Douce Défloration.
Agé de 20 ans depuis quelques mois, jai une copine Antoinette, un peu plus jeune que moi, petite mignonne aux cheveux longs châtains et aux yeux verts. Nous nous fréquentons depuis déjà quelques mois et javais envie daller plus loin dans notre relation en couchant avec elle. Malheureusement à chaque fois que je mettais ce sujet dans nos conversations elle léludait dune pirouette ou elle se fâchait et me quittait brusquement.
Un jour, il y a trois semaines environ, la sentant un peu plus accessible, je lui demandai pourquoi elle se refusait ainsi. Elle disait à ses copines quelle maimait beaucoup, que jétais gentil et prévenant avec elle, bref, elle était bien en harmonie avec moi. Alors pourquoi ce blocage ?
Ce jour là, elle se confia tout dabord timidement puis, voyant que je lécoutais favorablement. Elle finit par me dire pourquoi elle réagissait ainsi lorsque je lui parlais de faire lamour. Elle avait été agressée sexuellement par un de ses oncles alors quelle navait que douze ans. Profitant quils étaient seuls momentanément chez lui, il lui avait caressé le sexe, lui avait ouvert sa robe et avait tété ses jeunes seins naissants.
Elle navait jamais rien dit à personne, même pas à sa mère. Depuis elle fuyait tout contact même amical avec les garçons de son âge. Jétais le premier avec qui elle se sentait en confiance, mais elle avait encore très peur de laspect physique dune relation. Elle avait été traumatisée et narrivait pas à franchir le pas dune relation sexuelle librement consentie.
Elle savait que javais déjà eu des aventures avec dautres copines et des femmes plus âgées. Elle avait envie et peur de ce quelle allait ressentir lorsque je lui ferais lamour. Jévitais à dessein les termes crus et quelques peu vulgaires que lon peut employer dans de telles circonstances. Nous étions dans mon studio de la cité universitaire, Antoinette était allongée à plat ventre sur mon lit et jétais assis dans le fauteuil de ma table de travail.
Je cherchai de la musique douce sur mon ordinateur et je vins masseoir auprès dAntoinette. Je la pris avec tendresse dans mes bras pour lembrasser en lui disant de se détendre et de marrêter si elle ne se sentait plus daccord pour continuer. Je descendis pour lembrasser dans le cou, je lui mordillai le lobe de loreille au passage. Javais une main posée au creux de son dos et de lautre jouvrais son chemisier pour atteindre sa poitrine menue. Le chemisier enlevé sans quelle proteste, je lui caressai les seins par-dessus le soutien gorge et dune main je fis sauter lagrafe. Delle-même elle fit glisser son vêtement dévoilant ses seins aux aréoles à peine marquées mais dont les tétons pointaient légèrement. Elle avait une très jolie paire de seins et je le lui dis et je demandai :
Veux tu que je les embrasse ?
Oh oui ! Jen ai envie !
Délicatement je posai mes lèvres sur son sein droit pour un baiser un peu appuyé, aspirant doucement le téton. Je la sentis frissonner. Jen fis autant avec lautre sein. Sa respiration saccélérait.
Je défis la ceinture de son jean et je glissai une main à lintérieur. Pendant que je massais son pubis par-dessus sa culotte, elle noua ses bras autour de mon cou pour membrasser et me disant de continuer. Pour être plus à laise, jôtai son pantalon et mes vêtements. Je ne conservai que mon boxer et momentanément, je lui laissai sa culotte. Ma bite était bandée à mort. Depuis que nous nous étions rencontrés au « Resto U », jétais sevré de sexe. Je lui dis ce que jallais lui faire : lui ôter sa culotte pour découvrir son sexe et le caresser pour la faire mouiller.
Elle avait une toison peu fournie et une jolie chatte toute rose. Ma main droite passait et repassait sur son pubis, je descendais parfois plus bas en glissant un doigt ou deux entre ses lèvres qui commençaient à suinter et au passage je faisais rouler son clitoris.
Dun anneau de ses doigts, elle fit quelques va-et-vient. Elle était de plus en plus détendue pour faire dinstinct cette caresse. Rapidement je couvris ma bite dun préservatif en lui disant quaprès, par jeu, ce serait à elle de le faire. Je me plaçai entre ses cuisses en lui remontant un peu les genoux. Je fis quelques mouvements à lentrée de sa chatte en lui demandant si elle était prête et quelle allait ressentir une petite douleur au moment où ma bite déchirerait son hymen.
Oui, je suis prête ! Vas-y, fait de moi une femme !
Lentement je mintroduisis dans sa grotte damour toute chaude et suintante de cyprine. Un léger mouvement de recul de son bassin me fit comprendre que javais atteint la fine paroi que jallais rompre. Je restai immobile quelques secondes.
Quattends-tu ? Vas-y, je suis prête !
Jaccentuai la pression sur son hymen et lorsquAntoinette poussa un petit cri, je su que je lavais déflorée. Mon sexe était au fond de sa chatte. Nous restâmes sans bouger quelques minutes pour quelle shabitue à me sentir en elle. Lentement je commençai les mouvements de va-et-vient en évitant de sortir de sa chatte. Au bout de quelques temps Antoinette commença à maccompagner maladroitement en bougeant son bassin au rythme de mes pénétrations.
Je retenais ma jouissance pour tenter darriver en même temps quelle. Lors de cette première fois, il nétait pas du tout certain quelle jouisse. Je nai pas pu me retenir plus longtemps. Cest avec un immense bonheur que jai déversé dans le préservatif une belle quantité de sperme. Lentement je me suis retiré.
Quelques filets de sang ornaient la capote. Je les lui montrai en riant et en disant que cette fois-ci, elle nétait plus pucelle. Nous éclatâmes de rire et elle vint se blottir dans mes bras :
Merci, tu as été doux, cétait bon !
Pour me remercier, elle me donna sa bouche.
Une semaine plus tard, cest Antoinette qui me demanda de lui faire lamour. Je lai prise dans la même position que la première fois et notre jouissance est arrivée en même temps. En membrassant amoureusement elle dit alors :
Que cest bon !
Depuis, nous faisons lamour chaque semaine et je ne suis plus obligé de mettre un préservatif car depuis peu, Antoinette prends la pilule.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!