Terma 91: Une Chaude Nuit De Dépucelage En Cellule (1)

Je suis un prof de maths dans un lycée depuis 3 ans et, avec d’autres collègues, nous avons fait un « sit-in » devant l’académie pour protester à améliorer nos salaires jugés insuffisants. Après quelques empoignades avec la police, on a été embarqué et nous avons passé la nuit en prison. On nous avait séparés et je me suis retrouvé dans une cellule, avec trois inconnus mal fagotés, mal rasés et puant le vin. Ils m’ont observés un instant et se sont mis à chuchoter entre eux. Ils semblaient nettement plus âgés que moi et avec ma tenue nette et correcte et mon aspect jeune et bien portant, je faisais défaut dans le groupe. Je me sui allongé sur le banc du coin et leur tournant le dos, je pensais à ma bêtise d’avoir assisté à la manif et rapidement je me suis endormi. Ce qui m’a réveillé, trois ou quatre heures plus tard, ce sont des attouchements sur mon dos et mes fesses. Je n’avais qu’une chemise et un pantalon de flanelle et un slip par-dessous et j’ai nettement ressenti les doigts qui piquaient mes fesses. Réveillé, j’ai repoussé l’agresseur, mais il faisait sombre et d’autres mains m’ont empoignées et m’ont recouché sur le ventre. J’ai voulu crier mais une autre main forte m’a fermé la bouche et quelqu’un m’a chuchoté que si je résistais encore on m’a me zigouiller la gorge. Et comme il me semblait avoir vu briller une lame de couteau devant mon visage, je me suis tenu à carreau. D’autres mains ont rejoint la première sur mes fesses, mon dos et mes cuisses par derrière. Puis quelqu’un a ouvert ma ceinture et fait glisser mon pantalon et même mon slip le long de mes jambes et cuisses. J’étais nu à moitié et allongé sur le banc et la Terma et le cul en l’air. J’avais compris qu’ils en voulaient à ma Terma et à mon cul. Quelqu’un m’a dit que si je restais tranquille, il ôtera sa main de ma bouche pour me laisser respirer normalement et j’ai opiné de la tête. Aussitôt ma bouche fut libérée de la main.
Juste à ce moment l’un d’eux se coucha sur mon dos et j’ai ressenti sa nudité sur mes fesses et mes cuisses et que sa bite me piquait le dos.

Puis il a glissé sa bite bandée par-dessous, entre mes cuisses. Elle était longue et dure, gonflée. Puis ses doigts ont poussé mon anus et ont essayé de me pénétrer le cul, mais j’ai résisté en serrant mes reins. Aussitôt j’ai reçu des claques sur les fesses et le gars m’a chuchoté d’ouvrir mon cul sinon et n’a pas terminé sa phrase. Mais j’ai ressentit la froideur du métal du couteau sur mon cou. Alors je n’ai plus résisté, et j’ai ouvert mon anus et même gonflé mes derrière pour faciliter la pénétration du doigt. Aussitôt le doigt se vrillait dans cul, me pénétra profondément et le gars poussa et ajouta un second. Puis je sentis son souffle sur mes reins ses lèvres sur mes fesses et sur leur sillon. Il cracha beaucoup de salive et me lubrifia avec sa langue et ses doigts l’extérieur et l’intérieur de mon anus. Ses doigts entraient et sortaient librement. Puis je ressentais qu’il se branlait et j’ai deviné qu’il se lubrifiait la bite pour me pénétrer. Aussitôt lubrifiée, sa bite se pointa sur mon anus ou les deux doigts avaient bien fait une petite ouverture. Sa bite glissa à coté de ses doigts, puis ces derniers sortirent de mon cul et le gars poussa sa bite pour remplacer ses doigts. Et malgré une douleur que j’ai été obligé de supporter en gémissant, la tête de sa bite me pénétra. J’ai reçu une claque sur la fesse me chuchotant de la fermer. Ensuite, avec ses mains, il m’écarta les fesses au maximum et poussa sa bite qui progressa petit à petit dans mon cul. J’entendais les autres gars qui soufflaient fort et se branlaient. Rapidement sa bite entra complètement et les poils de son pubis et de ses couilles me chatouillèrent les fesses et les cuisses. Il me secoua et me chuchota de m’allonger complètement, de bien écarter mes cuisses et de soulever mon bassin. J’avais très bien compris et j’ai fais tout ce qu’il demandait pour bien offrir ma Terma et mon cul à son zeb. Et chose bizarre je n’avais aucune envie de protester ou de crier mais bien au contraire j’avais accepté avec un certain sentiment de plaisir mêlé d’une honte que j’ai vite rejeté aidé en cela par la semi obscurité de la cellule, le silence et la complicité des deux autres hommes.
Ce fut donc facile de me laisser faire et j’étais à tout accepter dans cette sodomie de dépucelage.
Et c’est ainsi que lorsque l’homme commença les vas et viens de son zeb dans mon cul, le goutais ce plaisir honteux dans tout mon corps et même j’y répondais par un positionnement efficace de ma Terma. Le gars a compris mon désir et m’a chuchoté si ça me plaisait d’être niqué comme ça. Je ne répondis pas tout de suite mais il avait raison. Et après quelques vigoureux et profonds vas et viens de son zeb que j’ai encore appréciés, il répéta sa question. Cette fois, j’ai répondu par un oui murmuré faiblement à cause de ma respiration qui s’accélérait suite à un début de jouissances que ma Terma et le zeb qui la niquait m’envoyaient. Rapidement j’ai oublié qu’on me violait dans cette cellule et me concentrait uniquement sur l’engin qui me limait le cul, sur sa grosseur et sa longueur, un gros zeb d’homme viril au fond de ma Terma qui perdait ainsi sa virginité. Le plaisir et les jouissances agréables rendaient la chose presque normale et je haletais autant que mon violeur qui pesait sur mon dos et sur mes reins. Après un long moment agréable et une vingtaine ou plus de vas et viens du zeb, je sentais une moiteur et une tiédeur à l’intérieur de mon cul et c’était nouveau mais très jouissif et excitant. J’avais l’impression que ma Terma coulait à l’intérieur et s’adoucissait aux frottements agréables du zeb. Et je désirais maintenant que cette sensation ne s’arrête jamais. J’avais, bien sur entendu, parlé et même lu sur les sodomies et que beaucoup de femmes, d’hommes, jeunes et âgés pratiquaient même si, publiquement, c’était interdit et pêché. Je savais que cela donnait beaucoup de plaisirs aux pratiquants, mais mon milieu social et professionnel ne me permettait aucune approche concrète. Mais ce soir, presque obligé et dans l’obscurité, avec trois hommes décidés de me niquer, la chose était devenu possible à essayer. Et maintenant, avec ce gros et qui me limait le cul et avec des sensations agréables dans tout le corps et la t^te, j’étais heureux d’avoir accepté.
Et je me donnais, je m’offrais à fond à l’homme monté sur moi, le zeb enfoncé dans ma Terma consentante et vibrante. Mais mon violeur accepté et aidé, a des limites et il se bloqua soudain sur mes reins et éjacula par trois fois, trois jets puissants de sperme que j’ai bien ressenti au fond de mon cul. Chaque jet était accompagné par un violent coup de reins. Je me sentais inondé et rempli par ce zeb et par son sperme.
Puis le gars se recula et son zeb sortit de mon cul, et il s’éloigna de mon dos. J’étais pratiquement à genoux, le cul en l’air, cuises et fesses écartées, et la tête sur le lit. C’est alors que j’ai ressenti son sperme qui coulait de mon anus, le long de mon entre fesses et vers mes cuisses. Je voulais me redresser mais aussitôt une main solide et même violente pesa sur mon dos et une autre sur mes reins pour me recoucher. Plaqué sur le ventre, la tête de nouveau sur le lit et le cul en l’air, j’ai ressentit le corps d’un autre gars sur mon dos et contre mes fesses. Son zeb aussi long et dur que celui du premier s’était couché le long de la raie de mes fesses. Il était aussi long que l’autre et lourd. je savais qu’il était lourd de désir sexuel, mais ma Terma aussi semblait accepter ce désir car mon anus frémissait déjà, et c’était déjà agréable. Il frotta son zeb un moment le long de mes fesses, puis chercha mon anus. J’ai aussitôt redressé encore plus mon bassin, écarté mes cuisses et gonflé mon anus afin de lui ouvrir le chemin. Et tout de suite, grâce aussi au restes de spermes qui me lubrifiaient l’anus et le cul, son long zeb me pénétra en vitesse jusqu’aux fond, jusqu’à ce que ses couilles battent l’intérieur de mes cuisses et que son bas ventre claque sur mes fesses. Une plongée de zeb rapide, éclair et brutale, mais ô combien excitante, avec un choc de frissons dans ma Terma et sur tout mon corps. Il démarra avec son gros zeb, une série de vas et viens, rapides et vigoureux, aidés par mes organes lubrifiés de sperme. Maintenant je suis devenu habitué et mon attention était totalement sue les sensations que me donnait son zeb qui dansait à l’intérieur de mon cul.
Une série continue de frissons agréables et de jouissances haletantes. J’étais vraiment accroché sur cette sodomie et ma Terma y était totalement conquise. Je gonflais encore plus mon cul et poussais mon derrière contre son bas ventre. Les frottis des poils de son pubis et de ses couilles sur mes cuisses ajoutaient et amplifiaient ms jouissances. J’étais heureux de cette sodomie et quant il me chuchota si ça va je lui répondis de continuer à me niquer très fort, avec des coups de zeb très violents. J’ai utilisé ces mots comme, me niquer, Teremti, zebek, que je n’ai jamais osé prononcer totalement auparavant. Maintenant ces mots ont des sens concrets et jouissifs et je souhaitais que ce zeb, au fond de moi, ne s’arrête jamais. Hélas, encore plus rapide que le premier, le gars arriva vite au top et il éjacula dans mon cul par trois fois aussi. Ajoutant son sperme à celui du premier, il me remplit tous les coins de mes entrailles. Ma Terma et son anus palpitaient de plaisir et de jouissances. Mais, il se dégagea vite et j’ai ressentis le vide dans mon cul quant il sortit et éloigna son zeb. Mais comme je n’étais pas encore totalement satisfait, et que ma Terma demandait encore un zeb, je restais couché et le cul en l’air, attendant avec plaisir le troisième homme, mais en vain. Alors je me suis retourné en partie et je les ai observés. Malgré la semi obscurité, je les voyais bien maintenant. Ils étaient assis sur les autres bancs, les zeb toujours libres mais penchés, fatigués. J’ai chuchoté pour demander le troisième homme mais il m’a répondu qu’il préférait voir seulement et se branler.
Aussitôt, l’un des deux autres, je crois que c’était mon premier d’après la voix, m’a répondu en me disant si j’en voulais encore et j’ai avoué que moi et ma Terma n’étaient pas encore rassasiés de leurs zeb. Puis je me suis recouché tête sur le banc et le cul en l’air, les cuisses bien écartées. Et, devenu une vraie putain du cul, je balançais légèrement mon bassin de droite à gauche dans un tortillement excitant. Cela a réussi et c’est le gars qui m’a répondu qui plongea sur moi, le zeb à la main et bien dressé (m’tanane) . Aussitôt, Il monta sur moi par derrière et tenant son zeb à la main il me frotta le sillon des fesses deux ou trois glissades pour se lubrifier peut-être et j’ai ressentis qu’il se gonflait et durcissait. Aussitôt il le poussa dans mon anus et me pénétra violemment jusqu’aux couilles claquant son pubis sur mes fesses. La aussi la pénétration brutale du zeb jusqu’au fond de mes entrailles fut un choc sexuel et jouissif formidable qui m’a fait souffler un long gémissement « aa777 » de plaisir. Mon cri a du contenter mon niqueur car il me chuchota que j’avais une Terma et un cul tellement chauds et surtout suceurs qu’ils prennent possession immédiate du zeb qui les pénètre. Oui il m’avoua que c’était mon cul qui branlait et suçait son zeb par des pressions et des vibrations, jusqu’à augmenter son excitation au maximum et lui donne un plaisir et des jouissances de possession follement agréables à l’extrême. Hélas, cela accélère, aussi les jouissances des couilles qui ne peuvent que projeter leur butin, leur miel vers le zeb. Et l’arrivée de l’éjaculation devient presque imminente et trop rapide. Le gars m’a dit qu’il va essayer de se retenir au maximum pour continuer à jouir, ensemble avec ma Terma. Effectivement, il se reteint pour bien me limer une bonne trentaine de fois puis il se lâcha et me remplit la Terma par deux ou trois jets puissants. Nous hurlons presque ensemble ce dénuement jouissif et restons collés de près, bas ventre et zeb contre Terma et fesses. J’imaginais ce tableau de l’extérieur et de l’intérieur, communion totale de plaisir sexuel de la sodomie. Pour un débutant, les gars m’ont bien servis et initiés. Ensuite, en libérant mes nerfs, la force des jouissances me firent m’aplatir sur le banc et entrainer le gars avec moi, sur mon dos. Son zeb resta fichée dans mon cul avec une bonne partie à l’intérieur, mais le sperme essayait de se glisser de part et d’autre. Ces sensations merveilleuses étaient si agréables, couché et possédé par une grosse bite virile, que je voulais les prolonger au maximum. Je le dis, en chuchotant à mon niqueur, de rester en moi encore longtemps et il m’obéit. Et nous sommes restés ainsi tellement longtemps que j’ai fini par m’endormir avec la douceur de l’homme nu, allongé sur mon dos et contre mes reins et un zeb possessif au fond de moi.
Quant je me suis réveillé deux ou trois heures plus tard, en pleine nuit, les trois hommes dormaient, avec pantalons ajustés, chacun sur son banc. Et moi, j’avais mon slip sous mon visage et mon pantalon allongé sur mes fesses et en partie sous mes cuisses. Aussitôt je me suis redressé, et constatant que mon cul suintait encore de sperme, je me suis accroupi et j’ai essayé de me vider au maximum. Ensuite, j’ai remis mon pantalon seulement, mettant mon slip dans ma poche. Je me rappelais très bien tous les évènements de la soirée et, au lieu d’avoir honte de m’être laissé enculer par ces hommes, ma Terma m’envoyait ses sensations et j’étais heureux. Oui j’étais content que mon dépucelage se soit fait presque en douceur et dans la discrétion de la cellule. Puis, me rappelant es zeb des deux hommes, je recommençais à frissonner de désir et ma Terma commençait à me démanger Elle a goûté des zeb et ne veut plus s’en passer. J’espérais que l’un d’entre eux, se réveillant, il me donnera encore un coup de zeb à la Terma. En quelques heures, cette nuit, je suis devenu un accroc de la sodomie grâce aux circonstances qui m’ont obligées à tout accepter puis à gouter puis à aimer les zeb dans le cul. J’ai essayé de m’endormir mais ça n’a pas marché et comme je restais debout contre le grillage de la cellule, mes pas ont du attirer l’attention du gardien de la permanence de nuit qui se trouvait à coté dans la salle des permanences.
Il s’approcha et me demanda, en chuchotant si ça allait. Je lui ai répondu aussi en chuchotant que ça va très bien. Il a ajouté si les gars m’avaient fait du mal et j’ai compris qu’il savait ce qui s’était passé mais sans agir. J’ai répondu que ce fut une belle nuit mais que j’avais besoin d’un supplément de plaisir. Je lui ai demandé pourquoi il n’a pas intervenu lors de mon viol. Il m’a expliqué que ce n’était pas un viol mais une relation consentie entre eux et moi. C’est pourquoi je n’ai pas appelé et préféré profiter d’une plaisir que je désirais. Et que lorsqu’il n’y a ni violences, ni danger apparent, ni appel d’une supposée victime, on n’a pas à intervenir. Ses réponses ne m’arrangent pas car je voulais son zeb à lui aussi. Je lui ai demandé s’il voulait, profiter de l’occasion mais il a ajouté que c’était interdit et il est reparti. Alors, je me suis recouché mais je n’arrivais pas à dormir. Alors, je me suis accroupi devant le banc de celui qui préférait se branler au lieu de m’enculer. J’ai fouillé son pantalon, sorti son zeb mou et ramassé et j’ai commencé à le lécher, sucer et branler doucement. Le gars s’est réveillé mais n’a rien dit en me regardant les yeux dans les yeux. Rapidement son zeb se réveilla, s’allongea et durcit. Il était chaud et aussi gros que ceux des autres. Quant il fut à mon gout, j’ai ôté le pantalon du gars et aussi le mien. Puis je l’ai obligé à se coucher bien sur le dos et avec son zeb pointant à la verticale et j’ai monté sur lui. Assis d’abord sur ses cuisses je me baissais pour continuer à sucer et branler son zeb. Puis l’ai avancé vers son bas et le me suis assis sur son zeb, l’enfonçant doucement dans mon cul. Puis je me suis assis carrément, et son zeb s’est enfoncé jusqu’aux couilles dans mes entrailles. J’étais bien et ma Terma était contente car elle m’envoyait des frissons et des chocs de sensations agréables et jouissantes. Puis, penchée sur lui et mes mains de part et d’autre de sa poitrine, j’ai commencé ma danse de vas et viens de mon cul sur son zeb. Ainsi, c’était ma Terma qui sodomisait son zeb et il m’a laissé faire. Bien sur, ça lui faisait de l’effet car il commençait à gémir et à haleter, comme moi et je ressentais son zeb qui gonflait et s’allongeait de plus en plus dans mon cul. Je montais et descendait sur sa bite de façon à toucher tous les coins et recoins de mes entrailles et ça frottait agréablement. Je voulais continuer ainsi pour le reste de la nuit, mais le gars ne pouvait plus retenir ses éjaculations. Il mit ses deux mains sur mes fesses, me colla à lui et par coups de reins puissants, il éjacula par quatre fois dans mon cul. Ce fut puissant et abondant, plus qu’avec les autres gars. Je suis resté un moment collé à lui pis je me suis redressé et son zeb est sorti de mon cul. Il était immense et brillait de sperme blanc. Je n’avais pas bien vu les zeb des autres mais celui là était juste devant mon ventre, bien dressé, long, dur et terriblement viril. J’ai plongé dessus et le gobant dans ma bouche, je l’ai encore sucé, léché et presque nettoyé.
Quant je l’ai abandonné, il était encore assez debout et lourd, et il m’a encore impressionné. Je ressentais son sperme qui avait coulé de mon cul sur lui, mais mon anus continuait à vibrer de désir. Alors, sans hésiter j’ai changé de position, toujours assis sur son bas ventre mais lui tournant le dos cette fois pour lui présenter ma Terma, mes fesses et mon trou de cul, assez ouvert et qui vibrait. Ma main tenait son zeb et j’ai constaté que ma position l’a excité car je ressentais qu’il durcissait de nouveau et s’allongeait. Je n’ai pas hésité et je l’ai enfoncé de nouveau dans mon anus et me suis assis complètement. Le zeb me pénétra en vitesse et s’enfonça encore jusqu’aux couilles. Je me suis redressé un peu en arrière et, mes mains non pas sur ses cuisses mais en arrière sur son bas ventre, j’ai recommencé ma danse de la Terma sur son zeb. Dans cette position, j’ai ressenti les glissements du zeb beaucoup plus profondément que les autres fois. Ainsi, j’ai constaté que suivant les positions et le type de zeb, on pouvait fouiller toutes ls profondeurs des entrailles de ma Terma. Mon cul est un labyrinthe ou le zeb pouvait se balader partout et réveiller des zones de jouissances inédites et j’en profitais.
Pendant que le baisais mon gars, j’ai vu que le gardien était revenu et nous regardait à travers les grilles de la cellule, mais sans réagir. Pour le punir de m’avoir négligé, j’accentuais ma danse sur le zeb. Quant je me soulevais assez le zeb réapparaissait presque de tout son long et je restais un peu ainsi pour le faire voir au gardien, puis je m’enfonçais le cul sur ce piton assez lentement pour faire exciter le gardien. La fois suivante, j’ai fais le contraire, je m’enfonçais sur le ze brutalement, en vitesse, en poussant un long gémissement «aa777» imité par mon niqueur. J’ai remarqué que le gardien avait mis sa main sur son bas ventre car j’étais sur qu’il bandait et avait envie mais le devoir était plus fort. Tant pis, et je continuais à me niquer sur le zeb dur de mon gars jusqu’à qu’il arriva à une seconde éjaculation, moins puissante que la première mais suffisante pour me remplir le cul. Ensuite, je me suis redressé et accroupis au sol, j’ai attrapé son zeb, comme tut à l’heure et je l’ai sucé et branlé non seulement pour le nettoyer mais parce que cela me plaisait, augmentait mes frissons de jouissances sur tout le corps, pendant que mon cul se vidait du sperme sur le sol. Je crois que ma Terma était assez satisfaite par ces deux dernières sodomies et j’allais remettre mon pantalon et rejoindre ma couche. Mais le gars m’a chuchoté de m’approcher et de lui tourner le dos pour avoir ma Terma face à lui, ce que j’ai fait. Il a tenu mes hanches à deux mains et a collé son visage et son nez et sa bouche sur mes fesses. Puis sa bouche m’a brouté l’anus et sa langue m’a léchée et même pénétré car j’étais assez ouvert. Il me suçait en même temps que ses restes de sperme et j’ai du me pencher en avant et écarter mes cuisses pour qu’il ait toute liberté à me pénétrer avec sa langue. Un bon moment, je l’ai laisser se faire plaisir avec ma Terma et j’avoue que sa procédure me donnait aussi assez de plaisir et de jouissances. Il me semble que ce troisième gars était nettement plus expérimenté que les deux autres. Il a laissé ses copains me niquer normalement pour satisfaire leurs zeb et ma Terma et a attendu son tour car il devait deviner que c’est moi qui allait le chercher et l’inviter à me sodomiser à ma manière et suivant mes plaisirs, ce que nous avons fait avec de positions et des jouissances inédites. Maintenant, c’est lui que je préférais. Quant il m’a libéré, j’avais la Terma nettoyée et calmée. Alors seulement, j’ai remis mon slip et mon pantalon et rejoins ma couche. Je le regardais et lui aussi avait les yeux sur moi et je me suis endormis sans m’en apercevoir.
Quant la permanence du poste du matin nous réveillé, mes deux gars rigolaient de leurs sodomies d’hier soir en me donnant quelque tapes sur le dos et les fesses, alors le troisième se contentait de sourire sans un mot. Les gardes nous ont fait en nous offrant du café et du pain et on est sorti du poste. J’ai quitté rapidement les gars dehors et me suis éloigné pour chercher l’arrêt du bus. Quelques minutes ont suffi pour trouver cet arrêt où il y avait quelques gens qui attendaient. Juste au moment de l’arrivée du bus, j’ai senti quelqu’un qui me touchait l’épaule et je me suis retourné. C’était mon troisième gars, celui qui m’a donné le plus de plaisirs inédits qui me tendait un papier en souriant, puis poussé par le temps j’ai pénétré le bus qui repartait rapidement. J’ai laissé le gars sur le trottoir, alors j’ai jeté un coup d’œil sur le papier. C’était une adresse et un numéro de téléphone avec un mot « ta Terma a ensorcelé mon zeb » ! J’étais content car c’est exactement ce que je désirais, rebeloter des sodomies avec ce gars là. Alors j’ai ajouté sur la feuille un peu en dessous « ton zeb a aussi ensorcelé ma Terma » ! Et je me suis promis de le lui remettre en mains propres dès notre prochaine rencontre que je commençais déjà à planifier.
Ma famille et mes amis m’ont fêté comme un héro car j’ai passé toute une nuit, arrêté dans un poste de police, dans la peur et la solitude et je leur ai raconté toute une fausse histoire telle que ce qu’ils voulaient entendre. Mais ma vraie nuit, j’en garde les souvenirs au fond de ma mémoire et au fond de ma jeune Terma

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