Decouverte D'Un Nouveau Plaisir...
Jugeant mes pantalons trop usés, maman avait insisté pour que je passe à tout prix acheter des jeans après le boulot. Pour se faire et pour que cela soit moins pénible, étant austère à fréquenter ce genre de magasin, je choisis de me rendre à la boutique du quartier à deux rue de chez moi. Elle ne payait pas de mine mais avait le mérite dêtre tout proche, et en plus peu fréquenté. Une rouquine tenait les lieux. Des petites rides ornaient son visage près des yeux en amande. Une belle poitrine qui tombait un peu. Des hanches solides sous lesquelles sarrondissaient des fesses cambrées. Elle me gratifia dun regard de courtoisie de derrière le comptoir.
En était au mois de septembre et elle portait une robe longue très légère à fleur de couleur verre bouteille. Le décolleté de sa robe laissait apparaître la forme généreuse de sa poitrine. Plus je le regardais ses contours bombées, moins jarrivais à décoller mon regard delles. Elles menvoûtaient comme le serait un chien devant un os.
- Bonjour, je peux vous aider ?
Sa voix était douce et sensuelle. Je lui bredouillai quelque chose dinintelligible.
- Pardon ? me dit-elle. Je nai pas compris.
- Euh
oui
euh
je cherche un
un jean.
- Oui, quelle taille jeune homme ?
- Je ne sais pas, je ne la connais pas.
Elle me détailla.
- Je devine un petit 40. Nous allons si vous le voulez bien essayer un 38. Suivez moi voulez-vous.
Je rivais mes yeux sur le mouvement onduleux que produisait son fessier à chacun de ses pas. Elle mentraîna jusquà devant une multitude de pantalons exposés en rayon ou suspendus sur un portique. Elle resta quelques secondes à réfléchir et en prit un puis deux et trois. Tous plus laids les uns que les autres. Maladroitement ou volontairement, elle laissa tomber un vêtement. Comme paralysé, je ne bougeais pas. Alors que la vendeuse, sensuellement, elle se baissa pour se saisir du vêtement. Je ne perdis rien de son décolleté.
- Je vous propose de les essayer. Fit-elle, en me fixant droit dans les yeux.
Avait-elle deviné ma pensée à cet instant là. Toujours en ondulant du popotin, elle me guida jusquà une cabine dessayage. Une fois à lintérieur, le rideau tiré, je métais déshabillé. Javais enfilé un puis deux. Mais aucun deux me ravi au point de les acheter. Trop petit, trop large. De lautre côté du rideau, la vendeuse attendait et commençait à simpatienter. Elle mavait alors demandé :
- Vous avez fait votre choix ?
- Je
je ne sais pas très bien.
Sentant que jétais toujours aussi indécis, elle sétait proposé :
- Vous désirez que je vous aide ?
- Oui, je veux bien, si cela ne vous dérange pas.
Javais pour ça écarté complètement le rideau lui faisant face. Après mavoir regardé un petit moment, la vendeuse me lança :
- Sortez que je vous voie à la lumière.
Je mexécutai à demi fagoté dans un pantalon très moulant.
- Tournez-vous sur vous-même.
Après un court silence, elle fit :
- Oui je vois le problème
il vous faut du 4O. Voulez-vous passer les deux autres sil vous plaît
que je men rende compte
Le scénario sétait répété à deux reprises, sans plus de succès. Après avoir fait un aller retour jusquau rayon, elle revint tenant en main un jean.
- Je trouve que cette coupe vous ira mieux. Fit-elle en me lexposant. Vous ne trouvez pas ?
- Oui, je pense, répondis-je comme pour lui faire plaisir de son dévouement à tout faire pour me ventre un pantalon.
- Passez-le, vous voulez bien.
Je métais regardé dans le reflet de la glace et javais effectivement constaté quil me taillait mieux. Satisfait, la vendeuse avait acquiescé, en le voyant sur moi.
- Vous faites du sport ?
- Oui
- Je vois cela
répliqua-t-elle tout en fixant les pectoraux qui déformé mon tee-shirt.
Javais tiré le rideau et alors que je mapprêtais de retirer mon jean, le rideau fut tirer dun geste autoritaire. Nous nous retrouvâmes face à face. À seulement quelques centimètres lun de lautre. Elle vêtue moi en slip. En me fixant de ses yeux en amande, elle posa ses mains sur mon fessier. Avant de shasarder, en promenant sa droite sur le coton en pressant doucement ma rondeur qui grossissait.
- Oh ! Et bien mon coquin. Quelle belle queue. Ça devient bien dur. Jespère que je ne suis pas la première à ten faire le
Compliment ?
- Oh ! Hélas non
vous nêtes pas la première. Mais vous êtes la plus intrépide. Et ce nest pas pour men déplaire. Mais bon
quelquun pourrait nous surprendre.
- Toccupe jai fais le nécessaire
Puis elle descendit mon slip et saisit ma verge turgescente qui jaillit sous ses yeux. Javais affaire à une rapide. Une affamée de sexe.
- Je ne sais pas ce qui marrive. Tu menvoûtes mon gamin
Son parfum enflammait mon esprit. Elle se laissa tomber sur ses genoux. Son visage au niveau de mon entrejambe. Elle sétait penchée dessus. Fasciné par sa poitrine provocante, javais portée ma main.
- Mais quest-ce que je fais ! Fit-elle en se levant dun coup. Comme si elle sétait brûlée au contact de ma verge. Enfin ! Oh ! Que jai honte de moi
Je men moquais totalement de son état dâme. Ce qui mintéresser présentement cétait quelle me reprenne en bouche, et je le lui fis part :
- Mais non ma chère petite dame, il ne faut pas. Faite comme bon vous chante. Et ça cest moi qui vous le demandez.
- Alors si cest vous quil me le demander, cela change tout
Elle approcha sa langue rose de ma verge, tandis que je me saisissais de ses seins à pleines paumes pour les malaxer. De ma main gauche, jen pinçais la pointe qui se dressait. Elle humecta de salive toute ma verge de sa langue active. Puis soudain lengouffra dans sa bouche, sans lâcher la racine velue que sa main continuait dagiter lentement.
Je la fis se relever. Je tremblais dexcitation. Elle comprit tout de suite le message, relevant sa jupe jusquà la ceinture. Je contemplais les cuisses dodues. Avant de mattarder sur les poils qui dépassaient de lélastique de sa culotte blanche. À mon tour je pris linitiative de le lui soutirer. Dévoilant en dessous une luxurieuse toison. Son odeur vint titiller mes narines, alors que mon regard se localisait sur le clitoris tendu en haut de la fente.
Nous étions comme deux fauves lâchés à leurs plus bas instincts. Je portais une main sur son fessier. La peau était à la fois douce et ferme. La coquine était-elle une sportive ?
Comme si les minutes lui été compté, elle me dépouilla de mon tee-shirt. Avec une telle brutalité, quelle en fit craquer quelques coutures. Le visage rouge, elle laissa échapper de petits rires aigus.
- Jeune homme, murmura-t-elle, tu maffoles. Tu sens trop bon.
Elle embrassa mon torse, alors que je lui palpais ses fesses, dune main experte. Elle continuait à parcourir mon torse de ses lèvres, le souffle court, et chaud. Titillant, mordant, léchant mes tétons devenu durs dexcitation.
Je dégrafais le haut de sa robe, et rabattis le tissu vers le bas. Assez pour découvrir une poitrine moulée par des bonnets de dentelle. De ma main droite, je la palpais, pinçais la pointe à travers le tissu rugueux, sous ses gémissements dencouragements. Pris de passion je dénudais un sein de sa corbeille de dentelle, et opérai sur le nichon dune savante succion, tout en enfouissant une main entre ses cuisses. Fouillant fébrilement. Débusquant entre les poils son clitoris, que je me mis à branler à la va-vite. Les joues de la venteuse sétaient colorées de rose.
Je vissais mon index dans son anus. Il était tellement lubrifié par la transpiration que mon doigt neut aucun mal à violer le petit trou. Deux, trois aller retour, et je le retirai pour le porter sous mon nez. Lodeur poivrée me fit leffet dune drogue.
Embrasé, je la retournais sans aménagement et la plaquai contre la cabine. Je me laissais tomber sur mes genoux, et après avoir embrasser ses fesses, je collai mon nez dans la raie de son cul.
Jenfonçais ma langue dans son anneau rose odorant. Les stries avaient gonflé sous laction. Je le salivai à son maximum. Puis, je me levai précipitamment avec la ferme intention de remplacer ma langue par mon gland.
Je lui fis prendre la position allongée, pour ça, le dos au contact du sol froid. Persuadé de décoder mon intention, elle replia delle-même les genoux comme une grenouille. De la main gauche, elle étala lentaille rouge de sa chair, minvitant par ce comportement dy nicher ma verge. Mais cétait sans compter sur mon attirance pour le petit trou. Dont je pointais mon gland devant lentrée.
- Cnest pas que tu vas me la mettre là
mais
Pas le temps de finir sa phrase que je lavais déjà investi. Je neus besoin que dun coup de reins pour menfoncer jusquaux couilles dans son rectum. Il mavait aspirait mieux quune bouche. Mes calots ballotaient contre ses fesses. Elle se mit à gémir mollement. Son anus faisait une bague rose autour de ma queue.
- Tu oses te plaindre, alors que ton cul me suce carrément la queue ! Avoue que ça te plaît, salope sinon jarrête !
Elle me regarda avant de crier :
- Non, non ! Narrête pas ! Encule-moi encore tant que tu veux !
Sa bouche était grande ouverte, son souffle était court, sur son doux visage, perlaient de petites gouttes de sueur pendant que je ramonais de plus en plus fort le cul. Je magrippais à ses seins, les malaxant avec force, tout en lui soufflant à loreille des insanités, à faire rougir un mort. Son anus réagissait avec encore plus dardeur à mes paroles, alors que sa respiration se fit plus rapide sous mon pilonnage. Suivirent des cris inarticulés de plus en plus aigus. Elle avait une main plaquée sur son clitoris et je crus sentir quelle senfilait aussi des doigts dans la chatte.
Sa tête se mit à ballotter plus violemment, ses gémissements résonnant dans mes oreilles, de plus en plus fort. Puis tout bascula, elle poussa dabord un grognement profond et puissant. Ses yeux roulaient dans tous les sens, de la sueur lui perlait au front et elle se mordait les lèvres.
Je sentais des signes avant-coureurs dune jouissance imminente. Ma sève montait, et finit en geyser dans létroit écrin de la venteuse. Des milliers détoiles dans les yeux.
Après quelques secondes, lexcitation retomba et le charme fut rompu.
- Madame
je suis désolé de vous avoir...
- Ne sois pas désolé. Tu mas permis de redécouvrir un aspect délicat de ma nature
Pour service rendue, elle ne me fit pas payer le pantalon.
- Jespère te revoir
mavait-elle lancé avant que je referme la porte de son magasin.
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