Delphine, 35 Ans, Mariée, Deux S... Et Moi (Histoire Réelle Et Vécue)
J'ai 24 ans, je suis en couple depuis bientôt 5 ans. Bien que fidèle, il m'arrive quelque fois de traîner le soir sur des sites de rencontre histoire de frissonner un peu, sans jamais passer à l'acte. Un soir, je flash littéralement sur un profil : Delphine, 35ans, une longue chevelure blonde, taille de guêpe, yeux noisette, seins ronds et généreux.
J'entame la conversation et, miracle, j'obtiens assez vite une réponse (déjà une bonne chose faîte hein messieurs!!?). On parle de tout et de rien, on sympathise, on rit, on fait connaissance quoi. J'apprends notamment qu'elle est mariée et a deux s en bas âge (ce qui ne manque pas de m'exciter d'autant plus, la beauté, l'expérience et le goût d'interdit réunis en une seule femme!).
Au bout de deux soirées de discussion tout a fait sage, elle me propose une rencontre. Rappelez-vous, je suis en couple et fidèle : je cherche une excuse, j'en trouve une, fin du jeu.
Un an et demi plus tard, alors que je rentre chez moi après une nuit de débauche pendant la braderie de Lille, je reçois un message : « Salut, comment vas tu ? » signé Delphine. Une très bonne surprise pour moi, une femme me recontacte, un an et demi après !! Incroyable mais vrai ! Etant un peu « chaud » je réponds immédiatement mais dirige rapidement la discussion sur des sujets un peu plus intime, elle joue le jeu et rapidement nous avons des conversations torrides avec échange de photos, photos sur lesquelles je peux voir qu'en effet, c'est une déesse ! Ses seins sont énormes, fermes et ronds, ses hanches sont parfaitement galbées, ses jambes longues et fines, et je décèle dans ses yeux quelque chose de lubrique, tout cela est prometteur...
Après quelques jours d'échanges très explicites, nous décidons de nous rencontrer enfin. Elle choisit un restaurant à l'extérieur de la ville (elle est mariée et veut rester discrète). Deux jours plus tard, j'arrive le premier sur le lieu de rendez-vous, et je dois bien avouer que je suis un peu tendu (pas dans ce sens là non.
On se fait la bise et déjà, je sens son odeur, c'est Coco Mademoiselle, de Chanel, ce parfum me fait quelque chose décidément.
Après un repas où je décide de me tenir a carreaux (boulot, famille, météo, non je plaisante sur la météo, quand même), elle s'absente pour fumer une cigarette. C'est à ce moment que je décide de passer à l'action : à peine a-t-elle passé la porte, je la saisis par la taille et l'embrasse à pleine bouche, quitte ou double ! Elle me rend mon baiser et me serre contre elle, puis se retirant, m'adresse un sourire dans lequel je peux lire de la complicité et déjà une étincelle de luxure.
Sur ce, je m'empresse de retourner dans le restaurant, j'att à la volée ses affaires et les miennes, paye l'addition et sors la retrouver en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Nos langues fusionnent ensuite quelques minutes sur le trottoir jusqu'à ce qu'elle me glisse un petit « on y va ? » à l'oreille. Elle ne me laisse pas le temps de répondre, me prends la main et file vers sa voiture, tout en me disant avoir envie de le faire dans un endroit « qui change », il ne m'en faut pas plus pour commencer à me sentir à l'étroit dans mon boxer.
Le trajet dura une dizaine de minutes pendant lesquelles elle conduisit d'une main sa Mini Cooper automatique, option utile pour me caresser le sexe à travers mon jean avec des mains que je ressens déjà comme experte. Il me tarde vraiment d'arriver sur les lieux du crime.
L'orée d'un bois, c'est ce que je découvre lorsque la voiture s'arrête, la nuit est tombée et le lieu a quelque chose de presque glauque, mais je n'y prête aucune attention sur le moment, je crois que mon cerveau n'est plus irrigué... Nous marchons deux minutes, puis elle se dirige vers une gigantesque chêne, sûrement centenaire, mais encore une fois, la botanique n'était pas ma priorité à ce moment.
A peine arrivés au pied de l'arbre, elle se retourne vers moi, puis, sans dire un mot, pose les genoux par terre, déboutonne mon jean et entame ce qui est a coup sur, la meilleure pipe de ma vie. Sa bouche pulpeuse est chaude et douce, sa langue vive et enveloppante, associées à ses mains qui malaxent mes couilles de manières exquise et son regard désormais brûlant plongé dans le mien me procurent 5 minutes de pur bonheur.
Elle se relève ensuite d'une manière extrêmement sensuelle, se cambrant, remontant ses mains lentement le long de mon corps, puis m'embrasse passionnément tout en continuant de me branler délicatement...
Ce baiser fougueux fut pour moi le coup de grâce, j'entrais alors dans une sorte de transe presque animale, je la voulais. En un instant, je la plaque contre l'arbre, la retourne, descend la fermeture éclair de sa robe, laissant apparaître une superbe lingerie en dentelle noire. Tout en la caressant et embrassant sa nuque, son dos, puis ses fesses, je me mets a genoux derrière elle, puis retire son string dans un geste mi-pressé mi-délicat. A ce moment, j'ai une vision de paradis qui s'offre a moi ! Sa chatte est sublime, vierge de toute pilosité, elle est serrée malgré ses deux accouchements, et sa couleur rose pâle la rend tout simplement délectable. Son anus quant a lui m'apparaît parfait, il est régulier, d'un rose brun agréable et, croyais le ou non, sens la vanille (je lui poserai la question plus tard et, oui, elle se parfume l'anus avant un rendez-vous). En un éclair ma bouche s'écrase sur son sexe, j'embrasse le contour de ses lèvres, puis glisse ma langue dans son vagin, puis titille son clitoris, gonflé et saillant, un délice.
Ayant étanché ma faim, il est grand temps pour moi de passer à l'acte, le vrai. Je m'allonge donc sur le sol, l'invitant a venir se déhancher sur moi. Elle s'exécute, se frottant tout d'abord contre ma bite tendue à son maximum qui, bien qu'ayant une longueur banale (16cm pour les curieux-ses) est d'une largeur remarquable, dixit les intéressées. Après un petit temps, elle me saisit et veut m'introduire en elle, mais madame n'est pas encore assez mouillée. Je remédie à cela en la mettant sur le dos, et en me lançant dans un cuni des plus passionnés et en deux minutes, les chutes du Niagara coulaient le long de mon menton puis de ses cuisses. Il ne m'en fallait pas plus pour l'introduire en elle sans capote (oui, c'est mal) et ménagement, la pilonnant, la martelant, la ponçant, la limant, je regrette ces verbes qui manquent d'élégance, mais c'est bien de ça dont il s'agissant tant cette femme, plus mure, plus expérimentée que moi m'excitait.
Elle prit ensuite la direction des choses en me demandant (m'ordonnant?) une levrette. Je ne me fis pas prier tant l'idée de voir sa croupe pointer vers la pleine Lune face à moi m'inspirait.
Et autant vous dire que l'inspiration est vite arrivée, a peine une minute après l'avoir pénétrée en levrette et avoir entamé des va et vient lents, puis plus rapides, je me fis rattr par ma gourmandise. Je ne pus me retenir de laisser tomber délicatement une dose de salive sur son anus, de l'étaler avec mon index, puis de la sodomiser sans préavis ! Son gémissement d'extase (enfin c'est comme ça que je l'ai décrypté) m'a gonflé a bloc pour la travailler de plus belle.
à l'arbre, me demandant de continuer, elle se trémoussait contre moi, c'était serré, c'était bon, « je vais jouiiir » !!
Aussitôt avais-je prononcé ces mots, qu'elle se retirait, se mettait a genoux contre moi, et entamait a nouveau une pipe a faire frémir n'importe quel homme ! Quelle femme, quelle confiance en elle !
En quelques secondes, je sentis la sève monter en moi, puis me laissant aller, je retrouvais son regard fixé dans le mien. Une giclée au fond de sa bouche, la deuxième se déposa sur la langue, elle dirigea la troisième, plus volumineuse, sur sa joue et ses cheveux. Les quelques gouttes de la dernière giclée qui coulaient le long de mon sexe qui entamait le repos du guerrier, furent léchées puis avalées sensuellement par cette déesse qui me fait face avec le reste de mon fluide... Je venais de faire une porno sans caméra.
Sans rien dire nous nous sommes rhabillés, elle m'a raccompagné à ma voiture et je suis rentré chez moi.
Avant de dormir, j'entendis mon téléphone vibrer « c'était sympa ce soir, on le refera ? D. »
On s'est revus dans d'autres circonstances, mais ça, ça sera pour une autre fois, si vous le voulez
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