Fantasmer Sur Une Vieille
Jai toujours fantasmé sur une partie de jambes en lair avec une très vieille femme. Ça paraît bizarre mais chacun ses fantasmes.
Un jour en rangeant mes photos dados, jen retrouve une où jétais en vacances avec la famille de Lucien mon meilleur copain malheureusement décédé depuis comme son père dailleurs. Au centre Marie la mère de Lucien dont je me rappelle la splendide poitrine qui me donnait des envies. Je me souviens quil marrivait de me branler dans mon lit en pensant à elle.
Je revois Marie souvent à la superette du quartier faisant ses courses et nous échangeons quelques banalités. Elle est restée très belle femme malgré ses 80 ans je crois, je la compare à Hélène Carrère dEncausse, splendide femme de 88ans quon voit souvent à la télé.
En songeant à mon fantasme, je décide daller lui rendre visite.
Il est 18h00 je sonne à sa porte. Marie mouvre en passant juste la tête dans lentrebâillement de la porte.
« Cest toi Aurélien ? quest-ce qui tamène ? entre excuses ma tenue, je me mets à laise tous les soirs pour regarder les jeux à la télé et préparer mon repas. Je vais passer un vêtement. »
Je découvre Marie juste vêtue sun déshabillé transparent laissant voir ses sous-vêtements, elle a gardé ses bas soutenus par un porte jarretelles du plus bel effet. En se retournant, je peux admire une belle paire de fesses.
Marie revient avec une robe de chambre quelle fait malencontreusement tomber à terre. Je remasse le vêtement et galamment, lui aide le passer.
En le refermant par devant, je ne peux résister à passer ma main comme une caresse sur sa poitrine.
« Quest-ce que tu fais Aurélien, tu tégares ? »
« Excusez-moi Marie mais devant une si belle poitrine, je nai pu résister »
« Allons Aurélien, les jeunes femmes actuelles shabillent tellement sexy et provocantes que tu dois avoir loccasion de la chair fraîche.
« Jai retrouvé de photos de nos vacances dil y a 50 ans, jétais venu vous les montrer et je me souviens que déjà, je flashais sur votre poitrine. Je vous ai choqué à linstant ? »
« Choquée, non, plus à mon âge, surprise, oui, je nai plus tellement lhabitude quon me caresse »
« Mautorisez-vous à caresser cette imposante et admirable poitrine Marie ? »
« Si cela peut te faire plaisir, je tautorise mais je ne voudrais pas que tu te fasses une fausse idée de moi »
La réponse me comble et cette fois, cest à deux mains que je palpe les seins de Marie ? jécarte son déshabillé pour introduire mes mains sous son soutien-gorge et atteindre chacun des tétons que je pince légèrement. Surprise, je les sens durcir comme si Marie bandait de la poitrine., Je me baisse pour essayer den sucer un mais Marie marrête.
« Sois sage Aurélien, viens plutôt prendre un verre, jai lhabitude de moffrir un petit apéro avant le dîner. »
Nous nous dirigeons vers le salon.
Assieds-toi. Quest-ce qui te ferait plaisir, un vin cuit, un Ricard, un scotch ?
« Je veux bien un scotch avec un glaçon si vous avez Marie »
Je prends place sur le fauteuil en laissant le canapé à Marie.
Lorsquelle pose les verres et les bouteilles sur la table basse, Marie qui na pas attaché son peignoir, me laisse entrevoir à nouveau sa poitrine et malencontreusement un sein séchappe de son soutien-gorge que javais à moitié défait. Je sens que je commence à bander.
Sans être gênée, Marie remet le sein à sa place et vient sasseoir sur le canapé en face de moi. Le canapé profond impose à ma vis-à-vis davoir les jambes hautes et en sasseyant, son peignoir et son déshabillé se sont entrouverts laissant bien apparaitre le haut de ses bas et les attaches du porte-jarretelles. On distingue une petite culotte apparemment noire et fleurie. Je me délecte de cette vue profonde.
« A notre santé mon petit Aurélien.
Décidément, mon regard ne peut sempêcher de revenir souvent sur cet entrecuisse à peine dévoilé et là je sens que je bande bien raide.
« Tu ne mécoute pas Aurélien, tu sembles très intéressé par mes jambes »
« Cest vous qui me les montrées et aussi vos cuisses »
« Ça te fait de leffet ? »
« Bien sûr vous imaginez »
« Approche-toi que je vérifie »
Je me lève et me plante debout devant Marie toujours assise qui croise et décroise les jambes ce qui mexcite à mort.
Elle approche sa main de mon pantalon en la posant au niveau de ma queue.
« Je vois. Effectivement ! Si tu me montres ta queue, je te montre ma chatte »
« Je pourrai toucher ? »
« Oui si je peux te sucer »
Je défais et baisse mon pantalon et mon slip ce qui libère mon énorme membre bien dressé.
« Vous pouvez sucer Marie »
« Je préfère que tu me tutoies sans retenu, ce sera plus Sympa »
Elle commence à passer sa langue à plusieurs reprise sur mon gland et enfourne complétement lengin dans sa bouche.
« Cest bon Marie tu suces comme une salope. Ninsiste pas trop, je ne veux pas jouir tout de suite. A toi de me donner ta chatte »
Elle se couche sur le canapé, les cuisses bien écartées, sa culotte est trempe de mouille .
« Tu mouilles bien pour ton âge, je vais te bouffer la chatte à ten faire crier »
« Oui suce moi mon salaud, jai envie et tu vas me baiser comme une chienne »
Je plonge ma tête dans son entrecuisse, jécarte son slip et dévoile un chatte complétement cachée par un forêt de poils noirs. Je frotte ma bouche sur ce tapis mouillé et cherche son clito pour laspirer. Il est énorme, on dirait une petite queue.
« Bouffe moi, bouffe moi, je veux jouir pour tinonder après tu me mettras ta queue. Vas y je sens que je monte »
En un clin dil, la salope se raidit, se cabre et éclate dans orgasme puissant et bruyant.
« Lèche ton jus sur ma figure et donne moi ta salive dans ma bouche »
Jen profite pour lui rouler une pelle denfer en lui bouffant la langue. Nos langues sentrelacent puis elle me redemande avec insistance
« Maintenant baise moi et rempli moi de ton sperme »
Sans ménagement, jintroduis violemment ma queue hyper bandée dans son con mais super excité, je ne peux la limer que quelques minutes. Je la préviens pour quelle monte en même temps et méclate à lintérieur dans un gémissement rauque pendant quelle crie de plaisir.
« Cest bon, vas-y, vas-y, cest merveilleux crache tout ce que tu peux je veux que tu me remplisses »
Voila, nous sommes soudés et reprenons notre calme lentement.
« Fais couler mon foutre dans mon verre, je veux le gouter mélangé à ta cyprine et sentir lodeur mélangée de ton vagin »
En se relevant, les seins de Marie dansent et je ne peux mempêcher de sucer un téton ;
Notre jus coule et rempli la moitié du verre à apéritif. Je me délecte de ce mélange de nos nectars
« Navale pas me dit-elle, je le veux pour moi »
Je lui fais donc passer ce que jai dans la bouche augmenté de ma salive.
« Avale Marie »
Cela fait, je lui caresse la chatte encore toute mouillée.
« Tu nen na pas assez eu, tu nes pas fatigué » me demande telle
Je me rhabille et nous nous quittons avec un baiser affectueux sur le front. En fermant la porte derrière moi, Marie me dit à loreille :
« Tu reviendras me voir, je me préparerai et tu menculeras »
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