite énormément. Après avoir aperçu avec soulagement un emballage de préservatif je me laisse aller totalement, tant pis pour les voisins. Je sens son sexe aller et venir en moi, sa main qui claque régulièrement sur mes fesses qui commencent à rougir. Pour la première fois je prends du plaisir dans la douleur. Ma vulve qui palpite continue elle aussi de me faire souffrir. Elle nen peut plus, elle aussi veut être rassasiée ! Elle na toujours pas eu le droit à la moindre attention et mon désir me rend folle ! Mes yeux shumidifient, mes ongles se plantent dans le matelas, mes yeux se révulsent, je deviens dingue ! Et tout à coup, il se retire et séloigne dun pas.
" Maintenant tu nes plus vierge du cul et cest grâce à moi. Et ça tu ten rappelleras toute ta vie. Maintenant je crois que pour finir tu vas me sucer. "
Quoi ?! Non cest impossible ! Il ne peut pas me faire ça ! Pas maintenant ! Je le veux en moi, je veux sentir son sexe dans le mien, je veux quil me remplisse, jen ai besoin ! Je reste en levrette mais lève un regard suppliant vers lui. Un grand sourire lui barre le visage.
-Quest-ce que tu attends ?
-Jai
Jai tellement envie, jen ai besoin sil vous plait !
-Besoin ? Besoin de quoi ?
-De vous, jai envie de vous.
-Je nai pas bien compris, tu as envie de quoi au juste ?
Je nai jamais utilisé de mots crus au lit. Dordinaire ma timidité laurait emporté mais je suis tellement fiévreuse que les mots sortent eux même de ma bouche.
-Je veux votre queue dans ma chatte ! Jen peux plus jen ai envie je vous en supplie
Je reçois une fessée
-Je tavais donné un ordre il me semble.
-Oui mais
-Qui décide ici ?
-Cest vous
-Qui décide ici ?!
-Cest vous Monsieur !
Dun geste sec et sans prévenir il me pénètre. Je hurle de plaisir. Il empoigne fermement ma taille et me prend avec vigueur. Je ne contrôle plus ni mon corps ni mon esprit. A ce moment là ne compte plus que cette verge puissante qui me pilonne. Je suis à quatre pattes devant un inconnu qui vient de me sodomiser, jai encore le visage ruisselant de sperme et jaime ça ! Cest tellement bon !
-Dis moi ce que tu es !
-Une pute !
-Plus fort !
-Je suis votre pute ! Cest trop bon ! Encore, pitié encore !
Je jouie la seconde qui suit. Il me jette alors sur le sol et éjacule sur mes seins.
" Je vais revenir te baiser souvent. "
Je ne lai plus jamais revu mais, comme il me lavait promis, je ne lai jamais oublié.
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