Kristine 6 Je Tente De Résister
Au travail, javais mal aux reins, dautant plus que Damien avait choisi ma tenue. Une jupe assez sage et des talons, pas très hauts. Mais comme je suis pas assez habituée à cela, ma démarche était quelque peu malhabile. Javais le feu aux joues abrutie par la fatigue et je faisais de mon mieux pour me concentrer sur mes dossiers.
- Vous navez pas lair dans votre assiette, Kristine.
- Jai passée une mauvaise nuit, mais ça va aller.
10H30, Damien venait de me faire passer un SMS mindiquant quun plug et du lubrifiant se trouvaient dans mon sac. Jai ouvert mon sac et y ai trouvé un cône de plastic noir qui se terminait par une boule suivi dune base. La grosseur de lobjet était telle que je pensais que jamais mon anus ne pourrait absorber une telle chose. Je devais me rendre aux toilettes pour me lintroduire à reprises dans le fondement. Je sortis de lentreprise pour lavoir au téléphone.
- Damien, cest Kristine. Je suis désolée mais je ne peux faire ce que vous me demandez.
- Je ne vous comprends pas. Ce que je demande est cependant clair. Vous vous rendez aux toilettes, vous vous déshabillez complètement. Vous badigeonnez le plug avec un lubrifiant anesthésiant et vous le faites aller et venir 10 fois en le sortant complètement à chaque fois.
Jétais en colère devant cette incompréhension.
- Vous mavez bien compris, Damien. Je refuse.
Là dessus je raccrochais. Jétais fière de ma résistance. Je fermai mon téléphone portable et léteignis. Je repris le travail.
16H00, le fixe du bureau retentit. Olivier me tendit lappareil.
- Cest pour vous Kristine, un appel personnel.
- Kristine, cest Damien. Je vous demande dallumer votre portable et de regarder vos messages.
Il avait laissé des messages avec des fichiers joints. Ces fichiers contenaient des photos de moi dans des situation sexuelles explicites. Je palissais. Il avait mis ses menaces à exécution, ce dont je ne lavais pas cru capable.
- Vous êtes consciente Kristine que vous êtes à ma merci, que jai fait de vous ma chose.
Jacquiesçais.
-Vous partirez ce soir une demi-heure en avance du travail, mais vous laisserez votre portable sur le bureau. Ce sera dans vos cordes cette fois?
A 17h00 jétais à la maison. Damien mattendait. Sur le canapé, il y avait un sac provenant dun magasin de vêtements.
-Cest pour vous. Un cadeau pour me faire pardonner.
Le sac contenait un robe de soirée. Je la passais devant moi. Elle ne cachait pas pas grand-chose de mes cuisses. Jamais je navais porté quelque chose daussi court.
-Elle vous plait?
-Vous êtes fou Damien. Vous nauriez pas dû
Je lembrassai à pleine bouche, réellement touchée par lattention.
- Allez vous changer, Kristine. Cela se porte sans sous vêtement. Mais noubliez votre dilatateur, le petit...
Jallais commencer à dire quelque chose pour me défiler mais les mots sont restés collés dans ma bouche et jai monté les escaliers. La robe était courte et moulante. Je me trouvais indécente, mais aussi excitante. Le genre de robe que jaurais aimé porter il y a une quinzaine dannées. Mais javais maintenant 43 ans et je faisais un peu pute avec en plus un intrus lubrifié qui occupait mon fondement. Quand jai retrouvé Damien, lui aussi, sétait changé et portait un pantalon assez classe, une chemise et une veste.
-Nous sortons?
-Non nous attendons quelquun. Sortez lapéritif. Il ne va pas tarder
-Qui-est-ce? Je le connais?
-Oui, Kristine, cest Olivier , votre collaborateur. Il vient vous ramener votre portable. Je vous demande de vous montrer sous votre meilleur jour et de vous montrer docile.
Jétais confuse et je tirais maladroitement sur ma robe pour tenter désespérément de létirer. Déjà Olivier se profilait dans lallée et sonnait à la porte. Je lui ouvris. Il me détailla de la tête au pied. Je rougissais à vue doeil.
-Je vous présente Damien, mon beau fils.
-Nous nous sommes déjà parlé au téléphone tout à lheure. Entrez, vous resterez bien prendre une petite coupe avec nous.
-Je ne sais pas si jai le temps
-Si, si jinsiste. Nous devons sortir ce soir, cest lanniversaire de mariage de Kristine et nous attendons Alain, le mari de Kristine. Malheureusement, il vient de nous prévenir de son retard. Il nous rejoindra au restaurant.
Visiblement Damien affabulait, ce qui me mettait mal à laise. Je lui servis une coupe en me penchant, laissant apparaître un décolleté impudique dont les deux hommes ne perdaient pas une miette.
- Je suis toujours étudiant et malgré le départ de Sophie à létranger, Kristine et Alain me font lamitié de mhéberger. Je leur suis extrêmement reconnaissant, nest pas Kristine?
-Oui, oui. Damien est un garçon charmant. Vous savez, il travaille en parallèle de ses études, cest courageux.
-En effet. Je viens dune famille catholique rigoureuse, et chez-nous le travail et le respect sont fondamentaux.
Il racontait nimporte quoi, je ne voyais pas où il voulait en venir, mais il avait une idée derrière la tête. Je serrais les jambes pour ne pas dévoiler mon intimité à ces deux hommes qui me faisaient face.
-Au début, ça a été un peu difficile. Surtout quand, Sophie ma expliqué que ses parents vivaient une relation de couple non conventionnelle, comme on le dit maintenant. Ils sortent souvent et reçoivent aussi beaucoup. Au départ cela ma gêné, mais on se fait à tout.
Le salopard, il me faisait passer pour une libertine devant mon collaborateur qui lui aussi se sentait mal à laise. Cest alors que Damien fit tomber sa coupe sur le tapis.
-Oh, que je suis maladroit.
-Laissez, Damien. Je men occupe.
Accroupie, jaurais montrée à tous mon intimité rasée. Je me suis donc mise à 4 pattes pour ramasser le verre et éponger le liquide. Les deux hommes sétaient tus et le silence gêné ma fait comprendre que jexhibais comme une chienne dans une position de soumission. Suite à cet incident, je nai plus rien dit jusquà ce quOlivier prenne congé.
Nous avons passé une soirée charmante. Javais remis ma culotte. Nous avons dîné en amoureux, nous avons fait une promenade au bord dun rivière. Les tensions précédentes étaient retombées. Jétais détendue et lui prévenant et attentionné. Nous riions de tout et de rien comme des amoureux. Il était fascinant comment Damien pouvait passer de moments de perversité à des moments de pure innocence. Par contre, moi, je dois avouer que jaurais aimé être baisée là dans la nature. Mais je ne voulais pas briser ce moment de grâce.
De retour à la maison, nous savions lun et lautre que nous ferions lamour. Jattendais quil en prenne linitiative. Il était dans sa chambre quand il me fit monter.
-Kristine, jaimerais que vous regardiez ceci.
Il sagissait de vidéo à caractère pornographie sur internet. Même si je connaissais ce type de site et que jen avais déjà regardé quelques unes par curiosité, cela ne mavait pas intéressé plus que cela. Je préférai les délires de mon imagination lorsque je me donnais seule du plaisir. Lui par contre, son érection au travers du pantalon ne laissait aucun doute sur son excitation.
-Mettez vous à quatre pattes sur le lit, ma chérie.
Jétais face à lécran où une fille se faisait prendre en levrette en gémissant.
-Il a baissé ma culotte et à fait sortir les seins de la robe.
-Voyez, Kristine, vous êtes encore humide.
Il avait introduit deux doigts dans mon intimité et il les faisait coulisser comme la bite qui faisait gémir la fille sur lécran.
-Maintenant, le dilatateur que vous avez refusé ce matin va prendre possession de votre rectum.
Lobjet noir et menaçant était posé à coté avec le gel lubrifiant.
-Allez, Kristine. Ouvrez-vous le cul avec vos doigts si vous ne voulez pas souffrir lenfer.
-Jai trop honte. Je ne veux pas
Une claque ma cinglé les fesses, suivie dune autre plus forte.
-Arrêtez, je vous en conjure je ferai ce que vous me demandez.
Je me suis enduit les doigts de gel et je les ai introduit entre les fesses. Son portable filmait la scène.
-Allez, salope assouplis-toi la rondelle.
Mes doigts coulissaient maintenant à lintérieur avec plus de facilité car il avait ajouté encore plus de lubrifiant. Même si la situation était dégradante, la sensation de mes doigts entrants et sortant de mon cul était plutôt stimulante.
-Ecarte, maintenant tes fesses. Montre moi ton trou dilaté.
Mes deux mains ont écarté mes fesses. Jimaginais la vision obscène de ce trou exhibé par une femme mure devant un garçon qui aurait pu être mon fils. Jai senti le bout de lobjet écarter mes chairs intimes. Je me sentais dilatée au maximum, mais mon corps refusait daller plus loin.
-Allez, pousse comme si tu étais au toilettes.
Je faisais les efforts quil me me demandait, mais rien ny faisait, lengin ne voulait pas entrer. Il la fait ressortir puis ma investi lintérieur de ses doigts recouverts de force de lubrifiant. Il ne me ménageait et me dilatait lintérieur sans ménagement. Cétait douloureux, pas érotique, pas tendre. On aurait dit un examen médical. Quand il a replacé le plug dans mon anus, mes jambes étaient tremblantes, une sueur froide coulait sur mes seins. Je faisais tous les efforts pour que cela se termine au plus vite. Et puis tout dun coup mon cul a avalé le monstre et jai crié de surprise et de soulagement. Jétais remplie. La sensation était surprenante et agréable dautant quil a commencé à me triturer le devant de la chatte pour stimuler indirectement mon clitoris.
-Tu vois Kristine. Cest la première fois qui coûte.
Il a séché mes larmes. La fille sur lécran gémissait en se laissant coulisser sur une queue.
Moi aussi javais envie de la queue de Damien et quand il est passé devant moi je lai embouché. Puis il ma demandé de lui lécher les couilles.
-Tu as le cul rempli, tu es excitée comme une chienne.
Soudain une sensation de rejet sest emparée de mon intérieur qui a rejeté lobjet avec force.
Cest alors que profitant de ma béance il a replacé lobjet au fond de moi, le faisant entrer et sortir avec facilité. Jalternais une brûlure excitante, une expulsion violente puis une sensation de vide. Cette sensation métait inconnue mais si forte que je devais hurler de plaisir. Jétais inerte et vidée. Je me suis écroulée quasiment inconsciente.
Quelques minutes plus tard sa bouche sest posés sur mes lèvres intimes. Sa langue a écarté mes chairs et sest mise à la recherche de mon clitoris. Le cunnilingus était une pratique qui me répugnait. Autant le fellation était une chose que je faisais bien volontiers en en retirant plaisir et excitation autant le regard posé sur mon intimité métait insupportable tout autant que la stimulation directe du bouton magique qui me donnait un sentiment de malaise auquel jessayais de me soustraire.
- Arrêtez, Damien. Vous voyez que je suis prête, remplissez-moi avec votre grand sexe. Faites-moi jouir avec votre queue.
Je me suis accroupie au dessus de lui et jai saisi son sexe de ma main et me le suis introduit. Je comptais de le rendre fou de plaisir en maîtrisant seule les mouvements. Sa queue me remplissait tellement bien, elle me stimulait juste au bon endroit si bien que je nai pas tarder à jouir une première fois. Mes jambes et mon ventre était pris de petits mouvements incontrôlables. A peine remise, jai repris mes mouvements ce qui a produit le même effet. Jenchaînais orgasme sur orgasme. Mes cris faisaient écho à ceux dune fille sur lécran qui se faisait défoncer et dont je ne voyais que la croupe. Tout se passait comme dans une partouze interposée. Notre couple faisait écho à celui de lécran. Jentendais plus que je ne voyais tant le plaisir me troublait la vue. Quand Damien sest raidi pour se vider en moi je me suis écroulée sur lui vidée par le plaisir et leffort. Mon regard sest figé sur lécran. On y voyait le visage dune fille recouvert de foutre qui finissait de sucer un sexe. Sauf que cette fille, cétait la mienne, Sophie, et que le sexe était celui de Damien.
Je me suis figée et je me suis recouverte pour échapper à ce regard qui ne pouvait me voir mais me rendait coupable de ma conduite. Je me suis enfuie dabord dans la salle de bain puis je me suis enfermée dans ma chambre, en me promettant de mettre fin à cette aventure perverse et insensée.
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