Kristine5

Quelques minutes plus tard je me suis préparée pour mon travail. J’étais suffisamment à l’heure pour ma réunion. Damien a insisté pour me conduire au boulot dans son auto. La réunion s’est déroulée à merveille. Je n’avais pas eu le temps de stresser comme c’était toujours le cas et mes arguments sont sortis avec précision et clarté.
- Vous avez été très bien, Kristine me dit Olivier. Je pense que nous avons réussi à convaincre nos partenaires.
J’étais particulièrement détendue au boulot. Les heures passaient et les décisions s’enchaînaient sans heurts. Mon anus irrité me rappelait mon inconduite du matin et attisait ma culpabilité de m’être comportée comme une traînée en me laissant enculer par mon beau fils sur mon temps de travail. C’est pourquoi je redoublais d’énergie alors que d’habitude j’avais tendance à me laisser aller à la routine. A 16h45, mon téléphone sonna.
- Kristine, c’est Damien. Je passe vous prendre dans une demi-heure à votre bureau. Je souhaite que d’ici vous ayez enlevé votre culotte et que vous l’ayez jetée à la poubelle. J’ai une surprise pour vous. Si vous désirez que votre vie change, il faut aussi que vos habitudes changent.
-Vous êtes fou! Je me suis exclamée en oubliant qu’Olivier était dans le bureau.
Il m’a jeté un regard un regard étonné. Je devenais rouge de confusion et je baissais les yeux.
-Très bien, je serai là à l’heure convenue. J’ai raccroché.
-C’était ma voiture, Olivier. C’est plus cher que prévu, ai-je tenté de me justifier.
-Si vous voulez que je vous accompagne pour régler le problème...
-Je vous remercie, mais mon beau fils doit passer pour m’emmener au garage.

Je me suis rendue comme une automate aux toilettes où j’ai baissé ma culotte avant de la jeter dans la poubelle réservée aux serviettes hygiéniques. Dans les couloirs, j’avais l’impression que chacun le savait, j’avais le coeur battant. Quelques minutes plus tard, Damien, faisait son apparition dans le bureau, il salua Olivier avant de m’approcher.


- Le garage vient de m’appeler, finalement, ce n’était rien. Mais il faut y aller maintenant si nous voulons la récupérer ce soir.
Cette version était en totale contradiction avec celle que j’avais servie à Olivier. Je savais que mine de rien, il avait flairé l’embrouille.
- Je voulais vous remercier aussi de ce que vous avez pour Kristine ce matin, étant donné son retard.
- Non ce n’est rien. Entre collègues, on est là pour s’entraider.

J’ai pris mon sac et je me suis dirigée vers la porte tandis que mon amant me suivait. En franchissant la porte il a porté une main à mon cul pour vérifier si je lui avais bien obéi. Je suis sûre qu’olivier n’avait rien manqué de ce geste. J’étais furieuse. Nous étions sur le parking.
-Je vous le défend. Pas sur mon lieu de travail. Vous êtes un malade. Pour qui vous prenez-vous?
-Pour quelqu’un qui détient des vidéos compromettantes. Il venait de m’ouvrir la porte passager. Il prit ma main et la plaqua sur son pantalon. Son membre était semi-érigé et déformait son pantalon. J’étais sur le siège du passager.
-Ta bouche a manqué à ma bite. Suce-moi maintenant, ici.
-Mais mes collègues vont bientôt sortir.
-Alors dépêche-toi, salope.

J’ai sorti son membre. Je l’ai branlé un peu pour le rendre rigide puis j’ai ouvert la bouche pour engloutir sa fraise rose. Je salivai un maximum et faisait tourner ma langue autour de son gland tandis que ma main lui caressait les couilles.

-Vas-y, c’est bien. Tu es une bonne cochonne. Tu suces vraiment comme une pute. Il a saisi mes cheveux pour imprimer un rythme à son plaisir. Il râlait désormais sous l’impulsion du plaisir. Ses reins se sont bloqués et le foutre abondant a giclé au fond de ma bouche.

J’avais les yeux mouillés. Sans doute le maquillage avait coulé. J’essayais d’essuyer les traces de foutre autour de ma bouche avec un mouchoir en papier.

-Tu vois, pour toi c’est pas si difficile.
Et tu ne peux pas dire que tu n’aimes pas cela.
Il avait passé ses doigts sous ma jupe et a recueilli un peu que la liqueur qui suintait de mon sexe. Ses doigts étaient luisants, il les a sucés lentement avant d’enfoncer sa langue dans ma bouche dans un baiser torride.

A la maison, il y avait des fleurs et la table était mise. Une bonne odeur de cuisine émanait de la marmite.
- Ce sera notre soirée Kristine.
- Mais Alain va rentrer.
- Il a laissé un message sur le répondeur. Il ne rentrera pas d’ici Vendredi. Mais avant tout, allez vous habiller. J’ai mis des vêtements dans votre chambre. J’espère qu’ils vous plairont.

C’était un ensemble de sous-vêtements sexy et transparents. Je n’avais jamais porté ce genre de chose. Au début de notre mariage nous n’en avions pas les moyens et puis après j’étais devenue une maman bien sage. Ma toison dépassait un peu partout.
-Il va falloir arranger cela Kristine. Les femmes actuellement ne gardent plus de poils sur leur pubis, vous savez. A peine une petite bande de poils pour rappeler qu’elles sont des femmes. Votre fille garde simplement un ticket de métro .
Au nom prononcé de ma fille, j’ai voulu m’échapper, mais il m’a retenu d’un main ferme.
- Allongez-vous Kristine, je vais vous faire votre nouvelle coupe.
Il avait un paire de ciseaux et un nécessaire de rasage. Il s’est attaqué à mes bouclettes au ciseaux, d’abord sur mon mont de vénus puis autour des lèvres de mon sexe.
-Ne bougez pas Kristine, Je ne souhaite pas vous mutiler.
Le contact froid des ciseaux et le bruits inquiétants qu’ils faisaient lorsqu’ils se refermaient me faisaient frisonner de peur. C’est ensuite la mousse à raser qui a pris le relais puis le rasoir manuel. Il n’y avait rien d’ambigu dans ses gestes.
- Vous m’en laissez, un peu tout de même Damien.
- Vous ne me faites pas confiance…
- Si mais je ne veux pas passer pour une petite fille.
- N’ayez aucune crainte.

J’avais fermé les yeux et je me laissais aller à la rêverie. Quand il a fini, il a essuyé mon sexe avec une serviette.
-Donnez -moi votre main, Kristine.
Le contact était doux. Par contre je n’ai pas trouvé le moindre poils restant. Il m’avait tondue intégralement.
-Vous m’aviez pourtant promis.
-Je n’en ai pas pas fini encore.
Il m’a désinfecté la peau puis m’a soigneusement séchée avant l’apposer un tatouage autocollant. Quand je me suis levée pour contempler mon corps dans la glace. J’ai découvert le motif. Il s’agissait d’une paire de menottes. Mon sexe au-dessous laissait apparaître désormais la naissance de mes petites lèvres.
- Vous voyez, ceci m’a rien à voir avec un sexe de petite fille. Vous avez un chatte charnue de cochonne soumise. Penchez- vous maintenant en avant que je vous fasse aussi la raie.

Il m’a aussi rasé l’intérieur des fesses. J’étais anéantie de honte qu’on m’écarte un endroit aussi intime.
- Non, Non je vous en prie Damien.
- Kristine, c’est pour votre confort. Comme je souhaite utiliser aussi votre cul régulièrement, je ne souhaite pas que vous soyez génée par les sécrétions qui vont s’en écouler. Il a pénétré les doigts dans le sexe.
-Mais vous mouillez encore Kristine.
Il m’a enduit la rondelle avec mes sécrétions. Il allait encore me la mettre par là. J’en frissonnais de terreur. Au lieu de cela, j’ai senti un objet forcer ma porte arrière. Si j’en juge aux sensations, ce n’était pas bien gros.
-Il s’agit d’un plug anal, Kristine. C’est pour habi votre intérieur à la pénétration. Vous le garderez au moins 2 heures par jour à la maison. J’en ai acheté aussi un plus gros pour les exercices de pénétration. Je vous expliquerai en temps voulu comment on s’en sert.
-Votre cul doit devenir aussi ouvert que votre chatte de salope.

La sensation était plutôt inédite mais pas désagréable. J’ai donc enfilé mes sous vêtements sexy ainsi que la robe courte qu’il m’allait ,il est vrai à ravir.
Le repas était succulent. Malgré l’intrus dans mes entrailles, je me sentais bien. J’ai toutefois peur qu’il ne s’échappe et je faisais des efforts pour me contracter lorsque je me déplaçais.
- Je suis désolé de vous avoir la main, Kristine, et de vous avoir à faire des choses dont vous n’aviez pas ment envie. Mais je dois-vous avouer que j’ai de gros besoins sexuels et que le départ de votre fille m’a laissé dans un état de manque insupportable que j’ai du mal à maîtriser.
- Ne vous excuser pas, moi aussi, j’étais dans un état de frustration avec ma situation avec Alain et je ne sais comment vous remercier de m’avoir ranimée, même si les choses vont un peut trop loin parfois. Je suis prête à satisfaire votre nature, sachez le.
-Je ne sais pas si vous le pouvez. Je suis contraint de me masturber 4 à 5 fois par jours depuis l’âge des 15 ans et aucune petite amie, même votre fille ne peut répondre à mes envies. En plus la taille de mon sexe m’a toujours des problèmes, je sais que la pénétration n’est pas anodine. Il n’y a qu’avec vous que j’ose me laisser aller.
-Vous me flattez, au tant que vous m’intriguez. Mais je ne vous promets rien nous ferons de notre mieux, Damien tant que nous nous montrons discrets.


A la fin du repas, il m’a annoncé que nous sortions. Damien m’a autorisé à retirer le plug, me laissant un sentiment de vide un peu bizarre au début. Le club était était sympa. Je n’avais dansé depuis longtemps. J’étais étourdie par la musique et la danse. Toute fois, mon amant se montrait par trop démonstratif par ses caresses un peu osées sur mes cuisses et par ces baisers profond dans ma bouche. Je craignais la rencontre de gens de ma connaissance dans ces lieux fréquentés mais je ne lui ai rien dit car j’étais aussi fière de m’exhiber aux côtés de ce jeune amant. De retour à la maison, nous nous sommes couchés et nous avons fait l’amour longuement et tendrement. Lui sur le dos et moi ondulant au dessus de lui en faisant coulisser mon sexe autour de son immense poteau. Je ne peux dire combien de fois j’ai tremblé sous les orgasmes qui naissaient en moi avant qu’il ne se répande dans mon ventre. J’étais heureuse mais épuisée.

La nuit a été courte. A peine trois heure de sommeil avant que le réveil sonne. J’étais vaseuse. Pourtant, il fallait y aller. J’étais dans un demi sommeil peinant à retrouver mes esprits. Déjà les doigts de Damien s’affairaient autour de mon bouton. Je ne voulais pas, je pensais que que je ne pouvais pas. Mais malgré cela mon sexe répondait aux sollicitation.
-Tu vois tu mouilles encore.
- Non, pas maintenant. Je ne veux pas.
- Mais pourtant, ma bite et ta chatte sont d’accord. Ne fais pas la mijaurée. Mets-toi à quatre pattes.
Son dard a retrouvé mon antre et je me suis laissée baiser avec force et énergie par ce monstre. Je voulais que ça se termine vite, lui donner ce qu’il voulait mais malgré moi mon fourreau réagissais à sa saillie et moi aussi je répondais aux mouvements de son bassin pour synchroniser mon plaisir sur le sien. De ma bouche sortaient des sons inarticulés. Je ne gémissais plus, je hurlais sous l’effet de cette double poussée. Nous avons joui ensemble nous laissant tous deux épuisés et ruisselants sous la violence de l’effort et de la jouissance bestiale.

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