Dur Comme Du Bois...
Jean Claude mavait demandé sil était possible que je me libère le samedi qui suivait pour laccompagner chez une bonne connaissance à lui pour à rentrer du bois. Nayant rien de prévus javais tout se suite accepté. Je lui devais bien cela, lui-même étant toujours le premier à rendre service.
Le jour dit, je fus au rendez-vous. Hormis Jean Claude, il y avait deux hommes. Michel, le maître de maison et Alexandre un collègue de Gina la femme de Michel.
Avant de commencer toute chose, nous étions invités à entrée à lintérieur de la maison. Sur la table de la cuisine se tenaient des tasses de café fumant que Gina venait de servir. Dans une corbeille sempiler des croissants. Très vite la discussion allait bon train. Il avait suffit un seul coup de klaxon pour tout interrompre. Javalais le reste du contenu de ma tasse et marchais sur les pas des autres. Dehors un camion était en train de manuvrer. Plaçant le derrière du véhicule le plus proche du refuge à bois. Sous lautorisation du propriétaire, il benna son contenu dans un bruit de tonnerre. Au dire du proprio il y avait une vingtaine de stère de bois éparpillé sur le sol.
Il était temps pour nous de nous mettre au travail. Avec Jean Claude, nous prîmes chacun une brouette pour transférer le bois dun coin à lautre, alors que Michel et Alexandre eux saffairer à le ranger. Cela nous avait pris laprès-midi, de placer les vingt stères. Javais les bras douloureux. Pour nous témoigner sa reconnaissance, Michel nous proposa dentrée de nouveau chez lui mais là pour prendre un verre.
Il sen suivit un apéritif à la hauteur du travail effectué. Au fil des verres, un rien enclencher chez nous une rigolade. Même les blagues foireuses de Michel complètement saoul.
Un besoin naturel me submergea. Flairant que le maitre de maison serait dans lincapacité de me renseigner, je me tournais alors du côté de Jean Claude. Le seul encore dans le salon. Alexandre sétant évanoui avec Gina.
La porte était close. Il nétait pas question pour moi de louvrir au risque de me faire repérer. Je dû recourir à la serrure pour combler ma soif de curiosité. Et je ne regrettais dy avoir jeté un il. Gina était plaquée debout contre larmoire. Ses habits noffraient aucune protection à ma main baladeuse du collègue. Fourrageant dans la culotte de Gina, la langue fouineuse dans sa bouche. La monstrueuse bosse du pantalon affirmait lexcitation dAlexandre.
Puis pour ma plus grande joie, la maîtresse de maison saccroupit et dégagea le sexe du pantalon. La verge jaillit comme un diable de sa boîte, dressée à la verticale. Elle émettait un sifflement de contentement. Passant très vicieusement une langue sur ses lèvres.
Elle prit délicatement dans ses mains, des bourses de son amant. Comme si elle voulait les soupeser, puis les lui caressa. Alexandre, la tête en arrière, se laissa prendre en bouche. La cavité mâchouilla le gland alors quune main le branler. Elle le pompa et cela jusquà lheureux élu éjacule dans la bouche.
Le méfait liquidé, ils se rajustaient. Ce fut linstant que je choisis pour prendre congé. Ils nous rejoignirent quelques instants plus tard. Gina, avait les joues rosies. Je me mis alors à lattaquer sans cesse de questions très compromettantes. Qui faisaient allusion de près ou de loin sur ce qui sétait passé dans la chambre. Alexandre était trop fumé pour faire la liaison. Comme je lavais tant désiré, elle décida de sabsenter quelques instant pour aller soit disant chercher une autre bouteille.
- Ah cest toi
tu as besoin de quelque chose ?
- Oui de toi !
- Pardon, fit-elle, souriant niaisement.
- Jai tout vu tout à lheure dans ta chambre avec ton collègue.
- Ah oui ! Et alors ?
Pour toute réponse, je mapprochais à la toucher, et posais mes mains sur ses hanches. Elle se laissa plaquer contre moi. Je me frottais à elle. Cétait délicieux. Profitant de sa résignation pour enfouir ma main sous sa robe.
- Oh non ! Chuchota-t-elle. Que fais-tu là ? Fit-elle en essayant de méchapper.
Je lobligeais à rester à mon côté en lui pinçant légèrement les cuisses. Matée, droite comme une statue, elle prit appuie sur le poignet du frigo. Les joues rougissaient à vue dil. Je profitais de sa docilité pour la tripoter entre les cuisses. Mes doigts cherchant à se faufiler sous sa culotte. Elle avait beau serrer les jambes, jinsistais en la couvant dun regard affectueux. Elle chancelait, ses seins se soulevaient à un rythme rapide, coincées dans son chemisier boutonné au col.
Elle se tortilla comme en proie à une forte envie duriner. Je lui palpais le sexe à travers son slip. Comme cela ne semblait pas lui déplaire, en un tour de main, je fis glisser sa culotte jusquà ses chevilles et len débarrassais. Je la chiffonnais dans ma main et la reniflais vicieusement.
Ne pouvant pas me résonner de découvrir son sexe, je soulevais le devant de sa robe, assez haut pour me rincer lil. Jy vis des poils noirs lisses, presque laqués. Je détaillais la crête sombre, un peu chiffonnée, formée par les deux lèvres.
- Cest bien gras, tout ça ! Lui fis-je en portant le doigt à ma bouche. Le suçotant.
Quand jeffleurais le clitoris, Gina miaula, se cramponna sur le sur le frigo. Je plongeais mon index dans les profondeurs de son vagin. Elle ferma les yeux et avança instinctivement son bassin au-devant du doigt qui tournoyer dans son antre. Elle penchait la tête en arrière et haletait, la bouche à demi ouverte. Son souffle heurté, sifflait entre ses dents comme si elle souffrante.
Je minstallais entre ses jambes. Coinçant le devant de sa robe à la ceinture en cuir. Javançais mon visage jusquà la fente dont les bords froissées menvoyèrent une bouffée de parfums qui me grisa. Je plongeais la tête en avant et se mit à donner de grands coups de langue sur le sexe détrempé. Elle tressaillait, en fermant les yeux. De la langue, jexcitais son clito tout en enfouissant mon index pour ses deuxièmes plongées dans son entaille. Sa respiration se fit plus forte, alors que je sentais une mouille chaude et épaisse gainer mon doigt. Jenfonçais un second à coté. Cétait si accueillant que je pouvais les faire gigoter sans problème. Le son de ses gémissements allait crescendo. Ce qui mencourageait à en faire plus, et pour ça de glisser lannulaire dans son anus.
Je me souviens davoir aussi au même moment ouvert la bouche. Comme si je voulais avaler le sexe qui se trouver juste devant moi. Et de serrer mes dents en haut de la vulve, tout en la masturbant avec mes trois doigts. Elle souleva une jambe la posa en appui sur mon épaule, comme pour mieux souvrir. Jen profitais pour enfoncer lauriculaire dans son anus. Branler le cul au même rythme que sa chatte. Elle ne traina pas à « couler » de partout.
Je suçais sa chatte avidement. Elle tressaillait. Jalternais le mouvement de ma main entre lenteur et rapidité, guettant sur son visage la montée du plaisir.
Son regard capta le mien. Comme pour partager avec moi, le réalisateur de son plaisir, sa jouissance. Sa mouille coulait plus que jamais en abondance le long de ma paume. Mon bienfait réalisé il était temps pour moi de redevenir sage, malgré ma forte érection.
Alors que je me redressais, je découvrais avec stupéfaction que nous nétions plus seul dans la pièce. Jean Claude sy trouvait aussi.
- Que vous êtes brillant
- Oui, je reconnais quelle sextériorise assez facilement. Que disent les autres ?
- Michel roupille tandis quAlexandre récupère, fit-il un sourire salace aux lèvres. Il ma tout raconté
Dans la foulée en deux ou trois manuvres, il my sa verge au gland mafflu à lair, sous le regard fasciné de Gina. Le coquin lagita, en lui lançant :
- Elle te plaît Gina, viens la sucer !
Sans quil soit besoin de se répéter, elle se pencha au-dessus de mon membre. Refermant ses doigts autour, elle entreprit de le sucer tout en le branlant. En un va-et-vient plein de sensualité. Avec un tel traitement, il ne mit pas longtemps à atteindre lapogée. Jean Claude lui avait annonça en s'étranglant quil allait éjaculer. Elle avait alors accéléré le mouvement de la main. Aux grimaces qui déformées son visage, je sus quil giclait son plaisir dans la bouche de la suceuse. Quelle tenait fermer. Ne faisant aucune manière à lavaler. Elle prit même soin de nettoyer la verge avec sa langue.
Avec jean Claude nous étions retournés au salon, Gina préférant se rendre dans la salle de bains avant de se retrouver en compagnie de son époux. Michel dormait à poing fermés sur le divan, saoul.
- Alors cette partie ? Demanda Alexandre.
- Très jouissif, répliqua Jean Claude.
- Elle est bonne. Fit Alexandre. Et elle aime ça la cochonne.
- Arrête, répliquais-je, tu vas me faire regretter de ne pas mettre fais sucer.
- Et bien tu aurais du, me confia Jean Claude, elle suce aussi bien quelle respire, ce qui est peu dire.
Nous nous mires à rire en cur.
- Il nest pas trop tard pour réparer ça, fit le collègue de Gina.
- Et lui, fis-je en désignant le mari couché.
- Lui, pas de risque quil se réveille avant demain, crois-moi fit Alexandre, je connais le lascar. Et, de vous à moi je ne serais pas contre dune nouvelle pipe, ajoutait-il en se défaisant son pantalon.
Nous décidâmes comme un commun accord, de mettre nos sexes à lair. Quand elle fit son entrée, elle fut accueillit par Jean Claude. Lui arrachant sa robe, et la pencha sur le bord du fauteuil. Il sétait enfoncé en elle dun seul coup de reins jusquà la garde. Quand il eut fini, je pris ma part en lenculant. Alors quelle hurlait son plaisir, Alexandre lui avait enfourné sa queue en bouche. Même après tout ça la coquine en demander davantage.
Pour assouvir le besoin de manque de sa collègue, Alexandre nous avait préconisé une pose qui pourrait la combler. Pour cela, nous nous sommes avec Jean Claude allongé à même le tapis. Couilles contre couilles. Nos bites nen faisant quune.
Alexandre avait conduite sa collègue au-dessus de nous. Prenant appui avec sa main gauche sur mon genou et se baissa. De son autre main, elle guida nos verges dans sa chatte béante, et sabaissa. Lentement nos glands écartèrent les lèvres qui épousèrent la forme de nos queues respectives. Le vagin résista un peu, protestant contre la taille inhabituelle de ce que en lui imposé, mais finit par céder aux mouvements conjugués de nos deux bassins basins. Se dilatant autour de nous pour mieux nous absorba. Gina étouffa un cri. De plaisir ? De douleur ?
Je ne manquais rien de cette pénétration contre nature. Une moitié avait disparu dans son antre. Après avoir pris une inspiration, elle se laissa tomber, en poussant un grognement sourd. Elle sempala complètement sur nos sexes. Son pubis se mêla au mien. Elle poussa une sorte de grognement sourd sortant du plus profond de sa gorge :
- AHHHH, Oui, oui, humm
.
Elle resta quelques instants sans bouger avec ces sexes entièrement en elle. Puis à laide de ces deux mains en appuie sur mes genoux, elle monta et sabaissa. Gémissant de plus en plus fort.
- Oui cest monstrueux, Ahhhh, cest bon, Ahhhh.
Peu à peu, elle accéléra furieusement son pompage. Je restais sans rien faire, seulement à regarder le spectacle de cette femme en train de sempaler toute seule. Elle se dandinait et gémissait langoureusement. Plus que la sensation, ce fus le spectacle offert à mes yeux qui me fit éjaculer. À men faire grogner de plaisir. Badigeonnant de mon sperme tout ce qui se trouver dans lantre. Cela eut pour but de déclencher celui de Jean Claude.
- Jaime ça, hurla-t-elle
cest bon
oh ! Oui, je vais jouir
je jouis
oui, ooouiiiiii ! Je jouis
Elle jouit ainsi plusieurs fois, chaque fois plus fort que la précédente.
À vrai dire, et encore maintenant, je nai jamais su qui des bûches ou de linsatiable Gina, mavait autant épuisé. Dailleurs je lavais toujours évité, sachant très bien que je nétais pas de taille pour combler sa soif sexuelle
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