La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1132)
Une nouvelle lopette au Château (suite de l'épisode N°1130)
Monsieur le Marquis essuya son gland sur le visage du soumis. Une bonne recrue, pensa-t-il, vive les aléas de la mécanique !
Chiennasse baissa la tête et sentit quun filet de sperme du Seigneur coulait le long de son cou, le soumis était vraiment une bonne pute, mais du travail restait à faire pour quil devienne la chose du Maître. Le Châtelain comptait aussi féminiser Chiennasse car le chien-soumis avait démontré face à Erika quil sétait comporté comme une lope. Le Noble ordonna :
- Walter, remet au Chenil cette lopette mâle qui ne réclame que des queues. Ensuite rejoins-moi dans mon bureau.
Le Majordome poussa Patrick dans sa cage du Chenil, et après lui avoir remis la cage de chasteté, il se dirigea vers le Château ou lattendait le Noble. Une fois dans le luxueux bureau, le Châtelain lui montra un croquis quil venait de réaliser, on pouvait distinguer sur la feuille le dessin de Chiennasse équipé de sa cage mais habillé aussi de bas noirs et dun porte-jarretelles. Le Majordome remarqua aussi que le Maître avait dessiné des tétons saillants et percés, pour chacun, dun anneau.
- Walter, je vais faire un cadeau à notre ami garagiste, il est tellement seul que Chiennasse peut être un bon animal de compagnie mais avant de lenvoyer rejoindre Paul, je veux que ce chien soumis soit appareillé comme il se doit. Tu iras donc chercher auprès de Marie, un ensemble de bas noirs et un porte-jarretelles. Concernant le travail des tétons nous laisseront ça au mécano, il doit avoir dans son atelier de quoi étirer puis percé les seins de Chiennasse
Sur ce, Le Maître prit son téléphone et composa le numéro du mécanicien.
- Bonjour Paul, dit le Noble.
- Bonjour Monsieur le Marquis, que puis-je pour vous ?.
- Vous vous rappelez du propriétaire de la moto ?
- Oui bien sûr, une vraie pute, si vous permettez Monsieur le Marquis
-Eh ! bien sachez, mon bon ami, que je vais vous lenvoyer pour quelques jours.
- Bien, formidable, cest une généreuse proposition que jaccepte avec envie !, dit le mécano et il remercia chaleureusement le Noble.
Monsieur Le Marquis demanda à son Majordome daller chercher Chiennasse et à Marie de ramener la tenue de pute. Le Maître savait que ces ordres seraient rapidement exécutés. Walter et Marie rentrèrent pratiquement en même temps dans le bureau peu de temps après. Bien entendu, Chiennasse était à quatre pattes et tenu en laisse. Le Châtelain annonça ses projets au chien soumis.
- Tu te rappelles ce solide mécano qui ta pris dun coup de queue ?
- Oui Maître, dit Chiennasse.
- Eh bien, je tenvoie chez lui pour quelques jours, mais dabord regarde la jolie tenue que tu devras mettre, Marie montre lui.
Marie dévoila alors les dessous qui allaient faire de Chiennasse une pute prête à être baisée à tout moment.
- Bien entendu, tu devras garder ta cage de chasteté, tu auras fier allure... Quest-ce quon dit ?
Chiennasse ne répondit pas, inquiet à lidée dêtre à la merci de ce pervers garagiste qui lui avait démonté le cul si brutalement. Voyant le peu dentrain de Chiennasse, le Maître haussa le ton.
- Comment ? Tu ne dis rien ? Même pas un remerciement ? Cest un comble ! Marie, occupe-toi de cette pute remet là dans le bon chemin, comme tu sais si bien le faire.
Marie remercia son patron et dit à Chiennasse tout en sasseyant sur un pouf près des fesses du soumis.
- On na pas trop fait connaissance tous les deux, tu vas voir quelle est mon rôle au sein du Château, cest de corriger les ptites salopes comme toi. Viens à mes pieds à quatre pattes sur le tapis
La cuisinière mit un gant de crin qui permettait daugmenter la douleur lors de la fessée et avant que Chiennasse se demande ce quil allait arriver.
- Paf ! Alors tu vas obéir Paf !
Marie frappa de plus en plus fort et sans retenue, pour le plaisir.
- La douleur, cest ça que tu aimes ? Paf ! dit-elle
Patrick commençait à mugir de douleur
- Paf ! Paf ! Paf !
- Allez, répond quand je te parle, cest la douleur que tu aimes ? Parle salope !
- Cest
Paf ! Aie
Paf F ! Cest
je crois le fait que vous me fassiez mal et mhumiliiez, Madame, je pense
Paf F ! Aie ! Mais
Paf ! pas la douleur
Paf ! en elle-même.
Marie caressa alors doucement les rougeurs sur sa fesse causée par le gant de crin de cette volée de fessées, mais elle la caressa avec sa main qui nétait pas gantée. Elle sentait sa peau frissonner sous ses doigts. Le soumis ne savait pas si elle allait à tout moment le frapper très fort ou le caresser. Tous les sens de Chiennasse étaient à laffût. La cuisinière a alors regardé son anus, rose et encore petit malgré les intromissions de ces derniers jours.
- Jimagine que tu aimerais être enculé aussi ? Ça peut être humiliant, surtout par une femme.
- Oui Madame, répondit Chiennasse
En entendant cela, le Noble prit la parole.
- Je laurais parié et tu te refuses à aller chez notre ami qui a si bien réparé ta moto, je suis surpris, tu as bien travaillé toute la journée et ton comportement me plaisait jusquà présent !
- Merci Maître, dit le chien soumis. Je souhaite tout faire pour Votre plaisir.
- Continue Marie, ordonna le Maître, estimant que cette simple réponse ne suffirait pas.
- Écarte les jambes, salope
Chiennasse à quatre pattes écartait les genoux. Marie, malgré la cage de chasteté, voyait le pénis, turgescent comme jamais, qui pendait sous lui, animé dune petite secousse à chaque claquement du gant de crin
Paf ! Paf
- Remercie-moi, la pute, de prendre de mon temps pour te donner une volée de fessées, exigea Marie
- Merci Madame de
Paf ! Paf !
- Comment ? Ne cesse pas de parler pendant que je te frappe, salope.
Et pendant quil parlait, la cuisinière le mitraillai dune série de coups dune force qui surprit Chiennasse
- Merci
Paf ! Madame
Paf ! de
Paf ! vous
Paf ! occuper
Paf ! ainsi de
Paf ! moi.
- Qui te soumet, là, maintenant ?
- Cest vous, Madame.
- Es-tu heureux de ça ? Es-tu heureux dêtre à genoux devant moi, pour moi ?
- Oh oui, Madame. Ça me rend heureux et je ne désire que ça, Madame, dit Chiennasse.
Le Noble estima que la punition suffisait et que le chien soumis avait compris qui tenait la baguette mais il exigea que Marie gode la future lopette pour que son anus soit bien dilaté pour la grosse verge du mécano. La cuisinière enduisit alors lanus de lubrifiant et appuyât dessus le bout du gode quelle avait prestement ceinturé autour de sa taille. Elle appuyait un peu plus fort, mais pas assez pour le faire pénétrer. Alors la cuisinière lâcha le gode et elle se remit à frapper Chiennasse. Paf ! Ces coups étaient entrecoupés des gémissements et des cris du chien soumis. Estimant que Chiennasse était prête, elle reprit le gode de sa main droite et elle appuya fermement sur lanus tout en le poussant à lintérieur. Chiennasse lança un cri :
- Ah ! Ah ! Ahh !
- Quoi ? Jai rentré plus loin le gode dans ton trou de lopette.
- Ahh ! Madame !
- Cest mieux. Tu es content de te faire enculer comme ça ?
- Oui Madame ! Jaime
- Tu te sens comme une véritable salope ?
Pendant ce temps, Marie de la main gauche faisait faire des mouvements de va-et-vient avec le gode.
- Oui, je me sens comme une salope, Madame !
- Tu aimes être défoncé comme ça, sale chien ? Paf ! Paf ! Paf !
- Aïe ! Oui Madame, défoncez-moi, Madame ! dit Chiennasse tout excité
- Tiens ! Pauvre cochon ! Sale mâle soumis ! Tiens pour toi ! dit Marie en besognant le cul de la lopette
Cest à ce moment-là quelle attrapa les couilles entre les deux jambes de Chiennasse avec la main droite.
- Vas-y, mon petit chien. Lèche ton nonos, dit la cuisinière
Le chien soumis ne se fit pas prier, il lécha tout le jus de la chatte de Marie qui restait sur ses doigts. Cela faisait un moment quil navait pas recueilli la moiteur dun sexe féminin. La cuisinière satisfaite lui enleva le gode des fesses et failli lui mettre dans la bouche, mais elle savait que certaines choses étaient réservés à Monsieur le Marquis
(A suivre
)
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