Une Soirée Spéciale
Après quelques mois de discussion sur le site, et une rencontre décidée il y a plus de 15 jours, me voila devant la porte de mon hôte. J'ai respecté les consignes, je porte des bas et de hauts talons et je lui réserve la surprise de ne porter qu'un soutien gorge sous un trench coat très ajusté. Lentrée dans l'immeuble fut un peu épique puisque je ne suis pas rentrée dans la résidence par la bonne porte, ce qui accrue davantage mon excitation.
Ça y est ! Je suis devant sa porte et je sonne. Un homme charmant et classe ouvre la porte, vêtu d'un pantalon de ville, dune chemise blanche et de chaussures classiques. Il minvite à entrer, me dit que désormais nous pouvons nous tutoyer, puisque tous nos échanges se sont faits en employant le vouvoiement et me demande de me mettre à l'aise. J'ouvre alors mon trench coat et dévoile ainsi ma nudité, ce qui semble lui plaire. Il me retire mon soutien gorge et me demande de me mettre à 4 pattes en me disant : tu es venu pour être une chienne et une chienne se doit d'être à 4 pattes.
Je mexécute même si marcher à 4 pattes n'est pas ce que je préfère dans la soumission. Il me fait écarter les cuisses, creuser les reins et me demande de rejoindre très lentement, dans la même position, un pouf installé au milieu du salon. Je m'avance doucement en veillant à garder mes cuisses bien écartées, j'arrive au pouf et je grimpe dessus. J'essaie de me positionner au mieux selon les exigences de mon hôte. Il ne manque pas de me dire que je ne suis pas assez cambrée et de rectifier ma position en appuyant sur mes reins en m'enjoignant fortement de la voix à faire mieux en me disant que je dois avoir mes orifices totalement offerts à déventuelles queues.
Il prend ensuite sur la table une bâillon boule, jouet de domination/soumission que jai toujours refusé de porter, mais je le laisse me bâillonner sans rien dire et écoute la consigne selon laquelle le bâillon ne me sera retiré que pour me faire baiser la bouche.
Je suis toujours à 4 pattes sur le pouf carré et je commence à baver sur le parquet du fait du bâillon. Il se place à côté de moi, rectifiant à nouveau ma cambrure en massénant de fortes fessées, je gémis à nouveau de plaisir. Il passe sa main entre mes cuisses et constate que je suis déjà humide : tu mouilles déjà comme une chienne. Il insère alors 2 doigts dans ma chatte, avec force et commence à fouiller mon antre. Cest un peu douloureux pour moi mais je me laisse faire, il ne tarde pas d'ailleurs à y mettre un troisième doigt marrachant cette fois un gémissement de douleur. Il ne tient pas compte de mes réticences et continu à me fouiller. Il passe ensuite à l'exploration de mon anus avec sa langue, en le léchant et en y insérant sa langue, il se relève et y enfonce 2 doigts, toujours en passant en force tout en ne manquant pas de me faire remarquer que ça rentre tout seul. Un troisième doigt rejoint assez rapidement les 2 autres. Je me contracte un peu car même si je m'ouvre facilement, un passage en force peut me déchirer.
Puis il vient se placer devant moi en me rappelant de bien me cambrer. Il se déshabille, enlève mon bâillon et me demande d'ouvrir la bouche pour y accueillir son sexe, normal au repos mais une fois dans ma bouche, il prend forme petit à petit et remplit bientôt ma bouche en entier. Il ne tarde pas à baiser ma bouche avec force et de façon à me faire dégorger, je manque de m' à plusieurs reprises mais il tient ma tête pour que je ne puisse pas me dégager et que ce soit lui qui décide de quand je reprends ma respiration. Cette séance dure un moment et le parquet est trempé de la bave et de la bile que j'ai craché. La séance est rude mais je fais de mon mieux pour ne pas craquer et l'arrêter. Lorsque je m'étouffe et que je m'écarte, il me dit que si ma bouche n'est pas sur son sexe, ma main doit y être. Je m'applique à le branler comme j'aime le faire et comme c'est apprécié de mes amants, à chaque fois que je dois reprendre ma respiration. Il semble apprécier les deux, ma bouche et ma main. Nous ne nous sommes pas donné de code en début de séance mais je sais que si je dis stop, mon hôte n'insistera pas.
Il se dirige vers le canapé et sassoit et me demande de venir lui montrer comment je le baise. Je me lève de mon pouf, jessuie ma bouche dégoulinante et mon nez morveux d'un revers de main et je le rejoins. Je mets mes genoux sur le canapé et viens mempaler sur lui en vas et vient. Rapidement je porte ma main droite à mon sexe et il me regarde en me demandant ce que je fais ! Retires ta main pour l'instant tu toccupes de moi, pas de toi. Je m'exécute. Il s'avance vers moi et m'ordonne de sortir ma langue et de la laisser ainsi. Il m'embrasse ainsi et me mord un peu la langue. Il prend mes tétons entre ses doigts et les pince, fort, la douleur est telle que je gémis et que je tente de me dégager mais il met encore plus de pression dans ses pincement, bien que je sois sur le point de gueuler, j'arrête de me débattre et il relâche la pression.
Il me demande si je veux qu'il m'encule, oui repondis je alors qu'il sait très bien que c'est mon pêché mignon et il me dit alors que je vais devoir laper ce que j'ai régurgité sur le plancher tout à l'heure si je veux me faire enculer. Je suis toujours à genoux sur lui à le baiser quand il me dit ça. Et même si cela me coûte, je lui dis que non, je ne laperais pas ma bave. Alors je ne t'enculerais pas. Tant pis lui répondis je en sachant très bien que la sodomie est aussi la domination ultime pour un mâle digne de ce nom et qu'une parfaite soumise doit aimer se faire enculer, je ne prends donc pas un gros risque. Et si il n'y a pas sodomie et bien ce n'est pas grave, me dis je dans ma tête en tentant de m'en convaincre. Il me demande de me remettre sur le pouf et de mettre mes mains par terre afin d'avoir la croupe bien en l'air et mes orifices bien ouverts. Il enfile une capote et rentre sa queue dans ma chatte et commence à la pilonner comme il faut. Je commence à gémir voire même gueuler et il m'ordonne de fermer la bouche et de garder le silence. Mon plaisir ne doit pas être entendu des voisins, ce que je comprends puisque nous sommes dans un appartement. Il se retire et vient me lécher mon petit trou en y enfonçant sa langue, c'est trop bon. Il me demande ensuite de descendre du pouf qu'il retire et me demande de me remettre à 4 pattes, la tête par terre, et en signe de bonne volonté, sentant la sodo venir, je mets la tête dans ma bave mais sans la laper. Il me prend alors mon cul et là jai encore plus de mal à garder le silence tellement c'est bon, surtout dans cette position.
Il me relève ensuite et m'amène dans sa chambre, pose une couette sur son lit et me demande de m'allonger sur le dos et de me caresser jambes écartées. Je mexécute pour son plaisir car je ne viens jamais à l'orgasme ainsi. Il se penche alors sur moi, me demande de sortir ma langue et là, après m'avoir embrassée, il prend ma langue entre ses dents et la mort si fort que j'ai cru qu'il allait la sectionner mais j'ai retenu la leçon, je ne tente pas de me dégager même si je gémis très fort de douleur. Il finit par lâcher la pression. Il parcours mon corps de ses mains et dirige une main vers ma chatte pour y mettre 2 doigts alors que je me caresse toujours. Ensuite il se met à 4 pattes sur moi pour me présenter son cul et me demande de le lécher tout en le branlant. Je mexécute même si ce n'est pas ce que je préfère dans mes différentes pratiques. Il semble prendre du plaisir à ma langue et ma main, l'autre étant toujours sur ma chatte à sa demande. Il fini par se mettre à côté de moi tout en me triturant les tétons et me dit, en fait c'est ta bouche qui m'excite.
Il me demande comment je me sens et là je lui avoue ne pas avoir tout apprécié, notamment le bâillon parce que ce n'est pas un objet à moi. Il me propose une pause lors de laquelle nous grignotons et échangeons sur nos pratiques et notre libertinage. Je lui dis qu'en fait j'ai bien aimé cette séance mais il a cru que je ne souhaitais pas poursuivre et moi linverse. Je suis donc partie après qu'il m'eut offert un baiser avec le sentiment dune séance inachevée.
Ce corps à corps brutal est éprouvant mais au combien délicieux. Repousser ses propres limites et accepter la douleur, la soumission, l'appartenance même pour une soirée et l'empreinte d'un dominant est un exercice cérébralement très impliquant au-delà du physique et des douleurs infligées.
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