La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1141)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) (suite de l'épisode précédent N°1140)
Elle ouvre la bouche, mais aucun son nen sort...
- Je técoute, dit son mari pour lencourager à parler.
- Je
je ne peux pas
sanglote-elle.
- Et pourquoi donc ? demande son mari dun air impassible.
- Jai
jai trop honte.
Le Commandant se tourne alors vers la femme, il saccroupit à sa hauteur, prend son menton entre ses doigts et plonge son regard dans le sien.
- De quoi avez-vous honte ? Qui viendrait vous juger ? Celle qui se soumet librement et se comporte comme telle devant toute une assemblée ? Ceux qui soumettent les femmes pour leur plus grand plaisir sans sen cacher ? Ou celui qui vous aime et qui ne souhaite que votre épanouissement ? Allons, il ny a pas de raison davoir honte, suivez votre désir, vos pulsions tendant vers la soumission et le reste importe peu, termine-t-il en reprenant sa place
- Je
Monsieur,
je vous supplie de bien vouloir faire de moi Votre soumise, ose-t-elle dire à son mari, dune faible voix.
- Est-ce vraiment ton choix ? répond le mari les yeux brillants denvie.
- Oui Monsieur, répond-t-elle comme délivrée dun poids.
- Eh bien dans ce cas, il va falloir avant tout que tu présentes convenablement tes excuses à nos hôtes que tu as offensés, vas donc.
La femme hésite quelques secondes encore puis se dirige à quatre pattes jusquaux pieds du Noble et baisse la tête.
- Monsieur Le Marquis, je tiens à vous présenter mes excuses pour mon comportement.
- Quel comportement ?, insiste Le Noble pour la déstabiliser.
- Avoir dénigré votre soumise, Monsieur Le Marquis.
- Donc cest à elle que tu dois des excuses.
- Sil vous plait, Madame, veuillez accepter mes excuses, dit-elle se tournant vers Vanessa.
- soumise Keira MDE, nous técoutons, quelle sanction demandes-tu pour réparation ?
- Aucune Maître, je lui pardonne, elle ne savait pas ce quelle disait et elle regrette sincèrement, répond la jeune femme qui ne souhaite pas être la source dune autre douleur pour cette femme.
- Voyons soumise, tu sais pertinemment que la sanction est nécessaire pour obtenir le pardon, cela fait partie de nos règles, tu ne comptes pas y déroger, accuse le Châtelain.
- Non Maître, je respecte les règles autant que Votre personne, jai simplement peur de mal juger, je nai pas Votre expérience et, elle est si novice, je ne veux pas dépasser ses limites. Est-ce que 3 coups de cravache seraient à la hauteur de sa faute, Maître ?
- Hum, cest un peu juste, tu névalues pas correctement loffense quelle ta fait devant toute une assemblée aussi novice soit-elle et il me semble que tu en as conscience, nest-ce pas ?, accuse Le Noble.
- Alors 5 coups, Maître ?, propose la soumise hésitante.
- Entendu, à condition que tu les appliques toi-même dans les règles de lart, sinon ce sera 10 coups de ma main, vas chercher la cravache.
Keira MDE se lève et va chercher lobjet en question, puis elle sapproche de la femme et lance un regard vers le Maître qui lui fait signe de commencer. Elle saccroupie devant la femme et tout en lui caressant le visage lui explique les règles.
- Tu vas devoir rester immobile bien cambrée, ne pas crier, seulement compter chaque coup bien haut, si tu cries on recommence à zéro, si tu bouges, on recommence à zéro, à la fin, tu devras me remercier en baisant la main que je te tendrai. Tu as bien compris ? dit-elle tout bas.
La femme hoche la tête, son corps tremblant, peu certaine de pouvoir tenir après la difficulté quelle a eu de tenir les trois malheureux coups de martinet précédents. Keira MDE se lève, se place derrière elle et lance un regard vers Le Maître.
- Tu peux y aller soumise, et si je te prends à retenir ta main, tu recevras le double de la mienne.
Keira MDE prend une grande inspiration comme si elle allait elle-même recevoir la cravache, puis labat bien au centre du fessier offert de la femme, dune force égale à celle du Maître.
- On recommence, dit-elle calmement avant de frapper une nouvelle fois le fessier de la femme, un peu moins fort.
Cette fois-ci, elle se retient de bouger et crie le chiffre un dans un sanglot pour lequel on ne la reprend pas. Keira MDE continue, lui laissant le temps entre chaque coup de souffler, puis arrivé au cinquième, elle pose la cravache et vient présenter sa main devant les lèvres de la femme qui la baise humblement avec des larmes coulant sur ses joues rougies.
- Merci Madame, dit-elle la voix encore chevrotante.
- De quoi la remercies-tu ?, insiste Le Noble.
- De la punition Monsieur Le Marquis.
- Hum
La prochaine fois, jaimerai plutôt entendre « Merci de mavoir appliqué cette sanction, et ainsi maider à devenir une meilleure soumise », tu vois la différence ? répond Le Noble.
- Oui Monsieur Le Marquis.
- Bien, il te reste à présenter tes excuses à ton mari que tu as mis mal à laise en te faisant remarquer de la sorte en public.
La femme se dirige à quatre pattes jusque devant son époux, elle sagenouille devant lui, lui lance un regard désespéré.
- Je técoute, dit lhomme dun ton laconique, ne laissant transparaitre aucune émotion.
- Chéri, je
- Stop, à partir de maintenant tu mappelles Maître.
- Maî
Maître,
je vous présente mes excuses.
- Bien, commence par lécher mes chaussures, pendant que je réfléchis à ta punition, répond-t-il excité par la situation.
Elle lève les yeux vers lui, le fusillant du regard, encore décidée à ne pas sabaisser de la sorte.
- Comment oses-tu me regarder de la sorte, tu te dis soumise, et tu me tiens tête au premier ordre ?, vocifère-t-il.
Elle ne répond pas mais reste les yeux fixés dans les siens, bien décidée à ne pas tout accepter sous prétexte quil devienne Le Maître. Lhomme sapprête à entrer dans une colère noire, mais Le Commandant posant une main sur son épaule lui fait comprendre de rester calme.
- Bien, ce regard sera sanctionné, tout comme ce côté effronté, enfin si tu souhaites toujours réellement devenir une soumise, mais tu es libre de partir, annonce dune voix très calme Le Commandant.
Il laisse un instant le silence pesant sinstaller. La femme a baissé les yeux, elle tremble un peu, comprenant que si elle veut vivre ce à quoi elle aspire, elle doit accepter lhumiliation.
- Souhaites-tu partir ?, demande calmement Laurent.
- Non Monsieur.
- Alors, il te reste à réclamer une sanction pour obtenir le pardon du Maître auquel tu appartiens désormais.
- Maître, je vous supplie de bien vouloir me sanctionner pour ma faute, arrive-t-elle enfin à dire à son mari.
- Commence par réparer ton erreur, répond lhomme vexé de ne pas avoir obtenu aussi facilement, ce que Monsieur Le Marquis obtient de Ses soumises.
La femme se met à quatre pattes devant les pieds de son mari et lèche doucement le bout de sa chaussure droite. Il la laisse faire un instant, puis lui tend lautre pied, quelle lèche de la même manière. Après de longues minutes, il la pousse du bout du pied.
- Bien, il est temps de sanctionner, dit-il.
Elle reste à quatre pattes devant son mari, il envoie un regard interrogateur au Châtelain, ne sachant pas quelle sanction appliquer. Le Noble chuchote au creux de loreille de Keira MDE, elle se lève et part dans le magasin, puis elle revient deux objets à la main et, les tend au jeune Maître.
- Très cher, je veux vous offrir ces présents, qui vous aideront dans le contrôle de votre soumise. Le premier est un martinet tout simple que vous allez tester de suite, le deuxième, une ceinture de chasteté, si vous contrôlez sa jouissance, sa sexualité, vous la contrôlerez sans difficulté.
- Monsieur, cest trop je ne peux accepter.
- Refuser me vexerait, sourit Le Noble en faisant signe à Keira MDE.
Vanessa se place alors derrière la soumise aspirante, elle la plaque contre elle, lui caresse la poitrine dune main, et de lautre titille son clitoris avec savoir-faire. Ce spectacle ne laisse pas indifférents les hommes présents qui regardent la scène avec envie. Lorsquelle comprend par son souffle quelle nest pas loin de la jouissance, elle se saisit de la ceinture, la met en place et confie la clé à lhomme. Il la prend, puis sur les conseils du Commandant se lève, se place derrière sa compagne et abat le martinet. Aussitôt elle compte, sans trop de difficultés, alors Le Noble se lève, rejoint lhomme et, guide sa main pour laider à trouver la bonne force avant de reprendre sa place. Il abat une dizaine de coups avant de se placer devant elle et de lui tendre la main quelle baise tout en remerciant dune voix honteuse.
- Bien, je vous propose de prendre congé afin de vous remettre de vos émotions. Prenez le temps den discuter dans les jours à venir. Si vous trouvez tous les deux un intérêt à poursuivre cette expérience, vous pouvez revenir ici dans 5 jours. Mon ami Le Commandant est un des meilleurs éducateurs de notre milieu, il prendra le temps de vous guider au mieux, annonce solennellement Le Noble.
- Monsieur Le Marquis, je ne vous remercierais jamais assez pour votre aide, merci vraiment, répond lhomme.
- Cest un plaisir pour nous de transmettre un peu de notre Art de vivre, de notre savoir-faire, répond le Maître.
- Merci, allons habille-toi et suis-moi, ordonne-t-il à sa femme soumise.
Ils sortent, rejoignant leur voiture, une fois à lintérieur, il se tourne vers elle, et lembrasse langoureusement dans un baiser quelle accepte volontiers.
- Je taime, dit-il simplement avant de démarrer la voiture
Alors quils rentrent chez eux, elle reste silencieuse, encore troublée de tout ce quelle vient de vivre, peu certaine que cela se soit réellement passé, comme au réveil dun rêve
(A suivre
)
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