Lexi 4
Jen profitais pour détailler le gars. Dix-huit ans maxi, un bon mètre quatre-vingt. Une belle musculature saillait de sous son polo, encore adolescente, mais prometteuse. Un joli paquet se laissait deviner sous le pantalon en toile légère
mais, chut, prudence. Nous sommes en terrain miné !
Sa conversation est assez plaisante, variée et ne manque pas dhumour.
Après dix bonnes minutes déchanges, il minvite à ses appartements pour prendre un verre au calme. Immédiatement je lui fais comprendre quétant en service, je ne peux quitter loffice. Assez surpris, je le vois se diriger vers les salons de la réception et sadresser très librement à mon ambassadeur. Celui-ci se tournant un peu vers moi fait un signe dacquiescement et me fait le geste de méloigner dune main désinvolte. Le tout accompagné dun demi sourire complice.
John, ainsi que sest présenté mon jeune interlocuteur reviens vers moi et lâche « voilà on est tranquille pour parler. Il nous préviendra lorsquil voudra partir ».
Dans la foulée, il mentraine dans les appartements de lambassade. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre quil sagit du fils de lambassadeur de Grande Bretagne. Ce qui explique sa désinvolture. Dans le même temps, je récapitule rapidement les évènements et jarrive à la conclusion que John veut autre chose que parler français
et que lambassadeur est parfaitement au fait de ce qui se trame !
La suite ne tardera pas !
John me précède pour rejoindre le salon. Nous sommes seuls dans lappartement. Il me propose un verre, sen sert un et va sappuyer au montant de la fenêtre donnant sur une cour intérieure déserte. Je perçois le début dérection sous son pantalon.
Je décide de prendre linitiative. John, clairement souhaite une relation avec moi. Son jeune âge lempêche sans doute daller plus avant pour exprimer son désir. Rassuré par la tranquillité et la confidentialité des lieux, je mapproche de lui document.
Dans le même temps, je sens ses fesses se plaquer sur mon sexe dans lexpression sans équivoque dun désir à combler. Javance mon bassin et le plaqué contre la fenêtre. Je donne quelques coups de reins comme pour le pénétrer. Ma main gauche passe sur son torse. Je palpe ses tétons que je sens durcir immédiatement. Cela me fait dire quil a déjà pris son plaisir en excitant ses mamelons, ce qui nous fera gagner du temps.
Puis je lui redresse la tête vers moi. Lui ôte sa chemisette. Rapidement son pantalon se retrouve au sol. Il est maintenant complétement en érection. Son slip est distendu par une verge que je devine bien dure. Rapidement, je lui fais enlever. Pour cela il contorsionne son joli petit cul afin de se libérer de ce morceau de toile inutile en la circonstance !
Saisi dune envie subite, je lui mords larrondi de lépaule. Tout en lui caressant la verge et les couilles, mes Canine et incisives se plantent dans ses muscles fins et bien dessinés. Immédiatement il lâche un petit feulement de douleur mêlé de plaisir et je sens sa verge se raidir encore plus.
Je continue en promenant ma langue sur loreille, lui chatouillant lintérieur et lui mordillant le lobe. Je respire son odeur faite de sueur virile et de senteur adolescente. Il me rend fout ce garçon !
Tout en lexcitant, je le pousse vers la table et lallonge dessus. Mes doigts questionnent maintenant ses tétons qui répondent très bien à mes sollicitations. Les effets sur sa verge se traduisent par de petits soubresauts intempestifs pour témoigner du plaisir quil prend.
Durant un long moment jalterne les plaisirs en passant de lun à lautre tout en continuant à exciter ses tétons.
Je sens John prêt à exploser. Si bite produit de plus en plus fréquemment et fortement des tressaillements. Je nai que le temps de plonger ma bouche sur sa verge pour avaler son jus quil me crache longuement dans la bouche. Je peine à tout avaler. Sa liqueur est forte. On voit quil est jeune. Et sa production impressionnante !
Nous restons ensuite un bon moment lun sur lautre. Mon bassin est calé entre ses jambes, ma tête repose sur son torse. Nous somnolons quelques minutes ainsi pour reprendre nos esprits. Puis doucement, dune voix apaisé, John me dit « merci, cétait fantastique ». Ces quelques mots réveillent en moi le désir. Je me rends compte que je suis toujours habillé. Ma queue me fait mal à force dêtre comprimée dans le pantalon. Hâtivement, je me déboutonne et lâche à John « jai envie de toi ». Il ne me répond pas mais ses jambes souvrent un peu plus comme une offrande, une invitation. Libérant ma verge, je la place doffice sur son anus et pousse sans ménagement. Le visage de John exprime immédiatement une douleur. Je décide de mieux me maitriser. Mais le gland est déjà entré. Ce qui confirme quil sest déjà au moins doigté le cul. Je décide de le pénétrer lentement, très lentement, sans jamais arrêter. Ma bite le pénètre millimètre par millimètre. Ce faisant, je me penche sur son visage et lui gobe les lèvres charnues. Ma langue y excite le désir quil sy exprime. Je le sens se relâcher, se détendre en fin totalement. Il est maintenant complétement prêt à me recevoir.
Toujours en lui, je maintiens ma verge au fond e de son antre par quelques ajustements du bassin, sans lui limer le cul. Je ne veux pas jouir en lui aujourdhui. Tendrement à loreille je lui explique « John, maintenant tu nes plus un gamin. On va sarrêter là pour aujourdhui. La prochaine fois que lon se voit, tu mavaleras et tu me feras jouir longuement ». Après quelques secondes de réflexion John me demande, « je pourrai aussi te faire lamour ? ». Immédiatement, je lui redonne un petit coup de rein pour quil sente bien ma queue qui lenvahit « Oui John, tu me feras lamour, longtemps, à fond, comme aujourdhui. Tu es ma femelle, ma gazelle du désert. Je suis ton mâle et tu es ma femelle
OK ? ». Je conclue cette mise au point par un nouveau coup de rein un peu plus brutal que le précédent « compris ? ». Après une brève expression de douleur due au coup de bite, John me dit « Oui, je taime ». Nous sommes donc daccord, et John connait maintenant sa place. Il devra veiller à la tenir.
Je me rajuste. Embrasse une dernière fois mon John et file rejoindre mon ambassadeur en me demandant si je nai pas dérapé question time in ! Passant devant un grand miroir, je massure que ma tenue ne laisse rien paraitre de ce qui vient de se passer.
« Ha vous voilà, hé bien il temps dy aller »
lambassadeur emploie un ton badin qui ne me donne guère dindication sur son étal desprit. Visiblement, il mattendait. Une fois dans la voiture, alors que je le ramène à sa propriété, il me lâche « Lexi, vous semblez avoir un beau succès auprès des jeunes hommes
reste à savoir si vous saurai partager vos bonnes fortunes
».
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