Grandeur Et Décadence (Partie Iii)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mon sommeil est peuplé de songes confus, dans lesquels se côtoient réminiscences de ma vie passée et sexes tendus m'assaillant de toutes parts. Je m'y sens incroyablement légère, libre.
Pourtant, lorsque j'ouvre les paupières, je suis toujours nue, j'ai toujours le collier qui marque ma captivité bien fixé autour du coup, et les bracelets aux poignets et aux chevilles. Cependant, ces derniers ne sont pas liés : je suis libre de mes mouvements. Du moins physiquement. Mais je sais aussi que je suis libre d'assumer les conséquences si je fais un faux pas.
La lumière du jour filtre à travers les stores de la chambre et je suis allongée contre le torse brûlant de l'un de mes deux colosses. Ma tête est reposée sur sa poitrine, et mes seins écrasés sur sa ceinture abdominale solide comme le roc. Je m'aperçois avec étonnement que j'ai inconsciemment empoigné son sexe pendant mon sommeil, et je le tiens désormais, tendu, à pleine main.
Le deuxième colosse n'est pas en reste : il dort appuyé contre moi, en cuillère. Son vit, lui aussi bien dur, est appuyé contre mes fesses, et sa main caresse mon sexe humide.
Sentant que commence à bouger, le premier colosse me lance :
"Eh, salut ma jolie. Bien dormi ?"
J'esquisse un sourire :
"Comment ne pas dormir le mieux du monde en si bonne compagnie ?"
Il rit et dit à son comparse :
"Regarde-moi ça, c'est qu'elle serait presque fayotte, la salope."
Ce dernier éclate à son tour de rire, puis rétorque :
"Mais non, c'est juste qu'elle apprend vite."
Puis à moi :
"Pas vrai que tu apprends vite ?"
"Oui. Très vite. J'ai soif d'apprendre."
Il rit de plus belle.
"Soif d'apprendre... T'as raison mon gars, c'est une sacrée fayotte. Allez, avoue que t'as surtout soif de bite."
L'autre colosse s'exclame :
"Tiens ça me donne une idée ! Fous-toi à genoux par terre : désormais, chaque matin tu nous suceras au réveil.
Je m'exécute sans discuter, sachant très bien ce qui m'attends si je refuse.
Ni une, ni deux, les deux costauds se lèvent, et me présentent leurs sexes tendus.
Sans me faire prier, je commence à les branler avec de grands gestes lents. Je m'applique, je fais mon plus beau regard implorant. Je veux les exciter, je veux qu'ils aient envie de me baiser. En fait, je dois avouer que la déception d'hier m'a transformée en véritable "folle du cul", pour reprendre les termes de mes tortionnaires.
Au moment où j'avance la tête pour prendre l'un des deux sexes en bouches, le propriétaire de l'autre sexe m'att par le collier pour me retenir. Je m'arrête net.
"Qu'est-ce que tu fais ? Pourquoi tu t'arrêtes ? Tu es censée nous sucer tu te rappelles ? Tu voudrais pas nous décevoir quand même ?!"
Je le regarde, incrédule. Puis je comprends. Ils veulent m'humilier. Me montrer à quel point j'ai besoin de leurs sexes.
Sans plus réfléchir, je m'élance vers le vit qui se dresse devant moi, sans grand succès puisque mon autre bourreau me retient par le collier. Ils éclatent de rire. Je tends le bras, je tends la tête, je tente désespérément d'attr le trésor. Je dois avoir l'air d'une malade, pourtant je m'en fous. Je veux sucer cette bite, je veux mon petit déjeuner, et surtout je veux rentrer dans leur jeu, être obéissante.
Plus je me démène, plus le collier m'étrangle. Et plus le collier m'étrangle, plus ils rient.
Puis, enfin, après un effort qui me parait interminable, la force qui retient le collier lâche. D'un coup.
Je me précipite sur la bite et l'enfourne dans ma bouche comme si ce gland était la plus délicate des friandises. D'ailleurs à cet instant précis, il m'apparait comme la plus délicate des friandises.
Je crache dessus, je le branle avec les lèvres, j'y met la langue, je remonte, j'embrasse le bout du gland, puis j'enfourne le tout le plus loin possible au fond de ma gorge.
Pendant ce temps, la deuxième bite nous a rejoints et se tient à quelques centimètres de mon visage.
Les deux sadiques n'en finissent plus de se marrer. En fait ça m'excite. Je ne sais pas si c'est le sentiment d'humiliation, ou le résultat de l'abstinence, mais je suis déchaînée. J'en veux.
Ne sachant plus où donner de la tête, ou bien de la bouche, ou bien de la langue, enfin ne pouvant me résoudre à ne sucer qu'une bite à la fois, j'essaye d'enfourner les deux en même temps
L'essai est peu concluant, alors je ne met pas longtemps à me résigner à repasser à une méthode plus classique.
Je redouble d'efforts, je branle, je suce, je lèche comme une folle. Je m'aventure même jusqu'à leur gober les couilles.
Et enfin, le premier des deux décharge dans ma bouche. Je regarde l'auteur de la jouissance, satisfaite. Seule une malheureuse goutte perle au coin de mes lèvres, ce à quoi je remédie d'un coup de langue avide. Mon généreux donateur sourit et m'ordonne :
"Bien, maintenant avale."
Je ne me fais pas prier. Pourtant, son camarade, jaloux, s'empare d'un martinet de ma collection personnelle et me saisit par les cheveux.
"C'est pas fini sale pute !" hurle t-il en forçant sa bite dans ma bouche à peine vidangée du sperme qui venait d'y être versé.
D'une main, il me tient les cheveux pour me forcer à sucer à son rythme, de l'autre il m'envoie de grands coups de martinet sur le cul.
"Alors t'aimes ça sucer ? Fais-moi voir comme t'aimes ça !"
Il est de plus en plus violent, aussi bien pour me tirer les cheveux, que pour me flageller.
Les coups qui redoublent m'arracheraient des hurlements de douleur, si son énorme sexe ne venait pas les au fond de ma gorge.
Finalement, il se vide à son tour dans ma bouche en un long râle. Les coups de martinet cessent, il me lâche les cheveux, puis se ressaisit :
"Fais-moi voir tout ce que t'as dans la bouche, sale pute.
J'ouvre la bouche pour bien montrer.
"Attention, pas une goutte à côté. On t'a déjà fait ta toilette hier soir, si tu t'en renverses dessus tu passeras la journée couverte de sperme, je te préviens." lance l'autre bourreau.
Ils commentent tous deux leurs performances, se félicitent, et moi je reste là, la bouche pleine de sperme.
Puis, après un long moment de congratulations mutuelles de mes bourreaux, on m'autorise à avaler "mon petit déjeuner."
"Bon, maintenant c'est l'heure du nôtre, de petit déjeuner. File, et tâche de nous faire quelque chose de bon, j'ai une faim de loup." m'ordonne t-on.
La cuisine étant en plein vis-à-vis avec la rue, je me dirige vers le placard pour prendre de quoi me couvrir.
"Euh, je peux savoir ce que tu fais ?"
Interloquée, je me retourne.
"Mais je..."
"Y a pas de mais, tu te souviens pas de ce qu'on t'a dit ? Les vêtements c'est fini pour toi. Mis à part lorsqu'on aura besoin de te faire faire des courses, tu seras toujours nue, faudra t'y habi."
Je baisse les yeux, et vais leur préparer leur petit déjeuner, toujours toute nue, et honteuse, en espérant qu'un passant n'aura pas la bonne idée de regarder par la fenêtre.
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