Croisière En Catamaran
En 2015, nous avons décidé, avec ma femme de faire une croisière en catamaran, départ de La rochelle. Nous voilà donc le 1er juillet dans le plus grand port de plaisance dEurope. Après avoir laissé la voiture dans un parking sécurisé, réservé aux plaisanciers nous nous dirigeons vers notre bateau. « le Dauphin Blanc ». Cest un grand catamaran pour 10 personnes, avec tout le confort, chaque cabine étant composé dun coin chambre et dune petite salle de bain avec douche et toilette. Nous sommes accueillis par HERVE le skipper, un grand gars au visage sympathique avec des yeux bleus perçants, bien foutu, bronzé et musclé juste comme il faut. Nous sommes les premiers, sur 8 touristes qui doivent former léquipage. Arrivent ensuite, Odile, 40 ans et sa fille Fanny, 18 ans à peine.
Hervé 35 ans, bel homme, qui a mon avis ne va pas rester insensible aux charmes de ses dames Odile : 40 ans, 160 cm, 65 kg, un visage au sourire ravageur, et aux formes très agréables.
Odile : tu avais raison il dort bien ton homme.
Je les entends glousser, et la porte se fermer, jouvre les yeux, jai une trique denfer, je sens que les 2 prochains jours vont êtres torrides.
Après une journée de navigation, calme, Hervé jette lancre à une centaine de mètres, dune petite ile de sable fin, formée de dunes.
Hervé : nous allons passer la nuit ici. Si vous le souhaitez, vous pouvez aller sur lile à la nage, avec le zodiac japporte les serviettes et le pique-nique pour ce soir. Les femmes sont ravies, elles plongent, en riant nagent vers la plage. Jaide Hervé à mettre le petit bateau et le matériel à leau.
Hervé : tu viens avec moi
Fanny : (qui était dans sa cabine) Hervé tu mattends, 20 minutes, je dois téléphoner à mon père, et jai peur de nager seule ou je nai pas pied
Hervé (qui a des idées derrière la tête) heuuu, ta mère et Catherine, vont mattendre, si tu veux je reviens te chercher
Moi : tinquiète je lattends, (en la regardant) je nagerai avec toi ok
Fanny : si tu veux merci
Hervé (montant dans lannexe) merci Alain, jy vais-je ne veux pas faire attendre ces dames.
Fanny séclipse, moi je vais minstaller dans le filet. Je regarde la plage, les femmes, discutent sur la plage en regardant Hervé approcher. Je vois mal je vais chercher des jumelles. Cest mieux elles aident Hervé à viennent laider à décharger. Je nentends pas, je vois seulement. Ils sont revenus dans leau, ils jouent comme des s. Se poussent, séclaboussent, se collent. Ils font beaucoup de bruit. Tout à coup, ils ne crient plus, ils sont tous les trois serrés les uns contre les autres, ma femme au milieu. Elle fait face à Odile, Hervé et collé à son dos, les mains sur ses seins, et il lui fait des bisous sur les épaules et dans le cou. Dans le même temps, je vois Odile prendre la tête de ma femme à deux mains et lembrasser à pleine bouche. Après quelques instants, ils sortent de leau en se tenant par la main. Prennent leurs serviettes et se dirigent derrière une dune. Je suis en rage, je ne vois plus rien. Je me déplace vers lavant, je distingue à peine des pieds. Je suis sur le point de plonger, quand un courant bien venu, déplace le bateau. Je suis un peu décalé mais je vois.
Ma femme, est assise les cuisses écartées, avec Odile entrain de lui lécher la chate. En même temps elle suce Hervé. Je nentends pas, mais à leurs visages jimagine leurs plaisirs. Apres quelques minutes, Hervé se retire, fait mettre Cathy à quatre pattes. Il se positionne à genoux derrière elle, elle est cambrée comme une chienne en chaleur. Elle frotte ses fesses sur le sexe tendu qui tarde à la pénétrer. Dans le même temps Odile présente son sexe au visage de ma chérie. Quand Hervé la prend brutalement, jentends un léger cri. Je regarde la scène à travers mes jumelles, je bande comme un taureau, je commence à me masturber, je me mets sur le dos, les yeux fermés quand tout à coup
Fanny : tu fais quoi ?
Moi (surpris lâchant ma tige) heuuuu, eh bien je me masturbe
Fanny : comme ça ? sans raison ?
Je lui temps les jumelles et lui montre la direction.
Je la regarde, elle est jeune son corps est souple, ses formes sont fermes. Je ne suis pas prêt de débander
Fanny (après quelques minutes) : ma mère est entrain de se faire sauter, sur le dos les cuisses ouvertes. Cathy a déjà eu sa dose
Moi : oui
Fanny : comment
Moi en levrette, tu sais ce que cest ?
Fanny : oui je ne suis pas née dhier, je sais ce que cest que baiser
Moi : tu las déjà fait
Fanny : (hésitante) non, et je nai pas envie ça fait mal
Moi : la première fois ou si cest fait précipitamment, autrement, ça ne fait pas mal. Tu verras tu trouveras un jeune homme, doux et patient qui te fera ça très bien
Fanny : je lai jamais fait, mais je ne suis plus vierge, un jour il y un an environ, jai trouvé un gode dans la salle de bain que ma mère avait oublié de ranger je lai pris, je me suis caressé avec, jai eu du plaisir et croyant bien faire, je me le suit enfilé. Jai eu mal et jai saigné un peu, jai su à ce moment-là que je nétais plus vierge, mais je nai jamais recommencé.
Moi (souriant) eh bien ça cest fait, et tu nas pas un petit copain qui a essayé de te faire lamour.
Fanny (sallongeant à coté de moi) : si un il était tellement pressé qua peine nous avons été nu quil ma joui dessus. Comme je nai pas pu retenir un fou rire, il est parti vexé.
Moi : je comprends nous sommes susceptibles nous les hommes surtout quand il sagit de notre virilité
Fanny (en regardant mon sexe toujours érection) : ça fait mal quad tu es tendu comme ça ? Cest dure ?
Moi (trop content de la question) non ce nest pas douloureux du tout, cest même une sensation agréable. Tu peux toucher si tu veux. Tu las déjà fait
Fanny (hésitante et souriante) non je nai pas eu le temps.
Craignant que la magie de cet instant ne passe, je lui prends doucement la main et la pose sur ma verge. Elle me regarde, le rouge aux joues
Moi : caresse la doucement
Ses doigts leffleurent, de haut en bas
Moi : caresse les bourses aussi
Cest magnifique, elle senhardi, prend ma tige à pleine main, et me masturbe lentement
Fanny (avec une toute petite voix) : ça va je fais bien, tu nas pas mal
Moi (aux anges) cest super ma chérie tu es merveilleuse
Et sans hésiter, je mallonge sur elle, et lembrasse à pleine bouche. Dabord surprise, elle essaie de me repousser
Moi : laisses toi aller, je suis certain que tu en a envie
Fanny : jai peur, je nai jamais fait, et je ne prends pas la pilule
Moi : naies pas peur, tout va bien se passer, et je ne jouirai pas en toi
Et de nouveau nos bouches se soudent, cest sa langue qui vient chercher ma langue. Mes mains parcourent ce jeune corps. Elle semble figée, je quitte sa bouche, je descends sur ses seins. Ils sont très sensibles, dès que je gobe ses tétons, elle gémit, et matt par la nuque, après les deux seins je descends sur le ventre, que je parcoure en le couvrant de baisers. Sa respiration devient plus forte, plus saccadée. Je descends encore, arrive au bikini quelle na toujours pas quitté. Elle essaie de resserrer les jambes, pousse ma tête avec sa main quelle pose sur son pubis
Fanny (légèrement suppliante): non Alain il ne faut pas
Moi (retirant sa main) laisses toi aller, tu vas adorer devenir une femme
Fanny (dans un soupir) : fais doucement.
Ma bouche se repose sur le fin tissus, jappuie mes lèvres sur le pubis, je descends, ma langue cherche à la pénétrer, je force. Je suis sur le point décarter le slip de bain, quand Fanny, dune main ferme, défait la ficelle qui le tenait attaché et le jette sur le pont, laissant laccès à sa grotte libre.
Fanny (écartant les cuisses) donnes moi du plaisir avec ta bouche.
Ma langue rentre au plus profond de son intimité. Je sens sa mouille coulée dans ma bouche, je remonte, le lèche comme un chat, la langue ferme. Je monte et je descends, puis je marrête sur son clitoris, que je prends entre mes lèvres, je le mordille, pendant que ma langue le titille, par des petits mouvements de va et vient en même pas une minute, elle explose dans un orgasme fabuleux. Elle gigote dans tous les sens, en râlant, bloquant ma tête entre ses cuisses resserrées.
Je détache ma bouche de son sexe, trempé. Elle est en sueur, elle se passe la main sur le front, les yeux fermés la respiration rapide.
Fanny : merci, cétait magnifique
Je remonte lentement le long de ce corps superbe. Je mattarde pour sucer les tétons, qui qui se remirent à durcir après quelques coup de langues. Je continue mon ascension, le cou, les lobes des oreilles, elle gémit. Mes mains caressent ses seins fermes.
Mon sexe tendu à rompre, se retrouve juste à lentrée de sa grotte, elle a les jambes légèrement écartées, laissant juste un espace pour mon bassin et mes jambes, mempêchant de la pénétrer en douceur. Ma main droite quitte sa poitrine, et vient se placer derrière le genou de sa jambe gauche, que je ramène vers le haut, mouvrant instantanément la porte de se sexe étroit et chaud. Dans un soupir, je menfonce comme dans du beurre.
Fanny (après un léger sursaut) : mais quest-ce que tu fais ?
Moi ( la regardant droit dans les yeux) : je viens de te pénétrer pour te faire lamour
Et ma bouche se colla à sa bouche, sa langue chercha ma langue, nos salives se mélangèrent, elle leva les bras au-dessus de sa tête et instinctivement écarta les cuisses et fit de petits mouvement du bassin pour accompagner mes va et vient.
Elle ne bougeait les yeux fermés, elle se laissait limée, les cuisses ouvertes. En appui sur les mains, jadopte un rythme régulier. Je sors et je rentre du gland, à la garde. Tout ne retenant mon plaisir, je lobserve. Jai du mal à garder le rythme, jai envie daccélérer et de jouir dans ce corps. Mais je ne le fais pas, je veux lui donner du plaisir avec ma bite, lentendre jouir.
Je me dis, pense à autre chose, et là je me mets à penser à ma femme le cul en lair en train de se faire sauter par Hervé, la bouche sur la chate dOdile. Mon désir monte encore plus, je vais jouir, sans lui donner de plaisir. Je suis au bord de la jouissance, quand je vois Fanny, se mordiller la lèvre inférieure, commencer à se tortiller,
Fanny : huuuummmmmmmmm, ouiiiiiiiiiiii, vas y ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Elle ouvre les yeux, son regard est suppliant. Je ne tiens plus, je vais éjaculer au même instant
Fanny (jouissant doucement) haaaaaaaaaaaaaa,
Elle râle la bouche ouverte, il me vient une idée, après un dernier coup de reins violent
Fanny (surprise mais heureuse, se redressant) hooooooooooooooo ( la bouche ouverte
Sentant ma semence, sortir, je me redresse, lui tire la tête violement par les cheveux, et sans viser, menfonce dans sa bouche. Mon sperme se répand, sur sa langue, dans sa gorge, elle se débat, mais je résiste, et me vide complètement. Nous ne bougeons plus, je la lâche, je me recule, me met à sa hauteur. Elle me regarde en larme, hébétée, par le plaisir et le viol de sa bouche, doù coule le surplus de mon plaisir,
Je lembrasse, lui lèche les lèvres, le menton, je récupère ce liquide, je la prends dans mes bras. Elle se laisse faire. Je lembrasse plus fort lèvres contre lèvres. Ma langue va chercher la sienne, qui timidement vient se coller à la mienne. Après plusieurs secondes, nous sous séparons
Moi : ça va
Fanny : ça va, mais jai moins aimé la fin, bien que jai beaucoup jouit avec ton sexe, je ne pensais pas que le sperme avait ce goût
Moi : chaque sperme à un goût différent en fonction de lhomme. Tu ne men veux pas davoir été un peu brutal.
Fanny (se blottissant dans mes bras) non du tout, on recommence quand tu veux.
Jallais lui répondre quand de la plage, les trois autres, nous ont interpellés
Les autres (que nous avions légèrement oubliés) : he ho ? Vous faites quoi ?
Le diner est prêt, aller à table.
Nous sous sommes regardés, nous avons souri, et nous avons plongé pour rejoindre lile.
En arrivant, toute suite les deux femmes, ont remarqué que fanny était nue et quelle avait lair fatiguée.
Odile : vous faisiez quoi, sur le bateau, il nous a semblé entendre des cris et des soupirs.
Moi : rien, mais ce sont les vôtres de cris et de soupirs que vous entendiez.
Personne ne fut dupe. La soirée sur la plage se déroula à merveille, le reste de la croisière aussi. Durant les 2 derniers jours, tout le monde baisa avec tout le monde, sauf Odile et sa fille. Même moi avec Hervé, je lui fis une pipe et le sodomisait dans la foulée.
Aujourdhui nous navons plus de contact, mais nous avons de très bons souvenirs
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