Du Gîte Aux Gorges Profondes
En vacances en gîte, belle bâtisse en pierre, jétais installé au rez-de-chaussée dans un deux pièces. Une pièce principale, un couloir avec 2 portes à droite desservant la salle de bain et les toilettes, une porte en face de la pièce principale donnant sur la chambre. Cette dernière donnait sur la terrasse en L. Au dessus de moi sétait installé un couple proche de la cinquantaine. Un vieux bougon féru de pêche et une ménagère toute dévouée à son mari. Elle me saluait à chaque fois que nous nous croisions et je sentais son regard appuyé sur moi. Son mari la précédait toujours et il ne semblait nullement attentionné avec sa femme. Cest elle qui faisait les courses soccupait du linge
Durant la première semaine, nos regards et les sourires échangés étaient de plus en plus longs. Nous échangions quelques mots sur la météo exceptionnelle et sur cette chaleur tout en ventant lisolation de cette vieille demeure. Tout dérapa la deuxième semaine. Un matin, je sortais dune douche fraîche après mon jogging. Javais oublié de refermer la porte fenêtre. Jétais dans le plus simple appareil quand je sentis un regard sur moi. Cétait la femme qui me matait. Elle rentrait de faire ses courses. Elle posa son sac et fit un signe comme quoi mon sexe était petit. Après une douche froide on nest pas à son avantage. Je ne fus pas désarçonné plus que ça. Je la montrais du doigt, simulais un lever de haut de vêtement et lui indiquais que mon sexe se lèverait instantanément. Elle sapprocha un peu posa ses deux sacs regarda à droite et à gauche puis elle souleva son caraco en attrapant son soutien gorge au passage libérant ses deux seins lourds légèrement pendant avec de belles aréoles brunes. Mon sexe se raidit immédiatement. Elle mit son pousse en lair. Je ne suis pas un monstre mais mon sexe est très raide et légèrement arqué vers le haut. Elle remit son haut prit ses courses et disparue. Le lendemain matin, mes volets étaient mi-clos laissant la place pour mon sexe de passer entre les deux battants.
Il était 15 heures quand je vis passer le mari avec sa canne à pêche. A peine avait-il disparu du paysage quelle passa la porte fenêtre, posa son panier à linge ferma les volets et retira sa robe. Une fois de plus jétais bluffé par son sans froid. Elle avait le teint hâlé. Elle avait dû avoir des seins magnifiques dans sa jeunesse. Sa taille était encore marquée et ses hanches un peu larges. Elle se retourna, sappuya sur les barreaux du lit et sortit cette phrase que beaucoup dhommes aimeraient entendre « prends-moi ». Jétais scotché par sa proposition sans ambages et je regardais ses fesses généreuses. Je mavançai vers elle en quittant mes vêtements me plaçai derrière elle et trouvai son orifice plein de cyprine. Je menfonçai jusquà la garde. Elle laissa échapper un léger cri. Je continuais mes va et vient avec douceur. Parfois à fond et parfois je laissais rentrer que le bout du sexe. Jarrêtais je laissais mon sexe à lentrée de sa vulve pour voir sa réaction. Elle se retourna et avec un mouvement de hanche elle senfonça au plus profond de son corps. Elle allait et venait sur mon sexe. Je me cambrais en légèrement en avant pour quelle puisse sempaler sur mon membre. Elle sappuyait sur des barreaux du pied de lit pour sentir ma queue au plus profond de ses entrailles.
Elle regarda et me dit : « Remplit moi la chatte je viens »
Je repris mes ondulations avec plus de rythme en saisissant ma voisine par les hanches.
On entendit à létage du bruit puis son mari lappeler par son prénom. Celle qui était au bout de ma bite sappelait donc Christelle
Je commençais à paniquer légèrement. Elle, pas du tout. Une fois de plus avec sang froid, elle remit sa robe, prit son panier à linge, quitta ma chambre par où elle était venue. En arrivant chez je lentendis dire à son mari quil nétait pas obligé de meugler et que le linge ne sétendait pas tout seul. Je me préparai pour aller me baigner dans les gorges de lArdèche. Nous nous croisâmes en sortant, nous nous saluions comme si de rien nétait. Son mari étant devant elle, elle me fit un petit signe pour me faire comprendre quelle était toujours remplie par ma semence.
Tard dans la nuit, de retour dun bar du village dà côté où javais passé la soirée, je tentais douvrir ma porte. Jentendis des « psitt » venant dau-dessus de moi. Je levai les yeux et vis ma voisine en nuisette transparente éclairée par la lune. Elle descendit les escaliers en pierre. Je montai aussi à sa rencontre. Et nous voilà en train de nous rouler des patins, moi en lui caressant les seins et elle mouvrant le bouton du pantalon et me saisissant la bite. Je lui soulevai rapidement la nuisette et lui bouffai les tétons. Elle me malaxant les boules et me branlant le sexe. Elle sassit sur les marches je baissai mon pantalon et mis ma bite entre ses seins. Ma bite disparaissait entre eux, cétait merveilleux. Ensuite elle se releva et se fut moi qui lui bouffa le minou en lui attrapant les fesses refroidies par la pierre pour menfoncer au plus profond delle avec ma langue. Jen profitai pour lui aspirait son clitoris.
- « Merci à toi pour ce pied extraordinaire » me dit-elle.
- « Merci à toi davoir réalisé mon phantasme ».
- « Par contre je ne peux pas rentrer souillée comme ça ».
Alors, elle commença par se lécher les seins puis elle se nettoya le visage en se délectant apparemment de mon nectar. Elle me regarda puis saisit mon sexe mou et le nettoya également. Je restai bouche bée. Cest si bon de se faire lécher et sucer le gland quand on vient de jouir. Elle se releva membrassa et nos langues se mélangèrent. Un mélange de foutre et de cyprine dans la bouche je regagnais mon appart. Elle ne manqua pas de me dire à très bientôt.
A suivre
Si vous avez aimé mon histoire merci de me laisser un petit message ça fait toujours plaisir.
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