Voyage De Fin D'Etudes 2
Le lendemain,matin, jémergeais peu avant dix heures. Je balayais la chambre du regard, et constatai que Karine avait déjà déserté la chambre, son lit soigneusement refait. Je me levai et moctroyai un bon quart dheure sous une douche bienfaisante.
Je sortais de la douche, en finissant de me sécher les cheveux, et me retrouvai face à Karine, habillée de pied en cap dune courte jupe évasée, et dune veste serrée à la taille, souvrant sur un bustier rouge qui tranchait avec le gris souris de lensemble. Je remarquai les bas à coutures et les escarpins ouverts mais vernis.
« Beau spectacle » apprécia telle.
La serviette de bains quitta aussitôt ma tête pour venir masquer mon intimité, e tje ne trouvais pas grand chose à dire :
« je pensias, enfin, je croyais que, jétais seul et.. »
« Pas de soucis, je viens juste récupérer deux ou trois affaires, un maillot de bain, une serviette
» Joignant le geste à la parole elle ouvrit les tiroirs de sa commode et entassa les affaires dans un sac de plage tressé. Puis, elle sen fut en me jetant.
« Claque la porte en partant. »
Quelques minutes plus tard je rejoignis la salle du breakfast, et avisai Frédéric. Je minstallai près de lui.
« Nelly nest pas là ? »
« Elle est remontée dans la chambre. » répondit il.
« A propos de chambre, je voulais savoir si elle allait rester dans la notre. »
« ah, oui, je vois, cest génant,mais »
« Non, non, pas de problème pour moi, mon pote. Elle peut rester. »
« Oui, cest sympa, mais , tu vois, elle est habituée, apparemment, mais moi, jaime bien mon intimité, et dans des chambres à trois
»
« Ok, je vois, mais tu sais, ne ten fais pas pour moi, je trouverais un endroit pour dormir. Vous écouter faire des galipettes toute la nuit, nest pas à mon programme. «
« tu es sur que ça ne te gène pas. ? »
« pas du tout, mais demande donc à Liam, le voici qui arrive.
Liam sassit et me mit une bourrade dans les côtes.
« Dont Bullshit me ! tu sais bien que Monica est en vacances avec ses parents. En plus elle est affublée dun pseudo boy friend. Elle ma déjà avoué quelle voudrait sen débarrasser, mais il voyage avec eux. Sa chambre est communicante avec celle de son père, et le boy-friend . Autant dire quil ne faut pas espérer grand chose de ce côté là. »
« Mais alors, tu dors où ? » lui demandai-je
« Vu que la chambre est Squattée par Fred et sa copine, et que je ne voulais pas tenir la chandelle. Je suis allé demander à Desplats. En fait, il ma dégoté une chambre avec un grand lit, depuis hier. «
« ça va arranger tes amours avec la perfide Albion. »
« Oui jespère, en tout cas , aujourdhui , le père emmène le boy-friend à la pêche au gros.
Monica a décliné linvitation. On doit se retrouver pour aller à la plage. Jai fait un peu de repérages. Il y a des criques sympas, un peu plus loin. » se réjouit il.
« En tout cas, Fred, voici ton soucis résolu. Tu vas même pouvoir rapprocher les lits , ce qui t fera un grand terrain de jeu. »
« Ouais, merci les copains, Nelly sera super contente quand je vais lui dire. En plus elle va pouvoir ramener ses affaires. «
« En tout cas, moi, je nai que des solutions temporaires, les gars. Mes affaires restent donc dans la chambre. » précisai-je
« Pas de soucis , tu as ta clé, de toute façon . Mais noublie pas de frapper avant dentrer. « conclut Frédéric « bon, je vous laisse les gars, on se verra peut-être à la plage. » Il sortit, croisant Valérie et Babeth.
« Jadore ce gars là » me confia Liam « je suis content de la voir avec une nana. Je pense que ça lui manquait. »
« Je laime bien aussi. Evidemment tout le monde ne peut pas avoir ta carrure dathlète, pour impressionner les gonzesses. »
« Oh, ça va, tu te débrouilles pas mal à ce que je sais » rigola til
« Cest vrai que ces temps-ci, ça semble rouler, sans que je sache trop pourquoi.
« ou peut-être cherche telle chaussure à son pied ? une sorte de Cendrillon. »
« En tout cas, ça a lair de pas mal semboiter » lança Liam hilare
« Ton humour, na vraiment rien dAnglais Liam. Tu as malheureusement chopé le côté graveleux des français. » lui dis-je
« Salut les garçons, « lancèrent Valérie et babeth en sinstallant à notre table.
« Salut les boudins ! » lança Liam, qui devant leur tête, précisa aussitôt quil plaisantait.
« Aujourdhui, cest journée farniente, ça vous dit de venir à la plage avec nous » demanda Valérie
Liam, déclina linvitation , ayant dautres projets, mais jacceptais volontiers, et proposais aux filles de passer les chercher. Puis Liam et moi, partimes dans la chambre, où, heureusement il ny avait personne pour linstant. Jenfilais un bermuda, et un T-shirt Propre, et entassai dans un petit sac, mon appareil photo, un slip et un short de rechange. Puis jenfilais des sabots. Liam avait aussi fait son barda pour la journée, et sen alla rejoindre son anglaise qui devait frétiller dimpatience. Je descendis dun étage et, dans le couloir, croisais Mr DESPLATS qui sortait dune chambre.
« Mr Desplats ? »
« Ah, bonjour Steve, me dit il, visiblement géné »
« Cest létage des filles ici » lui precisai-je
Il me prit par le bras, et mentraina dans la chambre tout proche, dont il referma la porte. Cétait la même que la notre, sauf quelle était équipée dun grand lit.
« Jai prêté ma chambre à votre ami Liam. Du coup, il a fallu que je trouve une autre chambre » me confia til
« et ce ne serait pas la chambre de notre jeune tour-opérator ? « risquai-je
« euh, je sais que vous mavez vu, hier sur la terrasse. Je vous ai vu aussi. Après tout nous sommes ici en vacances, et pour en profiter. Notez bien que je suis célibataire, mais je ne souhaite pas que cette histoire sébruite trop.
A ce moment, notre guide sortit de la salle de bains, et à notre vue, plaqua sa serviette sur sa nudité.
« Ah, jignorais quil y avait du monde ». Elle devait avoir dans les vingt six ou vingt sept ans, avec des formes pleines, mais pas trop forte. Son visage lisse et ovale était encadré dun casque de cheveux bruns coupés au carré, avec une frange sur le front. Sa peau mate faisait ressortir ses yeux Bleus clairs. Elle sétait figée, dos à la baie vitrée, a moitié éclairée par la lumière qui flitrait entre les rideaux fermés.
« On voit très bien votre reflet dans la vitre. » lui précisai-je
Elle se retourna alors, offrant à notre vue, une ravissante paire de fesse, confirmant ce que nous avions vu dans le reflet. Se rendant compte de sa bévue, elle fit de nouveau demi-tour, le rouge aux joues.
« Professeur, vous avez un goût très sur. » lançai-je en sortant « ne craigniez rien, e suis une tombe. »
Je me retrouvai, dans le couloir, sourire aux lèvres, car quoi de plus réjouissant que le spectacle dun beau cul, et allai frapper à la porte de Valérie.
« Ah quand même, on a failli attendre, me lança Babeth. Clara est déjà partie. Quest-ce qui ta pris tant de temps ? »
« Un soucis de fenêtre » répondis-je en souriant.
La plage était vaste, et déjà bien remplie, mais nous trouvâmes encore un espace, vers les rochers, avec un peu dombre pour épargner ma peau. Les serviettes furent vite étalées, et après un premier bain, tout le monde sétendit pour profiter de ce beau soleil et récupérer de nuit épuisantes. Clara, qui nous avait rejoint déplora labsence de Liam, et partit quelques temps plus tard avec Laurent qui était venu linviter car ils allaient, avec Lionel, faire un tour en bateau. Un loueur, proposait des pédalos, des jet-skis en des zodiacs à la location. Je passais alternativement de la crème solaire, sur les peaux de Valérie, déjà très brune, et de Babeth, dont lépiderme dorait maintenant, et je profitais de leurs soupirs daise quand mes mains malaxaient le bas de leur dos, ou longeaient leurs poitrines.
Lionel arrivait, lui, avec un jet-ski, Jeane collée à son dos. Laurent , débarqua et tendit la main aux trois donzelles toutes vétues dun simple slip de maillot, qui montèrent sur le ponton en riant.
« Cest super sympa, tu devrais essayer. Il y a des criques vachement belles tout autour. »
Lionel et Jeane débarquaient à leur tour et se debarrassèrent de leurs gilets de sauvetage, avant de courir sallonger sur la plage. Les tarifs étaient abordables, et je décidai de proposer aux filles un tour en bateau. Si Valérie venait seule, je louerais un jet-ski, et si Babeth venait, je prendrais un Zodiac.
Quand jarrivais près des filles, Frédéric et Nelly étaient là, et se joignirent à nous. Le zodiac était un peu plus cher, mais Frédéric partagea les frais avec moi, et nous embarquâmes tous les cinq. Cétait un gonflable motorisé par un moteur hors bord de 50cv, largement suffisant pour nous emmener tous. Valérie , Babeth et Nelly, sallongèrent sur le grand matelas qui occupait lavant du bateau, tandis que Frédéric, restait avec moi, pour se familiariser avec la manuvre. Je croisais à petite allure pour méloigner de la plage, mais, une fois à bonne distance, je décidais de pousser un peu le moteur. Le canot, léger, déjaugea instantanément, et prit de la vitesse, sur le petit clapot. Un large sillage décume nous suivait. Les filles, un peu secouées, sétaient agenouillées cheveux au vent, face à lavant, et cramponnées au filin qui longeait le boudin, saluaient de cris aigus les gerbes dembruns qui venaient les asperger, de temps en temps.. Je longeai la côte pendant un moment et ralentis en atteignant un endroit plus découpé, de petites criques rocailleuses se succédant, avec parfois, une langue de sable blanc, au fond. Je dirigeais le canot vers lune delle et y entrais au ralenti. Mes passagers sémerveillaient de voir les fonds rocheux alterner avec le sable clair, au travers de leau émeraude. A la demande générale, je me dirigeais vers une petite plage déserte qui finissait la crique, et, après avoir relevé le moteur, laissai le zodiac courir sur son erre, jusquà séchouer sur le sable. Les filles sautèrent sur la plage, et coururent explorer les environs, pendant que Frédéric maidait à tirer le zodiac au sec, par mesure de sécurité.
Les filles revinrtent rapidement vers nous.
« Incroyable, on est vraiment seuls. Il ny a même pas un sentier daccès » commenta Valérie. « Bien sur en escaladant la falaise, cest possible de descendre, amis pas facile. »
« On peut rester un peu ? » demanda Nelly
« On a un peu de temps « leur confirmai-je. « mais si vous voulez vous baigner dans une crique aussi paradisiaque, cest nus comme au premier jour quil faudra le faire !. » et joignant le geste à la parole, je me débarrassais prestement de mon bermuda et partis en courant dans leau claire. Je remontais à peine de mon plongeon quand jentendis, autour de moi que dautres mavaient suivi, et sébattaient avec bruit. Me retournant, je vis que seule Babeth était encore sur le sable, hésitant encore, mais nos appels répétés eurent raison de sa pudeur, et elle détacha dabord son soutif, quelle déposa sur le bateau, puis sa culotte, et savança doucement dans leau. Cétait la première fois que je la voyais nue. Elle était de taille moyenne, navait pas de gros seins, et était plutôt filliforme, mais cétait une fausse maigre, qui avait quand même des hanches, et un ventre plat, presque imberbe de vraie blonde. Valérie me pinça soudain.
« Quest ce que tu regardes ?, me lança telle »
je me retournais vers elle, et lattirant près de moi, lui rétorquai
« pas dexclusivité, cest toi qui la dit. »
Nous jouames un long moment dans leau , et Valérie suggéra que nous fassions un peu dexploration sous marine. Nous avions assez de Masques et de tubas, mais Frédéric et Nelly préférèrent rester sur la plage, arguant que Nelly, ne nageait pas très bien.
Sur quils allaient sadonner à dautres jeux. Babeth, Valérie, et moi nous équipâmes de masques et palmes, fournies avec le bateau et en nageant, observâmes les fonds marins. Alors que le sable blanc était parsemé de bancs doursins, les rochers, étaient labri de tout un tas de petits poissons argentés, de formes diverses, cherchant sans doute leur nourriture . Régulièrement Valérie, en tête, plongeait vers le fond, suivie de Babeth, et cétait un régal pour moi, de les suivre, profitant à chaque immersion de leurs culs ruisselants deau qui émergeaient un instant avant de sengloutir, les suivant avec délectation, espionnant aussi bien les poissons que leurs entre-jambes qui souvraient, à chaque brasse, dévoilant leur corolle, avant que les puissants muscles fessiers, ne referme le compas de leurs cuisses, cachant à ma vue ces trésors. Après une longue baignade sous marine, nous rejoignîmes la plage, et vinrent goûter un repos mérité étendus sur nos serviettes. Frédéric et Nelly, toujours nus, étaient endormis lun contre lautre.. Je proposais aux filles de leur passer un peu de crème solaire, et commençais par Babeth, qui avait déjà renoué les ficelles de son bas de maillot. Après avoir fait son dos, je lui demandais de se tourner, ce quelle fit. Je ne pouvais voir ses yeux derrière ses verres solaires, mais quand je passais sur ses seins, je sentis leurs pointes sériger sous mes doigts ? Après avoir enduis ses jambes, je remontais vers ses cuisses qui restèrent soudées. Je me tournais alors vers Valérie et entrepris de lui enduire la peau. Elle aussi avait ses lunettes de soleil, mais je commençais à la connaître et je massais longuement ses seins, pinçant légèrement les pointes en passant, puis je descendis sur son ventre, et ses jambes pour aller jusquà ses pieds, que je caressais longuement, passant mes doigts entre ses orteils. Je remontais en malaxant les mollets, caressait le pli du genou et glissais ensuite sur ses cuisses qui sécartèrent pour laisser passer mes doigts. Je finis par encadrer ses grandes lèvres de deux doigts, et les écartais, découvrant laccès de sa chatte dun rose éclatant. Pis je lui dis de se tourner, et entrepris de la masser, des épaules jusquau pieds..Mes mains longeaient se côtes et descendaient sur ses fesses, plongeant ensuite sur ses cuisses, et remontant pour revenir malaxer les muscles fessiers, avant de repartir sur le dos, cherchant ses vertêbres sous la peu. Peu a peu mon massage se concentra sur le haut de ses cuisses quelle écarta , me livrant laccès a son intimité. Je glissais mes doigts dans le sillon, remontant jusquà son petit trou, écartant les fesses. Je sentis quelle glissait quelque chose sous son ventre et son cul se souleva, dévoilant son abricot, épilé, comme un fruit défendu prêt à être cueilli. Je massurai dun coup dil que les deux amoureux dormaient. Babeth , à plat ventre la tête dans les bras, sétait endormie aussi. Je caressai lentrée de sa chatte qui souvrit rapidement, et jenfonçai deux doigts dans sa cavité toute humide de désir que je commençai à masturber. Les soupirs de Valérie mencouragèrent , après lavoir dument lubrifié à se cyprine, à insérer un doigt dans son trou du cul, qui se tendit vers ma main réclamant une caresse, plus appuyée. Les jambes maintenant largement écartées, son bassin roulait sous ma main inquisitrice, et ses mouvements étaient ponctués de légers gémissements. Elle souleva dun spasme son cul embroché, et retomba dans un soupir. Je dégageais mes doigts que jessuyais à la serviette, et surpris un mouvement sur ma droite. Toujours allongée à plat ventre, Babeth avait maintenant sa main entre ses jambes, et dou jétait, je voyais ses doigts sagiter sous le tissu de maillot. Je décidai de lignorer et allai me rafraichir à la mer. Une heure plus tard, nous étions de retour à la plage, soigneusement et pudiquement sanglés dans nos maillots. Nous avions dépassé lheure mais le loueur ne nous en tint pas rigueur. Nos ombres sétiraient sur la plage, qui sétait bien vidée, mais nous restâmes encore un long moment, accoudés sur nos serviettes, face à la mer, regardant le soleil décliner sur lhorizon. Je fis quelques clichés de ce crépuscule paradisiaque, puis nous primes le chemin de lhôtel. Nous avions, le soir même un diner, dans un restaurant typique pas très loin. En chemin nous décidâmes de diner à la même table, le premier sur place réservant la place pour les autres, et je leur demandai de penser à une place pour Liam, qui serait là.
Le restaurant était à quelques centaines de mêtres de notre hôtel. Nous avions repris des tenues civilisées. Jean blanc et chemise de soie noire pour moi. Pantalon gris perle, chemise bleu pâle et veste écrue sur des mocassins gris pour Liam. Frédéric avait revétu une chemise à motifs mexicains, Bleue et blanche et un ensemble pantalon noir et spencer qui seyaient parfaitement à sa silhouette longiligne. Les filles, qui nous avaient devancés, nous accueillirent avec des bravos et des sifflets. Nous fîmes part de notre admiration devant leurs tenues, à la fois habillées et suggstives. Nelly, vétue dune courte robe bleu marine serrée à la taille par une large ceinture, était aussi grande que Frédéric, juchée sur des nus-pieds blancs à talons. Clara, qui sétait jointe à notre tablée, avait adopté un style grunge, avec un jean savamment déchiré , et un haut à motifs bleutés transparent, recouvert dun ensemble de longs colliers, qui, quand ils bougeaient, laissaient entrevoir ses seins nus sous sa blouse. Valérie avait ressorti ce long fourreau moulant, qui la couvrait juquaux chevilles avec une parfaite indécence. Des plateforme shoes lavaient dotée de 15 cm en plus, accentuant son élégance sculpturale. Quand à Babeth, elle sétait laissé tenter par un ensemble en lin, pantalon, et battle dress, largement échancrée sur une gorge libre de tout soutien. Nelly saccrocha au bras de Fred et ils allèrent sinstaller à la table, la plus au fond du restaurant, que les filles avaient réservéef. Nous les suivimes en traversant la salle, saluant au passage des compagnons de promo que nous navions pas encore croisés, aujourdhui. Liam sinstalla en bout de table, contre la vitre , et Clara vint se poster à sa droite. Valérie sassit en face de Liam, et moi en face de Clara.. Babeth sinstalla à ma gauche, en face de Fred, qui se retrouva entre Nelly et Clara. La table fut complétée par Jeane, puis par Mr DESPLATS, et Notre guide qui se prénommait Jackie. Desplats lui fit les présentations ; et quand il arriva à moi, elle ne put sempêcher de laisser filer :
« Ah oui, nous nous sommes vus
»
« Au bar , lautre soir, la coupai-je » en voyant les yeux de Desplats sarrondir. « mais jétais déguisé en femme. »
« Oui, dir elle se rendant compte de sa bévue. Et moi en Homme » compléta telle
« ce qui vous allait très bien, ajoutai-je, mais toutes les tenues doivent vous aller à ravir » conclu-je, ne résistant pas à la r gentiment.
« Cest gentil, merci, » dit elle avec un sourire, alors que Desplats me fusillait des yeux.
La sangria arriva et les toast fusèrent, les uns après les autres.Je ne sais si cest la sangria, bien fraiche, ou trop de soleil, ou le vin rosé, peut-être, mais je suis incapable de dire ce que nous avons mangé. Quand je refis surface, la salle de restaurant était quasiment vide, et nos cavalières désespérées contemplaient Liam endormi, la tête dans son vomi ; je nétais pas au mieux moi-même, mais jentendis, au travers dun brouillard, des voix féminines, discuter pour arriver à dire quelles ne pouvaient pas nous laisser là. Je sentis quon maidait à me lever, et soutenu de chaque côté, je fus trainé à lextérieur, ou lair de la nuit, me réveilla un peu. Soutenu et dirigé, jentamais alors la plus longue marche de ma vie, et sombrais à nouveau dans lascenseur.
Je me réveillais sous la pluie, avant de réaliser que ce nétait que la douche tiède qui coulait sur mon corps nu, tassé au fond de la baignoire. Diable, quel mal de tête ! et qui mavait fait ce sale tour ?Je neux pas longtemps à attendre. La porte souvrit et Valérie entra. Elle ota sa superbe robe et apparut nue.
« Oh Valérie, ricanai-je bêtement en tendant les bras vers elle. Elle se pencha et prit le pommeau de la douche.
« Désolée, mais jai besoin de ça » dit elle, et après sêtre aspergée elle se savonna et se rinça sous mes yeux et quitta la salle de bains sêtre séchée. Quelques minutes plus tard, le même scénario se produisit avec Babeth, qui me laissa au fond de la baignoire. Quand Clara entra à son tour, je criai « STOP ! » et mextirpais de la baignoire. Je menroulais vaguement dans une serviette et entrais dans la chambre. Le premier lit était vide, et je my effondrais. Avant de mendormir, jentendis une voix :
« et voilà, je vais dormir où, maintenant ? » Je sombrais dans un coma tout noir.
Je naviguais dans des limbes obscures, une sorte de brouillard dou surgissaient des ombres fantomatiques, évocations de mes camarades qui disparaissaient aussi vite absorbées par un nouveau brouillard. Le rideau de brume se déchira et je fis surface, dans une chambre qui visiblement nétait pas la mienne. Des formes imprécises occupaient les lits autour de moi. La pièce était dans la pénombre. Jentendais des murmures, et une perceuse lancinante essayait de disloquer mon crâne. Jessayais malgré tout de me concentrer, et me tournait vers le lit sur ma droite, où, dans la semi obscurité, je reconnus deux visages tournés vers moi. Liam et Clara, me regardaient fixement. Leurs lèvres bougeaient, mais je nentendais pas leurs mots. Quelquun me toucha, et je me retournai pour voir Valérie nue debout, à côté de mon lit, qui me souriait. Et puis la pièce se mit à tourner, et le trou noir mabsorba de nouveau.
Quand je revins sur terre, la pièce était encore dans la pénombre, mais lobscurité était moins dense, ou plutôt, la lumière filtrant entre les rideaux était plus forte. La migraine était toujours là, mais mes idées étaient un peu plus claires. Jétais sur le lit du milieu. Le lit de Valérie. Je me tournais et la vit. Allongée sur le lit de gauche, elle était avec Babeth. Toutes deux, nues, allongée tête bêche, se caressaient, et se donnaient du plaisir, chacune la tête entre les cuisses de lautre, langues et mains fouillant et cajolant les chairs intimes. Ce jeu dun érotisme intense leur arrachait des soupirs et des murmures de satisfaction.
Sur le lit de droite, Clara, à quatre pattes, subissait les assauts de Liam,avec des cris de bonheur. Je reposai ma tête sur loreiller et refermai les yeux.
Un peu plus tard, je me réveillai, encore vaseux, mais mieux, tout de même. Je massis sur le lit, et Valérie, toujours nue, vint sasseoir sur le bord du lit.
« Jai dormi longtemps ? »
« pas mal, il est 10h »
Je jetais un coup dil au lit où Babeth, nue dormait, à plat ventre.
« Tu nas pas dormi avec moi ? »
Elle sourit de ma question.
« Dormir, mais on ta veillé avec ton pote, parce que vous aviez lair au plus mal. Vous navez pas cessé de nous peloter, et de fourrer vos mains partout. »
« On a fait quoi ? »
« pas grand chose de cohérent. Vous nétiez pas en état de fonctionnement si tu vois ce que je veux dire. Quand vous avez fini de vomir, vous vous êtes endormis. Je tai donc laissé mon lit, pour aller dormir avec Babeth. »
« Dormir ? »
« Oui, je suis bi, et nous avons passé deux ans à linternat avec Babeth et Clara. Suffisamment pour nous découvrir. »
« Donc elles sont bi, toutes les deux » demandai-je
« Non, Clara est exclusivement hétéro, et Babeth est presque exclusivement lesbienne. »
« presque ? »
« Oui ça lui arrive de temps en temps de se laisser aller dans certaines circonstances. »
« Et Fred, et Nelly ? »
« Ah, ces deux là, ils sont hétéros. »
« Oui, ça je men doutes, mais ils sont où ? »
« Ils étaient moins émméchés que vous, et ils ont rejoint la chambre de Fred. Heureusement, dailleurs, parce quici, cetait un peu complet. »
« On a pas ? » demandai-je , sentant un début dérection se développer
« Non, rien du tout »me confirma telle « mais, il serait peut-être temps de sy mettre « dit elle en se serrant contre moi.
Je me laissais tomber sur le dos et elle vint menjamber, saisissant mon mat, au passage, pour mieux sembrocher dessus ;
« Ah, quand même ! Je nai pas gaché ma soirée pour rien » dit elle en montant et descendant le long de ma verge qui , je le sentais, grossissait en elle..
Jempoignais ses seins, et entrepris de les agacer, jusquà ce que ses tétons ne soient que deux excroissances de chair, dures comme la pierre, et continuais ainsi, sans les lâcher, alors quelle coulissait de plus en plus vite sur ma queue . Repliant ses jambes, elle sinstalla à croupetons et lança un mouvement dascenseur sur ma queue, sortant et rentrant à chaque passage, avant de revenir sempaler, son sexe venant taper, à la rencontre du mien, dans un mouvement puissant et régulier, qui nous amena tous deux à un orgasme brûlant.
Toujours emboités, nous basculâmes sur le côté, en nous embrassant, et elle attrappa le drap pour nous recouvrir chastement. Nous étions dans nos caresses, post coitales, quand la porte de la salle de bains souvrit, et Liam en sorti, vétu dun caleçon, le cheveu humide. Il ramassa un paquet de cigarettes et un briquet sur une table, et se faufilant entre les rideaux, sortit sur la terrasse.
« Il a lair sacrément costaud » me dit Valérie tout bas. « Quand on vous a ramené ici, il était dans un état, encore pire que toi. Cest pour ça quon vous a gardé. On avait peur quil nous fasse un coma éthylique. On la deshabillé et on la mis sous la douche, pus on la sorti avant de ty coller. Il a vomi plusieurs fois, mais ne reprenait pas conscience. TOI, tu es sorti tout seul de la douche et tu tes vautré sur mon lit. Alors on sest relayées pour rester contre vous, et sentir si vous respiriez bien. Tu tes contenté de dormir. «
« pas vomi ? »
« Non tu as été plutôt propre » dit elle avec un peu dironie dans la voix « évidemment, tu taccrochais à tout ce que tu pouvais palper quand nous étions près de toi, et tu disais des mots incompréhensibles, mais dans lensemble, nous avons pu te gérer. »
« Et Liam non ? »
« tu plaisantes, après avoir vomi dans tous les seaux que nous avons trouvé, il a eu un sommeil agité. Il a essayé de baiser Babeth, puis moi, et finalement cest Clara qui a réussi à le calmer. Mais alors quelle santé. Je nai pas compté, mais je peux te dire quelle doit avoir le cul en feu. »
« Et toi, tu las comment ? » demandai-je en me sentant reprendre un peu de vigueur.
Elle accompagna mon mouvement en passant sa jambe par dessus la mienne, reprenant une oscillation qui nous entrainait déjà vers un autre round
« Encore un peu froid, mais tu peux peut-être quelque chose pour moi. »
Elle sétendit, sur le côté, son buste perpendiculairement au mien, et je mappuyai su mon genou pour projeter mon bassin , faisant danser nos corps langoureusement, mes mains caressant son ventre, cherchant son clito, pour le titiller, tous en sentant sous mes doigts, ma colonne de chair la remplir toujours plus. Nous eûmes un long orgasme partagé, et nous désunimes pour mieux continuer à nous caresser sous les draps. Sur son lit, toujours allongée sur le ventre, Babeth la tête maintenant tournée vers nous nous observait , en souriant.
Je me levai bientôt pour aller me doucher, et empruntais une brosse à dents, pour chasser mon haleine de lendemain de beuverie, qui devait être fétide. Je retrouvais mon slip, mais il avait été lavé et pendait sur un cintre, avec dautres affaires, chemises, entre autres, que nous avions dû bien tacher, la veille. Je trouvais un serviette de bain que jenroulais autour de ma taille, et repassais dans la chambre. Jaurais bien fumé une cigarette et me dirigeai vers la terrasse. En écartant le rideau, je tombais sur un spectacle que je nattendais pas. Clara, à genoux, faisait une pipe magistrale à Liam, qui effectivement, semblait avoir bien récupéré. Elle le pompa quelques instants, mais il la fit relever, et laccouda à la balustrade, et vint la prendre en levrette. Alors quil lui imprimait un tempo bien sauvage, elle se cramponnait au rebord, un pied sur la table basse, bien écartelée. Il la besognait si fortement que ses seins lourds ballotaient à lextérieur de la façade, et elle se mit rapidement à crier son bonheur.
Emoustillé par ce spectacle, je fis demi tour, pour tomber sur un autre. Valérie, allongée sur le dos, le bus relevé contre la tête de lit, avait entre ses jambes, Babeth, qui, à quatre pattes, lui butinait les seins. Elle descendit ensuite entre les jambes écartées, pour venir lui brouter le minou. Attiré par son cul, relevé, je mapprochai et posai mes mains sur ses hanches. Elle eut un mouvement de recul, et souleva la tête, la tournant vers moi, puis reprit sa tache, écartant un peu ses cuisses en signe dassentiment. Je commençai par caresser sa chatte que je trouvais humide, et après quelques caresses, me dégageai de la serviette pour venir pointer mon sexe à lentrée de son abricot. Lintromission se fit en douceur. Je me sentais serré dans cette matrice souple et brulante. Me positionnant au plus près de son cul, je la pistonnais longuement, pendant que de sa langue elle faisait jouir Valérie. Celle-ci, son plaisir pris jugea opportun de me prévenir.
« Babeth na pas de protection, ne jouis pas en elle. »
Tenant compte de son avertissement, je me dégageai bien avant dêtre au bord de lexplosion et continuai à la caresser de mes mains. A ce moment, sa main saisit mon pénis et lamena devant son petit trou. Devant cette invitation, je commencer à appuyer mon gland sur lorifice. Le passage était étroit, et je dus la lubrifier plusieurs fois , usant de mon doigt pour assouplir sa rondelle. Mon gland progressa difficilement, mais cette résistance me donna une rigidité de fer, et , la barrière franchie, mon sexe coulissa facilement dans son cul. Je me mis à la limer, de plus en plus fort, la cramponnant aux hanches, sentant la chair de ses cuisses frémir à chaque contact. Javais limpression davoir entre les jambes, un bout de bois qui pouvait rester raide mais ne donnerait aucune sève. Jaccélérais la cavalcade, secouant cette monture sans ménagement. Elle se mit à crier, dabord doucement, puis de plus en plus fort, et je sentis la lave monter en moi, de très loin. Je sentais une coulée de feu qui se frayait un chemin en moi. Les mains de Valérie, qui avait changé de position, englobèrent mes couilles, les soulevant en les caressant, et je sentis son doigt venir forcer mon anus. Les chevaux se libérèrent enfin et mon volcan laissa jaillir sa lave, longuement, mon pelvis collé au cul de Babeth.
Elle se dégagea, dun coup et partit vers la salle de bains. Elle se retourna vers nous, et dit :
« Cest cadeau pour Valérie. » avant de senfermer.
Valérie maccueillit sous les draps et nous nous blottîmes lun contre lautre.
Liam, entra dans la chambre, et lança :
« jai entendu des cris. Jai manqué quelque chose ? »
Clara le suivait, toujours nue. Elle se jeta sur son lit et senroula dans le drap.
« ça va Clara ? » demanda Valérie.
« ça va, mais ce gars là » dit elle en désignant Liam « Il est pas possible. Je crois que jai pris en une nuit, pour dix ans de baise. Jai mal partout ! »
« ah ! je sais il a bandé comme un âne toute la nuit, et on a eu toutes les peines à lui échapper » rigola Valérie
« Vous aviez une bête de sexe dans votre classe, et vous lignoriez. Mais la bête sest réveillée, et vos minous sont en danger » clama lintéressé en se frappant la poitrine.
« Eh superman, nen fais pas trop quand même, » lança Valérie « tu étais moins fier hier, quand on a dû te porter jusquici ! »
« peuh, juste un incident de parcours »lâcha Liam, en revêtant son pantalon. « bon où est ma chemise ? »
« dans la salle de bains, elle sèche. Clara la lavée parce que tu avais vomi dessus. »
« Dame Clara, vous êtes décidément parfaite en tous points » sinclina til en se tournant vers elle. « Bon, je suppose que pour aller jusquà ma chambre, le pantalon suffira.
Quelques instants plus tard, je quittais aussi la chambre, les filles ayant visiblement du sommeil à rattr, et me dirigeais vers la mienne. Je frappais à la porte et enendis un
« entrez ». La pièce avait changé daspect, Frédéric avait rapproché les trois lits simples, ce qui dégageait totalement lespace autour, la faisant paraître plus grande. Les tourtereaux étaient allongés côte à côte, sagement recouverts dun drap et dun couvre lit.
« Je ne fais que passer, mais jai besoin daffaires. »
« entre, tu es chez toi » me dit Nelly « Je voulais te remercier, justement pour la chambre. »
« oui, nen parlons plus. Ça a été vous, hier soir ? » menquis-je
« nous oui, » repondit Fred, mais Liam et toi, vous naviez pas lair bien. Ça va lui ? »
« Oui, il a récupéré mieux que moi, en fait. Mais quest ce quils ont mis dans leur sangria ? »
« Elle tapait pas mal. Je men suis méfié et me suis contenté du vin » précisa Frédéric
« et moi, je bois très peu, ajouta Nelly, et malgré ça jétais un peu pompette. »
Après avoir enfilé des vêtements propres, je les abandonnais et allais frapper à la 428.
La porte sentrouvrit sur Karine, qui me voyant, fronça les sourcils.
« ça veut dire que tu vas squatter en permanence ? » me jeta telle
« Je nai pas dautre chambre, donc, jen ai bien peur. »
« tu as bien dû en trouver une pour passer la nuit dernière. »
« enfin, la nuit dernière cétait un peu particulier
»
« oui, je lai entendu dire. Problèmes dalcool ? »
« je ne me suis pas assez méfié des boissons locales. »
Elle me laissa entrer, et jallais me préparer pour aller à la plage, où je pourrais dormir sous la caresse du soleil.
Karine, maquillée comme une reine de Sabah, sen fut après mavoir donné un double de clef. Finalement, je ne devais pas la déranger tant que çà.
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