La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1133)
Jacques au Château -
Je mappelle Jacques et je suis le soumis du Marquis dEvans. La semaine dernière le Vénéré Maître avait donné lordre de me chercher pour m'emmener dans une proche ferme sur les Terres du Château. Une ferme appartenant à Monsieur le Marquis quIl met en location à un jeune couple dagriculteurs pervers du village, afin que ceux-ci exploitent les terrains agricoles du Domaine des Evans
A 9h au matin, Walter vint donc me chercher dans mon cachot, et cest nu et pieds nus que je devais aller à pieds avec les mains attachées dans le dos, faire les 3 kms à travers chemins ruraux. Attaché au bout dune corde liée à mon collier et fixée à lautre extrémité au 4x4 conduit à faible allure par Walter. Au préalable, il mavait posé sans modération un plug dans le cul. Les cailloux me faisaient mal parfois à la plante des pieds mais étant aussi bâillonné, mes cris de douleurs restaient étouffés, au passage dune pierre saillante.
Au bout de 45 minutes de trajet et une fois arrivé sur place, Walter suivi de moi-même entrions dans une immense cour de ferme entourée de bâtiments agricoles. Nous nous arrêtons en plein milieu de celle-ci quand surgit, doù je ne sais où, un jeune couple venu nous accueillir. A ce moment, je navais quune envie, de cacher ma nudité exposée à cette belle et jeune femme brune qui navait absolument pas lair surprise et à lhomme qui laccompagnait, un grand gaillard, qui prit damblée, un sourire sadique en me voyant.
- Ah Walter, je tattendais ! Louise et moi, nous avons téléphoné hier à Monsieur le Marquis. Il nous avait promis le mois dernier un esclave supplémentaire pour tous les travaux de la ferme et ne voyant rien venir, jai cru bon de le lui dire. Il ma promis que ce matin, tu viendrais avec un de ses esclaves afin que celui-ci puisse nous donner de bons coups de main, car il faut bien avouer quà cette saison les taches sont nombreuses pour lexploitation de la ferme et les 3 soumis que jai déjà ne suffisent plus !
- Oui, Le Maître a beaucoup de choses à gérer, ces temps-ci et Il ma avoué tavoir un peu oublié ! Alors pour se faire pardonner, il te confie ce chien qui se prénomme Jacques.
- Monsieur le Marquis est trop généreux ! Tu le remercieras très sincèrement de notre part
Walter
Veux-tu boire quelque chose ?
- Non merci Jacques ! Je dois retourner au château, il y a un soumis ce matin à punir ! Le Maître mattend ! Mais tu peux faire boire cet esclave, il vient de faire les 3 kms à pieds et il commence à tirer la langue sous son bâillon
ah ah ah ! Dit le Majordome en sen allant, me laissant debout, seul, nu, bâillonné et attaché devant ce couple qui me paraissait assez pervers.
Louise, me toisa et sapprocha de moi. Je baissais alors la tête en signe dune parfaite soumission. En silence elle tourna tout autour doucement en me regardant de la tête au pied. Puis elle empoigna mes couilles sans ménagement et me regardant droit dans les yeux, elle mobligea à lever la tête afin de croiser son regard sadique
- Ecoute-moi bien, petit chien, me dit-elle, tu es là pour nous aider à la ferme, mais je compte bien aussi tessayer afin que tu me donnes du plaisir
Alors un seul conseil ; tu nous obéi au doigt et à loeil
- Oui Madame, répondis-je
- Ici, tu mappelleras Maîtresse et Jacques, tu lappelles Maître . Est-ce clair ?
- Oui Maîtresse
bien Maîtresse
répondis-je alors que mon sexe montrait déjà des signes dexcitation en commençant à se dresser.
Alors, elle lâcha mes couilles et me branla quelques secondes mais sans jamais quitter son regard fixe. Un regard de Domina qui me fit à la fois peur mais qui mexcitait aussi beaucoup.
- Louise ! sexclama son compagnon, laisse le tranquille pour le moment
tu joueras avec ce chien une autre fois, pour le moment nous avons du travail. Commençons par le plus urgent, la fabrication des fromages. Nous devons chaque semaine faire le marché de Villefranche/Saône et tu sais combien nos fromages sont appréciés par la clientèle.
A peine avait-il finit sa phrase quil empoigna la corde et tira dessus. Dun pas rapide, il avança en direction du bâtiment de droite, ce qui mobligea à le suivre en trottinant car il se déplaçait très vite par rapport à Walter qui paradoxalement avec son 4x4 était allé à une allure très lente.
Noua entrâmes dans cette bâtisse de pierre. Jacques ralentit lallure pour de suite descendre des escaliers de pierre étroits, abrupts et droits, aux murs humides de salpêtre. Louise était derrière moi et me flattait parfois les fesses de quelques coups de badine. Cest une haute porte métallique qui nous donna laccès à une immense cave voûtée où de suite une odeur forte de laitage quasi écoeurante me montait à la gorge. Le sol très propre était entièrement carrelé ainsi que les murs également. Je remarquai aussi les très nombreux rayonnages alignés et agencés telle une bibliothèque. Mais ce nétaient pas des livres qui y étaient stockés mais des fromages. Il y en avait des centaines remisés, empilés, de tout calibre, de toutes sortes
Je me posais alors la question, pourquoi ils avaient encore besoin den fabriquer pour le marché alors quà lévidence, il y avait largement du stock en avance. Certainement que ceux exposés devaient avoir une autre destiné que les étals de Villefranche/Saône !
Au milieu de la pièce, japerçu deux esclaves qui, devant une large et longue table en inox, étaient en train, de tirer des cuillérées avec une grosse louche-passoire ovale du fromage blanc, dun énorme faitout qui devait faire 100 litres. Ils plaçaient les fromages blancs frais dans les nombreuses faisselles plastiques alignées dans de grandes cagettes en inox. Les esclaves navaient même pas levé la tête à notre entrée, ils devaient à lévidence avoir pour consigne de ne pas se laisser distraire par autre chose que leur labeur.
Je neu pas pour loisir de regarder la scène très longtemps car Jacques tira sur la corde pour memmener au fond de la pièce.
- Tu vas étiqueter tous ces fromages qui doivent partir demain pour le marché. Allez, au boulot et pas question que tu fasses ce travail assis, tu va te mettre à genoux ainsi tu seras à la bonne hauteur.
Jobtempérais de suite sans dire mot. Je ne sais pas pourquoi et donc je ne pourrais pas lexpliquer mais depuis que jétais entré dans cette fromagerie une certaine excitation sétait emparée de moi. Lodeur du fromage ne mavait pas laissé indifférent, jen nétais tout émoustillé, mes sens étaient en éveil et je sentais ma nouille se durcir sans que jy puisse faire grand-chose. Et donc cest en bandant quagenouillé, Jacques me détacha les mains et mordonna de commencer mon travail sous lil dominant de Louise qui me toisait de haut et flattait encore mes fesses en promenant doucement entre elles, sa badine.
Javançais assez vite, essayant de bien faire, de mettre les belles étiquettes bien droites. Les cinquante premiers fromages cylindriques étiquetés, jallais entamer la deuxième pile quand malencontreusement jéchappai un fromage par terre qui roula sous la table sur le carrelage. Je me baissais à quatre pattes pour aller le chercher, je passais donc sous la table. Au moment où jattrapai le fromage, je sentis fortement un coup de badine sur mes fesses, et jentendis Louise hurler :
- Espèce de chien, tu ne peux pas faire attention ! Pas question de vendre un fromage qui soit tombé par terre. Tu vas donc payer très cher ta faute, espèce de lopette insignifiante
Jallais reculer pour sortir de dessous la table quand je reçu une volée de coups de badine.
- Ne bouge pas chien, me dit-elle, prend ce fromage et sent le, renifle-le, comme un chien renifle un os à quatre pattes, un chien ah ! ah ! ah ! après tout cest bien ce que tu es ! Alors tu vas aussi le lécher comme si cétait ton os !
Et cest sous la table, humilié que jobtempérai. Je pris le cylindre pour le humer, le caresser tout en gémissant. Car je me surpris de constater que jéprouvai un immense plaisir à faire cela et encore une fois, je ne saurai expliquer pourquoi mais je bandai comme un taureau. Je pris mon temps pour savourer de mon nez ce fromage que je me mis à lécher tout en le reniflant. Lodeur forte de la chèvre monta dans mes narines et menivrai de plaisirs Ma langue passait sur la croûte et le goût salé et de chèvre me donna une forte excitation pas ment culinaire mais plutôt psychologique et physique sur ma nouille tendue. Quand tout dun coup, je sentis quon menleva mon plug. Jétais à quatre pattes sous la table et je ne voyais pas grand chose de ce qui se passait derrière moi, quand je sentis une chose molle et cylindrique prendre la place de mon plug. Louise menfila sans ménagement un fromage dans le cul. Mon anus déjà dilaté par le plug engouffra ce pur chèvre dun seul coup ! Si une bonne partie du fromage pénétrait mon fondement, lextrémité sécrasa entre mes fesses et Louise prit un vicieux plaisir à étendre le fromage écrasé dans la raie de mon cul. Puis elle mordonna de sortir sous la table mais de rester à quatre pattes face à elle en position de levrette et dembrasser ses bottes de cuir noir. Jobéissais pour lentendre me dire :
- Mais cest que tu bandes, petit chien ? Cette situation à lévidence texcite ! hein ?
- Oui
Je
- Oui qui, me coupa-t-elle en me donnant un coup de badine
- Oui Maîtresse
- Ah
ça texcite le fromage, cest ça, hein ????
- Oui Maîtresse
Je
- Silence chien, suis-moi à quatre pattes, tu me donnes une idée
Je suivis Maîtresse, tel un chien. Nous passâmes dans la petite pièce dà-côté, également toute carrelée. Il y avait une large cuve peu haute et donc peu profonde mais qui devait faire 2 mètres de diamètre. Elle était emplie dun liquide blanchâtre.
- Je vais toffrir un bain ah ! ah ! ah !
Cette cuve est remplie du petit-lait des fromages blancs que nous récupérons avant de le jeter
. Alors autant que ce liquide serve à quelque chose
Allez, assis toi dedans sur le dos comme si tu prenais un bain
Je me redressais alors pour enjamber la cuve et me positionna comme exigé. Il y avait une petite table à côté de la cuve avec une dizaine de fromage abîmé, mal calibré, à moitié écrasé pour certain. Je compris quil sagissait de fromages invendables par leur présentation.
A moitié couché dans ma baignoire la nouille toujours aussi raide, jétais dans un état second, dans une excitation inimaginable. Louise prit alors un fromage abîmé (à la forte odeur rancie) sur la petite table et létala sur ma figure et me fit sentir les restes du fromage en maintenant fortement sa main fromagée sous mon nez. Quelle fut ma surprise de constater quen même temps, elle avait mis sa deuxième main dans le liquide blanc pour aller me masturber. Elle me branlait avec frénésie tout en me faisant renifler le fromage. Je ne mis pas longtemps pour éjaculer entre ses doigts dans le bain de petit-lait. En gémissant de plaisirs jouissifs, jouvris grand la bouche, quand dun coup, elle enfila dans celle-ci le fromage écrasé que javais abondamment reniflé.
- Mange maintenant, espèce de chien et lèche aussi ton sperme
Elle approcha sa deuxième main où coulait le petit-lait de fromage blanc mélangé à mon sperme que je récupérais sur ma langue comme je pouvais en lui léchant chaque doigt.
Je noublierai jamais ce bonheur que Maîtresse Louise me donna. Mais je dus le payer bien cher par la suite car si elle avait daigné me donner du plaisir ce jour-là; elle mutilisa par la suite avec Sa perversité exacerbée, tous les jours suivants pour Son plaisir personnel, mais ça cest une autre histoire
(A suivre
)
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