La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1143)
La Marquise esclave (Nouvelle histoire)
Il y avait presque un an et demi, cétait un 1er août de lannée 2016
Une jeune femme avait fait la connaissance en réel dun homme, quelle savait être Dominant, quelle savait aussi écrivain de talent
Elle sétait découverte soumise, depuis seulement quelques mois, enfin, soumise nétait pas tout à fait une découverte car cest ce quelle devinait, pressentait depuis si longtemps quun sentiment de soumission était déjà bien ancré en elle et cela bien avant leur rencontre virtuelle. Auparavant, elle avait rapidement rencontré un premier maître mais ça navait été quune relation virtuelle pendant quelques temps. Puis une rencontre avait eu lieu, mais il navait pas su lamener à se dépasser et avait exigé delle trop tout de suite sans préparation. Elle avait donc rompu cette relation le lendemain de cette rencontre. Plus tard, sur le même site, elle avait rencontré un second maître. Elle ne le savait pas, mais il navait jamais eu aucune relation réelle, ni D/s, ni vanille, avec personne. Elle lapprit plus tard, quand des sentiments ont commencé à rentrer en jeu. Le maître sétait alors éloigné de plus en plus pour laisser place à lhomme. Elle nétait plus sanctionnée si elle commettait des erreurs. Tout lui était pardonnable. Il ny avait plus grand-chose de D/s dans leur relation
Elle était mariée, avec un et enceinte. Elle aimait encore son mari, du moins, pour le bonheur de ses filles, elle essayait de sauvegarder son couple. La relation avec le second maître devenant bien plus vanille que chocolat, parce quelle savait quune simple vie vanille ne lui suffisait plus, parce quelle ne voulait pas quitter son mari, détruire sa famille, pour le même type de relation, elle a préféré tout arrêter...
Et puis le hasard, ou le Destin, voulut que dans la même période, elle retrouva sur un site de récis sexuels, les histoires de Celui qui allait entrer dans sa vie pour ne plus en sortir, et que sous une impulsion irrépressible elle fit des recherches sur Celui qui la captivait déjà par Ses mots, par Son Art de vivre et quelle se retrouva à frapper à la porte de Son fameux Château.
Marion, comme toute jeune fille, avait eu assez tôt un idéal masculin. Elle sétait imaginé son nom, son visage, son corps, son caractère, ses qualités, la couleur de ses yeux ou de ses cheveux
Certainement, comme beaucoup de femmes, en grandissant, elle avait mis de côté cette vision idyllique de lhomme, pour se marier avec quelquun avec qui elle se sentait bien. Sauf quelle sentait tout de même quil lui manquait quelque chose. Quelque chose dindispensable pour être totalement heureuse. Ayant toujours eu un fort instinct maternel, elle crut que cétait ds quil sagissait. Elle avait une première fille, puis était tombée enceinte de la seconde, mais il lui manquait toujours le « petit truc » en plus, et finalement, sa relation avec son mari sétiolait déjà.
En arrivant aux pieds du Châtelain, elle avait ressenti la même sorte de sentiments. Mais il y avait plus que cela. Elle avait très vite ressenti envers Lui, dès le premier jour en fait, une confiance incroyablement forte envers Lui, quelle navait jamais ressenti envers personne, que ce soit dans le monde vanille ou dans le monde chocolat. Au fur et à mesure que le temps passa, elle apprit à Le connaître. Ils avaient la même vision de la D/s, Il avait des qualités humaines magnifiques et saines, elle sapercevait que pour de très nombreuses choses, elle avait également les mêmes goûts que Lui. Et même si le physique ne faisait pas tout, elle ne pouvait nier quIl sapprochait également énormément de lidée quelle sétait faite de lhomme idéal dans son adolescence, elle le trouvait beau et très séduisant. Après avoir quitté le dernier maître pour qui elle commençait à avoir des sentiments trop vanilles, que la D/s disparaissait de plus en plus de leur relation, elle sétait promis quelle ne laisserait jamais des sentiments amoureux approcher de près ou de loin de toute future relation D/s quelle aurait pu avoir, et que si ça devait se produire elle quitterait de suite le Dominant aux pieds duquel elle aurait été.
Ce qui lui avait fait peur dans des sentiments amoureux ne se réalisait pas cette fois-ci. Ses sentiments, au lieu de la faire tendre vers un mode de vie plus vanille, était paradoxalement devenu un réel moteur pour sa soumission. Si, comme tout le monde elle avait fait des erreurs, si elle avait été punie, très vite, elle avait tout fait pour avoir un comportement exemplaire de soumise. Dabord parce que cétait sa nature profonde, mais aussi par Amour pour le Maître quelle vénérait de plus en plus intensément. Au lieu daffaiblir sa motivation, son Amour pour Lui, lui avait donné des ailes
Ce quelle ne savait pas, et quelle navait aucun moyen de savoir, cétait Ses sentiments à Lui vis-à-vis delle. Rien ne lui avait laissé penser quIl pouvait éprouver quoique ce soit de différent pour elle, que pour nimporte quelle autre chienne du Cheptel.
Il lentraîna vers le donjon, où Il lattacha sur une grande table en bois, les bras en croix, les cuisses largement écartées. Puis Il lui banda les yeux. A partir de ce moment-là, elle ne vit plus rien de ce qui se passait, elle ne pouvait que se servir de ses oreilles pour se repérer. Elle Lentendait évoluer dans la pièce, ouvrir des tiroirs, les refermer. Puis elle Le sentit près delle. Il commença par la caresser. Dabord les cheveux, doux, longs, soyeux. Le visage, le cou, déposant un doux baiser sur ses lèvres, et une pluie de loreille, en mordillant légèrement le lobe jusquau menton pour lembrasser avec plus de force, prenant possession de sa bouche avec Sa langue. Puis Il continua Ses caresses, Ses baisers, et Ses mordillements, descendant toujours plus bas, passant par chacun de ses seins, de ses tétons. Alors Il arriva entre ses cuisses, déjà suintantes de cyprine. Il lécha avec délectation toute cette humidité présente, puis Il sattaqua à son clitoris si sensible. Avec Sa langue agile et baladeuse, Il léchait ce clito, laspirait, le taquinait. Pour elle, Sa langue était devenue un instrument de feu, qui la brûlait, lexcitait. Elle était si bien attachée quelle ne pouvait pas gigoter, mais intérieurement elle se débattait contre lenvie démentielle de jouir. Son souffle saccélérait, des perles de sueur commençaient à apparaître. Alors Il stoppa tout, la laissant dans un délicieux état de frustration. Avant que sa respiration n'ait pu reprendre un rythme normal, elle sursauta sous ce qu'elle reconnut être de la cire de bougie.
Les gouttes tombaient lentement d'abord, une à une, sans logique aucune, ne lui permettant pas d'anticiper l'endroit où la prochaine allait tomber. Pourtant c'était toujours sur ses seins ou son ventre. Les hauteurs variaient également, influant sur la chaleur de la cire au moment du contact avec la peau. La bougie avait ce pouvoir sur elle de la transporter dans un autre monde. Elle commençait doucement à partir. Le Maître alors, baissa de plus en plus la bougie. Elle commençait à sentir la chaleur de la flamme tant elle était proche. Il la faisait couler aussi de plus en plus vite, en même temps qu'Il se rapprochait de son sexe offert. Quand le Châtelain commença à la faire tomber sur l'intérieur de ses cuisses, elle se mit à haleter. Quand elle atteignit ses lèvres, elle commença à couiner véritablement comme une vraie chienne (lanimal). Elle était maso. La cire commençait vraiment à être chaude et cela devenait limite supportable. Alors Il rapprocha encore un peu la bougie, ce qui la fit réellement japper, couiner telle cette vraie chienne animale que renfermait son corps de soumise... Alors, Il fit couler la cire directement sur le clitoris et l'intérieur des lèvres intimes largement ouvertes, lui ordonnant au même moment de jouir. Alors elle hurla longuement ses orgasmes qui s'enchainaient sans qu'elle ait plus le moindre contrôle dessus. Le Maître desserra ses liens, ayant peur qu'elle ne se fasse mal tant son corps se tendait, s'arcboutait sous la douleur, sous les vagues de plaisir excitants, d'autant plus qu'Il choisit ce moment-là pour la pénétrer avec force, tant elle partit loin dans un déluge de plaisirs difficiles à contrôler pour ne pas laisser éclater ses jouissances
Alors quand elle entendit les mots libérateurs "JOUIT CHIENNE !" ce qui la fit partir à mille plaisirs explosifs la projetant directement au 25 000ième ciel, elle jouit comme jamais par de violents orgasmes en continu et dune puissance indescriptible
Monsieur le Marquis la pilonna jusqu'à se vider en elle par des flots saccadés de sperme en de longs râles de mâle en rut. Il navait pas cessé de verser de la cire sur son sexe, sur son corps. Lorsqu'Il eut éjaculé, Il dit d'une voix forte "STOP!" pour que sa voix atteigne malgré tout Son esclave qui devait, à ce mot, sarrêter de jouir.... Elle L'entendit. Son corps eut plusieurs soubresauts puis d'un coup il commença à se détendre. Elle gardait les yeux fermés, toujours dans un autre monde orgasmique, dans une bulle de plaisirs explosifs. Sa respiration commença doucement à se calmer. Le Maître la détacha, et la prit dans Ses bras. Il sassit dans un grand fauteuil et la garda contre Lui, le temps quelle retrouve ses esprits, ce qui prit de longues minutes. Et même lorsquelle fut en état de parler, elle ne tenait pas encore sur ses jambes. Il exigea quelle se taise. Il avait préparé sur une table à côté du fauteuil une boisson revigorante, sachant que dans ce moment-là, Sa chienne se donnait tellement quelle se vidait de toute énergie. Il Lui caressait doucement les cheveux, semblant réfléchir, en même temps quIl profitait du moment présent.
- Ma chienne, je vais te dire quelque chose. Une chose qui ne changera en rien ma façon de te dominer. Je serais toujours aussi exigeant, aussi intransigeant. Mais je ne veux pas te le cacher plus longtemps !
La soumise, blottie contre Son torse, sentit son cur saccélérer, sans quelle sut définir pourquoi.
- Ecoute bien ce que je vais te dire, Ma soumise, Mon esclave. Jai pris une grande décision. Voila, je ne peux pas nier que jai de forts sentiments pour toi ! Pour toute relation D/s, il faut, à mon sens que les deux personnes, Dominant et dominé, sapprécient, se respectent, se fassent confiance. Il y a ment de forts sentiments, de la tendresse, une certaine forme damour. Mais avec toi, ce nest pas pareil. Toi, je tAime, tout simplement. Tout nous rapproche, tout nous rassemble. Mais je te le répète, mes forts sentiments pour toi ne changeront jamais ma façon de te dominer, tu seras toujours mise sur le même plan que les autres, tu feras tes corvées comme tout le monde ici
Si, en fait, il y a une chose qui changera. Je me montre bien plus exigeant avec les gens que jaime, et je supporte encore moins leur désobéissance. Mais je serais toujours juste, ça tu peux en être sûre, et comme pour tous ceux qui Mappartiennent, tu mériteras toujours Ma confiance comme je sais mériter la tienne
Lesclave se mit à trembler, et des larmes coulèrent abondamment sur ses joues. Jamais elle navait souhaité recevoir un traitement de faveur. Elle navait toujours aspiré quà laisser parler sincèrement sa nature. Jamais elle navait eu à se forcer dans ses actes de soumission. Tout venait du cur, de ses tripes. Son envie, non son besoin de soumission était viscéral ! Savoir que ses sentiments trouvaient un écho chez la personne quelle chérissait le plus au monde la rendait folle de bonheur. Son Amour pour le Maître de sa vie lui avait toujours donné des ailes. Mais là elle sentait que ça allait la propulser bien plus loin encore sur le chemin de sa soumission.
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!