Le 31 Décembre, On Défonce À Fond (Partie 2)

Le matin venu, il était près de dix heures, la porte de ma chambre s'ouvrit, laissant entrer mon valet qui, je le remarquai, fixa mon amant nocturne pendant quelques secondes et sa mimique exprimait clairement son mécontentement. Il est vrai que je lui avais promis qu'il pourrait me rejoindre une fois sa journée terminée mais la réalité avait été toute autre. Il me salua d'un "monsieur le duc a bien dormi" avant de poursuivre pour m'annoncer que j'étais attendu à la salle à manger pour dix heures trente.

- J'imagine que monsieur portera un jeans ce matin?

- Si je le peux, bien entendu, lui répondis-je en quittant la chaleur des draps, complètement nu, pour me rendre à la salle de bain, histoire de me brosser les dents.

- Monsieur le marquis devrait retrouver sa chambre, entendis-je. Votre valet vous attend.

Il était donc réveillé et je le rejoignis, l'embrassant tendrement pour lui souhaiter une merveilleuse journée. Il se leva, enfila son pantalon et quitta ma chambre, un large sourire aux lèvres.


Une fois habillé, je descendis à la salle à manger pour y rejoindre mes amis. La grande table était garnie de viennoiseries mais moi, tout ce dont je voulais, c'était un café. Je commandai donc un latté au valet de pied attitré à l'immense machine commerciale. Je pris place, me servant un pain au chocolat et un croissant aux amandes. La plupart des convives s'y trouvaient mais tous remarquèrent l'absence de Denis et Sylvain. Les connaissant, ils préparaient quelque chose.

Je remontai donc à ma chambre pour y prendre une douche, sans l'aide de mon valet par contre, lorsque je sorti de la salle de bain, je le trouvai là, mon jeans en main. Je m'approchai de lui tandis qu'il s'agenouillait, me présentant le vêtement pour que j'y glisse mes jambes. Son visage était si proche de moi que je pouvais sentir son souffle sur ma queue et, comme je m'y attendais, il la prit en bouche, la suçant avidement.

Quelques secondes suffirent pour que je jouisse, lui remplissant la gueule de mon foutre chaud et visqueux qu'il avala avec plaisir. Il termina de me vêtir avant de m'aviser que je devais me rendre au grand salon où les maîtres attendaient tous les invités.

Je m'y rendis donc immédiatement, trouvant Denis et Sylvain discutant avec les uns et les autres, jouant parfaitement leur rôle d'hôte. Je me demandais bien ce qui nous attendait mais je n'eu pas à attendre bien longtemps pour le savoir.

- Il est temps maintenant d'enfiler vos manteaux et vos bottes. Des carrioles nous attendent.

Des carrioles? Pour nous amener où?

Effectivement, trois carrioles tirées par de magnifiques chevaux s'emplirent de mecs tous excités par ce qui pouvait nous attendre mais moi, j'avoue que mon excitation provenait beaucoup plus du gars qui se tenait assis devant moi. Je l'avais bien remarqué la veille mais sans plus, trop occupé à jouer avec mon bel arabe mais là, je ne pouvais ignorer cette beauté à la chevelure blonde qui caressait ses épaules. C'était ce genre d'homme que l'on retrouve sur la une des magasines, en sous-vêtement ou qui pouvait très bien être le mois de juillet dans un calendrier de pompier. Sous son manteau, je devinais de larges épaules et sans nul doute un torse majestueusement bien musclé. Les cuisses écartées, son jeans offrait une vue superbe et je ne me cachais nullement pour toiser son entrejambe. Il semblait très à l'aise à ce que je le fixe ainsi, son joli sourire témoignant de son accréditation. Sans doute était-ce ce genre qui, habitué à se faire bader, y trouvait une grande félicité. Je lui fis un clin d'œil, annonçant mes intentions d'en connaître plus sur lui. Il baissa les yeux, comme intimidé, ce qui me surprit.

Lentement, nous glissions dans un sentier dont je me souvenais parfaitement avoir emprunté lors du fameux weekend de la chasse aux d****aux où, étant arrivé le dernier au jeu, j'avais dû accepter d'être l'objet d'un gangbang.
Et la fameuse cabane nous apparût avec sa cheminée de tôle d'où s'échappait une épaisse fumée blanchâtre. Les chevaux s'arrêtèrent et nous descendîmes pour se presser à entrer à l'intérieur, agréablement surpris par des odeurs suaves, odeurs provenant du ragoût de pattes de cochon, de tourtières, de soupe aux pois et j'en passe. Denis et Sylvain nous avaient concocté un menu traditionnel du jour de l'an. Nous nous débarrassâmes de nos manteaux avant de boire un petit coup de caribou servi par les valets vêtus de chemise à carreaux. Terminé la noblesse, nous entrions dans le folklore québécois. Au fond de la cabane se tenaient quatre hommes, violon, accordéon, musique à bouche et guitare en main.

Après quelques verres de caribou, nous primes place à la table pour se goinfrer de tous ces mets, le repas se terminant par un énorme gâteau en forme de couronne. Personne n'ignorait qu'il cachait deux fèves seulement qu'adviendrait-il de ceux qui les auraient dans leur assiette?

Une première fève, une deuxième, une troisième… Cinq invités en trouvèrent, dont moi, et une sixième par le beau blond de la carriole. Pourquoi six fèves et pourquoi trois blanches et trois rouges?

- Nous avons maintenant nos six rois, articula Sylvain en se levant de sa chaise. Je vous prierais de me rejoindre.

Nous nous exécutâmes, se rapprochant de lui, un peu inquiet de ce qui pouvait nous attendre. Les musiciens se mirent à jouer un air folklorique.

- Les fèves rouges à ma gauche et les blanches, à ma droite, signala Sylvain. Placez-vous les uns en face des autres. Je pensai qu'il désirait nous faire danser un quadrille et je ne m'en trouvais nullement à l'aise, ne connaissant rien à ce genre de danse. Mais non, les musiciens cessèrent de jouer et Denis nous ordonna de nous dévêtir, épiant notre réaction juste avant de s'esclaffer de rire. Non non, enlever seulement le haut, confirma-t-il. Je me débarrassai donc de mon t-shirt, le regard bien fixe sur le blondinet.
Wow… quel torse. Maintenant, je vous donne chacun un crayon et vous devez inscrire sur le dos de votre partenaire d'en face l'un de vos fantasmes.

L'un de mes fantasmes. J'avoue que je ne savais trop quoi écrire, n'étant pas homme à garder un fantasme dans ma tête mais je devais inscrire quelque chose. Une fois nos dos portant l'inscription, Denis nous banda les yeux et nous fit tourner sur nous-mêmes de sorte à ne plus savoir exactement où l'on se trouvait par rapport aux autres.

- Maintenant, je marque votre dos d'un numéro de un à six et je donne ces mêmes numéros aux autres invités, poursuivit Sylvain. Je vous poserai une question et celui qui y répondra aura le choix entre les cinq autres mecs par contre, vous devrez choisir les yeux bandés.

- Et après? Questionna le blondinet

- Chaque chose en son temps, répondit Denis. Voici la première question. Qui était Philippe de Lorraine?

- Le favori de Philippe d'Orléans, entendis-je.

- Bravo numéro 4. Que tous ceux qui ont le numéro 4 viennent nous rejoindre. Et un bruit de chaise se fit entendre, les mecs se levant pour nous retrouver. Maintenant numéro 4, il est temps de toucher l'un des cinq autres rois. Je détestais avoir les yeux bandés, ne voyant rien de ce qui se passait, jusqu'à ce que Denis informe que numéro 4 avait touché numéro 2 mais j'ignorais totalement qui était numéro 2. Maintenant, j'enlève ton bandeau et tu dois lire ce qui est inscrit sur le dos de numéro 2.

- Me faire enculer tout en me faisant pisser dessus, entendis-je.

- Parfait, dit Denis. Tous les numéro 4, déshabillez-vous et les numéro 2, sortez votre queue de votre pantalon.

- Mais ce n'est pas mon fantasme, laissa entendre numéro 4.

- Là est le but de ce jeu mon beau, avisa Denis. Vivre quelque chose de différent. Allez, que la fête commence, s'écria-t-il.

Merde… Moi qui suis voyeur je ne pouvais rien voir de ce qui se passait, juste entendre ces mecs gémir.
J'imaginais facilement la scène avec toutes ces queues qui s'enfonçaient dans de superbes culs alors que d'autres urinaient sur des corps. Wow… quel spectacle qui m'était interdit. Les gémissements se firent entendre pendant environ cinq minutes, jusqu'à ce que Sylvain ordonne de tout cesser, demandant aux autres de retrouver leur place à la table.

- Autre question. Qui était Philippe d'Orléans?

- Le frère de Louis XIV, répondis-je aussitôt de sorte à me débarrasser de ce foutu bandeau.

- Exactement numéro 5. A toi de toucher un de rois, me dit Denis en me faisant tourner encore une fois sur moi-même. Et je touchai un mec, enlevant aussitôt le bandeau, sachant que je devrais m'exécuter selon le fantasme que je lirais sur le dos de numéro 3 qui n'était malheureusement pas le blondinet.

- Être l'objet d'un gangbang, lis-je tout haut, me disant que certains n'avaient aucune imagination.

- Que tous ceux qui ont le numéro 5 et le numéro 3 approchent. Je crois que vous avez compris le principe, articula Denis. Les numéro 3 embrocheront les numéro 5 qui doivent impérativement baisser leur pantalon et je laisse le choix au roi numéro 5 de choisir la position.

Je baissai mon jeans et posai un genou sur une chaise de sorte à offrir mon cul bien ouvert à numéro 3 qui portait toujours son bandeau. Aidé par Denis qui lui tenait la queue, numéro 3 fut placé derrière moi et je sentis sa bite me défoncer la rondelle tandis que je zyeutais les autres mecs autour de moi. Tous les numéro 5 avaient pris la même position que moi, se faisant labourer bien à fond par les numéro 3 qui se promenaient d'un cul à l'autre. Moi, je comptais les bites qui m'embourbaient le 4X4 et j'étais rendu à huit lorsque Sylvain stoppa l'opération. J'en aurais pris encore quelques unes mais bon…

- Troisième question. Quel était le surnom de la deuxième épouse de Philippe d'Orléans?

Rien, aucune réponse. Personne ne connaissait donc la Palatine? Je me penchai légèrement vers numéro 6 pour lui souffler la réponse


- La Palatine, dit-il avant de me remercier, s'empressant de toucher un des rois.

- Que tous les numéro 6 et les numéro 1 approchent. Il est temps pour toi numéro 6 de nous lire le fantasme.

Il se débarrassa de son bandeau et, lisant ce qui s'y trouvait, fronça les sourcils. Le fantasme était de se faire claquer les fesses. C'était évident que lui n'avait aucune envie de cela mais il devait jouer le jeu. Il baissa son pantalon et offrit son beau petit cul à numéro 1 qui se fit un plaisir de lui taper le cul de sa grosse main. Il n'y allait pas de main morte et le pauvre numéro 6 se retrouva avec le fessier rouge. Par chance, Denis y met terme et les mecs retrouvèrent leur place à la table. Selon les mimiques des visages, plusieurs des numéro 6 n'avaient apprécié.

- Prochaine question. Nommez-moi un roi français qui s'entoura de mignons.

- Henri III, répondit numéro 2 qui se trouvait être mon beau blondinet. Je dois admettre que j'avais porté un jugement sur lui, surpris qu'il réponde à cette interrogation. Je sais, ce n'est pas gentil d'avoir pensé que sa beauté lui enlevait toute intelligence. Mea Culpa. Denis le fit donc tourner sur lui-même et il toucha numéro 5 pour y lire un fantasme dont j'étais content de ne pas avoir à vivre. Celui qui avait écrit sur le dos du mec désirait se faire fister. Le blondinet me regarda en soupirant, peu satisfait de devoir se faire ouvrir le cul par une main. Plusieurs des numéro 4 semblaient penser exactement comme le blondinet, approchant avec une moue au visage. Par chance, Denis offrit un tube de lubrifiant au numéro 5. Le roi numéro 2 baissa donc son pantalon et, tout comme moi auparavant, plaça un genou sur une chaise tandis que le roi numéro 4 se graissait amplement la main avant de pointer ses doigts sur la rosette qui allait en prendre pour son rhume. Je ne sais pourquoi, on entendait de légers cris qui semblaient douloureux et le blondinet, lui, restait silencieux car, curieusement, numéro 4 n'avait aucune misère à introduire ses doigts jusqu'à ce que sa main entière se retrouve dans le cul bien ouvert du mec. Je me dis alors que blondinet n'en n'étais pas à sa première fois, surtout lorsque je constatai qu'il respirait de plus en plus vite, comme un mec en pleine jouissance. En fin de compte, il avait bien tombé en touchant numéro 4. Et Denis ordonna de tout arrêter, certains satisfaits alors que d'autres juraient intérieurement contre celui qui avait inscrit ce fantasme.

- Qui était la mère d'Henri III?

- Catherine de Medicis, répondit sur le champ numéro 1 qui s'empressa de toucher numéro 5 qui, ne l'oublions pas, était moi. Je me demandais bien ce qui se trouvait sur mon dos. Être pris en sandwich, lut-il avant que Denis invite tous les numéro 1 et 5 à nous rejoindre, signalant que nous devions former un train. Je me plaçai à la tête, numéro 1 derrière moi et en quelques secondes, tous les wagons étaient accrochés pour former une longue ligne de mecs qui s'enculaient bien à fond. Numéro 1 ne possédant point un attribut très volumineux, j'attendais impatiemment que le tout se termine, ne sentant pas grand-chose dans mon cul. Et enfin, Sylvain arrêta le tout.

- Il ne reste maintenant que numéro 6 qui n'a pas été lu. Je demanderais à numéro 3 d'énoncer ce qui s'y trouve.

- Être enculé par tous les invités, couché sur la table, dit-il en maugréant, affirmant qu'il était top et que jamais, au grand jamais, une queue n'avait percé sa rosette. Denis lui expliqua clairement que tous avaient joué le jeu et qu'il n'avait aucunement le choix. Il glissa son regard sur nous tous, comme s'il comptait le nombre de queues qui le laboureraient. Sans grand entrain, il enleva son pantalon et son slip avant de se coucher sur le dos. Denis et Sylvain lui écartèrent les jambes, prenant grand soin de lui appliquer une bonne dose de lubrifiant au cul. Et il reçu sa première queue à vie, le mec le pénétrant lentement, très lentement, ce dont numéro 3 apprécia, sans toutefois cacher sa grimace.

- Vous avez tous droit à dix coups, avisa Denis. N'oublions pas que vous êtes vingt-neuf alors, soyons indulgent pour ce pauvre numéro 3. Le mec ayant eu ses dix coups se retira pour laisser place au suivant et ainsi de suite, numéro 3 gardant toujours sa grimace jusqu'au treizième alors que sa mimique se radoucit, laissant même entrevoir un petit sourire. Les queues entraient et sortaient les unes après les autres tandis que numéro 3 respirait toujours de plus en plus vite. Lorsque j'y introduis ma bite, je sus que son cul vivait quelque chose de grandiose car ses râlements démontraient à la perfection qu'il ressentait un grand plaisir. Je me retirai, laissant place aux six derniers qui ne manquèrent pas de le ramoner bien à fond. Numéro 3 se releva, presque déçu que le tout soit terminé et remis son slip et son pantalon.

Le jeu était déjà terminé. Sans doute allions-nous retourner au manoir pour prendre nos effets avant de quitter, chacun de notre côté mais les valets déposèrent des plats sur la table. On y trouvait des fruits, de la confiture, des bouteilles de crème fouettée et des petits gâteaux. Je ne pouvais croire que nous allions encore mangé jusqu'à ce que Denis empoigne l'une des bouteilles pour nous asperger de crème fouettée et tous nous comprirent qu'une orgie se préparait, surtout lorsqu'un valet apporta des concombres anglais. Déjà, un mec glissait sa langue sur mes mamelons, léchant la crème fouettée tandis qu'un autre, se tenant derrière moi, déboutonnait mon jeans pour y enfoncer sa main. Et les musiciens se mirent à jouer mais cette fois-ci, un air langoureux qui se mêlait parfaitement aux actions. Je me délivrai de mon jeans, me retrouvant complètement nu, sentant une queue glisser entre mes fesses. Je me retournai et fut très ravi de constater qu'il s'agissait de mon blondinet qui me souriait, sa bite bien appuyée contre ma rosette. Je l'embrassai et dieu que sa langue était bonne. Tout ce dont je désirais, c'était qu'il m'empale mais lui tenait, bien en main, un concombre qu'il me plaqua au cul. Pourquoi pas? Je pris une chaise et je m'assieds de dos, le cul bien ouvert. Lentement, il appuya le concombre et sans peine, il le glissa à l'intérieur de moi, au grand complet.

- Je me doutais que ce merveilleux cul pouvait en prendre, me chuchota-t-il en me léchant les épaules. Tu aimes te faire labourer et moi, j'adore entuber un cul comme le tien. Tu préfères ce concombre ou ma grosse queue dure?

- Ta grosse queue dure.

Il retira l'objet avant de se coucher par terre, sur le dos, son membre bien droit, prêt à me recevoir. Je quittai ma chaise et pris place sur sa verge qui s'enfonça d'un seul coup, me ruant de coups contre la prostate. Tout en me déhanchant, je regardais son jeune visage. Il n'avait pas encore trente ans, avec toute la jouissance de sa jeunesse, alors que moi, j'avais déjà emprunté le sentier de la cinquantaine mais je savais fort bien que je lui plaisais, son sourire le signifiant à la perfection.

Soudain, je sentis une main sur mon dos. Elle s'y appuyait fortement, m'obligeant à me pencher vers l'avant. Je n'ignorais point ce qui allait se passer et je sentis une deuxième queue s'introduire, ne sachant par contre qui se trouvait derrière moi. Peu m'importait, profitant de tout ce plaisir qui m'était offert. Et un autre nous rejoignit, se plaçant de tout son long de sorte à ce que le blondinet puisse le sucer alors que moi, de mon côté, je lui mange le cul. En fin de compte, c'était meilleur que le fantasme que j'avais écrit sur le dos de numéro 6. J'avais peine à respirer et tout mon corps suait, la bouche entre les fesses du mec. Et soudain, l'inconnu derrière moi se retira, laissant sa place à un autre qui possédait un engin assez impressionnant. Depuis le temps, mon cul s'est habitué à recevoir des bites mais là, je dois avouer qu'il en prenait un bon coup, surtout qu'il ne se gênait pas pour me l'enfoncer brusquement. Je savais qu'il prenait grand plaisir à m'entendre râler à chaque coup, ce qui l'incitait à augmenter toujours son intensité. A croire qu'il voulait réellement me défoncer. Et il vint en moi, poussant un grand cri, avant d'abandonner mon cul coulant de son yaourt qui fit le délice d'un autre, le léchant avec délectation. Je me retirai du blondinet, me levai et fit quelques pas en examinant les gars autour de moi. J'avais bien l'intention de profiter au max de ces bougres et des valets qui venaient de se joindre aux invités. Les arômes de bouffe avaient laissé place à l'odeur du sexe, aux parfums des corps en sueur qui nous excitaient au point de se faire planter par n'importe qui. Seuls Denis et Sylvain ne participaient pas à cette orgie mais je n'étais point surpris car ce couple avait comme point d'honneur de ne jamais se mêler aux invités. Je portai mon regard sur mon bel arabe qui, la queue bien plantée dans le cul de mon valet, me souriait comme pour m'inviter à les rejoindre. Non, je désirais d'autres corps, d'autres verges pour me déboiter le panier. Il y avait un bout que je ne m'étais pas senti aussi salope, aussi chienne et j'allais me faire monter par autant de mecs que je désirais. Je regardai la table sur laquelle les victuailles trônaient et, l'idée me vint. Je m'en approchai et m'y couchai sur le ventre pour y glisser mon corps sur la bouffe. J'empoignai une bouteille de crème fouettée et, le cul bien élevé, je le garni de sorte à faire comprendre aux gars que je ne refuserais rien de leur part. Je n'eu pas à attende bien longtemps qu'une langue se glisse entre mes fesses et une autre entre mes lèvres. Déjà, la table se voyait entourée de bêtes, leurs mains se promenant partout sur moi, y déposant des fraises, framboises, kiwis qu'ils écrasaient, léchant le jus dégoulinant. On me tartinait de crème, de chocolat, faisant couler du sirop d'érable. J'étais un buffet déconseillé pour les diabétiques mais parfait pour les dents sucrées. Certains m'avaient rejoint sur la table et nos corps s'entremêlaient les uns aux autres pendant que la crème fouettée jaillissait de partout et que nos bouches remplies de fruits ou de chocolat s'embrassaient sans savoir exactement quelle langue on bouffait. Quel gaieté que tout ce brouhaha et quel volupté lorsque je sentis mon cul se remplir à nouveau. Oui, oui, oui… Une queue, une bonne grosse queue dans mon popotin qui allait et venait à répétition juste avant de juter, laissant sa place à une autre et une autre et une autre. Mon baba, bourré de yaourt, en demandait toujours plus, incapable de tout retenir ce foutre qui coulait de mon troufignon. Les mecs se succédaient, sachant qu'ils avaient accès à mon trou de balle pour jouir et ils étaient tellement excités que parfois, ils me garnissaient après seulement quelques coups bien brusques. En fin de compte, je vivais ce fantasme de me faire baiser par tous les invités.

Et comme toute chose à une fin, j'entendis Denis nous signaler qu'il était temps de retourner au manoir. C'est alors que quelques gars crièrent qu'ils n'avaient eu le temps de me défoncer la boîte mais Denis resta ferme sur sa position. Il fallait nous rhabiller car les carrioles nous attendaient avec les chevaux. C'est alors qu'un mec s'empressa de se coucher sur moi pour m'enfoncer sa queue et, de vifs mouvements, me gicla son sperme. Il se retira, me demandant s'il pouvait avoir mon numéro de cellulaire. Je me retournai et fus surpris d'y voir mon valet. Je me levai, le corps enduit de toute cette bouffe.

- Je ne paye jamais pour du cul, lui dis-je, sachant bien qu'il était escorte.

- Qui te parle d'argent? Il m'arrive de baiser autrement que par le biais de mon travail.

Je le regardai, me disant qu'il pourrait réchauffer certaines de mes nuits où je me sentirais seul. Je recherchai mes vêtements et je m'habillai avec un hâte de prendre une douche. Et soudain, je pensai que moi, buffet à volonté, je n'étais pas venu.

- Tu es venu avec ta voiture? lui demandai-je?

- Non, nous sommes arrivés en taxi.

- Parfait alors. Si tu veux, je t'amène chez moi où nous pourrons jouer au Monopoly.

Il laissa entendre un rire que je trouvai magnifique et en l'examinant bien, je me dis que la nuit serait des plus profitables.

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