Voyage De Fin D'Etudes 3
A la plage, où jarrivais tardivement, je retrouvais Frédéric et Nelly, désormais inséparables, dans notre coin, protégé des rochers. Ils mapprirent que Liam ne serait pas là, car il était parti en excursion avec les anglais, dont cétait le dernier jour. Léa et Jeane avaient rejoint notre coin , et se doraient complaisamment au soleil, vétues de mini strings, quon ne pouvait pas vraiment qualifier de vêtements. Un peu plus tard, Laurent nous rejoignit, avec Sophie, qui, proche de lui, se comportait de plus en plus comme sa régulière.
Je leur en fis la remarque, et Sophie confirma en se lovant le long du corps de Laurent, tandis que celui-ci me renvoyait ma remarque :
« et toi, tu as privé Valérie de sortie, ou tu la planques pour ne pas te la faire piquer ? »
Je lassurai que je navais aucun regard sur lemploi du temps de Valérie, et quelle avait, sans doute, décidé de faire un tour avec ses amies. Me laissant bercer par le vent chaud et le bruit des vagues, le bruit des conversations sestompait doucement et je basculais dans une rèverie somnolente.
Un peu plus tard, je fus réveillé par des éclats de voix, et en ouvrant les yeux, maperçus que Babeth Clara et Valérie nous avaient rejoints. Elles étaient accompagnés de deux gars que je ne connaissais pas, très bruns de peau, qui les dévoraient des yeux juste parce que les convenances ne permettaient pas plus. Tout ce petit monde , en tenue de bain, alla se jeter à leau, après que jaie refusé de les accompagner. Je méveillais un peu plus tard, pour constater que lombre sétait déplacée et que jétais maintenant au soleil. Je dus donc changer de place pour me protéger des rayons brûlants. Valérie, Clara, et les deux insulaires (ils parlaient espagnol) avaient quitté les lieux. Frédéric et Nelly somnolaient au soleil, tout comme Babeth, étendue à plat ventre un peu plus loin. Léa et Jeane, allongées côte à Côte, se passaient de la crème régulièrement, mais Jeane, plus blanche de peau, finit par déménager sa serviette et me rejoignit dans la zone dombre.
« Pas de nage aujourdhui ? » me dit elle.
« Je vais y aller un peu plus tard. Je suis bien là. »
« javais un peu trop chaud. Je ne te dérange pas ? »
« pas du tout » lui répondi-je « tu as bien fait. Cest même un peu tard. Tu as les fesses
qui rougissent » Je passai ma main sur son postérieur qui avait pris une teinte rosée, et la sentis frémir sous ma caresse.
« Brrr, effectivement, ça me cuit un peu. Tu me passeras de laprès soleil ? »
« avec grand plaisir. »
Nous bavardames encore un moment, mais je sentais la flemme me rattr. Je me secouais alors et décidai daller nager. Jeane me suivit et nous entrâmes dans leau avec précaution avant de nous mettre à nager. Elle avait un crawl délié, et élégant, et jespérais, sans en être sur, que le mien était aussi efficace. Les quatre nages y passèrent, mais je reconnais que jeus une préférence pour le dos crawlé, qui faisait ressortir les pointes de ses seins rendus durs par la fraicheur de leau . Nous atteignimes bientôt la bouée la plus éloignée du bord, et nous y accrochâmes, un instant.
Jeane se rapprocha de moi, et se pendit à mon cou, pour membrasser . Sa langue pointue, et salée, vint se mélanger à la mienne, et nos dents sentrechoquèrent, déséquilibrés pas le petit clapot. Elle se reculà subitement, et nagea sur place. Son bras remonta tenant son string, par la ficelle quelle noua à la bouée, puis elle revint vers moi, et plongea. Je sentis ses mains défaire la ficelle de mon bremuda, et faire glisser celui-ci, qui vint bientôt rejoindre son maillot. Elle vint ensuite se coller à moi et métreignis, ses jambes enroulées autour de mon dos. Je maccrochais à la bouée pour ne pas couler. Elle glissa son bras entre nos deux corps en flatta mon sexe déjà en forme, avant de le guider vers sa cavité. Resserrant la prise de ses jambes, elle entreprit alors, un mouvement de piston, qui alla en saccentuant.
Le reste de laprès-midi se passa en farniente. Je rejoignis, la chambre , alors que le soleil dardait ses derniers rayons. Je crus, tout dabord que jétais seul, mais la baie vitrée était entrouverte.
Sans tourner, la tête vers moi, elle dit :
« je tai entendu rentrer. Tu peux mater si tu veux, mais pas question de toucher. Et inutile de vouloir me passer de lhuile, je nen mets jamais »
Je mabstins de tout commentaire et allais me doucher avant de me préparer pour le diner.
La petite troupe se retrouva autour dune grande table ronde, à lexception de Liam qui navait pas reparu. Assis entre Valérie et Babeth, je sentis leurs mains me caresser la cuisse et je rendis la politesse à chacune.
« Bon après-midi ? » demandai-je à Valérie
« Oui, jai acheté une petite robe sympa, Babeth et Clara, ont aussi dégoté des fringues dété. »
« Oui, mais pas seulement
»
« Oui, on a rencontré des jeunes du coin, qui ne nous ont plus lâché. »
« ils vous ont ennuyées ? »
« non, en fait, ils nous ont fait découvrir des trucs quon aurait jamais visité. Il y a des grottes, un peu plus vers le centre. On y a fait un saut, avec leur voiture et une nature très variée, dans les vallées. En plus , cest pas très loin. »
« Et toi, Babeth, tu ne voulais pas visiter ? » demandai-je à ma voisine de gauche.
« Je navais pas envie, et puis, il ny avait que 4 places. »
« Ah daccord, et vous devez les revoir ? »
Clara, qui jusque là navait rien dit, intervint à ce moment.
« On doit les revoir, ce soir. Ils nous emmènent du côté de San Anthony, où sont les plus belles boites de nuit. Lavantage, cest quils connaissent la région et nous appennent des trucs. Pas comme toi. » dit elle
« demain matin, noubliez pas que nous partons en excursion, de bonne heure. » précisa Frédéric.
« Ne tinquiètes pas, dit Valérie, même avec des cernes sous les yeux, nous serons là. »
A la sortie du diner, les deux garçons attendaient les filles dans lentrée. Nous les vîmes, sinstaller dans un petit 4x4 découvrable, et elles partirent.
Nous étions tous venus assister au feu dartifice, Laurent, Sophie, Jeane, Léa, Nelly, Babeth et Frédéric, Lionel, et moi. La foule était dense, sur le front de mer, et nous plaisantions, comparant nos bronzages. En ce domaine jétais loin dêtre le plus brun. Me méfiant des coups de soleil, ma peau commençait tout juste à devenir un peu dorée, au prix de soins et dattentions quotidiennes. Je me faisais moquer par mes amis, plus bruns de peau que moi, et, pour détourner lattention, leur parlait des fesses de Jeane, quelle dût bien nous dévoiler, relevant sa robe légère. Son popotin avait maintenant une teinte très rosée, et elle avoua que ses parties, peu exposées dhabitude, la brûlaient, au point quelle évitait de rester assise. Lionel et Laurent, toujours altruistes proposèrent de lui passer un onguent, mais elle déclina loffre, sachant bien quils nétaient pas désintéressés. Les robes se relevaient, les décolletés se découvraient, chacun ayant un bout de chair bronzée à exposer, pour le plus grand plaisir de touristes qui se rinçaient lil en passant. Au milieu de cette foule, je distinguais la silhouette altière de Karine, et entrepris de la suivre. Elle fendait la foule, sans énervement mais avec détermination, et les gens sécartaient pour laisser passer, cette élégante jeune femme, moulée dans un fourreau, qui était comme une seconde peu de tissus gris, saturé de paillettes, les épaules couvertes dun voilage noir très fin surligné de broderies or assorties à des stiletto dorés à semelle rouge, dun grand chausseur. Les hommes se retournaient sur son passage, mais elle continuait son chemin, sans se préoccuper de lenvironnement. Il y avait du monde, et javais un peu de mal à la rattr. Longeant le quai, elle atteignit bientôt un endroit où plusieurs Yachts de belle taille stationnaient. Elle sapprocha de lun deux, et après avoir échangé quelques mots, avec le videur en costume noir qui gardait lentrée, franchit la passerelle et monta à bord. Elle disparut à mes yeux, et je restai quelques instants songeur, avant de faire demi-tour pour rejoindre mes copains. Ainsi, voilà pourquoi on ne la voyait jamais dans les boites, ou dans les bars. Elle fréquentait des cercles, plus huppés, semblait il. Mais comment avait elle fait pour se faire de telles relations en si peu de temps. Voilà un mystère quil faudrait bien Percer. Je rejoignais le groupe alors que le feu dartifice débutait. Nous étions maintenant serrés par une foule dense. Les fusées commencèrent à exploser dans le ciel, cadencées par une musique étudiée pour magnifier le spectacle. Je remarquai bientôt que Sophie, juste à ma gauche, semblait prise de la danse de saint Guy. Profitant du regroupement, Laurent était passé derrière elle ; et lentourant de ses bars, avait glissé sa main sous sa jupe, la masturbant dune main, lautre se pressant sur un de ses seins. Sans quitter des yeux les fusées éclairantes, elle laccompagnait de mouvements brusques du bassin. Je croisais le regard de Laurent, qui me fit un clin dil, me faisant signe de me rapprocher pour les masquer à la vue, ce que je fis. Enserrant alors sa taille du bras gauche, il remonta de lautre main, la robe jusquà la taille, et fit glisser sa culott qui acheva sa course sur ses chevilles. Elle dégagea un pied et écartant ses jambes, passa la main entre ses cuisses pour venir saisir la pine de Laurent, quil avait sortie de son short. Elle laida à la pénétrer et ils reprirent un coit énergique, a peine dissimulé par la jupe qui était retombée. Jétais contre Sophie, qui sagitait, restant stoique, pour que les autres, à ma droite, ne se doutent de rien., On approchait du bouquet final. Laurent se mit à la pilonner de plus en plus fort, et elle commençait à gémir de moins en moins dicrètement,, serrant mon bras de plus en plus fort, ses ongles plantés dans ma chair. Alors que les dernières salves illuminaient le ciel, Laurent poussa un cri denthousiasme,et Sophie se mit à trembler, la tête tournée vers le ciel, le regard extasié , son cul poussé vers larrière en un ultime effort, pour profiter de la salve que Laurent déversait en elle. Et puis le noir revint. Sophie se redressa en lissant sa jupe. Laurent se rajusta prestement. Je me baissai et ramassai la culotte noire, que je serrai dans mes mains. Petit à petit la foule se dispersa, je mapprochai de Sophie, qui, marchait, à côté de Laurent, et la touchai du coude. Elle tourna la tête vers moi, et je lui montrais sa culotte dans ma main. Elle me chuchota.
« Merci, tu peux la garder » avec un sourire.
Notre petite troupe déambula dans les rues. Nous longions le port quand japerçus Karine, sur le Yacht, une coupe de Champagne à la main. Le voile avait disparu et son orgueilleuse poitrine tendait le fourreau, en un décolleté qui semblait inspirer, deux messieurs, qui la serraient de près. Elle se détourna et longea le bastingage pour venir sy accoter. Un type vétu dun blaser de marin et Pantalon blanc, très basané, vint la rejoindre, et la prit par la taille, lentrainant vers lintérieur , doù émanait une musique syncopée, et des éclats de lumière. Jétais visiblement le seul à lavoir remarquée.
Arrivés à la boite en question, cétait un déferlement. Toute la jeunesse de lile avait dû se donner rendez vous, pour danser là. Nous nétions pas encore à lépoque des DJ rois et de méga raves parties, mais il y avait déjà une grosse animation . Nous trouvâmes , non sans difficulté, une table avec assez de fauteuils autour, pour nous accueillir tous. Après nous être cotisés, je trouvais le bar où je commandais Rhum et vodka, ainsi que les jus et sodas pour confectionner nos cocktails. Les filles étaient déjà en train de se démener sur la piste de danse. Laurent et moi, préparions les boissons pour chacun. Il faut bien dire que, les filles dansaient plus que les gars, qui préféraient boire des coups en matant. Après une première pause rafraichissement, elles repartirent vers la piste, et nous entrainèrent avec elles. Heureusement, la première série de slows arriva. Je me jetais sur Léa, qui était la plus proche de moi. Le but étant de ne pas se retrouver seul au bord de la piste.. Nous neumes pas besoin de nous serre, car les gens autour de nous sen occupaient. Riant de cette promiscuité imprévue, Léa me reprocha de ne mavoir pas vu beaucoup depuis le début de ce séjour. Je lui rétorquai quelle navait pas beaucoup fait pour.
« Hier tu aurais pu venir me rejoindre quand jétais à la plage. Je reste à lombre mais il faisait bon. »
« Hier, tu avais avec toi, la championne de lapnée, » me dit elle moqueuse, puis elle ajouta
« Je me demandes ce quon peut bien faire, sous leau, pendant si longtemps. »
« la prochaine fois, viens, et je te montrerais. »
« Hmmmm, cest tentant, mais un peu extrême, je ne suis pas une naiade, moi.
« je suis sur que tu as dautres qualités. 3
Le slow se termina et je passais dans les bras dune fille, au cheveux longs, look baba cool, avec une chemise ouverte sur des seins opulents que je caressais, puisque offerts, mais elle resta imperturbable, les yeux dans le vague. Les paradis chimiques existaient déjà. Je passais dans les bras de Babeth, qui se nicha dans le creux de mon épaule le temps dune danse. Ensuite je passais un moment dans les bras dune brune de type hispanique, plutôt bien en chair, qui ne portait rien sous son paréo et entreprit de me le faire constater, faisant entrer mes bras sous son vêtement, posant mes mains sur ses fesses avant de les diriger, sur son sexe, que je titillais poliment, faisant ruisseler son puits damour. Je tombai ensuite dans les bras de Sophie, et ne pus mempècher de poser mes mains au crreux de ses reins.
« tu sais bien que je ne porte rien dessous » me dit elle alors que ma main suivait larrondi de sa fesse.
« Cest ta manière dexprimer ta liberté ? »
« Non, rien de prémédité. Je ne pensais pas à faire lamour ce soir, mais linstant, et le spectacle, et le désir de Laurent, mont oté mes barrières.3
« je sais, jétais là. »
« et heureusement, ça ma protégée, un peu. »
« oui, mais là, tu aurais pu te rhabiller. »
« non » me confia telle, « après ce plaisir intense, jétais heureuse de me ballader ainsi, au bras de Laurent. Personne ne sen doutait, mais jétais nue à son bras, devant tout le monde. Le vent caressait mon sexe délicieusement, et personne ne le savait, à part lui et moi. »
« et moi » lui rappelai-je
« Oui, toi aussi, cest vrai, mais jai acheté ton silence avec un cadeau. »
« un pot de vin, en quelque sorte. De vin ou dautre chose
»
« et puis en arrivant ici, je me suis dit que ça nétait pas important. Je suis sure que près de la moitié des filles présentes nont pas de culotte. Encore moins de soutif, et alors
ce sont des conventions. On peut sen écarter. Il ny a pas si longtemps, les culottes nexistaient pas, et cétait normal. »
« Oui, mais les jupes étaient plus longues, avec des jupons. »
« cest vrai, mais regarde où nous sommes. Je peux danser avec toi, montrer mon cul, ou sortir ta bite. Qui sera choqué ? qui sen souviendra demain ? »
« moi »
« je ne te savais pas si prude » me sourit elle « enfin, tâchons de préserver encore ta pseudo candeur. »
La série de slows prenant fin, je revins a notre table pour savourer un Cuba Libre, bien frais. Puis vinrent les rocks et les robes des filles virevoltèrent, me confirmant que Sophie avait raison, les fesses et les pubis se dévoilaient à chaque passe, en un spectacle éphémère, vite recouvert, les garçons en bord de piste saluant dun Olé ! tonitruant chaque révélation, et les filles rockeuses, conscientes de ce quelles dévoilaient , continuaient à tournoyer, le rose aux joues. La soirée fut joyeuse, et bien arrosée, mais nous rentrâmes assez tôt. La chambre était vide quand jarrivais, et je me couchais aussitôt.
Linterstice entre les rideaux, laissait passer un rai de lumière. Un laser qui venait trancher lobscurité de la chambre. Je regardais à ma droite pour constater que Karine était renttrée. Emmitouflée sous le drap, seule sa crinière dorée dépassait à peine. Jenfilais un bermuda, et un T-shirt, avant de Sortir. Je devais prendre des affaires dans ma chambre pour la journée. Après avoir frappé à la porte, et sans réponse, je découvris la chambre vide. Fred et Nelly étaient déjà partis. Jen preofitais pour préparer des vêtement propres, et puisque javais la chambre pour moi, je pris une douche. Je venais de me brosser les dents, quand on frappa à la porte. Je criaui « entrez », mais rien ne se passa. Jenroulai donc ma serviette autour de la taille et allai ouvrir. A ma grande surprise, Monica, la copine anglaise de Liam attendait devant la porte.
« Bonjour »
« Hello !, Im looking for Liam » me lança telle avec un sourire
Je mefforçais alors de mettre en pratique mes cours danglais
« I am sorry, but hes not here. Maybe, he is waiting for you, down, in the lobby. »
« Oh, it doesnt matter, I just Wanted to say goodbye. »
« Yes, goodbye, and
»
Elle fit un pas en avant, et leva la tête pour plater sa bouche dans la mienne. Nous restâmes un moment à nous embrasser, pendant quelle palapit mon corps avec fièvre. Elle arracha ma serviette et se saisit de ma verge sans cesser de membrasser. Je fis un pas en arrière et repoussai la porte , nous masquant au regard déventuels passants. Elle me poussa sur le lit et se jeta sur moi, sa bouche venant couvrir mon sexe, quelle se mit à pomper avec avidité. Elle se releva dun coup et fit tomber son short en jean, dévoilant un pubis blond fourni. Puis son polo senvola par dessus sa tête, et, enfin nue, elle plongea sur moi, et vint sempaler sur mon vit, senfonçant dun coup jusquà la garde. Je saisis ses seins en poire , les faisant rouler sous mes paumes, tirant sur ses pointes, comme pour la traire. Elle cadençait ses mouvements de bassin en faisant rouler ses hanches davant en arrière, frottant son clito, à chaque passage, sur mon ventre. Puis elle amorça un mouvement dascenseur, de plus en plus rapide, scandé par des cris aigus et rapides. Je lattrapai par la taille donnant de lamplitude a ses mouvements, la pilonnant le plus vite possible , son corps arqué vers larrière. Ses cris se firent plus rauque, le rythme ralentit, en de longues et bruyantes ruades, mon dos décollant du lit, avant quelle ne revienne ly plaquer, avec un « Yeeees, its so good !!! » assez facile à traduire. Nous eumes encore quelques secousses, puis, elle sembla soudain reprendre pied dune coup.
« Oh, my god, Liam, where, is he ? »
« I think hes in the lobby »
« I must kiss him, before i leave. » Dit elle en sengouffrant dans la salle de bains.
Jentendis leau couler, et elle ressorti dans la minute, toujours nue comme un ver. Elle enfila son mini short, et passa son Polo en ouvrant la porte, partie en courant abandonnant ses chaussures. Je retournai donc dans la douche, persuadé que cette tornade anglaise arriverait bien à retenir le bus. Quelques minute plus tard, je débarquai dans le lobby, pensant être le dernier, mais il manquait encore quelques personnes que notre guide, et Mr Desplats, ramenaient directement de boites qui fermaient. Liam était là. Je lui demandait sil avait vu Monica. Il me confirma que oui.
« en tout cas, sacré tempérament, ta mistinguette ! »
« Que veux tu dire ? »
« elle est passé à notre chambre pour te dire au revoir. »
« oui, je sais, et après ? »
« dans leuphorie, je pense , elle ma sauté dessus, quelle gonzesse ! »
Parti de je ne sais où, je ramassais un pain monumental, qui menvoyai presque au tapis.
« cest des conneries, tu ne parles pas comme ça de Monica » me dit il, des écalirs de colère dans les yeux. Je pris un peu de recul, et compris mon erreur. Il était amoureux, et ma reflexion était, dans tous les cas, indigne dun gentleman.
Babeth vint faire diversion, en nous assurant que Clara, qui était la dernière manquante, etait encore dans leur chambre. Laissant Liam, je laccompagnais et Babeth nous ouvrit.
Le tableau que nous découvrîmes était saisissant. Clara, chevauchait un des garçons vus la veille, alors quun autre se démenait dans sa bouche, la tirant par les cheveux, baisant sa bouche comme un sexe. Un troisième à genoux derrière elle la sodomisait profondément. Une longue plainte à plusieurs voix émanait de cette bête bizarre, s amplifiant à chaque mesure. Le lit vibrait sous les coups de boutoir de ces forcenés. Le premier à venir éjacula dans la bouche et sur le visage de Clara. Le second, sortit de son con pour asperger son ventre et ses seins, pendant que le troisième achevait de se vider dans son fondement. Tous se retirèrent sessuyant aux draps, laissant Clara, pantelante, le cul relevé, encore ouvert.
Babeth vint entourer Clara, et la guida vers la salle de bains. Je mis a profit quelque s mots despagnol, aidés de gestes, pour faire comprendre aux trois gars, de se dépécher de vider les lieux. Quand ils furent partis, jaérais la pièce, qui sentait le foutre à pleins nez. Clara et Babeth reparurent un peu plus tard, habillées coiffées et maquillées comme si de rien nétait, et nous courûmes rejoindre le car. En chemin, je félicitai Clara, lui disant quelle aurait bientôt sa place dans le livre des records, mais elle se rebiffa, en minsultant.
Dès que le bus se mit à rouler, elle sombra dans un profond sommeil. Je rejoignis Valérie qui mavait gardé une place.
« Apparemment, cétait chaud, les espagnols ? »
« Ouais, ils étaient un peu morts de faim. On aurait pas dû les ramener à la piaule. Ils ont bien piccolé, et on a été débordées. »
« cest sur, trois dun coup ; »
« Non, un moment ils étaient sept, et ils ne voulaient pas quitter la chambre avant davoir baisé. Il y en avait un qui me plaisait bien au début, mais les autres. Enfin il a bien fallu que jen suce un ou deux sinon on nen sortait pas. Clara, elle, nous a dit de ne pas nous inquiéter, et quelle en faisait son affaire »
« il faut être prudentes, les filles »
« je sais on a joué avec le feu. Enfin, çaurait pu être pire. »
Pendant quelle me parlait, je scrutais les têtes, dans le bus.
« Karine nest pas là ? »
« Non, je crois quelle était malade. Restée à lhotel » répondit Valérie..
Le soir, je rejoignis ma chambre assez tôt. Javais fait mes valises, en vue du départ, le lendemain.
Il était une heure du matin quand Karine rejoignit la chambre. Elle était resplendissante dans une robe de dentelle qui laissait voir sa peau au travers de motifs, ne masquant aux yeux que quelques points névralgiques de sa personne.
« Déjà là ? senquit elle. Pas de petites à baiser aujourdhui ? »
« eh non, tu vois, je tattendais. »
« Tu mattendais ? et tu espérais que jallais tomber toute rotie, dans ton bec ?Jai vraiment dautres centres dintérêts que toi dans la vie. »
« Comme les bateaux, par exemple ? les yachts en particulier. »
« Hum, tu mas vue. Oui, bien sur, et tu penses que ça changera quoi ? tu veux le raconter ?
Vas y, qui te croiras ? »
« Le raconter, non, pas dintérêt, mais comprendre, oui. »
« je naime pas me raconter. »
« ça ne sébruitera pas. »
« bah, après tout
sans dévoiler grand chose, tes copines de promo, et tes copains aussi, tous. Vous êtes en train de découvrir, votre autonomie sexuelle. Vous êtes débridés, sans limites. Huit jours sans carcan et vous vous croyez libres, mais dès que vous rentrerez en France, le poids des contraintes sociales chassera cette belle énergie. Moi jai compris tout ça avant les autres. Le carcan social, le politiquement correct, je ne men suis pas affranchie. Je vis avec, et je lutilise à mon profit pour ne pas avoir à en souffrir, comme tout le monde. »
En disant ça, elle passait les mains dans son dos, descendant la fermeture éclair de sa robe.
« Alors, tu vois, les conventions, je les contourne. Les obligations, je les détourne en en faisant un plaisir personnel. Cela me permet de connaître du monde, du beau monde même, mais je reste indépendante. Je pourrais dormir sur ses yachts splendides que tu as vu. Je pourrais me prélasser dans un des palaces de lile, mais je préfère en profiter un peu, laisser certains hommes mapprocher, sans jamais leur donner ce quils attendent. Cest comme ça que ça peut durer. »
Elle tendit ses bras en avant, et sa robe glissa sur son corps pour ne faire quun petit tas, par terre, à ses pieds. Vétue seulement de ses escarpins vernis elle était magnifique
« et là, je me débarrasse des conventions, pour redevenir telle quau premier jour. » conclut elle
Se longues jambes halées remontaient vers le triangle doré, mais fourni, taillé en triangle soigné, surmonté dun ventre plat, ou les abdominaux se dessinaient discrètement. Ses seins en forme de poires, étaient aussi halés que le reste, et leurs tétons, suprème rafinement, étaient maquillés du même rouge que ses lèvres. Elle tourna sur elle même, dévoilant, une croupe callypige . des fesses pleines et hautes qui accentuaient la cambrure de ses reins. La taille fine, cassait la longitudité de ce corps de marbre. Elle se retourna vers moi et planta son regard azur dans mes yeux.
« Voici, mon cadeau. Cest tout ce que tu auras de moi. Tu peux le raconter à tes copains. Ils ne te croiront pas. »
Elle abandonna ses chaussures, et senferma dans la douche.
Le lendemain, nous repartions chez nous, refermant cette parenthèse, érotico touristique qui nous hanterait encore longtemps. Le retour fut joyeux, dans lavion, puis dans le bus. Puis vint le temps de se séparer. Je serrais la main de quelques copains. Jenlaçais Liam, a qui je demandais un pardon quil maccorda aussitôt. Nous embrassâmes les filles une à une. Nous allions nous revoir dans un mois, pour les examens. Valérie, vint se coller à moi, et me dit.
« je reste à lappartement pour réviser si ça te dit »
Je ne savais pas si je pouvais me permettre des seances qui nauraient de révisions que le nom.
Je cherchais parmi les têtes environnantes, et au delà, mais Karine, avait encore disparu.
Un quart dheure plus tard, je mendormais dans le train qui me ramenait chez moi.
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