Le 31 Décembre, On Défonce À Fond (Partie 1)
Pour ceux qui lisent mes aventures, vous vous souvenez peut-être de mon fameux weekend de cul à la campagne chez Denis et Sylvain, ce couple richissime possédant un merveilleux manoir. Pour le 31 décembre, je fus invité à une réception grandiose sur ce domaine féérique avec toutes ses décorations, tant extérieures qu'intérieures.
Lorsque je reçu l'invitation, quelque semaines plus tôt, je ne me posai aucune question à savoir si j'allais répondre par l'affirmative. Déjà que ma situation maritale des deux dernières années m'avait obligé à refuser toute invitation de leur part, sachant bien que ces réjouissances annonçaient des heures de plaisir charnel. Cette année, seul, sans conjoint, j'allais bien me permettre cette sauterie, espérant bien profiter de tous ces invités mâles.
Donc, le 31, à 15 heures, je montai dans ma voiture, mon smoking dans ma valise car, sur le carton d'invitation, on avait pris la peine d'y inscrire que ce dernier était de mise. Lorsque j'entrai sur le domaine, immédiatement je remarquai toutes ces lumières multicolores illuminant la route menant au manoir. Denis et Sylvain n'avait point, encore une fois, lésiné sur les dépenses. Et le manoir m'apparût dans toute sa splendeur hivernale avec ses décorations, bien entendu, de bon goût. Je m'empressai de prendre ma valise et de marcher vers l'énorme porte d'entrée. Il faisait un froid sibérien et j'espérais bien qu'on m'ouvre la porte avec empressement. Elle s'ouvrit et un mec, large sourire aux lèvres, m'invita à entrer. Il était vêtu comme un majordome mais je savais bien qu'il s'agissait d'un escorte, comme à chaque fois que Denis et Sylvain recevaient des amis. Les seuls employés qui ne participeraient pas à la sauterie étaient les cuisiniers et les seuls qu'on ne verrait jamais.
Le majordome me conduisit immédiatement à ma chambre où m'attendait déjà du champagne et du chocolat. Le jeune homme m'avisa que les maîtres attendaient les invités pour 19 heures, dans le grand salon, pour l'apéritif.
Un frappement à la porte se fit entendre et il entra sans même que je lui en donne la permission. Bon, ça fonctionnait comme cela. Je me retournai vers lui et, bien entendu, me retrouvai devant un adonis, beau comme un dieu, fin vingtaine. Il plia légèrement l'échine avant d'ouvrir la bouche. "J'espère que monsieur le duc a fait bon voyage". Je fronçai les sourcils, ne sachant nullement que les invités portaient un titre de noblesse et celui de duc me proférerait une distinction supérieure à la plupart des invités. Je connaissais amplement Denis et Sylvain pour ne point ignorer que s'ils avaient choisi de nous titrer, c'était qu'il fallait jouer selon son rang. Alors, tous les marquis, les comtes, les vicomtes, les barons devraient me saluer par un hochement de tête mais il restait les princes et, bien entendu, les hôtes impériaux.
Le valet s'approcha de moi. "Monsieur désire-t-il se rafraîchir ou préfère-t-il se reposer?" Sans doute entendait-il par se rafraîchir de prendre un bon bain chaud et je choisis donc cette option. Il se rendit donc à la salle de bain pour y faire couler mon bain et lorsqu'il revint, j'avais commencé à déboutonner ma chemise. Sacrilège
Il s'empressa de s'approcher de moi. "Monsieur n'a pas à se dévêtir, ceci est ma charge", dit-il en plaçant mes bras le long de mon corps. Il se mit donc à me déboutonner, lentement, très lentement, les yeux posés sur ma chemise car un valet ne peut fixer un duc dans les yeux.
Bien installée dans la grande baignoire, il ne me restait qu'à me laisser choyer. Il empoigna une grosse éponge et doucement, se mit à la glisser sur mes épaules, ce qui n'aida pas à mon membre à reprendre sa forme initiale. J'étais excité au plus haut point. L'éponge sur mon torse me donnait plus l'impression de caresses tant il prenait son temps et de sentir son souffle sur mon cou me laissait savoir que ses lèvres étaient proches, très proches de moi. Et soudain, il se leva et se plaça à ma gauche, plongeant son éponge dans l'eau. Je la sentais parfaitement sur ma cuisse. C'est difficile de garder tous ses esprits lorsqu'un si beau mec vous caresse car j'avais bien affaire à des caresses. Je ne crois pas que les valets d'antan étaient aussi sensibles lorsqu'ils donnaient le bain à leur maître. Il était là, ne me regardant nullement mais je voyais bien que son regard s'était posé sur ma queue et je me demandai si son membre était, lui aussi, dans tous ses états, quoi qu'étant escorte, je me dis qu'une bite pour une bite ne devait plus l'exciter. Et soudain, il délaissa l'éponge et je sentis ses doigts sur mon entrecuisse et il porta son regard sur le mien, un très léger sourire sur son magnifique visage.
Et il explosa en moi, laissant entendre un cri de jouissance qui s'était sûrement perdu au-delà de ma chambre. "Monsieur aimerait-il remplir ma bouche de son foutre"? Un innocent seul aurait refusé.
Une fois terminée, je retournai dans la chambre, le valet ayant pris soin de poser une robe de chambre bien chaude sur mes épaules. Il défit ma valise, prenant grand soin de mon smoking et me demanda si j'avais besoin d'autre chose. Je lui répondis par la négative et il quitta, prenant grand soin de me faire sa révérence d'un signe de tête. Une fois la porte fermée derrière lui, je me laissai tomber sur le lit. Il me restait encore deux longues heures avant de descendre dans le grand salon, sachant pourtant que mon valet reviendrait pour me vêtir. Du moins, je croyais qu'il me restait deux heures mais j'entendis alors un frappement contre ma porte. J'invitai l'inconnu à entrer, me retrouvant, cette fois-ci, devant un colosse qui, lui aussi, me fit la révérence. "Monsieur aimerait sans doute un massage pour se détendre avant la grande soirée", me dit-il d'une voix ténébreuse, voix qui ne me surprit nullement étant donné son physique de gladiateur. Il restait là, planté sur place, attendant ma réponse. Moi, je ne pouvais qu'admirer ce titan, remerciant encore une fois Denis et Sylvain pour le choix de leurs employés. Il était tout vêtu de blanc, chemise et pantalon d'un coton léger qui laissait paraître ses formes d'armoire à glace. Sa chemise entrouverte offrait à mon regard une poitrine légèrement velue, modelée au fil des années alors que sous son pantalon, je pouvais facilement imaginer ce qui s'y cachait. "Alors monsieur, dois-je rebrousser chemin"? "Aucunement, répondis-je en me levant. Je suis certain qu'un massage me fera le plus grand bien".
Il s'avança alors vers moi et m'enleva ma robe de chambre, me demandant de m'étendre sur le ventre pendant qu'il se rendait à la salle de bain pour en revenir avec une serviette qu'il déposa sur mon postérieur, ayant pris soin de ne point oublier une bouteille d'huile. Ses grosses mains sur mes épaules me procuraient une légère douleur et, par expérience sans doute, s'en aperçut immédiatement. "Monsieur est tendu. Sans doute trop de stress dans votre quotidien". "Effectivement, trop de stress mais tu me fais du bien. Un peu de souffrance ne me a pas". "Si monsieur le dit, c'est parfait alors". Je fermai les yeux, me laissant aller au contact de ses mains pétrissant mon dos. Vous me connaissez, bien entendu que j'étais en érection, surtout lorsqu'il se mit à masser mes cuisses, glissant lentement vers l'intérieur mais rien de déplacer, à ma grande déception. Je me dis alors que ce mec était réellement un massothéute, surtout qu'il ne s'était point débarrassé de ses vêtements. Il me demanda de me coucher sur le dos, ne prenant aucunement compte de ma queue dure. Il était réellement beau ce mec. De jolis cheveux bruns coupés courts encadraient un visage à la mâchoire carrée, des yeux marron comme je les aime, des lèvres pulpeuses sûrement agréables à embrasser. Le genre de mec que personne ne peut refuser mais qui, malheureusement, était trop professionnel pour tenter quoi que ce soit sur mon corps. Je fermai les yeux, tentant de penser à autre chose pour permettre à ma bite de retrouver une taille moins embarrassante mais rien n'y fit. Même visualiser mon comptable au bureau qui, je l'avoue, est d'une laideur telle qu'on le croirait dessiner par un , ne parvint pas à me défaire de mon érection. "Si monsieur veut bien reprendre place sur le ventre". Je m'exécutai, presqu'heureux de ne plus l'avoir dans ma mire. Pendant quelques secondes, plus rien. Je ne sentais pas ses mains sur mon corps, m'interrogeant du pourquoi il avait cessé mais il reprit, glissant ses mains sur mon dos, prenant appui contre mes reins juste avant d'enlever la serviette qui cachait mes fesses. Il les massait comme s'il modelait une statue, les écartant légèrement pour les refermer, me laissant avec cette envie démesurée de me faire prendre par cette bête. Ma rosette humide n'en pouvait plus mais je devais prendre sur moi-même. Bien entendu que j'aurais pu lui ordonner de tout arrêter mais je prenais un trop grand plaisir à ce massage qui était tout sauf reposant. Le visage bien enfoui dans la taie d'oreiller, les images ne cessaient de naviguer dans ma tête. Jamais je n'avais été aussi excité sans pouvoir me libérer de cet éréthisme qui embrasait tout mon corps. Pour la première fois de ma vie, un mec me tripotait sans que j'en vienne à m'en faire baiser et c'était quasi-insupportable. Sans doute suis-je masochiste car pas une seule fois je ne lui dit de s'éloigner, de quitter ma chambre. Et le comble du comble se produisit. Soudain, je senti sa peau contre la mienne. Il était étendu de tout son long contre mon corps et il bougeait de telle sorte que tout son poids massait mon dos. Sa large poitrine velue glissait sur ma peau huilée et sans m'y attendre, il se plaça de sorte à ce que sa queue puisse effleurer mes fesses. Il était donc nu et je n'avais qu'une envie, c'était de me retourner pour admirer cet animal mais son amas de muscles s'imposait par lui-même de sorte que je ne parvenais plus à bouger un membre. Il détenait l'avantage et il en profitait. Il persistait dans ses gestes, exécutant une danse sensuelle contre moi. Je pouvais imaginer l'ondulation de ses hanches chaque fois que sa verge durcie effleurait mes fesses mais il prenait grand soin de ne point me l'enfoncer alors que mon trou de balle implorait de se faire défoncer à grands coups. Je pouvais maintenant sentir son souffle chaud contre mon cou et ses lèvres qui frôlaient ma peau en ébullition. La cadence de ses hanches s'amplifiait, sa danse devenant libidineuse. Son excitation équivalait la mienne et je la percevais par sa queue qui voulait s'enfoncer entre mes fesses. Doucement, il écarta mes cuisses et enfin, ma truffe se vit presser par son gros gland. "Monsieur aimerait-il que je laboure son champ", me demanda-t-il, ne me laissant point le temps de répondre, me pénétrant d'un seul coup, sachant bien que mon berlingot n'attendait que cela. Enfin, il me libérait de ce supplice par sa queue qui allait et venait en moi à grands coups de je t'aime comme on dit au Québec. Et subitement, il quitta mon popotin et m'obligea, de ses gros bras, à me lever alors qu'il prenait place sur le lit, la queue bien droite, prête à me farcir à nouveau. Sans me faire prier, je plaçai mon cul de sorte à positionner ma pastille et je m'enfonçai d'un seul coup son phallus avant d'exécuter mes mouvements de hanche de sorte à profiter au max de son membre. Et par grand bonheur, je pouvais le regarder, voir son beau visage dont les yeux marron me fixaient, estimant sans doute qu'il s'acquittait parfaitement de sa job. "Si monsieur le permet, sans vouloir le contredire bien entendu, j'aimerais l'embrocher debout". Et pourquoi pas? Moi, du moment qu'il me défonçait la chambre noire, je n'y trouvais aucune objection. Je me levai donc et il en fit de même, me poussant légèrement vers le mur sur lequel je m'appuyai, pliant l'échine pour lui offrir mon cul qu'il prit de tout son manche. Dieu que c'était bon de savoir ce mec si viril derrière moi, sa belle grosse queue allant et venant et d'entendre sa respiration toujours plus haletante. Je n'osais pas me masturber de peur d'exploser trop vite et ce même si j'avais joui des minutes auparavant. Je voulais que ce colosse me défonce pendant des heures tant sa queue me faisait trembler mais vint le temps où il ne put s'empêcher de libérer son excitation et moi, de me plaire à sentir la chaleur de son sperme visqueux. Il se retira et aussitôt, je m'agenouillai pour lécher son jus, engloutissant sa bite en entier dans ma bouche. Je me relevai et à son tour, il se mit à genou pour me sucer et sucer jusqu'à ce que j'explose dans sa bouche. Ouf
Que j'avais bien fait d'accepter l'invitation de Denis et Sylvain. Il se rhabilla, plia la serviette et remis la bouteille d'huile à sa place. "Puis-je faire autre chose pour monsieur"? Je caressai doucement sa joue du revers de ma main avant de l'embrasser passionnément. "Sans doute aurai-je besoin d'un autre massage avant mon départ", lui dis-je en souriant. "Si tel est le désir de monsieur, je m'empresserai de revenir à votre demande", me dit-il avant de faire sa révérence et de quitter la chambre, me laissant seul mais satisfait. Après tout cela, il me fallait prendre une douche car le valet arriverait d'ici peu pour m'aider à vêtir mon smoking.
Vêtu de mon smoking, je descendis au grand salon, curieux d'y découvrir les invités. Je savais fort bien que quelques amis s'y trouveraient et je fus heureux de les retrouver en tant que marquis, comtes. Un seul de mes amis était prince alors je dû m'incliner devant lui, d'un bref geste de la tête. Richement décoré, le salon resplendissait par ses lumières, banderoles et son énorme sapin. Du regard, je fis le tour de tous ces mecs dans leurs plus beaux atours et croyez-moi, il n'y avait pas que les smokings qui captaient mon attention. Comme toujours, Denis et Sylvain avaient consciencieusement choisi les hommes qui agrémentaient leur réception, sans oublier les valets de pied qui nous servaient du champagne et des bouchées toutes aussi succulentes les unes que les autres. On pouvait facilement s'enorgueillir de faire partie de cette troupe en réalisant que nous avions été choisis pour notre physique. Mais bon, il fallait tout de même rester les deux pieds sur terre même si nous représentions la haute noblesse. C'était amusant d'entendre des monsieur le duc, monsieur le marquis mais il manquait tout de même les rois qui se faisaient attendre. Mais nous avions amplement de champagne le temps qu'ils fassent leur entrée. Au fond de la pièce, des musiciens jouaient des airs qui nous menaient au temps de Louis XIV.
Je décidai donc de prendre le pas, juste pour ma curiosité, histoire de jeter un il sur ce qui pourrait me convenir, ou plutôt convenir à mon cul. Ce n'était pas le choix qui manquait, selon le genre qu'on appréciait. Moi, bien entendu, j'observais les mecs de trente ans et plus, bien baraqués et je me plaisais à accepter les sourires et les clins d'il que certains me lançaient, n'ignorant point que je pouvais alors les approcher sans risque de refus. C'était bien le jeu de me promener lentement pour faire connaître l'intérêt que je portais à tel ou tel mais sans toutefois leur parler, du moins pour l'instant présent. Lorsque je percevais que je plaisais, je m'amusais quelques secondes, m'arrêtant non loin du mec, lui jetant un regard que je glissais jusqu'à sa braguette et je poursuivais mon chemin. C'était ma façon de lui faire comprendre qu'en soirée, il pourrait tenter sa chance. Je sais, j'aime bien être agace pissette de temps en temps et j'adore qu'on m'aborde car moi, rarement j'exécute le premier pas. Je suis comme une jeune pucelle qu'on invite à danser lors d'un bal mais qui, au fond, a, depuis longtemps, perdu sa virginité.
Soudainement, on entendit le bruit d'un gong et le majordome annonça l'entrée des hôtes. Nous fîmes la révérence devant Denis et Sylvain qui avancèrent en nous saluant d'un geste de la tête. Enfin, la soirée prenait son élan. Aussitôt, on nous invita à nous rendre dans la salle à manger où nous attendait un repas sans doute des plus délicieux. Comme je m'y attendais, les places où nous devions nous assoir étaient déjà choisies et je me retrouvai au centre de la table avec, comme compagnons, un jeune blondinet à ma droite et un homme légèrement barbu, le regard bleuté et de larges épaules à ma convenance. Il devait avoir fin trentaine, le visage basané comme tous les arabes. Lorsqu'il prit place sur sa chaise, il me salua d'un large sourire que je le lui rendis immédiatement. Contrairement à ce type, le jeune blondinet, lui, ne me salua point, sans doute étais-je trop vieux pour lui mais bon, il ne me plaisait pas alors je m'en moquais éperdument. Déjà, certains avaient amorcé une discussion et les voix s'élevaient, entrecoupées de rires. Je ne sais pourquoi mais je mis à compter les convives. Nous étions trente autour de la table, Denis et Sylvain compris. C'est alors que je me demandai ce qu'avaient préparé nos hôtes car, les connaissant, je savais fort bien que tout était réglé au quart de tour. C'est alors que je me remémorai ce fameux weekend où nous avions personnifié des bûcherons et cette chasse aux daux que j'avais perdu, devenant alors l'objet d'un gangbang. Bien entendu, avec ce froid polaire, tout se jouerait dans le manoir mais bon, je verrais bien.
- Vous portez le smoking avec une telle élégance monsieur le duc, me dit mon voisin de gauche, ayant trouvé cette phrase pour amorcer une discussion.
- Pas autant que vous monsieur le marquis, répliquai-je en le regardant. Vous avez une telle prestance avec ces larges épaules, dis-je, me trouvant immédiatement insignifiant de ce phrasé. Toutes mes excuses, c'est banal comme affirmation.
- Pas du tout. Je le prends comme un compliment et moi, je dois avouer que je me plais à regarder vos cuisses musclées. Voilà, moi aussi j'ai dit une banalité. Maintenant, plus de gêne pour des paroles qui sont douces à entendre, me dit-il de son large sourire, laissant entrevoir une dentition parfaite. J'avoue aussi que je vous ai remarqué dès votre entrée au salon et que je suis pleinement satisfait d'avoir été placé à vos côtés. Je ne savais plus quoi dire et je gardai alors le silence quelques secondes, tentant de trouver quelque chose d'intelligent à lui dire mais je ne trouvai rien. Vous semblez mal à l'aise de mes paroles et pourtant, selon ce qu'on m'a dit, vous n'êtes pas du genre à vous laisser impressionner.
- Ce qu'on vous a dit? Je ne comprends pas pourquoi on vous aurait parlé de moi.
- Tout simplement parce que je m'en suis informé. Ne sommes-nous pas ici pour rencontrer des gens intéressants?
- J'imagine, répondis-je, me questionnant sur qui avait pu lui fournir ces informations et surtout, ce dont on lui avait mentionné sur ma personne. J'espère qu'on m'a dépeint avec goût.
- Tout à fait, n'en craignez rien. Que des éloges sur monsieur le duc. Juste assez pour piquer ma curiosité.
- J'espère que votre curiosité ne vous déçoit pas car des fois, certains peuvent avancer des choses qui ne sont pas tout à fait véridiques.
- Et vous pensez à quoi?
- A rien de particulier seulement, vous pourriez m'éclairez sur ces dires qui me concernent.
- Proprio d'une agence en milieu hospitalier qui, dit-on, fonctionne à plein régime. Proprio de cette magnifique Mercedes que j'ai pu admirer à mon arrivée mais ce ne sont pas ces propos qui ont attiré mon attention. Vous seriez, selon certains un mec adorable, gentil, sensible et ce, même si vous n'osez le démontrer aux premiers abords. Sans oublier que vous êtes un homme de plus charmeurs.
- Ça ressemble aux paroles de mon ami Serge.
- On ne peut rien vous cacher et de mon côté, je ne vous cacherai pas que présentement, ma queue m'implore de quitter ce pantalon tant mes pensées sont osées en vous regardant.
- Alors, donnez-lui satisfaction, lui dis-je, tout bonnement, ne croyant pas qu'il le ferait mais oui, il s'exécuta et moi, s'empressant d'approcher ma main pour la toucher, la caresser, la masturber tandis qu'un valet déposait un plat devant moi.
- Monsieur le duc est empressé, me chuchota-t-il à l'oreille. J'en ferais de même avec vous et plus si vous me donniez la permission de vous rejoindre dans votre chambre une fois mon service terminé.
Je le regardai avec un sourire lui indiquant qu'il pourrait me rejoindre si le cur lui en disait pendant que mon voisin caressait ma cuisse de sa grosse main. A mon tour, je lui présentai ma queue qu'il s'empressa de manier avec force. Nous nous masturbions, me foutant que le jeune blondinet nous observe. C'était assez excitant et je ne pus me retenir bien longtemps, giclant mon foutre entre les doigts de l'arabe qui se laissa aller à son tour. Nous utilisâmes la nappe pour nous essuyer et remis nos bites dans nos pantalons avant d'entreprendre le faisan. Le reste du souper fut agréable, discutant de choses et d'autres avec monsieur le marquis.
A 22 heures, le souper étant terminé, nos hôtes nous invitèrent à repasser au salon pour le digestif. Je retrouvai mes amis, leur présentant le marquis qui semblait ne plus vouloir me quitter. Je le soupçonnais de vouloir m'accompagner où que j'aille mais il n'était pas question que je me contente de sa présence alors que tant de mecs me lorgnaient sur leur passage. J'allais profiter au maximum de cette ruche où grouillaient tant de superbes corps remplis de testostérone. Sans doute allais-je me faire baiser par lui, surtout connaissant la grosseur de sa bite cependant il n'était pas question qu'il soit le seul à me labourer, oh que non. Déjà, le mec près de moi me plaisait assez et j'aimais bien qu'il se tienne tout près, si près que je ne pouvais ignorer ses intentions. Quarantaine avancée, bien baraqué, je sentais son bras le long de ma cuisse. La pression qu'il exerçait démontrait bien que c'était intentionnel et moi, je le laissais faire. Je lui souris, le saluant d'un signe de tête qu'il capta comme une invitation à glisser sa main le long de ma cuisse, remontant lentement jusqu'à mes fesses, les pressant fortement, juste assez pour que je comprenne qu'il espérait pouvoir en faire profiter sa verge.
- Vous allez m'excuser mais un besoin pressant m'oblige à vous quitter pour quelques minutes, avisai-je mes compagnons avant de prendre le pas vers l'une des nombreuses salles de bain du manoir, bien heureux que le mec aie compris que lui aussi avait un besoin qu'il devait assouvir.
Je me rendis donc à la salle de bain, laissant la porte entrouverte et m'empressai de baisser mon pantalon. Lorsque le mec entra, j'étais déjà dans une position qui démontrait parfaitement que j'attendais avec impatience qu'il m'enfonce sa queue dans le cul. Je m'étais appuyé contre la toilette, ayant posé un genou sur la cuvette de sorte à lui offrir un cul bien ouvert. Je croyais qu'il allait s'empresser de me fourrer mais il préféra y glisser sa langue avant de me manger avec ferveur, me claquant les fesses avec ardeur. Ça me changeait des deux précédents mais j'espérais tout de même qu'il ait le goût de me labourer. Sa langue rugueuse me léchait l'arrière-train, opérant une pression sur ma rosette et il se décida à m'enfoncer sa queue bien dure que je reçus en laissant entendre un cri de plaisir. Il y allait avec joie, sortant sa bite et l'entrant à nouveau de grands coups en me traitant de chienne, de salope, de pute et j'aimais ça. Je ne possédais plus aucun contrôle, laissant ce mec s'occuper entièrement de moi et il y parvenait parfaitement. Ce dont j'ignorais, c'était qu'il avait laissé la porte ouverte et quelle ne fut pas ma surprise en apercevant l'arabe, droit devant moi, la queue bien en vue, bien droite, prête à être sucée. J'ouvris donc la bouche et il s'y enfonça avec plaisir. Nul doute qu'il nous avait suivi le petit pervers, sachant bien en voyant le mec me suivre que je me ferais baiser bien à fond et je dois avouer que le mec me fourrait avec entrain, poursuivant ces injures. Dans cette position, il avait bien raison de me traiter de tous ces noms et je l'assumais car, de toute façon, en cette soirée, nous étions tous des chiennes, des salopes, des putes mais marquées par le sceau de la noblesse. Un duc suçant un marquis qui regardait un prince m'enculer, voilà une belle histoire qu'Élisabeth-Charlotte de Bavière, dite la Palatine, aurait pu écrire dans ses nombreuses lettres au temps de Louis XIV.
Bien entendu, à force de me labourer, le mec joui en moi, se retirant aussitôt pour quitter la pièce, me laissant seul avec l'arabe qui s'empressa de se placer derrière moi, dirigeant sa queue entre mes fesses. C'était à son tour de m'embrocher et pas question qu'il fasse autrement.
- Tu aimes qu'on t'insulte?
- J'aime surtout qu'on m'enfonce sa queue dans le cul, lui répondis-je. Peu importe la façon, du moment que nous ayons du plaisir.
Il ne se fit pas prier et m'enfiler sa bite, opérant immédiatement avec des mouvements de va-et-vient assez profond et à toute vitesse. Ce mec savait fourrer, je vous le jure. Je ne parvenais plus à retenir ma respiration de plus en plus haletante et la sueur commençait à couler sur ma peau. Et tout à coup, il cessa et reprit mais cette fois-ci plus lentement, très lentement, avec douceur et mon plaisir était tout autant voluptueux de sentir sa queue glisser en moi, caressant mes parois internes. Mon plaisir devenait quasi-insupportable tant ma queue voulait gicler et ma respiration accentuée, entremêlée de cris, excitait toujours plus ce mec qui s'amusait à me voir prendre mon pied. Sans doute y trouvait-il un grand contentement de me procurer cette jouissance et je suis certain qu'il se gonflait le torse de constater que mon cul préférait sa queue à celle du mec précédent. Et il arrêta, rattachant son pantalon. Je me retournai, le regard interrogateur.
- C'est tout pour l'instant, Sait-on jamais, peut-être poursuivrons-nous plus tard, dit-il avant de quitter, me laissant là, le cul en chaleur comme jamais il n'avait été. C'était inhumain de me faire cela mais il savait bien ce qu'il faisait le salopard, n'ignorant nullement que je voudrais sentir à nouveau sa queue en moi. Je remontai mon pantalon, m'essuyai le visage de toute cette sueur et rebroussai chemin jusqu'au salon pour y rejoindre mes amis, attendant que les douze coups de minuit retentissent pour se souhaiter une merveilleuse année 2018.
Le premier janvier était bel et bien amorcé lorsque je m'éveillai le matin venu. Il était dix heures et j'avais dormi comme un bébé, dans la chaleur des bras de mon arabe. Et oui, à force d'indépendance, j'étais parvenu à ce qu'il me revienne avec, bien entendu, sa magnifique queue. Quoi de mieux que d'ignorer quelqu'un pour intensifier son désir? Monsieur le marquis avait cru me mortifier en se retirant avant de jouir mais c'était mal me connaître. De retour au grand salon, je m'étais fait un devoir de ne point lui prêter attention, m'amusant au jeu de la séduction avec tel ou tel mec, embrassant certains, sachant qu'il jetait un il en ma direction. Bien oui, j'avoue qu'il avait touché une corde sensible car jamais un mec ne m'avait plaqué là, en pleine action. Chaque fois que je percevais son regard sur moi, immanquablement, je pelotais le mec avec qui je discutais, sachant qu'il me maudissait, en pensée et j'en ressentais une certaine euphorie. Croyait-il que j'allais m'agenouiller devant lui pour qu'il m'offre à nouveau sa queue? Alors, à 3 heures, lorsque je décidai de monter à ma chambre, je m'approchai de lui, assurément, et le regardai droit dans les yeux
- Je me rends directement à ma chambre, lui dis-je sèchement, et je fais appeler mon valet. Une fois qu'il m'aura déshabillé, je lui ordonne de me baiser. Ça c'est l'un des scénarios possibles. Le deuxième est que j'invite ce mec là-bas, celui là même qui nous observe et dont je sais de sa propre bouche qu'il apprécierait grandement me remplir le cul et le troisième est que ce soit vous qui passez la nuit en ma compagnie. Comme vous voyez, je ne suis pas en reste.
- Je sais bien que vous n'êtes pas en peine monsieur le duc et vous me l'avez démontré une bonne partie de la nuit. Alors, comme j'ai le choix du scénario, j'opterai pour le dernier. Vous pouvez aviser votre valet que vous n'aurez pas besoin de ses services car je m'occuperai de vous dévêtir.
Et c'est ainsi que sa queue se consacra à mon cul, lui octroyant son dû avant que je m'endorme dans ses bras.
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