Ma Déchéance (7)
Ma déchéance (7)
Un peu choqué par cette inhabituelle vulgarité, je scrutais son visage à la dérobée imaginant un instant que Julia était ivre, puis je me rappelais laversion quelle avait toujours eut pour lalcool. Et quimportait après tout puisquelle me demandait de lui donner du plaisir ! Jétais fou de joie, tremblant dexcitation contenue !
Depuis un an, jétais privé de ses caresses, de son corps, de ses baisers et je ne lavais pas touché autrement que pour lui faire des massages
Depuis un an jétais soumis à une abstinence e non seulement physique mais aussi psychique, empêché de lui témoigner mon désir, mon amour, ma tendresse. Depuis douze longs mois, je rêvais nuit et jour de la serrer dans mes bras, de la caresser, de lui faire lamour. Limage de son sexe notamment ne mavait pas quitté au point devenir une véritable obsession ! Julia ne sen doutais pas mais pendant toute cette longue période dabstinence javais baisé avec elle de toutes les façons et dans toutes les positions possibles. Javais caressé, pénétré, léché sa chatte des milliers de fois, jen avais respiré les parfums étranges et capiteux, dégusté ses nectars à la source, effleuré la douceur de sa peau soyeuse
Son sexe magnifique était devenu pour moi lobjet de tous mes désirs, un Dieu que je vénérais et que jaspirais à retrouver chaque seconde
La pose de ma cage navait fait quexacerber cette obsession tant lesprit avait pris le pas sur le physique. Je ne bandais plus ni ne me touchais plus mais je lui rendais hommage en pensée et jétais parvenu à ressentir une sorte de jouissance cérébrale incomparablement plus subtile quautrefois. Ce sexe, le sien et uniquement lui, jen avais rêvé jour et nuit au point den devenir littéralement fou amoureux- ou peut-être plutôt devrais-je dire, folle ? Et voilà quau moment où elle me permettait enfin de lui rendre hommage, une force invisible men empêchait
Subitement submergé par une sourde inquiétude, je cherchais fébrilement dans ma tête ce qui pouvait motiver ce soudain désir de sexe et cette invitation à lui faire lamour ! Certes son attitude envers moi avait évolué depuis quelques jours : elle mappelait parfois « chéri »- ou plutôt devrais-je dire, « chérie »- me traitait un peu moins durement quauparavant et elle me permettait de lappeler par son prénom mais cela nexpliquait pas un tel changement dattitude
Avais-je atteint laboutissement de l « expérience » quelle avait imaginé pour me punir de lavoir trompée, mavait-elle tout à fait pardonné et voulait elle, de cette façon, faire la paix avec moi ? Je maccrochais à cette idée de toute mes forces mais une petite voix me disait que je faisais fausse router : « Faire la paix ? Cest mal la connaitre ! En te demandant de lui faire un cunnilingus elle thumilie un peu plus en te rappelant ta triste condition de mâle castré tout juste bon à se gouiner avec elle.
Cétait vrai
Combien de fois mavait elle dit : « Ohhh.. mon chéri, il ny a que toi pour me faire jouir de cette façon ! » mais jamais je ne lui avais vu ces yeux brillants, ni connu cette précipitation, cette façon de parler
Soudain une idée simposa à mon esprit : Omar ! Cétait lui qui lavait excité et non mes pseudos talents damant et encore moins son désir de pardon ! Quel imbécile jétais ! Un abattement terrible me submergea
« Je vais te raconter ma soirée » avait-elle dit : quavait-elle vécu avec lui qui puisse la changer à ce point ? Depuis ce jour fatidique de novembre, je navais cessé dêtre tenaillé par les questionnements vis-à-vis de sa fidélité, question que javais tenté dévacuer de mon esprit avec plus ou moins de succès
Ce soir, pour la première fois jen étais persuadé, jallais entendre de sa propre bouche laveu de mon cocufiage. Et contre toute attente, moi qui navait cessé de la tromper pendant des années sans état dâme, cela métait insupportable
A genoux devant elle, terrassé par langoisse quelle ait pu appartenir à un autre, je me mis subitement à trembler et à sangloter sans pouvoir me retenir
Puis-je savoir ce qui se passe ? me questionna Julia en se relevant sur ses deux coudes.
-
- Et bien jattends !
Je pouvais difficilement lui dire lhumiliante vérité et cherchais désespérément une explication plausible.
- Et bien je
je
jespérais pouvoir retrouver bientôt notre vie davant et que
parvins je à bafouiller entre deux sanglots
- Davant, cest-à-dire ?
- Et bien
que bientôt nous redeviendrions un couple
- Un couple ? Mais nous formons toutes les deux un couple non ? Que cherches-tu à me dire ?
- Je veux dire
un couple normal
Julia attrapa une cigarette dans son paquet, lalluma puis souffla vers le plafond un long nuage de fumée avant de me toiser dun regard ironique.
- Normal ? Alors là, chérie désolée de tenlever tes illusions mais il y a très longtemps que nous avons quitté toi et moi, les voies de la normalité
Et par ta seule faute dois-je te le rappeler
.
- Pardon Madame, euh Julia. Mais
mais tu
euh
je suis quand même toujours comme votre mari ?
- Nous sommes effectivement mariés, mais tu nes plus mon mari et tu ne le seras jamais plus, tu le sais... Comme tu ne seras jamais plus un homme dailleurs
- Jai
jai changé davis. Je
je souhaite redevenir comme jétais
- Comme tu étais ? Cest-à-dire ?
- Comme un
un garçon
articulais-je péniblement en sachant au fond de moi tout ce que ma demande avait de ridicule.
Car si je continuais à penser comme un homme je devais convenir que physiquement jétais loin de ressembler aux stéréotypes masculins : les formes arrondies de mes hanches, de mes fesses et la proéminence de mes petits seins laissaient pour le moins, planer le doute sur ma nouvelle nature. Sans parler de la taille de mon sexe réduit à sa plus simple expression
Et comme je devais my attendre, Julia ne manqua pas loccasion denfoncer le clou :
- Un garçon !? sexclama t- elle en se relevant tout à fait. Mais ma pauvre chérie regarde-toi ! Tu as presque plus de poitrine que moi, une silhouette que plus dune femme tenvierait, la peau aussi lisse quun bébé et tu voudrais redevenir un garçon ? Laisse-moi rire ! Tu es arrivée à un stade irréversible dune transformation qui, je te le rappelle, ne ta pas été imposée ! Tu as accepté de vivre cette expérience en pleine connaissance de cause et que je sache cela na pas eu lair de te déplaire, mmmm ? Est ce moi qui tai e à acheter toutes ces chaussures à talons, ces bottes ? Non ! Et puis je crois me souvenir que ce sujet a été définitivement clos il y a peu de temps ! Je pensais que nous naurions pas à revenir dessus. Tu me déçois beaucoup Clarisse !
Sa réflexion ne fit quaviver ma honte et redoubler mes sanglots.
Ce soir là, comme tous les soirs je métais présenté devant Julia pour quelle déverrouille le cadenas de ma cage afin que je puisse procéder à ma toilette intime.
- Ma chérie jai une bonne nouvelle pour toi : au train où vont les choses tu nauras bientôt plus besoin de cage, avait-elle jugé en soulevant du bout de son ongle carminé mon sexe atrophié. Tu es contente ?
- Euh
oui mais pourquoi ?
- Pourquoi ? Et bien chérie, tout simplement parce quà première vue ta cage est devenue deux fois trop grande pour ton petit zizi. Cest très encourageant ! Cela veut dire que le processus arrive à son terme et quil ny a donc plus aucun danger !
Je crus comprendre quelle évoquait le danger que je puisse recommencer à la tromper. Si tant est que je puisse en éprouver lenvie, jétais moi aussi parfaitement rassuré sur ce point : mon sexe avait fini par devenir dune taille tellement ridicule que je ne voyais mal men servir autrement pour mes besoins naturels. Pour linstant
. Car je me connaissais assez pour craindre, au contraire de Julia, que dès quelle en aurait la possibilité la nature reprenne ses droits et que du même coup reviennent mes anciens démons
.
- Euh
oui mais ne pensez-vous pas que si jarrête mon traitement je risque de vous décevoir à nouveau ? avais-je répondu un peu hypocritement.
Il était clair, en effet dans mon esprit, que le port de la cage était lié avec le traitement anti érectile que je prenais tous les jours depuis six mois. Si jarrêtais lun, jarrêtais lautre.
- Tut tut
Laisse-moi juger veux-tu de ce que je dois faire ! Je nai pas dit que tu arrêtais ton traitement mais que ta cage devenait obsolète, nuance ! Abandonne tes illusions : ton oiseau ne prendra plus jamais son envol si je puis dire et ton corps va continuer à se métamorphoser.
Cette révélation mavait plongé dans un abîme dinquiétantes réflexions
Ainsi je prenais sans le savoir des hormones féminines ce qui expliquait tous les changements qui affectaient depuis six mois mon corps et mon psychisme. Ce traitement était-il dangereux pour ma santé ? Avait-il des effets irréversibles comme laffirmait Julia ou étaient-ils passagers, comme je continuais à lespérer dune certaine manière ? Indépendamment de ces angoissantes questions, je ne pouvais mempêcher de trouver ces perspectives plutôt excitantes car jétais obligé de reconnaitre que Julia avait raison : indéniablement je prenais plaisir, et de plus en plus, à porter des vêtements sexy, à me maquiller et à marcher sur des talons hauts. A cause là encore, des hormones féminines ? Peut-être
Quand à la métamorphose de mon corps, linquiétude des débuts avait fait place à une certaine satisfaction à voir pousser mes seins et arrondir mes hanches. Julia avait encore raison : mon nouveau corps ne me déplaisait pas et au contraire, je le trouvais plutôt séduisant
A genoux devant Julia, reniflant, tremblant, pitoyable je regrettais de mêtre aventuré dans cette impasse. Jaurais mieux fait de lui avouer le véritable sujet de mon angoisse, à savoir le fait quelle ait baisé avec Omar ! Jen aurais eu le cur net ! Au lieu de quoi je navais fait que la remonter bêtement contre moi. Mais contre toute attente, son visage ne montrait aucun signe de colère. Avec un sourire ironique aux coins des lèvres, elle fit mine de compatir :
- Voyez- vous çà : la pauvre chérie a besoin dêtre rassurée sur son physique ! La meilleure preuve que ta féminité est définitivement installée, rigola- t-elle. Ceci dit, je compatis : cest dur de ne pas saccepter telle que lon est
Finalement, je regrette de ne pas avoir écouté les conseils de ceux qui me disaient que le dosage hormonal était trop faible. Dès demain, je prends rendez- vous avec mon gynécologue pour quil modifie ton traitement de façon à ce que tu néprouves plus ce genre dangoisses.
Je me remis à sangloter sans pouvoir me retenir. Augmenter les doses dhormones signifiait pour moi labandon de mes toutes dernières illusions.
- Ne pleurniches pas petite sotte, cela abîme les yeux comme disait ma grand-mère. Tu as vu le succès que tu as eu ce soir ? Tous les mecs se retournaient sur ton passage et je suis sûre que cela était loin de te déplaire
Je me trompe ?
- N.. Non
- Mmmm
jen étais sûre. On ne peut pas lutter contre sa véritable nature. Aller file te refaire une beauté, mets-toi en nuisette et viens vite me retrouver. Je tattends
- Mais votre soirée ? Omar ! explosais-je dans un sanglot.
- Omar ? Ah, mais cest donc ça ! Tu es jalouse !
- Oui ! Bien sûr : affreusement jaloux même !
- Tu nas pas à lêtre ma chérie, me rassura Julia avec un sourire amusé. Omar est pour moi un ami et seulement un ami et je te le laisse. Ceci dit, continua-t-elle en allumant une nouvelle cigarette, je peux comprendre quil tait plu
Quel bel homme et quel merveilleux danseur ! Jamais je nai connu ça dans les bras dun homme ! Cétait divin ! Jétais comme en apesanteur ! Mais cela na rien détonnant : tu as vu comme il est fort et musclé !
Ecoeuré par cette perfide allusion à déventuelles tendances lhomosexuelles, je choisis ne pas répondre : au petit jeu de la méchanceté, je nétais pas de taille à lutter avec elle. La garce savait mieux que personne où appuyer pour faire mal. Non, malgré les apparences, je nétais pas homo ! Et puis jétais, ou javais été, un bon danseur moi aussi. Le meilleur en son temps
Depuis hélas, de leau avait coulé sous les ponts comme on dit et javais perdu ma place. Une de plus
- Pas étonnant quil tintéresse petite coquine ! continua- t-elle. Toutes les femmes sont prêtes à tomber dans ses bras ! Nous les filles, nous avons besoin de nous sentir belles et désirables dans les yeux de vrais hommes virils comme Omar. Cela nous sécurise et nous rassure comme tu auras loccasion de ten rendre compte
Au fait, tu las reconnu ? Non ? Tu ne te souviens pas de lui ? Nous avons joué au tennis ensemble à Saint Cloud il y a un an environ avec Hervé.
Effectivement je me souvenais maintenant de ce double que nous avions joué avec mon pote Hervé. Omar, quil nous avait présenté comme un de ses amis, portait les cheveux plus longs et une casquette, ce qui expliquait que je ne lai pas reconnu. Julia mexpliqua quil était avocat et quils avaient échangé leurs cartes à la fin de cette partie de tennis.
- Je lai appelé le jour où jai découvert ce que tu sais
Nous avons longuement parlé ce soir-là
Et nous avons tout de suite sympathisé
Ainsi cétait lui ! Je me souvenais à présent des rires qui ponctuaient ses conversations au téléphone dont je récoltais des bribes à travers la porte de mon placard. Un soudain découragement me submergea. Julia avait beau nier jétais sûr quil lavait séduite ! Rien de plus facile que demballer une femme en détresse comme javais pu moi-même le constater à maintes reprises, et ce salaud navait sans doute pas eu à faire beaucoup deffort pour quelle lui tombe dans les bras ! Mais selon Julia, Omar lavait seulement aidée à surmonter ce cap difficile en linvitant à déjeuner et en discutant longuement avec elle.
- Cest fou comme cela ma fait du bien de parler avec lui ! Il ma posé une foule de questions sur moi, sur toi
Et ce jour-là, tu ten doutes, je nai pas été tendre à ton égard. Je lui ai confié mes petits secrets et depuis nous sommes très proches ! Omar est un vrai ami auquel on peut tout dire et ce qui ne gâte rien, il est dune discrétion à toute épreuve
La preuve, tu as vu, il na fait aucune réflexion à ton sujet alors quil sait depuis le début à quoi sen tenir sur ton compte
- Tu
tu lui as dit ? Il
il savait qui jétais quand tu mas présenté à lui ?
- Mais oui chérie
Cest lui-même qui ma conseillé de ne pas en parler devant toi pour ne pas te mettre mal à laise. Tu vois de quelle délicatesse il est capable !
Jétais soudain prêt à pleurer. Moi qui pensait être passé inaperçue je me rendais compte que javais été le jouet dune mise en scène
- Euh
et José ?
- Quoi José ?
- Il était au courant ?
- Mais non idiote, pourquoi quelle idée ! Omar était le seul à savoir. Rassures toi, tu as réellement séduit José comme dailleurs beaucoup de messieurs ce soir
Jai même limpression que tu as tapé dans lil dOmar
Oui, oui, il na pas cessé de me poser des questions sur toi
- De quel genre ? questionnais-je flatté malgré moi par lintérêt que javais suscité auprès de lui.
- De quel genre ? Par exemple, la façon dont sétait déroulée ta transformation, il ma questionnée sur tes goûts en divers domaines et une foule de choses que jai oubliées
Tu lintéresses beaucoup ma chérie, je tassure.... Et toi ? minterrogea-t-elle, en rejetant une volute de fumée vers le plafond.
- Quoi moi ?
- Allons ne fais pas linnocente ! Je suis sure que tu aimerais passer un moment avec lui, petite vicieuse ! Tu crois que je nai pas vu le regard que tu lui lançais ?
Je ne me souvenais pas lui avoir lancé autre chose quun regard plein de réprobation et de déception mais je finis par me dire queffectivement javais du laissé transparaitre mon envie dêtre à sa place, ce que Julia avait pris pour de lattirance pour lui
Non même en cherchant bien je ne pensais pas être attirée par cet homme ni par aucun autre dailleurs
Cette évidence me rassura car au fond de moi, je me posais des questions sur le devenir de mon identité sexuelle du fait de mon changement hormonal. Mais non, tout allait bien, jétais physiquement féminisé mais mon psychisme restait tel quil avait toujours été : celui dun homme aimant les femmes. Certes je devais convenir quOmar était un bel homme
A la fois élancé et très musclé
Ses pectoraux que javais vu saillir sous sa chemise mavaient particulièrement impressionnés moi qui navais jamais réussi à donner aux miens un semblant de volume malgré mes efforts à la salle de musculation
Pendant tout ce temps qui mavait paru durer une éternité, jétais resté prostré devant Julia, talons et genoux joints comme elle exigeait que je sois lorsquelle devait me parler. La douleur de la position difficile à tenir avait fait que mon visage sétait imperceptiblement rapproché delle et de son sexe dont les effluves provoquaient en moi une sorte divresse. Mu par une sorte dattirance impossible à refreiner mes lèvres se posèrent soudainement sur sa vulve en signe de soumission. Oui, jétais définitivement soumis à sa volonté et quoi quelle veuille faire de moi, jétais prêt(e) à laccepter pourvu que je puisse continuer à laimer
Ses jambes gainées de nylon sécartèrent un peu plus en signe dassentiment et je menhardis à explorer comme autrefois, à petits coups de langue, la peau soyeuse et lisse de son sexe épilé. Je fis plus que de coutume durer le plaisir ayant soin de ne pas toucher ses lèvres gonflées et humides de désir
Ma vengeance à moi
- Ohhh mais quest-ce que tu fais petite chienne ? Tu veux me faire languir
Tu te fais désirer
Mmmm oui tu as raison, ce sera encore meilleur. Ne tarrête pas surtout
Sans cesser de lécher, je jetais un coup dil à ma petite poitrine qui ballotait sous la fine dentelle de mon corsage au rythme de mes coups de langue. Evidemment, il était trop tard pour espérer devenir aussi musclé quOmar
Mais me consolais je, il y avait des hommes virils et dautres moins. Je faisais tout simplement partie de cette deuxième catégorie et je ny pouvais rien
Après tout, Julia ne cessait de me dire quelle me préférait comme jétais maintenant, quelle était fière de mes « mignons petits tétons » et je devais convenir que javais fini par lêtre moi aussi
- Mmmm oui, cest bon !! Quelle bonne gouine tu fais ma chérie ! Mmmm
je suis sure que tu penses à Omar nest ce pas ? Cest lui qui texcites avoue le
Oui, je pensais à Omar
Limage de sa queue noire la pénétrant simposa à moi sans que je ne puisse rien faire pour la chasser. Elle était grosse et dure, tendue à lextrême comme celles de ces étalons blacks que javais pu observer sur les films X. Elle sinsinuait doucement entre ses deux lèvres trempées, pénétrait lentement toujours plus profond, ressortait à demi, reprenait inlassablement dans un lent va et vient comme je le faisais avec ma langue
Mais le sperme que je recueillais consciencieusement et dont le parfum métait devenu presque familier ne lui appartenait pas. Jétais finalement déçue et inquiète
(à suivre)
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