Apprendre À Plonger
APPRENDRE A PLONGER
Cette histoire se passe lannée du BAC. Nous avions le sport en Option, avec duex choix possible : Athlétisme, ou Natation. Jétais pluôt nul en athlé, mais, heureusement, je pratiquais la natation en club, depuis 5 ans. Oh, pas de quoi devenir un champion, mais jétais suffisamment entrainé pour le niveau demandé au Bac, et je pouvais glaner, ainsi quelques points supplémentaires.
Nous étions, ce jour là, à la piscine, avec notre prof de sport, qui devait nous chronométrer, pour voir si loption choisie était judicieuse, et si nous avions des chances de bien figurer.
Le groupe était restreint, car, beaucoup détudiants avaient choisi lathlétisme. Seul une douzaine avec une majorité de filles, sans doute peu à laise avec lathlé, avaient choisi la natation.
Une fois en maillot de bain, nous commençons par plonger et nager un peu pour nous acclimater à la température de leau. Le prof nous rassemble ensuite pour nous indiquer le temps à faire sur 50 metres : en nage libre, cest le crawl, il faut atteindre 29,3 secondes au 50m, pour obtenir la note maxi. En brasse, moins rapide, le temps est fixé à 36 secondes. Puis, un par un, nous devons faire notre longueur de bassin chronométré. Les filles passent en premier, et il faut bien dire que les temps sont catastrophiques, à lexception dune fille : Jeane, que je connais un peu, et qui est bien entrainée car elle fait de la natation synchronisée.
Mon tour arrive bientôt, et je choisis le crawl. Au top, je suis parti. Comme à lentrainement, je déroule, et arrive avec un temps de 29,1secondes. Pas exceptionnel, mais suffisant pour avoir la note maxi. Le prof de sport me demande alors si je peux faire une longueur en plus, mais en brasse, cette fois-ci. Je mélance avec un peu plus de détermination, car je sais que ce sera plus difficile. Très vite, je suis rassuré, jai un bon rythme, ma coulée est limpide, et je boucle mes 50m en 35 secondes.
Mon prof de sport a hoché la tête dapprobation en regardant son chrono.
Alors que je sors du bassin pour laisser ma place, il me fait signe daller le voir.
« Tes temps sont nickel, me dit il, mais il faut que je fasse travailler les autres. Ce qui serait bien , cest de prendre avec toi un groupe de filles pour leur apprendre à plonger. »
Effectivement, le plongeon nest visiblement pas leur action favorite, et jai assisté, un peu plus tôt à un festival de « plats », et certaines sautaient même en se bouchant le nez, tout en essayant de ne pas se mouiller les cheveux. A part quelques unes, il y avait vraiment de quoi progresser.
« Cest que
on part de loin là. Il y en a une ou deux qui nont jamais plongé. »
« Oui, je sais,je sais, » me repond le prof. « mais si déjà elles arrivent à un semblant de plongeon, au moins elle gagneront du temps. On essaiera ensuite de les faire nager un peu plus vite. »
Sur ce il rameute tout le monde, et forme un petit groupe de filles, qui vont apprendre à plonger, avec moi, pendant que lui entrainera, le reste du groupe à améliorer ses temps. En fait, elles sont quatre qui nont que de vague notions du plongeaon, et qui viennent avec moi à la ligne deau 8, qui ma été réservée pour cet exercice. Je les connais déjà. Il y a Sophie, grande brune, vétue dun maillot une pièce, Nathalie, une jolie fille aux cheveux courts et bouclés, qui porte un maillot deux pièces Orange qui tranche sur sa peau mate, Virginie, Cheveux chatain, mi-longs, et maillot deux pièces, assez sport, et enfin Léa, qui a partagé quelques unes de nos aventures pendant notre voyage de fin détudes.
Les quatre donzelles, mécoutèrent , pendant que, au bord du bassin, je leur expliquai, avec force mouvements, ce que devait être un plongeon.
Elles navaient pas de questions, mais je sentais quelles avaient une appréhension. Je montais donc sur un plot, et exécutai un plongeon, le plus fluide possible, avant de remonter sur le bord :
« Le plongeon doit vous aider à entrer dans leau, et à lancer votre nage, sans heurts, et sans vous ralentir, à défaut de vous faire gagner du temps.
« Tout à lheure, il y a vait un type qui nageait super vite. » lança Virginie
« oh, ouais, il speedait, cétait terrible. » ajouta Sophie
Léa, me regardait, les yeux plissés, mais je ne disais rien. Les deux autres, réalisant que nous faisions partie du même groupe :
« ah, mais, cétait toi ? «
Je ne commentai pas cette déduction, mais proposais à Sophie de sapprocher du bord.
« Je monte sur le plot ? » demanda telle en savançant.
« Non, cest inutile, on va partir au ras de leau, au début. Avances jusquau bord.Maintenant tu fléchis les jambes, tu penches la tête en avant, entre tes bras, et tu vises le fonds, en biais, et tu détends tes jambes, vers lavant, en enroulant ton corps, comme autour dun axe. »
Sensuivit un plat phénoménal.
Alors quelle barbotait en tentant de revenir, je fis avancer Nathalie, et vins me placer derrière elle. Je lentourais de mon bras, et vint appliquer ma main sur son ventre.puis je lobligeais à plier les jambes er accompagnais son mouvement. Je sentais son corps chaud, contre le mien. Javançais mon buste, pour la faire se pencher vers lavant, guidant ses bras, en pointe au dessus de sa tête.
« tu vas basculer autour de ma main. Laisse toi aller, ne te tends pas. Il faut que ta tête soit ton entrée dans leau, et que tout ton corps passe par ce point dentrée. »
« je vais te pousser légèrement, tu laisses aller, et tu tends ton corps seulement quand ta tête est déjà dans leau..
Une après lautre, les jeunes filles passaient entre mes bras, avant de rejoindre le bassin. A chaque fois, leur joli postérieurs venaient se frotter contre moi, et javais de plus en plus de mal à rester concentré sur ma tâche. Le problème apparut avec celles qui avaient opté pour un maillot deux pièces. Quand elles plongeaient, le bas du maillot glissait, dévoilant leur postérieur. Aussitôt, elles cessaient de nager pour remettre en place le bout de tissu, mais, que de temps perdu.
Afin de leur éviter des plats douloureux, je mimmergeais dans la piscine, et , nageant sur place, leur indiquait où entrer dans leau. Trop près du bord, cétait inefficace, et trop loin, cétait un peu dangereux pour elles. Bien entendu, je me tenais sur le côté, les priant de ne pas sélancer sur moi, mais de considérer ma position comme une ligne à ne pas franchir hors de leau. Les résultats samélioraient doucement, mais arrivé au tour de Léa, celle-ci effectua devant mes yeux, un plongeon correct, avec un seul défaut : le bas de son bikini descendit presque à ses genoux. Se rendant compte du soucis, lélan fut interrompu, les deux mains destinées à nager, remettant illico, le bout de tissu en place.
Sur le bord de la piscine, ses consoeurs pouffaient de rire, et je ne pus mempêcher de sourire également. Elle nagea vers moi en manifestant son irritation.
« Inutile de se moquer, on est là pour apprendre. »me lança telle.
« Je pense que le bikini nest pas adapté à cet exercice. Vous devriez , en vue de lexamen,
vous équiper avec un maillot dune seule pièce. Vous êtes trois à être mieux vétues pour bronzer que pour nager. »
Léa, qui me connaissait, un peu mieux que les autres, était devant moi, et sapprétait à monter à léchelle. Alors que jarrivais derrière elle, elle recula légèrement, et je sentis une main, me frôler sous leau.
« Ce genre de maillot ne ta pas toujours déplu » railla telle
Une fois sur le bord, je proposais aux filles qui avaient les maillots les plus sports, Sophie, et Virginie, denchainer le plongeon avec une longueur de bassin, pendant que les autres essaieront daméliorer leur technique dentrée dans leau. Léa me dit alors quelle avait peut-être un maillot, plus sport, qui pourrait convenir.
« OK, va donc le passer » lui dis-je
« Ce nest pas vraiment un maillot de natation » compléta telle « tu pourrais le voir et me dire, si à ton avis, ce serait OK ? »
Jacquiesçai et laissai mon chrono à une des filles, suivant Léa qui mentraina vers les vestiaires.
Léa se dirigea, immédiatement vers un coin, et fouilla dans un sac de sport. Avec un « le voilà » de triomphe, elle en ressorti un maillot de bain, une pièce, noir, qui me sembla ridiculement petit.
« Cest petit, non ? » constatai-je
« attends, il faut le voir sur moi. » répondit Léa.
Sans attendre, elle détache son soutien-gorge, qui échoue sur un banc, puis, tirant sur les ficelles de sa culotte, défait les nuds sur ses hanches. Le tissu tombe à terre, dévoilant sa toison de rouquine, taillée en triangle, autour de sa fente. Nue, elle se saisit du maillot noir et lenfile rapidement. Le résultat est impressionnant, mais pas vraiment côté natation. Le bout de tissu est tendu sur son corps, largement échancré sur les hanches, dégageant les fesses assez largement. Les bretelles posées sur les épaules, sévasent lentement en triangle, en un profond décolleté qui descend jusquau nombril, laissant une large vallée découverte, entre les deux seins dont les rotondités débordent sur les côtés, le tissu faisant ressortir leurs pointes érigées.
Je suis bouche bée devant ce spectacle.
« ça ira, tu crois ? » demande telle presque innocemment
« Avec un tel maillot, tu nauras pas besoin de nager pour avoir la note maxi. » ne puis-je quironiser.
« En attendant, jen connais un qui ne peut pas retourner à la piscine dans cet état. » me dit elle en regardant mon slip de bain déformé par une érection indiscrète.
« Viens prendre une douche, ça calmera tes ardeurs » me dit elle, en se dirigeant vers les douches. »
Heureusement, nous sommes en pleine matinée, et les lieux son inoccupés. Suivant son conseil, je me positionne sous un jet. Léa vient alors se doucher, juste à côté, et sous leau tiède qui ruisselle sur son corps, entreprend de se frictionner, en me dévisageant. Inutile de dire que leffet de la douche est , quelque peu anéanti par le spectacle, et, au lieu de se calmer, mon excitation grandit.
« On dirait que la douche ne suffit pas » murmure Léa « il va falloir trouver autre chose. »
Abandonnant sa douche, elle vient me rejoindre sous la mienne. Elle passe rapidement ses mains le long de mon corps, et faufile ses doigts sous mon maillot, libérant ma queue, quelle empoigne aussitôt. Sagenouillant, elle saisit les bords de mon slip et le tire vers le bas, sur mes pieds, puis, ses mains remontent le long de mes jambes, et passent derrière, pour se saisir de mes fesses. Sa bouche vient alors gober mon sexe, quelle engloutit, de plus en plus profondément, se servant de ses mains pour tirer à elle mon bassin, et me sucer de plus en plus vite. Je sens le plaisir monter en moi, mais à ce moment, jai soudain envie dautre chose.
Je me dégage et la remets debout. Elle me regarde avec étonnement, mais lache un soupir daise quand je fais glisser les bretelles de son maillot. Je tire de chaque côté, délivrant ses seins, que je tête avidement. Mes mains ne restent pas inoccupées, et je continue à la dépiauter, jusquà lui oter complètement cette seconde peau. Accroupi devant elle, ma bouche trouve naturellement sa chatte , qui est déjà prête. Ma tête au creux de son triangle dor, je lèche, je tête, je mordille, je suce, je pointe ma langue le plus profondément possible.
La belle est sensible à mes caresses. Elle passe une jambe par dessus mon épaule, pour me donner un accès, encore plus facile à son intimité. Les doigts fourrageant dans mes cheveux, elle mencourage de la voix, sans retenue. Jintroduis mes doigts, dabord dans son sexe, puis dans son cul, et la ramone manuellement.
Lintensité de nos caresses, se fait plus chaudes, mais elle y met fin, tout à coup. Se relevant, elle se tourne contre le mur, et se met en appui, ambes légèrement ouvertes, son cul ferme tendu.
« Viens maintenant ! » me dit elle fiévreuse.
Je viens me coller à elle, et guidant ma verge, pénètre dun coup cette cavité qui nattendait que ça. La douche ruisselant sur nous, je la pistonne de plus en plus fort. Ses gémissements et mes râles résonnent dans lespace carrelé, tandis que le claquement de mon bassin sur ses fesses cadence nos élans. Elle se cambre de plus en plus, presque à 90 degrés. Je sens monter le plaisir qui va bientôt me déborder. Léa gémit de plus en plus. Je profite de lenvironnement humide pour venir chatouiller son anus. Elle continue dosciller sans marquer de réticence. Jenfonce alors un doigt jusquà la garde dans son petit trou. La vision de ce doigt, déclenche mon plaisir et jexplose dans un cri rauque. Un instant plus tard, cest elle qui avec des cris de bonheur vient à son tour.
Il nous faut quelques instants pour reprendre nos esprits, avant de nous séparer, pour nous rincer abondamment.
A ce moment jentends quelques petits rires étouffés. Je remets mon maillot et découvres les autres filles planquées derrière le mur des douches.
« ça ira les filles ? »
« Voilà un cours avec tous les détails, et les travaux pratiques » me lance Viginie, tandis que ses amies pouffent de rire.
« En tout cas, le professeur sinvestit pleinement » ajoute Sophie
Elles ont toutes les joues rouges, et je ne serais pas surpris quelles aient profité du spectacle, pour leur plaisir personnel. Je ne dois pas me laisser submerger, donc :
« La semaine prochaine, cest, maillot de natation, une pièce, pour chacune ! La punition sera la même quaujourdhui pour celle qui ne sera pas bien équipée ! » lançai-je avant de quitter les lieux.
Une fois dans le couloir, je me dis que javais peut-être joué avec l
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