Collection Dominant Domine. Ma Belle-Mère Croit Me Piéger (1/2)
Jai épousé Léopold, il y a deux ans, contre la volonté de ma belle-mère.
Cest une femme au regard méchant imbu de sa personne et surtout de son argent, il est vrai quelle est à la tête dune immense fortune.
Elle est divorcée et elle a vu en moi une arriviste qui en voulait à sa fortune en épousant son fils, la prunelle de ses yeux, surtout venant dun milieu modeste.
Elle avait raison sur un seul point, ma moralité, dès le premier coup dil, dès la première minute, dès la porte de sa demeure franchie, son regard qui me transperce et tout est dit, même si ce regard tueur est réciproque.
Depuis cinq ans que je me suis fait prendre mon pucelage par un inconnu rencontré dans un bar, layant suivi dans un hôtel où il vous fait subir tout ce quune femme normale découvre au fil des mois ou des années.
Dautant plus si vous aimez être une salope, vous ne sortez pas pendant deux jours, vous vous faites servir vos repas dans votre chambre, apprenant à faire des fellations, avant douvrir les cuisses pour perdre votre pucelage.
Deux jours où il soccupe de votre anus le sodomisant, ce que jai adoré et de votre vagin entraînant légèrement une douleur de trois jours, que vous acceptez, car au fond de vous vous savez quaprès la pluie vient le soleil.
Pendant les années suivantes, il est vrai que jai rarement cherché du travail régulier, gagnant quelques billets ici ou là avec des hommes qui navaient de cesse pour me faire plaisir douvrir leur portefeuille.
Attention, quand je parle de portefeuille et dargent, je nai pas été une pute, mais quand mon amant du moment me faisait vivre chez lui, me faisant des cadeaux, jacceptais jusquau moment où je recouvrais mon indépendance.
Dans cette période, deux ans avant mon mariage, jai connu Miky joli brin de fille qui comme moi ayant une vie assez dissolue.
Avec elle, dès notre première rencontre, encore dans un bar, endroit que jadore fréquenter y trouvant souvent pleins de surprises, elle ma amené dans son loft, quelle loue et ma appris les amours féminins.
Jadore la sucer, surtout son clito assez développé, je laspire dans ma bouche, jusquà ce quelle crie son plaisir ainsi que nos chattes que nous réunissons et que nous frottons jusqu'à atteindre le plaisir, bien supérieur procuré par la verge dun homme.
Est-ce la tendresse qui se noue entre nous, alors que les hommes sont des queues qui nous aident à vivre notre quotidien, jen suis quelle part persuadée.
Un soir, Micky ma entraîné dans une boîte, bon chic bon genre, rencontrer son flirt du moment.
Comme nous disions entre nous, nous entrions chez le beau linge, car à porte de cette boîte, les physionomistes savaient reconnaître ceux qui avaient du fric aux traîne-savates qui avait été notre quotidien depuis que, javais appris à mémanciper.
Ce qui ma beaucoup plu, outre le cadre irréprochable, cétait le nombre de bouchons de champagne qui sautaient à chaque table, ouvert par les clients friqués.
Certains biberonnaient au whisky, mais le champagne était roi.
Cest là que jai fait la connaissance de Léopold fils dune grande famille descendant de la révolution où lancêtre avait fait fortune dans le coupage de tête daristos en saccaparant leurs biens.
Une famille pas très belle à la base, mais qui depuis sétait donné des airs de respectabilité.
Jai joué les vierges effarouchées par le sexe pour convaincre Léopold quil allait trouver en moi la vierge de sa vie.
Micky toujours aussi inventif ma aidé à faire croire à ma belle-famille que leur fils avait épousé une jeune fille pure.
En tant que première et seule demoiselle dhonneur, elle avait réussi à décider ma belle-mère que cétait à elle que revenait le droit de nous apporter notre petit-déjeuner au lit, vers midi.
Connaissant la pudibonderie des hommes de la famille que jintégrais lorsquelle a frappé, Léopold sest levé et a filé vers la salle de bains, chez eux un homme avait interdiction de se montrer, même seulement torse nu, devant une femme qui plus ait une jeune femme.
Anaïs écarte les cuisses vite.
Rapidement, elle a sorti de sa poche une fiole où à lintérieur, se trouvait du même groupe sanguin que le mien.
Pour cela, elle ma avoué avoir couché avec un étudiant en médecine qui lui a fourni la fiole prétextant une blague de potache faite à une copine.
Elle a mis des gouttes de sang sur les draps du même resus que le mien à lendroit où la verge de mon mari était entrée en moi.
Dans son scénario, au moment de la pénétration, je devais pousser un petit cri, ce que javais fait comme sil mavait fait mal.
Bien sûr, après ma première perforation supposée, jai évité de jouir pour quil pense quil sy était mal pris.
Je le fréquentais depuis assez longtemps pour savoir quil était puceau à vingt-trois ans.
Lexcitation de la première fois, on fait quil ma rempli la vulve dans les deux minutes qui ont suivi.
Micky a pensé à ce subterfuge, ayant lu un ouvrage sur les grandes cocottes royales sen servant après se faire baiser afin dépouser des vieux beaux quand le moment de trouver à se casser se faisait sentir, leur beauté se flétrissant.
Lorsque nous avons rejoint nos invités encore présents dans le parc de leur propriété de Levallois-Perret, elle a traîné vers notre chambre et a vu ma belle-mère emporter le drap souillé.
Elle pouvait saccrocher si elle faisait analyser le sang grâce à ma copine, elle aurait confirmation que cétait bien mon groupe sanguin et que son fils avait bien dépuceléeune vierge.
Cet épisode des draps ma montré jusquoù elle était capable daller pour protéger leur pré carré.
Rapidement, je la voyais contrariée que nous ne lui annoncions pas une future naissance.
À ce moment, je ny suis pour rien, je fais mon devoir conjugal correctement même si lentrain que je mets au lit dépasse rarement le cadre de la bienséance dans notre couple.
Bien sûr, jai fait semblant de découvrir la position de la cuillère lorsquun matin, jai senti sa queue venir agresser ma rosette.
Jen ai profité pour me relever comme si ce mouvement était naturel et de me placer en levrette.
Rapidement, il ma enculé semblant avoir une bonne pratique du trou anal.
Je dois reconnaître que depuis ce jour, jai eu des doutes sur son homosexualité me donnant limpression que la sodomie, il connaissait déjà.
Une amie à lui, un soir où elle avait légèrement abusé du champagne dans la boîte où je lavais rencontré, dans un slow langoureux se frottant sa chatte contre la mienne, mavoua quavant moi, cétait avec de beaux mâles bien virils quon le voyait.
Elle ma appris que, lorsquil ma proposé de mépouser, cétait un grand black qui avait ses faveurs et que cest sa mère qui la poussé à convoler pour que leur fortune reste dans le giron familial en ayant une descendance.
Ce quelle ne semblait pas appréciée, cest que ce soit moi, une petite salope quil est levé alors quelle espérait quil épouse bleu.
Nayant rien à redire sur mon dépucelage, grâce à la fiole de Micky, cest à Cabourg, ville de leur villa de vacances, tout près de la plage, que tout a évolué.
Je suis parti avec ma copine me reposer suite à un virus qui mavait abattu.
Jétais déjà venu avec Léopold pour que nous nous reposions de notre voyage de noces, un jour quil était parti faire lentretient de notre voiture, je me suis permis de fouiller les pièces pour découvrir quelques secrets de famille.
Dans la chambre de ma belle-mère, jai fait une trouvaille exceptionnelle.
Au bas de larmoire une malle en osier fermée avec deux petits cadenas.
Lintelligence est assez limitée dans cette famille, quelques minutes auparavant, javais vu deux petites clefs dans la table de nuit de madame mère.
La malle ouverte, je suis effarée, plusieurs paires de menottes, une laisse pour chiens avec son collier, cravaches, boules pour obstruer la bouche, sans oublier le martinet indispensable pour tout bon dominant.
Joubliai, une magnifique guêpière en cuir noir avec gants et cuissardes montantes au-dessus des genoux, à la dArtagnan.
Bref tout un matériel sado-maso.
Javais encore du temps, jai essayé lensemble que je trouvais assez saillant.
Jai tout remis en place, je voulais faire découvrir à ma copine ma trouvaille, jai attendu le bon moment, mon mari partant dans le Sud pour un séminaire et ma belle-mère recevant son amie Marguerite ayant fait le chemin inverse, habitant Bordeaux ou son mari lavait emmené vivre après leur mariage.
Je savais que nous serions tranquilles, ma belle-mère tient, je ne me souviens pas vous avoir dit son nom, Gisèle, recevant son amie était coincé à Paris.
Je venais de mettre la guêpière et les cuissardes, je demandais à Micky de me présenter ses fesses, la cravache, elle a beaucoup aimée, d'autant plus quétant novice dans ces pratiques, je ne tapais pas très fort.
Cest au moment où jallais taper plus fort à sa demande que jai entendue du bruit, quelquun montait lescalier en bois massif, qui dans cette vieille bâtisse a craqué.
Jai suspendu mon geste, faisant signe à Micky de se taire, elle venait de pousser ses premiers cris.
Nouveau craquement, on essayait de nous surprendre
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