Le Manoir Mclaughan - Chapitre 5
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
« Madame a-t-elle faim ? »
Je hochai la tête, des larmes coulant toujours de mes joues. Je me redressai doucement de la table. Javais dû mendormir un moment, mais je navais aucune idée de lheure quil était. Une douleur sempara alors de ma poitrine, sans que je comprenne tout de suite de quoi il sagissait. En regardant mes seins, je vis quAlbert y faisait couler de la cire chaude de deux bougies rouges. La cire atteignait mon corps en le brûlant, puis y restait collée.
« Madame promet dêtre sage ? »
Je hochai à nouveau la tête, trop faible pour bouger de toute façon. Je sentis alors quon me détachai, tout en me laissant les menottes et le bâillon, puis des mains me soulevèrent et me déposèrent sur le fauteuil percé que javais vu précédemment. Là, enfin, la boule me fut ôtée de la bouche, mais je restai silencieuse. Je sentais toujours le plug bien enfoncé dans mon anus, et javais du mal à distinguer le visage dAlbert, mais cétait bien lui qui me tenait prisonnière de cette affreuse grange.
« Je ne peux libérer Madame pour le moment, jai peur quil soit trop tôt et que la punition nait pas été tout à fait assimilée. Alors je vais lui donner à manger. Si Madame se conduit convenablement, je ne la fouetterai pas. »
Lhumiliation suprême : Albert coupa ma viande et me donna les morceaux les uns après les autres, comme un dun an. Il sembla prendre un malin plaisir à rater un peu ma bouche pour chaque fourchette de purée quil me donnait, ce qui eut rapidement pour effet de men mettre un peu partout sur le visage. Mais ce fut pire avec la crème au chocolat, quil neut aucun remords à renverser délibérément sur ma poitrine qui lui était offerte.
« Oh, que je suis maladroit. Madame voudra bien mexcuser, je vais lui en chercher une autre. Je vais quand même lui remettre le bâillon, au cas où.
Je me levai malgré tout du fauteuil, et fis quelques pas pour me détendre les muscles. Mon fessier me faisait toujours mal, mais, à ma grande satisfaction, je réussis à marcher presque normalement, malgré le sol irrégulier de lécurie. De la crème au chocolat coula le long de mes seins et pris inlassablement le chemin de mon sexe, mais je ne puis larrêter. Comme jétais entièrement épilée, rien nempêcha le chocolat de recouvrir rapidement mon clitoris. En temps normal, jaurais certainement apprécié la scène, mais cette fois, il me fallait me concentrer ailleurs.
Cétait ma seule chance déchapper à ce monstre, et de prouver à mon mari qui il était vraiment. Je marchai le plus rapidement possible vers la sortie, et regardai au dehors. Par chance, Albert avait laissé la porte entrouverte, pensant certainement quil me serait impossible darriver jusquici. Il faisait jour, on devait approcher de midi, et il ne pleuvait plus, bien que tout était détrempé.
Je mengageai prudemment sur le chemin de terre qui menait à lentrée du domaine. Il fallait que jatteigne la route au plus vite, peut-être que quelquun me trouverait alors. Peut-être même que mon mari nallait plus tarder. Bien quil fut assez boueux, le début du chemin semblait assez stable. Je commençai donc à courir à tout petit pas, mes seins lourds ballotant à droite à gauche, avec mes mains coincées derrière mon dos qui ne maidaient pas à garder léquilibre.
Jaccélérai autant que je le pus, et je sentis que le sol était de plus en plus meuble devant moi. Ça et là, des flaques deau boueuses éclaboussaient mes cuisses lorsque je mettais le pied dedans. Je crus entendre du bruit derrière moi alors que je dépassai le manoir. Je regardai dans toutes les directions, y compris vers le manoir, mais il ny avait personne. Je continuai à courir malgré tout, mais le sol finit par avoir raison de moi. Mon pied droit senfonça un peu trop dans la terre détrempée, je tentai de rétablir mon équilibre par le gauche mais la chaîne mempêcha de faire un grand pas, et je me sentis basculer. Je métalai alors de tout mon long dans la boue, la tête la première, sans aucun espoir damortir ma chute avec mes mains attachées.
Ma tête senfonça dans la boue, tout comme mes seins. Je réussis à la retirer au prix dun bel effort, mais jétais totalement aveuglée. Je tentai de me tortiller pour me redresser, mais je ne pus que me frotter sur le sol, tandis que je mimaginai nue, pleine de boue, les mains attachée, bâillonnée, et rampant comme elle pouvait pour séchapper.
Après quelques minutes defforts vains, jentendis très distinctement plusieurs bruits dappareils photos, le même genre que ceux de la nuit précédente. Je pensais quAlbert avait dû emprunter lappareil photo de mon mari, lorsque jentendis :
« Je ne veux pas me salir pour aider Madame. Madame a désobéi et devra se charger toute seule de se sortir de cette situation. Que Madame se tourne sur le dos, ce sera ensuite plus simple. »
Avec colère et lénergie du désespoir, je réussis à me basculer sur le dos, au prix dun nouvel effort. Mes fesses plongèrent à leur tour dans la boue. Je sentais le liquide visqueux sintroduire dans mon vagin, mais je navais pas le temps de marrêter à cela.
« Encore un effort, que Madame montre quelle a de beaux abdominaux, en plus de ses belles fesses et ses beaux seins.
Je ne fis pas attention à la dernière remarque. Car le majordome avait raison, il était plus facile de se redresser sur le dos. Je réussis à masseoir, puis à basculer sur les genoux, et enfin à me lever, toujours les yeux fermés sous une épaisse couche de boue. Je sentis alors un poids autour de mon cou, et je compris que le majordome avait dû me passer un épais collier. Puis le bruit dun clic, comme une chaîne. On me tira alors vers lavant, et je sus que je devais être attachée à une laisse, comme un vulgaire animal.
Le spectacle devait être très surprenant pour quiconque aurait pénétré sur le domaine à ce moment-là. Un majordome traînant sa soi-disante maîtresse, une jeune blonde aux gros seins, en laisse, les mains menottées dans le dos, en porte-jarretelles et bas résilles, une boule dans la bouche, sur des talons extrêmement haut et reliés entre eux par une courte chaîne. Un plug anal était soigneusement dissimulée entre ses fesses. Et surtout, cette maîtresse était pleine de boue des pieds à la tête, ses cheveux continuant de dégouliner sur les rares parties de son corps qui nen étaient pas couvertes.
Le majordome me fit remonter lescalier du manoir, à mon grand soulagement. Je navais aucune envie de retourner dans lécurie après tout ce qui sy était passé. Je gravis difficilement la vingtaine de marche, toujours enchaînée. Puis je me sentis immobilisée et tirée vers le haut.
« Jaccroche Madame au clou au-dessus de la porte dentrée, le temps quelle sèche. Je ne peux pas laisser Madame rentrer dans cet état. Lorsquelle sera redevenue sage, Madame pourra peut-être reprendre une vie normale.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!