Groupe De Vacances 23
GROUPE DE VACANCES 23
Ep 23 LA COMPETITION
Le convoi arrivait devant le stade, on suivait le direct à la télé, la presse ne réagissait pas tout de suite
D'une pression sur un petit bouton on avait teinté les vitres de ma voiture et personne ne pouvait voir qui était à l'intérieur . Mon équipe était déjà là et personne n'avait parlé à la presse
Les voitures arrivaient devant le stade, un couple en noir nous attendait
JF : Tu vas faire connaissance avec Joss et Justine
Les deux avocats que Mr Le Conte nous a envoyé
Tu vas voir
Justine, elle a l'air froide et distante, avec ses amis c'est un amour mais attention dans son métier, face à ses adversaires, sa froideur reste ce qu'il y a de plus humain en elle
Au dernier procès qu'elle a plaidé, la partie adverse est sortie en larmes du tribunal ! Joss est son assistant , lui aussi il sait faire peur à tour le monde !
JF : Sauf à nous bien sûr !
Comme j'avais prévu, les voitures prenaient position devant le stade, les gardes du corps sortaient et prenaient position à coté de ma voiture, JF en sortais donnait ses ordres à ses hommes et ouvrait ma portière, le directeur en sortait à son tour, je suivais
J'étais accueilli par des cris, des cris de soutiens '' Djé , on est avec toi !
''
''Tricheur, tu devrais avoir honte !
''
Il y en avait pour tous les goût ! Une journaliste tentait d'approcher avec un micro
Un garde la repoussait
Je lui faisait signe de la laisser m'approcher
Le cameraman suivait
JF ne m'aurait certainement pas obéi sur ce coup
Je voyais un éclair de panique dans les yeux de Justine
Face à la journaliste
Elle me posait une question à laquelle je ne répondais pas !
Moi : Je tiens à vous féliciter, vous savez colporter les ragots et les calomnies qu'on vous demande de répandre
Aurez vous le courage et lhonnêteté de me présenter des excuses quand la vérité ne fera plus aucun doute sur mon innocence et mon excellent état de santé ?
Je me détournais sans attendre sa réponse .
Comme la veille, je prenais la parole, je les encourageais, je les rassurais sur moi, ça, c'était pas difficile ils me connaissaient tous
Je remontait leur moral, on allait gagner, on était les meilleurs ! Haut les curs !
Première course , j'en était , le cent mètre
je battais le dernier record que j'avais établi quelques semaines plus tôt . Antoine ne lâchait rien , il ne me lâchait pas , il battait également mon dernier record précédent, il arrivait juste après moi mais vraiment de très peu
Je me retournais vers lui
'' Mais t'es un enfoiré toi, tu as failli me doublé ! '' . Il éclatait de rire
On se prenait par le coup d'un geste amical ! Le troisième était aussi de notre équipe ! Je levais un bras en marque de victoire !
Dans le public, c'était des acclamations
Mais on entendait aussi des insultes !
Dans le reste de la journée, les épreuves se suivaient, je ne participais pas à toutes, il ne faut pas exagérer ! Je suis balaise mais je suis pas Superman
A chacune de mes participations je me plaçais dans les trois premiers . Dans le plus mauvais résultat que nous avions, il n'y avait qu'un seul membre de notre équipe dans les trois premiers, c'était moi en deuxième position
Pour toutes les autres courses nous étions au moins deux dans les trois premiers ! En gymnastique, les résultats était à peine moins bons
Les insultes augmentaient en même temps que nos victoires
Comment une telle équipe pourrait avoir autant de victoires sans se doper ? Mon statut passait de dénoncer de dopage à suspecter de dopage puis accusé de dopage pour terminer par
Dopé !
Les prises de sang avaient eu lieu en fin de matinée
Des analyses rapide devaient donner un premier résultat avant la fin de la journée
Le soir , les résultats n'étaient pas prêts
A la télé Justine était reçu au journal télé, c'est avec un tact inouï, sans même sembler le dire qu'elle faisait remarquer que des tests anti-dopage avaient en effet été pratiqué sur une seule équipe
Que la fédération montrait là sa neutralité légendaire que tout le monde lui connaissait
Scandale ! Mais c'était vrai, l'autre équipe n'avait pas été testée ! Elle le serait finalement aussi le lendemain matin, plus le choix !
Le soir de la première journée toute l'équipe se retrouvait au réfectoire, il nous était entièrement réservé
Mes gardes du corps mes chauffeurs, Charles
Greg dormait dans un coin
Je recevais un coup de téléphone de Mr Le Conte
MLC : Ça va Djé ?
Moi : Je pète le feu
Vous avez vu on leur a foutu la pâtée ! Ils ne sont pas prêts de revenir !
MLC : J'ai une bonne nouvelle, c'est pas une surprise mais comme ça on est tranquille ! Les tests sont tous négatifs !
J'annonçais la nouvelle à mon équipe qui ne réagissait même pas
Évidemment on le savait nous, qu'on ne se dopait pas !
MLC : La compétition se prolonge encore demain, Vous êtes sûr que vous allez bien Djé ? Vous êtes en forme pour demain ?
Moi : Demain , je ne concours pas, il y a natation, javelot, lancé du poids et quelques autres
MLC : On a des chances ?
Moi : En natation une troisième ou deuxième place, ce serait bien, ils sont très forts
Au javelot, aucune, lancé du poids peut être !
MLC : Bien bon courage, bonne chance et prenez bien soin de vous !
Il était décidé que l'équipe dormirait sur place, un dortoir avait été préparé (à cause de la presse) mais Charles insistait pour que je dorme chez moi, il tenait à s'occuper de moi
On quittait l'équipe tôt, il fallait être en forme, je ne concourais pas mais il y avait encore la presse à affronter ! Le chauffeur de la Mercedes louée était parti mais on avait gardé la voiture ! On prenait la route, j'attrapais Antoine au passage .
Moi : Tu veux que je te raconte, la Rolls
?
Un garde jetais Greg sur son épaule et l'embarquait comme un paquet ! A l'appart JF couchait Greg qui avait vraiment besoin de dormir, il avait couru toute la journée . Les gardes s'installaient au rez de chaussée, ainsi que les chauffeurs, personne n'entrerait dans l'immeuble! JF prenait la troisième chambre, Charles venait faire un massage à Antoine, il devait concourir en natation le lendemain!
Antoine : Tu as des mains de fée Charles, je ne savais pas
Charles aussi était épuisé, tout comme Greg il avait couru toutes la journée et avait aussi assisté les masseurs de notre équipe !
Charles : Vous me permettez de me retirer dans ma chambre Mr Djé ?
Moi : Tu m'as l'air vraiment fatigué
Charles : Oui Monsieur, la journée a été dure ! Bonne soirée Mr Djé, Mr Antoine
Antoine : Il nous a appelé Monsieur !
Moi : Il doit être mort de fatigue .
Je m'allongeais à coté d'Antoine, et lui caressait le torse .
A : Ça t'as manqué ?
M : Oui, ça fait longtemps !
Il me laissait faire
Il passait une main derrière ma tête
On s'embrassait
on se collait l'un à l'autre
Il me caressait le dos depuis la nuque jusqu'aux fesses puis remontait en me massant avec les doigts
Je luis mordillais les tétons
Il gémissait de plaisir
Je lui caressais les fesses
il m'embrassait sur le ventre , le nombril
les
On se réveillait, nos bras encore emmêlés autour du corps de l'autre, il était cinq heures du matin !
Moi : Ça c'est terminé comment hier soir ?
Antoine : Je crois qu'on en était là !
Il me serrait dans ses bras et m'embrassait goulûment dans le coup ! Je poussais un cris aigu de surprise et de plaisir
je le serrais fort moi aussi
Je lui mordillais l'oreille
Il me renversait sur le dos, me chevauchait, me caressait le corps en m'embrassant un peu partout
Je le retournais sur le dos et lui rendais sa politesses
C'étaient des cris de joie, et de plaisir que nous poussions
Joie des retrouvailles, plaisir de nos caresses
Je le retournais sur le ventre et lui rapprochais les cuisses
il tournait sa tête sur le coté, je profitais de son sourire de profil
Je prenais un gode, de taille moyenne
Le lui enfonçais doucement
Il fronçait les sourcils
Plus profond
Son sourire se transformait en grimace de plaisir
A fond !
Il ouvrait la bouche mais ne faisait aucun bruit
Je ressortais le gode puis l'enfonçais de nouveau
Il poussait de petits gémissements
J'accélérais le mouvement
Il gémissait plus fort
Des mouvements plus amples
Des gémissements plus intenses
Des mouvements plus rapides
Des cris plus forts
Je continuais avec de mouvements rapides et amples
Antoine gueulait
Son visage se déformait en véritables grimaces
Il contractait son bassins en criant
'' C'est bon , oui , c'est bon
Aaaaah
Oui !
Il tremblait
Encore quelques contractions qui ressemblaient à des convulsions
On ne bougeait plus, je lui laissais le gode planté dans le cul ! Il avait éjaculé, abondamment éjaculé !
Antoine : T'es con ! On n'aurait pas dû !
Moi : Pourquoi ?
Antoine : Toi, tu ne concours pas aujourd'hui
Moi si !
Moi : Je rigolais ! C'est des conneries tout ça ! Tu t'es déjà trouvé moins bon en sport parce que tu avais jouis quelques heures plus tôt ?
Antoine : C'est ce qu'on dit !
Moi : C'est des conneries
Bien sûr, si tu y as passé la nuit, comme on l'a déjà fait souvent à une époque, je ne dis pas .
Antoine : C'est une coupe !
Moi :
une coupe ! Et ce sera la plus grosse !
Antoine : Il n'y en a qu'une !
Moi : Alors tu nous la ramènes !
Antoine : Je vais te rendre la politesse ! Tu vas voir !
Moi : Pas le temps, debout, on se prépare, douche !
Je passais dans la salle de bain . Je l'entendais râler !
Antoine : Mais, il est con , il a même pas retiré le gode de mon cul, j'y crois pas
Djé t'es un farceur mais tu vas voir , je me suis vengé . Finalement j'ai bien fait de me venger avant
On prenait une douche, on enfilait un pantalon de training et on se retrouvais dans la cuisine à préparer le petit déjeuner . On prenait des nouvelles des autres étages, les gardes préparaient des steaks
, Greg était en forme
Je prenais les messages sur mon téléphone
Moi ; Ah la garce !
Antoine : Qui ça ?
M : Nathalie !
A : Pourquoi ?
M : Elle m'a largué !
A : Ah la garce !
M : Écoute moi ça
Djé, tu me fais honte, ta tricherie me dégoûte, heureusement Lionel est là
Je ne veux plus te voir !
A : La garce !
Lionel ?
M : Remarque, elle est pas folle
A : Pourquoi ?
M : Lionel, c'est un bon coup, tu peux me croire, je l'ai pratiqué quelques temps !
Jean François arrivait à son tour
JF : Salut les gars Charles n'est pas encore levé . C'est son boulot ce que vous êtes en train de faire là les gars .
Moi : On le réveillera en dernier, il n'a pas arrêté de courir hier ! Je peux te garantir qu'il était épuisé !
JF n'en rajoutait pas
Quelques instants plus tard, Charles arrivait
JF : Alors , on se sent mieux , on est bien reposé ?
Charles : Je vous prie de m'excuser Mr Djé ! Vous avez bien dormi ? Monsieur Laclaque, Mr Antoine !
Il prenait son service sans attendre
Charles : Je vois que vous avez revu votre copine Mr Djé !
Djé : Ma copine, bein ça risque pas, elle m'a largué
La garce ! Elle est partie avec Lionel !
Jean Françoi : ( sur un ton autoritaire ) Charles, il serait temps que tu apprennes que Mr Djé comme tu dis s'appelle Brosso, et que ce doit être Monsieur Brosso !
Charles : Bien Mr Laclaque !
Je restais sans voix !
JF: Elle t'as largué , et tu le prends bien ?
Moi : Mais c'est de l'histoire ancienne, c'était hier !
JF : Mais alors, qui t'as fait ce suçon dans le coup ?
Je regardais Antoine, il se mordait les lèvres pour ne pas rigoler
Moi : (en regardant ailleurs) Je me le demande moi aussi !
On allait s'habiller dans ma chambre
Moi : Antoine tu es un enfoiré !
Là il craquait, il ne pouvait plus se retenir, il éclatait de rire, il était plié !
Moi : Mais c'est d'un drôle (et me regardant dans le miroir), et tu ne m'as pas loupé en plus ! T'es vraiment un Guignol !
Je ressortais, il me suivait toujours éclaté de rire !
Moi : Tu imagines si Nath ne m'avais pas largué, je lui aurais dit quoi moi ?
Plus j'en rajoutais, plus il rigolait !
Je retrouvais JF .
Moi : Bon, on fait comme hier .
JF : Oui, mais on n'aura pas besoin de ton valet de chambre, sa présence n'est pas justifiée !
Moi : Tu t'es déjà fait massé par lui ?
JF : Non ?
Moi : Tu devrais, il est exceptionnel ! Il vient avec nous !
Jean François se retournais vers Charles qui lui confirmait ce que je venais de dire de la tête
JF : La télé a donné les résultats des tests, ils sont tous négatifs
Moi : On le savait déjà !
JF : C'était pas officiel
Greg partait en avance, il passait chercher le directeur qui serait ravis des nouvelles ! Charles partait avec lui .
Deux voitures, même protocole que la veille
On sortait de la voiture, j'étais encadré on avançait vers l'entrée . Justine était sur notre chemin, elle répondait à la journaliste télé de la veille . J'entendais la journaliste lui demander si elle pouvait me pauser une question . D'un geste de la tête je faisais '' oui ''
Justine laissait faire !
La journaliste : Djé, vous avez vu les résultats des test, avez vous des commentaires ?
Je ne répondais pas !
La journaliste (visiblement mal à l'aise) : Monsieur Djé, sil vous plaît
Moi : Je voulais seulement savoir si vous auriez le courage et lhonnêteté de me présenter des excuses pour les calomnies que vous avez largement répandues ? Je constate que non !
Je tournais les talons et rentrais dans le stade ! Elle voulait me suivre, le bras d'un garde faisait barrage . Ma réplique d'hier, les résultats du test, nos performances de la veille et cette nouvelle réplique passaient en boucle toute la journée mais sur une autre chaîne de télé
J'avais gagné le combat médiatique par KO !
Je me réfugiais au fond des vestiaires, je me sentais bien mais comme je concourais pas
Je suivais les épreuves sur un transistor portatif
On s'en sortait mieux que prévu ! J'entendais du bruit
Mr Djé ?
Moi : Je suis là
C'était David et Louis mes deux chauffeurs !
David : On est venus vous dire au revoir, Mr Le Conte nous rappelle !
Louis : On a été très heureux de travaille pour vous ces deux jours !
Je les attrapais tous les deux par le col, les tirais à moi, j'en embrassais un puis le second
Ils m'attrapaient à leur tour, me caressaient partout, m'embrassaient dans le coup . Je pensais à mon suçon ! Une main se glissait sous ma chemise, une autre se glissait sur mes fesses . Je laissais faire . Une troisième main m'ouvrait mon pantalon qui tombait . Quatre mains soulevaient mon T-shirt et ma chemise qui se retrouvaient à coté de moi en un instant
Des lèvres m'embrassaient toujours
Je vous ai déjà dit que je ne porte pas de sous vêtement ?
D'autres lèvres m'embrassaient le torse, me mordillait les tétons alors qu'une main se glissait entre mes fesses, me caressait les couilles, un doigt se glissait dans mon derrière (je sais pas à qui il était) . Je me concentrais sur un torse que je caressais en glissant mes mains sous ses vêtements, il les enlevait, je l'embrassais et passais ma langue et mes lèvres partout ou j'avais passé mes mains .
Je passais au second qui avait retiré le haut, je le caressais et l'embrassais de la même manière, je le léchais . Mon pantalon était rendu plus loin, mes chaussures aussi, j'étais entièrement nu, ou presque . Toujours ce ' ou presque ' et je ressentais cette pression contre ma bite, cette tension qui avait disparue depuis la veille à cause de tous ces événements . C'était bon cette pression, je sentais que je pouvais exploser !
Un autre pantalon tombait, je prenait une queue dans ma main, elle était bien ferme, bien dure, je me penchais et je la suçais avec délectation . Le dernier pantalon tombait, je passais à la seconde bite puis revenais à la première
J'alternais, deux, trois ou quatre mains me guidaient, m'appuyaient sur la tête
Un bassin se relevait et une queue de belle taille s'enfonçait dans ma gorge
Je passais à l'autre queue . Des mains me caressaient le dos, le ventre, le cul . Un doigt se glissait dans mon cul ...
Je sentais un des hommes se glisser derrière moi
Je suçait la queue devant moi
Je sentais une pression sur mon anus
Il poussait, il rentrait, il s'enfonçait doucement mais fermement et sans attendre plus me limait avec force
Un flot de chaleur me remplissait jusqu'au nombril
Deux mains me tenaient fermement la tête, me forçaient à avaler cette queue
Derrière, il se retirait, il s'allongeait sur le dos, et me demandait de m'asseoir sur sa bite
Je le faisais sans hésiter
La sensation était particulière intense et douce à la fois
Un flot de sperme coulait de ma cage
Il me tirait vers lui et je m'allongeait sur son corps, il me caressait des épaules jusqu'au cuisses
Son camarade nous regardait, il était debout en face de moi
Il s'allongeait sur moi, m'écartait les cuisses et se glissait entre
Je sentais sa queue qui remontait jusqu'à mon anus déjà dilaté, déjà occupé
Il poussait .. Je hurlais
Il s'enfonçait
Je gueulais, je tremblais, je pleurais
C'était bon
C'était douloureux au début, cette douleur intense qui précède cette explosion de jouissance
Ou une jouissance qui suit une douleur intense
J'avais la bouche ouverte, je respirais fort, je n'avais plus de souffle, je sentais ma queue exploser dans sa cage, non, je sentais ma cage résister à l'explosion de ma queue
J'avais mal, c'était bon
Ma queue se contractait, j'éjaculais . Chaque contraction provoquait une sensation de douleur, de plaisir, de
Je sais pas, je sais plus !
L'homme au dessus hurlais en contractant tous ses muscles, il jouissait, il éjaculait dans mon cul et se laissait tomber sur moi
Le second continuait les mouvements de son bassin, il finissait lui aussi à se contracter, à me serrer dans ses bras de toutes ses forces, à gémir quand il jouissait à son tour dans mon culs
Un peu plus tard, on se relevait, mes deux camarades m'aidaient en me prenant par la main, j'avais du mal à me tenir debout, j'avais les yeux enflés, mon visage était rouge
On se douchait, ils étaient joyeux ! Moi j'étais comme assommé . Un orgasme, c'est intense, et celui-ci était
Waou ! Deux d'un coup, deux en même temps, je ne l'avais jamais fait ça ! On s'embrassait pour se saluer, des au revoir, pas des adieux . C'est au moment ou l'animateur radio se demandait ou j'étais, on ne me plus voyais nulle part, que je sortais des vestiaires
Mes yeux était encore rouge et ça se voyait !
N'hésitez surtout pas à laisser un commentaire !
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