Philippe Et Isabelle

Je réussis à rentrer chez nous avant Isabelle, elle me trouva sous la douche en arrivant. Je lui sorti une excuse un peu bidon comme quoi je m’étais endormi en l’attendant et que j’avais pris une douche avant de retourner me coucher. Elle me dit qu’elle allait aussi en prendre une après sa soirée de travail. On en avait bien besoin tous les deux. Cette nuit-là je l’ai prise avec fougue en repensant à toute les fois où je l’avais vu se faire sauter, elle était elle aussi à « fond » dans ce qu’elle faisait. La levrette de Philippe ne l’avait pas rassasiée, je ne pouvais m’ôter de l’esprit que c’était à sa queue qu’elle pensait pendant que je la pénétrais. Les jours qui suivirent quand je passais au bar, Philippe s’arrangeait pour me faire savoir que je n’étais pas le bienvenu. Même si je ne l’avais pas vu s’agiter entre les fesses de ma femme je n’aurais pas eu de doute quant à mon cocufiage. C’était à peine s’il ne s’en vanter pas devant toute l’assemblée. Isabelle ne prenait attention ni à moi ni à ce qu’il disait, occupée par son travail et ses discussions avec Michelle. Je décidais de me faire un peu plus rare, attendant que le climat s’apaise. Je n’ai pas eu à attendre longtemps pour assister aux ébats des nouveaux amants. Un soir où je devais travailler un peu plus au boulot, je reçus un coup de téléphone d’Isa me disant de ne pas m’inquiéter de son retard, elle et Michelle allaient prendre un verre chez Philippe pour son anniversaire. Et elle qui avait toujours refuser ses invitations… il fallait que j’aille voir ce qui allait arriver, même si je m’en doutais déjà. Laissant mon travail en plan, je pris la route en direction de la maison de Philippe, un pavillon de plain-pied au fond d’une cour à la sortie de la ville. En arrivant, j’aperçois la voiture d’Isa dans la cour, je me gare. Une chance pour moi la nuit tombe vite, je descends et passe par-dessus la barrière, je m’avance lentement le long de la haie jusqu’à la maison, pendant un instant je me demande ce que je fais là, et si quelqu’un me voyait ? puis je me faufile le long de la maison, c’est plus fort que moi il faut que je vois, il faut que je les vois ! J’entends de la musique à travers la fenêtre, c’est la fête ! M’approchant de la vitre je regarde, à l’intérieur j’aperçois Michelle, Isabelle et Denis (un copain de Philippe) mais pas le propriétaire des lieux.

Denis fait comme chez lui, passant derrière le bar de Philippe, il sert des verres aux deux filles assises sur des tabourets en cuir. Les minutes passent quand Philippe entre dans la pièce en peignoir, visiblement il sort de la douche, il s’approche du bar et se place à côté d’Isa lui posant une main sur la cuisse. Elle se laisse faire, assise sur le tabouret de bar sa jupe remonte presque sous ses fesses laissant apparaître les hauts de ses bas. Un verre dans une main, l’autre sur la cuisse de ma femme, Philippe s’enhardit et la remonte plus haut sous la jupe. Visiblement ça lui fait de l’effet, une bosse soulève son peignoir, Isabelle s’en aperçoit aussi quand elle baisse les yeux, d’un léger geste de la main elle entrouvre le tissu. Le sexe de Philippe sort du peignoir, dans la ruelle je ne l’avais qu’entrevu, mais là je comprends qu’elle ait pu apprécier. Malgré la petite taille de son propriétaire la bite est tout à fait acceptable, même dans une bonne moyenne. Philippe pose son verre sur le bar et prend Isabelle par la main, la fait descendre du tabouret et l’emmène dans ce que j’imagine sa chambre. Michelle et Denis les regarde partir et je crois entendre à travers les carreaux un « amusez-vous bien ! ». Je décide de faire le tour de la maison en espérant que le volet fenêtre de la chambre ne soit pas fermé ! Par chance (pour moi) le volet est ouvert et la lumière allumée, debout devant le lit Philippe ouvre son peignoir, prend sa queue dans sa main la levant en direction du visage d’Isabelle, le message est clair ! Isa se penche en avant et avale le sexe en érection, les va et vient de sa tête font encore gonfler la queue. Elle s’arrête un moment le temps de se déshabiller, elle enlève son chemisier et fait descendre sa jupe sur ses bas, puis retire sa culotte. Elle se tient devant lui , nue avec juste les bas que je lui ai offert, il retire son peignoir et la pousse sur le lit. Elle tombe sur le dos les cuisse écartées en rigolant, Philippe se branle un moment au dessus d’elle puis prend place entre les cuisses blanches.
Il l’empale, elle pousse un petit cri puis ses jambes se resserre sur son assaillant. Il la pilonne pendant des minutes qui me semble des heures, lui suçant les nichons, les faisant grossir à éclater, Isabelle est aux anges, s’il continue comme ça elle va jouir.
Ce spectacle me rend fou, je suis excité comme jamais, je sors ma queue avant d’éjaculer dans mon pantalon. Philippe s’arrête et Isabelle se retourne, les fesses en l’air, la tête dans les oreillers elle se fait prendre comme une chienne. Il la prend en lui claquant le cul de temps à autre avec force. « il te baise pas comme ça ton mec , hein ? tu aimes te faire baiser, tu vas voir, tu m’as fait attendre assez longtemps, tiens prends.. » et il l’a baise longtemps en levrette avant de sortir sa bite « retourne toi et suce moi maintenant ! » Isa s’exécute, elle le suce avec vigueur, pas longtemps, Philippe ne peut plus se retenir, il lui éjacule sur le visage et dans la bouche. Le foutre coule de la bouche d’Isabelle, elle luit de transpiration et de sperme. Ils s’écroulent tous les deux sur le lit, épuisés. Moi je joui sur la terrasse avant de m’éclipser et de rentrer chez moi attendre le retour de ma femme.

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