Collection Étrange Phénomène. La Foudre (5/6)

Je viens de revenir du Ballon-d'Alsace où la foudre a déréglé mon système hormonal, rendant insensible des parties de mon corps et hypersensible certains autres.
Mon cerveau semble atteint, car, quand les parties sensibles de mon être se mettent en ébullition, il m’oblige à des actes qu’en temps normal, j’aurais réprouvé.
Cela a été le cas avec l'homme abject de Colmar et avant Roland homme marié à qui je me suis donné dans les toilettes d’un restaurant après l’avoir sucé sur la route de montagne.
C’est dans le Jacuzzi, que Robin mon mari vient de m’offrir que je m’offre à son fils Ludovic quelques jours en vacances chez nous.

• Merci Jennifer de m’avoir enlevé mon pucelage, j’avais l’air d’un idiot devant mes copains, viens sur le matelas, j’ai dix-neuf ans de réserve dans mes bourses.

Je le suis, je m’allonge là où j’aime bronzer nue l’été, Ludovic est pataud avec moi, je devrais couper court à nos rapports, mais une petite flamme au fond de moi m’incite à profiter de cette belle verge que le garçon me propose.
Une fois que je suis allongée, il veut me pénétrer, un drôle de sentiment m’assaillit, maintenant que je suis déjà sa maîtresse, faire de lui un amant expérimenté qui saura à tout moment donner un plaisir maximum aux femmes que sa vie lui procurera, me tente.
Commencer par l’apprendre à se calmer, il est un peu chien fou, or nous les femmes, aimons le sexe qui fait monter le plaisir graduellement en vous.
Je rigole en pensant à cette pensée, moi qui reste sur ma faim avec Robin et qui me suis fait prendre à la hussarde dans les toilettes du restaurant de Colmar pour finir par me faire baiser par cet être répugnant qui a été jusqu’à me sodomiser sans mon accord.

Ludovic est un bon élève et cela fait deux jours qu’il arrive à calmer mon corps dans toutes les positions qu’il souhaite me voir prendre.
Je viens de revenir du super marché quand il vient m’aider à ranger les paquets, dès que nous avons franchi la porte, il laisse tomber les sacs faisant l’omelette avant l’heure pour me saisir sous les cuisses me soulever comme un fétu de paille et m’emmancher en me collant le long du mur.


Mes bras s'entourent, autour de son cou et nos bouches se rejoignent, quand je commence à avoir du plaisir, il me soulève plusieurs fois pour mieux me laisser retomber et m’apporte le plus bel orgasme que j’ai eu, en éjaculant le trop-plein de son sperme tombant au sol.
La nuit suivante, nous venons de nous coucher et il m’embrasse me serrant dans ses bras, quand j’entends hurler et que je vois Robin au pied de notre lit.

• Salope, je m’absente deux jours et je te retrouve baisant avec mon fils, dehors et toi aussi Ludovic sort de chez moi, va chercher refuge ailleurs.
Je suis chez moi, je vais appeler mon avocat demain matin et nous engagerons une procédure.

Je sais que j’ai tort, mais je le vire de la chambre avec un oreiller pendant que Ludovic s’éclipse discrètement dans la sienne.
Le divorce à l’amiable a lieu et je récupère des miettes de notre couple.
J’ai obtenu de quitter le foyer et Véronique accepte de me recevoir.
Sexuellement, j’ai toujours les mêmes symptômes, mais avec les objets achetés à Colmar dans un sexe shop, m’aide à les calmer quand le besoin s’en fait sentir.
J’ai complété grâce à Internet ma collection de gode, celui que je chéris en ce moment, semble simple, mais les picots en silicone m’agressent l’intérieur de ma chatte sans pour autant me blesser.
Quand je suis seule le soir, j’ai appris à me planter les aiguilles dans mes seins et surtout mes grandes lèvres, la simple vue de mon corps transpercé devant la psyché qui est dans ma chambre suffit à décupler mon plaisir.
Vivre aux crochets de Véronique est facile surtout que j’aie quelques économies, mais rapidement le besoin de trouver un travail se fait sentir.

• Véronique, c’est étrange, on se voyait fréquemment surtout sur les pentes des montagnes et j’ignore quel métier tu exerces, tu sembles très discrète surtout quand je te vois partir presque tous les soirs avec ta voiture ?
• J’exerce un métier, si ce que je fais est un métier, mais j’ai été discrète, car je veux garder ton amitié.

Je te vois dans la journée et peut-être la nuit te débattre avec les tourments de ton corps à la suite de nos vacances au Ballon-d'Alsace et mon activité pourrait avoir un double rôle.
• Lesquelles ?
• Le premier, te permettre de recouvrer l’indépendance financière que tu avais quand tu étais avec Robin.
• Et le deuxième ?
• Viens dans ma chambre, je vais te prêter ce qui va te permettre, si tu le désir de retrouver cette indépendante, les soirs, je vais à Genève, je t’emmène et tu verras par toi-même.

Véronique qui a ma morphologie me prête des effets bien plus sexy que ceux que j’ai dans l’armoire de la chambre qu’elle m’a gentiment prêtée, dans la voiture, je la suis ayant confiance en elle.

• Voilà, Jennifer, tu vois ce bar de nuit, j’en suis la propriétaire, c’est là que je travaille quand je te quitte le soir, c’est un bar où des filles se prostituent et qui me fait vivre, j’ai commencé par monter avec les clients et un jour, j’ai racheté le bar.
Si tu veux, je te propose de faire un essai cette nuit, je vais te montrer, comment nous fonctionnons, tu as une sexualité exacerbée, tu vas pouvoir la satisfaire en remplissant ton porte-monnaie.
Si après cette visite, tu veux partir, voilà les clefs de ma voiture, tu rentres chez moi, je le comprendrais et je me ferais raccompagner par Nadia mon associée.

La foudre, mon corps toujours avide de sensations de plus en plus fortes, femme au foyer sans ennui, je pénètre dans ce bar pour vendre ce corps qui m’échappe à des inconnus.
Jusqu’à la fermeture, des verges me percent me faisant entrer dans un monde qui m’était inconnu.
C’est facile, je suis au bar derrière lequel Véronique sert des verres après avoir remplacé Nadia qui assurait la permanence du matin.
C’est facile, je suis au bar derrière lequel Véronique sert des verres après avoir remplacé Nadia qui assurait la permanence du matin.
Les deux premières fois, je loupe ma chance de me faire du fric à hésiter de m’approcher et c’est Sonia, la black qui emporte les biffetons, le deuxième, j’ai l’impression de voir entrer l’homme de Colmar avec sa tenue débrayée et Ilda l’Allemande me double.

J’ai la chance que le troisième homme, étant le stéréotype de l’homme marié, venant s’encanailler, me choisisse, je l’emmène dans la chambre mise à ma disposition par Véronique pour lui laver ses petites affaires et m’allonger en écartant les cuisses.

Le client me pénètre, comme à son habitude, mon corps s’embrase en sentant sa verge glisser en moi, je lui entoure les hanches pour bien le caler et le regardant dans les yeux, je jouis, il semble étonné que mon corps a réagi, mais je suis contente quand il remplit sa capote.
Le travail que Véronique me propose me plaît même si le pourcentage qu’elle prend sur la passe est un peu élevé.
La plupart du reste de la soirée quand je suis à la lutte avec mes deux consœurs, c’est moi qui lève le plus de clients à la grande satisfaction de Véronique ayant toujours un mot d’encouragement chaque fois que je reviens vers elle au bar.

Je reviens le lendemain puis le surlendemain, je remplis mon porte-monnaie comme elle me l’a promis, m’envoyant en l’air chaque fois, quand un soir, je vois entrer une femme avec un foulard sur la tête et des lunettes noires.
J’ai l’impression de l’avoir déjà vue chez cette femme grande des mèches blonde dépassant de son foulard, elle embrasse Véronique et s’approche de moi.
Ma copine a oublié de me dire que je serais amenée à avoir des clientes, mais comme régulièrement, quand nous rentrons, après avoir pris notre bain ensemble, j’adore que Véronique me maltraite avant que je m’endorme repu dans ses bras.

• Bonjour, Jennifer, me reconnais-tu ?
• Pas vraiment, votre silhouette me dit quelque chose, mais j’ignore où nous nous sommes rencontrées.
• C’est normal, tu m’as vu seulement de dos et sans foulard.

La belle femme enlève ses lunettes me montrant des yeux d’un bleu d’une pureté digne des eaux du Pacifique que je pouvais admirer du haut Mauna-Kea à Hawaï et une crinière blonde qu’elle remet en place dans un mouvement de tête gracieuse.


• Je suis Emmanuelle, la femme de Roland que tu as sucée dans notre voiture et qui t’a baisé dans les toilettes d’un restaurant, tu te souviens à Colmar.
• Madame, rien n’a été prémédité, c’est à cause d’un accident de montagne, je le regrette.
• Véronique, ton amie tremble, dit lui pourquoi tu étais dans ce restaurant du Ballon-d'Alsace en prime de passer tes nuits avec Benoît, le serveur que vous aviez rencontré lors de vos dernières vacances.
Explique-lui que Roland et moi sommes des libertins et qu’il m’a tout dit à son retour.
• Jennifer, j’ai gardé une partie de notre voyage pour moi ignorant que la foudre allait bouleverser ta vie et indirectement la mienne.
Un concours de circonstances a fait que tu as senti le besoin d’aller consulter un médecin à Colmar.
J’étais parti avec ma voiture quelques minutes avant vous et c’est Roland qui t’a emmené, il t’a dit qu’il avait un rendez-vous, mais s’était avec moi et le patron d’un club libertin que nous souhaitions racheter.
Emmanuelle et Roland travaillent avec moi sur des mêmes projets dans le milieu du sexe, quand je t’ai demandé de venir la dernière semaine d’août, je savais que l’affaire était bonne à racheter, Emmanuelle a été obligée d’emmener ses s, c’est pour cela que nous avons décidé de faire ceux qui étaient des inconnus, eux en vacances en famille et moi en vacances avec toi.
Pour te prouver que nos intentions à ton égard sont bonnes, je vais te dire, Benoît est un ami de longue date et est l’un de mes amants, bien sûr, Roland le sait, c’est même lui qui a mis sa bite dans ma chatte la première fois.
• Qu’attendez-vous de moi ?
• Prends cette carte, demain quinze heures, tu prends un taxi et tu te présentes à cette adresse, inutile de demander quoi que ce soit à Véronique elle sait être une tombe quand il le faut, pas vrai Véronique.
Tu as compris, demain quinze heures…

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