La Soumission... Moi J'Adhere...
Lappartement, se trouvait dans un ancien immeuble du centre. Que les bâtiments neufs de cette cité-dortoir enserraient de toutes parts. Je mimmobilisais sur le palier des troisièmes étages. Lédifice était parfaitement tranquille. Comme somnolent déjà, malgré lheure avancée de la matinée. La plupart des locataires devaient être soit au boulot, soit devant leur télévision.
Je mapprochais de la porte où une étiquette indiquée le nom de famille de ma directrice. Dun coup dil, je jaugeais la serrure. Je tirais le trousseau de clé de ma poche. Je me saisis de la clef que Françoise mavait désigné avant que je sorte de son bureau. Je la poussais dans la fente. Deux tours plus tard, je poussais doucement la porte et pénétrais le lieu. Le petit couloir baignait dans lobscurité. À tâtant jaccrochais de mes doigts linterrupteur, jappuyais dessus et la lumière se fit. Je morientais comme elle mavait indiqué jusquau salon et posais les dossiers sur la table. À cet instant un être normalement composé serait reparti, mais cétait sans compter sur ma curiosité, qui me poussa de maventurer dans le couloir. Il desservait deux pièces. La salle de bains et la chambre. Je poussais la porte de cette dernière. Les volets nétaient pas tirer. Illuminant la pièce dun éclairage naturel. La pièce était propre et ordonné. Le lit était fait. Mon regard se porta sur la chaise où une jupe, un corsage et des bas pendaient sur le dossier.
Sur le bureau tout était correctement ordonné. Je fis les quelques pas qui méloigner du meuble. Je furetais à la recherche de quelque chose, sans savoir quoi. Jexaminais les bouquins. Curieux de savoir ce quelle lisait. En dessous de la pile se tenait un album photos. Je pris linitiative de le feuilleter. Il ne contenait très peu de photos. Une trentaine pour être précis. Toutes la représentaient. Dabord habillée très digne avec ses lunettes dadolescente studieuse, puis de plus en plus dévêtue jusquaux dix dernières, où je la voyais à quatre pattes sur son lit, fesses écartées, offrant généreusement ses orifices à lobjectif.
Je bandais dur. Tout de suite je fus submergé par une envie de foutre. Jai pris un des deux bas, et plongeais mon nez. Là où le pied avait séjourné. Mimprégnant de lodeur quil dégageait. Un relent de cuir et de transpiration. Mais au lieu de moffusquer, lodeur avait plutôt tendance à mexciter. Je me branlais rageusement jusquau moment où des jets de sperme tiède jaillirent dans ma paume de ma main.
Dans laprès midi, une réunion avait eut lieu. Hormis la douzaine de convié, il y avait Françoise, que je narrêtais dépiée. Avec ses lunettes qui soulignait la finesse de ses traits. Ses cheveux blancs, raides, coupés au carré. Toujours bien coiffés.
Comment une femme aussi sombre avait put sexhiber devant lobjectif dans des positions aussi vulgaire. Quest-ce qui avait pu la pousser à réaliser cet égarement ?
Au court des jours qui suivaient, tout était prétexte pour moi de déclencher une excitation qui me comblerait jusquà la prochaine fois. Je me masturbais, en me remémorant les poses de Françoise. Je men voulais de navoir pas fait une copie de quelques uns des clichés.
Nous étions en train de prendre un café, quand Françoise fit son entrée dans la pièce. Toute resplendissante de sa semaine de congé. Tenant en main une poche contenant des croissants, quelle posa sur la table pour le plus grand plaisir des quelques secrétaires présente. Qui se jetèrent dessus comme la faim sur le monde.
Il était temps pour moi de prendre congé. Le boulot, lui nattendait pas. Alors que jallais franchir la porte menant à lextérieur, je fus interpelé par Françoise.
- Tu as cinq minutes ?
- Oui
pourquoi ?
- Suis moi jusquà mon bureau, veux-tu
Elle passa la porte, moi sur ses pas. Les yeux rivés sur son fessier.
- Ferme la porte sil te plaît ?
Une fois isolé dans la pièce, elle me dit :
- Tu as le temps de passer chez moi ?
- Ça peu se faire
oui. Mais en fin de matinée, pas avant
- Ça va pour moi
Elle prit le trousseau de clé de son sac à main et les posa sur son bureau.
- Je nai pas besoin de te montrer la clé.
- Non, fis-je en me saisissant des trousseaux.
Et alors que jouvrais la porte, elle me lança :
- Merci Alain.
- Je ten pris.
- Les dossiers se trouvent sur la table de la salle à manger. Là-même où tu les as posé la semaine dernière.
- Cest enregistré, répliquais-je en fermant la porte.
Deux heures plus tard, je franchis la porte dentrée du domicile de ma directrice. Avant de mintéresser aux dossiers, je mempressais de me diriger dans la chambre. Presser de pouvoir à nouveau contempler les photos libertines de lalbum. À en avoir les mains qui tremblaient. Comme lors de ma première visite, la pièce était bien ordonnée. Cette fois ci sur le dossier de la chaise, pas de vêtements. Mais par contre une cassette VHS, se tenait posée sur la table de nuit, près de la lampe à chevet et du réveil. Sous la pile de livre se trouver toujours lalbum. Une fois encore, je me permis de le feuilleter. Marrêtant longuement sur les clichés libertins. Je regrettais encore une fois de ne pas pouvoir faire une copie. Alors que je mapprêtais de sortir de la pièce, mon regard se porta une nouvelle fois sur la cassette. Pourquoi était-elle posée sur cette table de nuit ? Là était la question que je me posais. Surtout quil ny avait ni télé, ni magnétoscope dans la chambre pour la visionner. Mon instinct qui se tromper rarement me dictait de mintéresser à cette cassette. Le chiffre digital du radio réveil indiquait 11H11.
Javais une bonne heure devant moi, avant que Françoise quitte son bureau. La VSH en main, jallais jusquau salon.
Je mempressais de la fourrer dans la fente du magnétoscope.
Très vite Françoise apparut sur lécran, en train de se dévêtir. Se délestant de tous ses vêtements, sans détourner une seule fois son regard de lobjectif. Le caméscope était sans doute posé sur un trépied.
Les quatre fers en lair sur le divan, elle senculait avec un vibromasseur.
Son jeu derrière lécran amplifiait les palpitations qui agitaient de plus en plus mon sexe. Mautant par la même occasion toute vigilance. Dont celui de la présence de ma directrice dans la pièce. Mort de honte, mon premier réflexe fut de rattr mon pantalon pour cacher mon sexe toujours bandé.
- Reste comme tu es ! Mordonna Françoise. Tu es très bien comme ça ! Je tai montré mon cul, ajouta-t-elle, en désignant du menton lécran, sest normal que tu le rendes lappareil. Non ? Je me trompe ?
Au point où jen étais, pourquoi ne pas prendre ce flagrant délit comme prétexte pour me taper ma directrice. Reprenant mon sang froid, et après avoir pris une grande inspiration, je lui formulais un :
- Oui, je veux bien. Cela ne me dérange pas à condition que la femme devant moi soit elle aussi dévêtue
- Si tu insistes
Elle remontait sa jupe. Une petite culotte en dentelle blanche, on ne peut plus transparente, attira mon regard.
- Je me demandais jusquà maintenant, comment faire pour te convaincre de coucher avec moi. Je crois avoir trouvé la solution. Pas sans mal, crois-moi. Jai fais fonctionné mes neurones.
Jétouffais mes élans sauvages, pour ne pas lui sauter dessus, tant javais envie denfouir mon nez dans la foufoune, que je percevais copieusement poilue pourtant écrasé par sa lingerie. Préférant demeurer son esclave sexuel, soumis à ses exigences sexuelles. Et elle ne perdit de temps la coquine, écartant le devant de sa culotte sur le côté, exhibant son triangle de poils bruns.
- Je trouve que jai un gros clito. Cela tintéresse de savoir pourquoi ? Fit-elle, provocatrice, dun envoûtant regard sexy.
- Oui
Étant apte de tout écouter.
- Cest parce que je suis une vilaine femme. Qui à défaut dautre chose, se masturbe trop souvent
me lança-t-elle en lâchant lélastique de sa culotte qui de nouveau, écrasa sa pilosité.
- Je suis certaine, que taimerais voir comme je my prends
Non ! Tu ne dis rien ? Rétorqua-t-elle, me fixant avec malice.
Elle se caressait à travers sa petite lingerie. Comme si elle cherchait de limprégner deffluves de son désir.
Je la contemplais, à la fois troublé, excité. Sur sa culotte une large tache dhumidité brillait. Incapable de me raisonner plus longtemps, je me plaçais à genoux devant elle. Faisant courir mes mains sur ses cuisses. Mon nez à hauteur de son sexe. Menivrant de lodeur que dégager son intimité. Finement, je descendis sa culotte. Le fond se colla à muqueuses trempées de la vulve. La fis lentement glisser le long de ses jambes pour profiter de ce moment fantasmagorique. La petite lingerie sentortilla à ces chevilles. Puis une fois arrivée au plus bas de sa personne, elle leva un pied, puis lautre afin que je puisse me saisir de son dessous. Que je scrutais.
- Ça te fait envie ? Me demanda-t-elle sans détour.
Pour toute réponse, je la portais à mes narines. Alors je respirai les effluves à plein poumon, elle en profita pour soulever un genou. Posa un pied en appui sur le bord du fauteuil. Sa posture, mautorisa dapercevoir le petit trou marron, tout boursouflé. Tout en humant le slip, javais glissé ma main entre ses fesses en sueur. Ne pouvant pas résister dappuyer mon doigt au centre de la cible et forçais sur la cavité qui souvrit aussitôt, enveloppant mon index de chairs tièdes. La coquine poussait du dedans comme pour soffrir. Me donnant limpression que le cul maspirait, attirant mon doigt dans ses profondeurs moites.
- Je te devinais cochon, mais pas à ce point. Tu men bouches un coin. Serais-tu capable den faire avec lautre tirelire.
Je laissais choir la culotte. Sans la quitter des yeux, je froissais les lèvres poisseuses de sa chatte, en les étirant vers le haut. Son vagin bâillait comme une bouche. Une épaisse couche de mouille sagglutinait à la racine de ses poils. Je glissais deux doigts dans son fourreau de chair gluante. Produisant un petit bruit de succion. Une fois bien au fond, je les remuais.
- Oh ! Que jaime ça
et encore plus quand ce nest pas moi qui me le fais
Je la fouillais délicieusement. Les deux orifices simultanément. Jusquà ce quun spasme vint lui soulever le ventre. Quand je les retirais, ils étaient gluants comme si je les avais trempés dans un pot de miel. Je les amenais jusquà ma bouche. Ils dégageaient une odeur de marée. Je les avais gobés comme je laurais fait avec une friandise. Ma langue passait et repassait entre mes phalanges. Descendait au creux de ma paume. Je lapais en faisant du bruit, mes yeux rivés aux siens.
- Tu es vraiment dégoûtant, mon pauvre Alain.
Je portais lindex droit sous mon nez. Celui qui avait voyagé dans son cul. Une odeur forte sen dégager. Un goût poivré.
- Le parfum du cul, fis-je. Cest celui que je préfère. Il produit toujours sur moi leffet dune drogue.
- Ah oui ! Répliqua-t-elle. Et à quel point ?
- Oh ! Tu ne peux pas savoir
- Au point de me la mettre ?
Je me redressais. Elle en profita pour prendre délicatement ma verge entre ses doigts.
- Tu es drôlement dur, mon coco !
- Je te lai dit : lodeur du cul
- Non ! Cest plus simple que ça. Tu es un vilain agent. Oui
un vilain agent ! Répéta-t-elle en faisant monter et descendre sa main le long de ma verge.
Elle pouffa soudain et pressa le mouvement.
- Oh, chantonna-t-elle moqueusement, le vilain agent qui se fait masturber par sa directrice ! Eh bien si les collègues du service pouvaient nous voir, elles seraient édifiées, hein, nest-ce pas Alain ? Il ne faudra surtout rien dire à personne ?
Je fis non de la tête.
- Ce sera notre secret, Alain. On se masturbera en cachette delles, pendant les heures de boulots, tu veux bien ? Tout cela me donne envie de jouir par le vagin, Alain
Elle libéra ma queue. Tourna le dos au fauteuil, et elle posa ses fesses dessus. Puis elle écarta les cuisses et je vins me placer devant elle. Javais fléchis les genoux et visa le vagin avec mon gland. Elle pencha la tête pour me regarder introduire mon pénis dans sa chair. Je me saisis à pleine mains ses chevilles et me laissais tomber sur queue. Plongeant ma queue tout au fond de sa poche.
- Oh ! Je la sens bien ! Je la sens bien au fond
! Cest plus chaud que mon joujou
Elle poussa son ventre en avant. Son sexe formait une bouche suceuse autour de ma verge. Son conduit maspirait en se rétractant dans un chuintement de succion.
- Vas-y, très fort, haleta-t-elle. Je ny tiens plus
Jai envie de sentir ton foutre au moment où je viens
je veux que tu men colles plein la chatte. Parce quelle a soif ma chatte
Jaccélérais le rythme de mes coups de reins. Menfilant toujours plus vite et plus profondément ma queue entre ses lèvres. Faisant coulisser ma tige dans lorifice qui souvrait sans retenue.
Le plaisir devint si violent tout à coup quelle en perdit la tête et je lentendis délirer avec des mots crus. Des mots que je navais pas lhabitude de voir sortir de sa bouche.
De mon côté, javais presque perdu connaissance en transférant ma jouissance dans son intimité.
- Il faut que nous devenions amant. Mavait lancé Françoise. Un vilain agent, pour une vilaine directrice. Quen penses-tu ? Ne sommes-nous pas faits pour nous entendre ?
Et une histoire de plus. À cet instant, saffolait en moi un désir insistant. Des images beaucoup plus précises défilaient dans ma tête, au gré de mon imagination enfiévrée. La main qui tenait la souris, labandonna pour sinfiltrer dans ma braguette, palpant la chair dur de mon sexe. Comme formaté mes doigts se mirent en fonction. Dans une danse rythmée, devenant rapidement effréné. Jusquà sentir monter lassaut de vagues déferlantes de sperme.
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