Ils Étaient Cinq À Sète !

Où suis-je ? j’ai les paupières lourdes, impossible de les ouvrir, un mal de tête affreux, courbaturée, mes membres me font mal comme si j’étais passée sous un train,
Je suis allongée nue dans un lit cependant confortable, un simple drap recouvre mon corps…. Et cette odeur acre qui flotte dans l’air ? de sexe ? Que s’est-il passé hier soir ? je dois absolument ouvrir les yeux …il fait encore assez sombre, c’est le petit matin, enfin mes yeux s’habituent et c’est la stupéfaction !
Un immense miroir accroché au plafond me renvoie l’ahurissante vérité … je suis entièrement nue au milieu d’un immense lit, un homme nu aussi est couché à mon côté et ce n’est pas Luc mon mari, ceci dit je ne perds pas au change cet homme est jeune, athlétique, malgré ses yeux fermés je peux dire qu’il est beau et … mon dieu quelle verge ! son sexe est lové sur son ventre il est gros et large comme une andouillette de chez mon charcutier, son gland rose pointe à l’orée du prépuce, par contre il est maculé de croutes séchées … du sperme ? sans doute mêlé a … mes sécrétions ? machinalement ma main va explorer entre mes cuisses…
Mes lèvres sont gonflées et encore très sensibles, ce beau mâle m’aurait baisée ? et quand je dis baisée c’est peu dire, les quelques poils présent sur mon pubis sont agglomérés et secs, du jus suinte encore entre mes cuisses elles même maculées et plus bas ??? j’ai bel et bien été sodomisée … c’est comme mon haleine ?? pouah j’ai aussi sucé une queue ? ! pour me mettre dans un tel état il a dût y passer des heures ou alors ?? il n’était pas seul ?
Ah ? j’ai bougé, du coup ce gars se réveille aussi, je n’ose me tourner vers lui
- Déjà réveillée ? comment vas-tu ? quelle soirée !
- Qu’est-ce que je fais là ?
- Que peux faire une femme nue dans le lit d’un homme nu ?
- Vous… vous m’avez prise ?
- Tu ne te souviens plus de rien ?
- Qui êtes-vous ? où est Luc ?
- Luc ? ah , sans doute le gars bourré qui t’accompagnais ?
- C’est mon mari où est-il ?
- Dans une chambre à l’étage au-dessous
- Qu’y fait-il ? il était ivre ?
- Et toi aussi, quelle marée ! le rosé frais est traitre pour les bruxellois ‘une fois !’
- Comment savez-vous que nous somment Belges ?
- Ton accent suffit à me faire deviner, pooouuuuuuh ! tu sens le cul ! bon, je t’explique, hier soir vous étiez a la sardinade du port de Sète, vous avez bien fêté ça a votre manière ! ça devenait scabreux, au point que tu as enlevé ta petite culotte devant tout le monde, pour en faire cadeau de à un mec qui a voulu profiter de la situation, des femmes venaient d’appeler la police pour outrage devant des gamins
- J’ai fait ça ??? où est-elle ?
- Qui ? ta culotte ? ne la cherche pas, tu n’en a plus il s’est barré avec !
- Comment nous somment-nous retrouvés ici ? c’est un hôtel ?
- Non, c’est chez moi, juste en face la soirée sardinade, ça devenait urgent de quitter la fête sinon vous alliez vous retrouver en cellule de dégrisement pour la nuit, alors avec deux potes nous vous avons trainés ici
- Deux potes ? ….

.
- Oui, deux amis pourquoi ?
- Et …. Ils m’ont ….
- Baisée aussi ? bien sûr ! une idée de ton mari dans un moment de lucidité
- Un moment de lucidité ? mais vous dites qu’il était complètement soul ?
- Ça l’a dégrisé lorsqu’il a vu nos mains visiter tes nichons et ton entrecuisse
- Vous m’avez violée ?
- Tu nous aguichais tellement que nous avons simplement exaucé tes désirs...et ils étaient nombreux ! tu es bonne et tu suce bien tu sais ? trois pipes complètes à la suite, chapeau !
- Cachez votre verge s’il vous plait c’est indécent
- Ben quoi ? je bande à nouveau ? c’est ta faute, le drap a glissé et je vois tout, je reconnais que tu as été bien graissée, ta chatte recrache encore de la purée !
- Appelez mon mari !
- Non, je ne veux pas le déranger, il est en bas en compagnie de mes deux amis
- Ne me dites pas que ?
- Qu’il s’est fait … baisé aussi ? hier soir il avait vachement envie lorsque nous te prenions a deux, mais avec l’alcool impossible de bander, alors un pote s’est sacrifié pour essayer de le faire bander et le faire patienter pendant qu’on s’occupaient de toi, ensuite je suis resté seul avec toi pour tirer encore quelques coups, ils sont partis ensemble, ce qu’ils ont fait après ne me regarde pas
- Mais c’est complétement dingue ?
- Je le confirme, bon ? regarde cette trique, je te prends comment ce matin aux aurores ?
L’homme est à genoux près de moi, l’andouillette s’est rapidement transformée en un saucisson d’une taille impressionnante et je n’ai aucuns souvenirs d’accouplements ? comme hypnotisée par ce cobra qui balance sa tête de gauche à droite, je ne sais que répondre, sans que j’ai la force de lui interdire il pose une main sur mon sein droit maculé lui aussi de croutes douteuses, sans doute des restes de fellations, j’ai soudainement envie de tester l’image que renvoie le miroir du plafond que je n’ai certainement pas eu le temps d’apprécier cette nuit…
- Écarte les cuisses Lydia
- Vous connaissez mon prénom ?
- Ton mari l’a assez gueulé lorsque nous défoncions tes trous
- Mon mec est un salaud, me laisser en pâture à des inconnus, c’est odieux
- Je reconnais que tu as raison, à présent que tu es consciente venge toi, relève les genoux, ma bite va laver l’affront
- Combien de fois m’avez-vous sautée ?
- HOOOOOUUUU ! impossible à dire, tu en demandais encore et encore et tu en redemande encore ! MMUUUUMMMM ! ta chatte est à point pour être emmanchée, bouge plus …rhhhhhaaaaaaaaaaaa quel délice ce con poisseux
- HHHHoooooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii ! ça réveille mes muqueuses !
- Tu vas jouir dans les deux minutes, comme hier, mais évite de gueuler aussi fort !
Complètement enfoncé en moi, le moindre mouvement de son bassin m’arrache des soupirs ignobles de cocufiage, les images que me renvoient les miroirs vicieusement disposés dépasse toutes bienséances, je découvre chaque parcelle de mon corps utilisée par mon amant, je réponds a chacun de ses coups de reins par des coups de bassin, j’aime voir les muscles de ses fesses musclées se contracter, mes traits sont déformés par le plaisir, moi qui d’habitude fait l’amour les yeux fermés ils ne sont pas assez grand pour savourer pleinement cet adultère
- Tu te donnes encore mieux qu’hier ! lâche-toi totalement, je vais décharger une fois de plus dans ta cramouille baveuse
- Qui que tu sois baise moi aussi fort que tu peux avec ta bite de cheval, j’ai envie de jouir à en crever
- Et si je demandais à mes potes de remonter ?
- S’ils remontent mon mari aussi va radiner aussi ?
- Et alors ? il te regardera prendre ton pied
- Quand même …
- Et comme il s’est fait sodomiser il n’osera pas te refuser une petite sauterie
- Alors appelle-les
- Voilà une bonne résolution, mais avant, prend-ça dans les miches ! wwwoooouuuuuuuuaaaaaaaaaaaah !
Honteuse de m’être faite baisée, consciemment cette fois, j’appréhende la venue de mon époux, je me cache littéralement sous le drap tandis que mon vagin laisse échapper le sperme encore chaud
- Ha ! tu es la chérie ? pardonne-moi de t’avoir laissée seule hier soir, mais j’étais trop ivre pour décider seul, alors j’ai suivi les copains de ce monsieur qui est allongé prés de toi, il ne t’as pas offensée j’espère ?
- Aucunement ! il m’a simplement baisée a plusieurs reprises pour mon plus grand bonheur du reste !
- Alors tout va bien, je reconnais que moi-même n’ai pas été très fidèle …je me suis fait sodomiser par ces deux hommes ma chérie …
- Moi aussi …
- Au fait pourquoi m’as-tu fait réveiller si tôt ?
- Pour que tes amants de cette folle nuit me sautent devant toi, ça t’apprendra à me laisser dans une chambre seule avec un inconnu
- Si c’est ta volonté, profitons de ce dernier jour de vacance ! messieurs ? ma femme va à nouveau vous offrir ses charmes les plus secrets, tirez sur ce drap mes amis !
Les mains posées ridiculement sur mes seins ne protègent pas ma vertu, mes pieds sont tirés de part et d’autre autant que ma souplesse le permet, des doigts inquisiteurs fouillent ma fente tellement lubrifiée que je ne peux les compter, mes seins ne sont pas épargnés, ma bouche est vite sollicitée par un dard au parfum suspect tandis que mes jambes sont relevées et qu’une queue raide se présente à l’entrée de mon vagin
- Doucement messieurs, ma femme n’a jamais pratiqué l’amour de groupe !
- Tu ne disais pas pareil hier soir ? c’est toi qui nous incitais à la baiser
- C’est tellement confus dans ma tête ….

- Tu as subit la même chose mon gars alors laisse nous contenter ta femelle se faire monter, regarde comme elle participe en lançant son bassin à la rencontre de la bite
- J’admets que c’est excitant de voir une verge aller et venir dans un vagin
- Surtout quand c’est celui de sa femme ! prenez lui aussi le cul les gars !
- Et moi ? qu’est-ce que je fais ?
- Suce moi ça te passera le temps, ils en ont pour un bon moment à tringler ta bourgeoise !

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