Laure 4

Laure m'ouvrit la porte, et je pénétrai dans son appartement. Cela faisait une semaine qu'elle me tannait pour que je vienne visiter son nouvel appart, le premier dont elle allait régler le loyer par l'argent de son travail. Comme j'étais son meilleur ami, j'avais bien entendu accepter, curieux de découvrir son nouveau chez elle. J'espérais aussi quelque chose de plus... épicé : Laure était vraiment sexy, une belle brune au visage d'ange, avec un corps merveilleux, notamment sa poitrine, du 90c qui tenait bien en main.

« Alors, ça te plaît ? me demanda-t-elle. »

Son appart était un trois pièces, assez petit mais bien équipé et qui avait l'air confortable.

« Ouais, pas mal du tout ! Tu vas être bien ici. »

Elle eut une moue dubitative.

« Bof je sais pas, je l'ai pas encore testé... »

« Comment ça ? »

« J'ai pas encore baisé dedans... »

La tension grimpa aussitôt de plusieurs crans. Je dévisageai ma meilleure amie, observant son air de plus en plus coquin qui se dessinait sur son visage angélique. Elle était habillée d'un t-shirt noir bien moulant, et un jean classique, mais sexy néanmoins sur elle. J'avais envie de la prendre sur le champ. Elle s'approcha de moi me dévisageant d'un air de chaudasse.

« Tu veux bien m'aider à le tester, alors ? »

En guise de réponse, je me jetai sur elle, la saisis par les hanche, et l'embrassai avec passion. Elle enroula ses bras autour de mon cou et me rendit mon baiser. Elle me poussa en avant, et je tombai assis sur le canapé.

« On va sauter les préliminaires ! me prévint ma meilleur amie. »

Elle m’arracha mon pantalon et caleçon, et défaisant son jean et shorty, elle s’empala sur ma queue toute raide avec un petit gémissement. Elle se mit à aller et venir me chevauchant avec force, tout en m’embrassant langoureusement. Je la laissai faire, et lui rendais son baiser avec passion, profitant de son enthousiasme.

Le plaisir montait, de plus en plus intense à mesure qu’elle accélérait le rythme. Elle me retira son t-shirt, et me griffa le torse, admirant mes muscles. Je lui retirai le sien, dégrafai son soutif, et massai ses seins avec avidité, profitant de leur fermeté. Elle me saisit les mains, et me les serra contre sa poitrine pour me faire sentir qu’elle voulait que je les masse plus fort encore, ce que je fis. En même temps, elle accéléra le rythme de ses assauts me faisant pousser un cri de plaisir. Elle me poussa contre le dossier de canapé pour m’embrasser avec passion, avant de se redresser de bondir sur ma queue comme une folle, en poussant des gémissements de plus en plus fort. Je finis par la saisir par les fesses que je massais avec envie, avant de donner de puissants coups de reins par en dessous, la baisant de plus en plus sauvagement. Laure s’immobilisa et poussa un grand cri, tandis que mon sexe s’enfonçait loin en elle et la faisait vibrer.

Décidé à changer de position, je la soulevai, et la portai jusqu’à son plan de cuisine, et je l’assis dessus. Avec force, je la baisai avec passion, tout en la tenant par la nuque, et l’embrassant sensuellement. Enroulant ses jambes autour de ma taille, m’agrippant les cheveux avec ses doigts, elle m’attira contre elle autant que possible, et me rendit mon baiser avec fièvre. Lorsque mon engin cogna le fond de son intimité, elle poussa un petit cri, qui m’encouragea à aller encore plus vite et fort en elle. Je l’étalai ensuite le plan de cuisine, et me mis à masser ses seins, le prenant à pleines mains en même temps que je la baisais. Elle frémit de la tête aux pieds, se tortilla, gémit, et lorsque je me mis à accélérer brutalement le rythme, une dernière fois, elle poussa un grand cri, et eut un orgasme qui la laissa écroulée et sonnée sur le plan de cuisine.

Je la retournai sur le ventre, et me branlai frénétiquement, ma queue pointée vers son joli fessier. Avec frénésie, je giclai dessus, frissonnant de contentement.
Essoufflé et comblé, je m’adossai au mur de sa cuisine tandis qu’elle se redressait, le visage légèrement rougi sous le plaisir.

« Eh ben… on peut déjà dire que mon canapé et mon plan de cuisine sont bons pour baiser, tu crois pas ? me lança-t-elle. »

« Oh oui, mais bon, il reste le reste de ton appart à tester… »

« On s’y met quand tu veux. »

Elle me dit ça en quittant le plan de cuisine, et en passant devant moi négligemment. Elle pensait sans doute que je mettrai du temps à me remettre de notre baise… sauf que non. Elle était suffisamment sexy pour me refaire bander aussitôt. La prenant de dos, je la saisis par les hanches et la soulevai, puis l’entraînai dans sa chambre. Elle eut un petit rire de surprise devant la soudaineté de ma réaction, et lorsque je la jetai à plat ventre sur le lit, elle frissonna d’excitation.

« Je veux qu’on s’y remette maintenant, lançai-je. »

« Oui, j’avais remarqué ! »

Je vins derrière elle, et la mis à quatre pattes, puis je la pénétrai d’un coup sec, avant de la prendre en levrette puissamment. Je la tenais par les hanches, et lui assénai de puissants coups de reins, me délectant de la vue de son fessier rebondi et ferme. Tout en la prenant avec force, je lui claquai les fesses, lui faisant pousser des petits cris. Ma queue qui la limait avec force, et s’enfonçait loin en elle lui tirait des gémissements terribles, qu’on devait entendre dans tout l’immeuble. Je la fis se redresser, pour qu’elle se mette à genoux, et je saisis alors ses seins et les malaxai avec ardeur, la faisant frissonner. En même temps, je me mis à donner des coups de reins moins rapides qu’avant, mais plus puissants, et je me sentis chavirer sous le plaisir. Je profitai de cette position quelques secondes, puis la remis à quatre pattes avant de reprendre mes assauts rapides, la baisant de plus en plus fort, lui arrachant des cris de plus en plus aigus. Elle se tortillait et tremblait sous mes assauts, tandis que moi, je vibrais littéralement, et commençais à transpirer sous l’effort.


Je la retournai, et la mis sur le dos, avant de la prendre en missionnaire. Je pris ses jambes, et les mis sur mes épaules, pour pouvoir la prendre en enclume, puissamment, et profondément. Elle poussa des cris, et me griffa le dos, sous l’effet du plaisir. J’accélérai et accélérai encore, l’écrasant contre le matelas, culbutant son merveilleux corps, en disposant à ma guise. Je me penchai sur elle, et l’embrassai langoureusement, tout en lui massant les seins d’une main. Lorsque je me redressai et me mis à la pilonner plus sauvagement que jamais, son regard chavira, elle se tint la tête dans les mains, tant ce que je lui faisais était bon. L’orgasme vint nous saisir quelques minutes plus tard, nous submergeant tous les deux en même temps, et nous laissant effondrés sur le matelas, ivres de plaisir.

On resta un moment, étendus sur le lit.

« Waw ! Je pense qu’on peut le dire, mon appart est très bien pour baiser, souffla Laure. »

Je haussai des épaules.

« Bof, on peut pas savoir. Je suis tellement doué que n’importe où ça serait génial avec moi. »

Elle me jeta un coup d’oeil amusé. Je lui souris et lui dis :

« Quoi ? Tu me trouves trop prétentieux ? »

« Non pas seulement… je me dis que c’est contagieux... »

« Quoi ? »

« La façon d’être de Katherine. Parfois tu lui ressembles vraiment beaucoup... »

Je hochai la tête, ne sachant pas comment répondre à ce que je considérais comme le plus incroyable des compliments.

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