La Marchande De Chaussures
Mon fils avait, 10 ans environ, un soir nous venons de nous coucher ma femme me dit,
Ma femme : tiens le petit a besoin dune paire de chaussures pour ce printemps comme, tu ne travailles pas mercredi, peux-tu aller avec lui chez, Ouistiti pour en acheter une paire.
Moi : bien sûr, mais cest un service qui se paie.
Ma femme (avec un sourire coquin, et glissant sous la couette) : tu es un obsédé sexuel.
Moi : mais tu adores ça être avec un gros dégueulasse
Et je sens son souffle chaud sur mon ventre, puis ses lèvres qui se posent sur mon pubis, sur mon gland. Sa langue douce descend le long de mon sexe, remonte. Redescend, mordille mes testicules, quelle aspire, pendant quun doigt inquisiteur, force doucement lentrée de mon anus. Jadore, jécarte les cuisses, pour moffrir pleinement à cette caresse. Sa bouche est toujours active. Elle menserre le sexe, sa langue tourne autour de mon gland. Avec sa deuxième main elle me masturbe. Très vite je sens mon plaisir monter, ma respiration saccélère. Elle va de plus en plus vite, sa langue ne bouge plus, elle se serre de sa bouche comme dun sexe.
Moi (au bord de lexplosion) : je vais jouir chérie attention.
Elle ne sarrête pas, elle accélère même le mouvement, et tout à coup jexplose, je gicle a grands jets de foutre, qui vont se répandre dans sa gorge, sur sa langue, sur les parois intérieurs de ses joues.
Moi (jouissant) : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, tu es trop bonne mon amour,
Pendant que je me remets, de mes émotions, je sens sa langue, passer partout et me nettoyer entièrement le sexe. Elle récupère tout, remonte à ma hauteur, et en membrassant goulûment, me refile une partie, de ma semence, que javale en souriant.
Ma femme (se collant contre moi) : voilà tu achèteras de belles chaussures à ton fils. fais de beaux rêves.
Quelques jours plus tard, je me présentais, avec mon fils au magasin de chaussures pour .
Deux dames, se tiennent derrière la banque. Une grande sèche, au cheveux blond ondulé, tombant sur les épaules, sans forme, (plate), la cinquantaine, elle porte une grande robe, genre robe de mormons dans leur campagne. Et une plus petite, brune, coffrée avec un carré frisé, elle porte un pull à col roulé, moulant, et un jean moulant lui aussi, laissant apparaître un joli corps ferme et bien fait, de jeune femme sportive, denviron 35 ans.
Nous : Bonjour Mesdames
Elles : bonjour Messieurs
La grande blonde sapprochant de nous
Elle : que puis je faire pour vous
Moi : cest pour mon fils, une bonne paire de chaussures pour lhiver
Elle : asseyez-vous, il fait quelle pointure ce jeune homme
Moi : aucune idée (puis interrogeant mon fils) tu sais toi
Lui : 36, 37 je ne sais pas
La petite brune : (tout sourire, venant à notre rencontre avec une toise) ah ! ces hommes, ils ne savent pas grand-chose, tu en penses quoi Elisabeth ?
Elisabeth : (la grande blonde) je suis bien daccord avec toi Martine, ils savent nous baratiner pour essayer de nous mettre dans leur lit, mais cest bien tout.
Je souriais en les écoutants, et jappréciais les formes, de Martine accroupie devant moi. Après plusieurs essayages, le choix de mon fils se porta, sur une paire de chaussures montantes, mais elles étaient noires et il les voulait marrons.
Nous convenons avec Martine, quelle les commande, et me prévienne, pour que je passe les chercher un soir en sortant du travail.
Quelques jours plus tard, vers 18h30 mon téléphone sonne.
Moi : oui, Alain bonsoir
Martine : oui bonsoir Alain, je suis Martine du magasin OUISTITI, je vous appelle pour vous dire que nous avons reçu les chaussures pour votre fils. Vous pouvez venir les chercher quand vous le souhaitez.
Moi : ah ! super Martine, je peux passer ce soir vers 19h, vous fermez à quelle heure ?
Martine : si vous pouviez passer un peu avant nous fermons à 19h
Moi : ok jarrive attendez moi
Martine : merci a tout de suite
Le temps que je range mes affaires, que je dise au revoir à mes collègues, je me présente devant le magasin à 19h05.
Martine (ouvrant la porte avec le sourire) : je ne vous attendais plus, jai pesé que vous maviez posé un lapin.
Moi : je suis désolé de vous mettre en retard, mais ce nest pas toujours facile, vous savez. Et je men serais voulu de ne pas venir à un RDV avec ue jolie dame.
Martine (légèrement rougissante) oh jolie dame, cest un peu beaucoup, vous êtes un flatteur
Moi (changeant de sujet) jespère que je ne vous mets pas en retard
Martine (avec lai un peu triste) : non du tout mon mari vient de mappeler pour me dire quil avait entre 20 et 30 minutes de retard, donc nous avons tout notre temps. Vous venez avec moi, elles sont dans le bureau, avec la machine à CB.
Elle se retourne et se dirige vers la lumière. Je maperçois à ce moment-là, quelle porte une jupe plissée ni trop courte ni trop longue, avec des talons, mettant en valeur le galbe de ses jambes. Je me demande si elle a des bas ou des collants. En haut elle porte un gilet léger, sans manche, avec une fermeture éclair devant.
Je la suis dans la petite pièce encombrée de cartons, dun bureau, et dun fauteuil.
Martine (se tournant vers moi) : pouvez pousser la porte, quon ne voit pas de lextérieur notre présence, car les clients du moment quils voient de la lumière, et du monde, ils veulent absolument rentrer, ils casseraient la vitre pour certains.
Je pousse la porte, qui reste tout de même entre ouverte.
Martine, commence à chercher mon coli, elle ne trouve pas, regarde sur le bureau, se penche pour regarder dessous. Il me semble voir furtivement quelle porte des bas dim up. Elle semble ennuyée.
Moi : vous ne les retrouvez pas, (en souriant) vous les avez vendues
Martine : non, mais cest ma collègue qui les a rangé, ah ! je sais comme elle est grande elle les a mis, sur létagère du fond.
Elle me montre un carton, ou lon peut lire mon nom inscrit en travers sur le côté. Jessaie de prendre la boîte, mais elle est trop haut placé.
Martine : (portant un petit escabeau et passant devant moi) laissez-moi faire
Elle commence à monter. Me rappelant de la vision juste avant, je ne peux mempêcher de me pencher légèrement pour regarder sous la jupe. Javais bien vu, elle porte des bas et un string. Cette vision me met en rut immédiatement, je bande comme un taureau.
Je ne me contrôle plus. Au moment où elle entame, sa descente, je pose mes deux mains sur ses mollets et je remonte lentement le long des jambes. Elle se fige.
Martine : mais que faites-vous ?
Moi : (sans arrêter mon mouvement) : vous elle tellement ravissante, jai envie de vous câliner, de voir sur votre visage le plaisir
Tout en disant ça, mes mains étaient remontées jusquà ses hanches. Je la faisais basculer en arrière, et la posait à plat ventre sur le bureau. Elle semis sur le dos dun coup de reins
Martine (en colère, essayant de se redresser) : ça va pas, vous êtes fou.
Je me couche sur elle, je lui tiens les mains au-dessus de la tête, avec ma main gauche, avec la droite je fais glisser, la fermeture éclair du gilet qui souvre, je glisse ma main sur son ventre, je descends rapidement sur son pubis que je caresse à travers les tissus.
Martine (se débattant presque plus) : non sil vous plait mon mari mattend.
Moi (la main sur son sexe, et ma bouche sur son cou) : laisses toi faire tu vas adorer
Ma main quitte son bas ventre, lui prend le menton pour lobliger à tourner la tête. On se retrouve lèvres contre lèvres, elle ouvre les yeux,
Martine (me fixant) non arrête
Ma langue force sa bouche qui souvre imperceptiblement, et timidement je sens sa langue venant à la rencontre de la mienne.
Jai gagné, dun coup je me relève, glisse à genou à ses pieds, qui pendent le long du meuble passe la tête sous la jupe et vient embrasser son string.
Martine (entre deux soupirs) éteint la lumière et ferme la porte
Je me relève prestement éteint la lumière, mais laisse la porte entre ouverte, laissant une faible clarté dans la pièce grâce aux lampadaires de la rue.
Martine : ferme la complètement on risque de nous voire
Moi : impossible pour lextérieur la pièce et dans le noir complet, nous sommes invisibles comme avec une glace sans tain.
Je reprends ma place entre ses cuisses, où sa main droite avait remplacé ma bouche. Quand je mapproche, elle écarte le fin tissu et me laisse goûter son jus qui coule déjà de sa chatte en feu.je plonge ma langue dans son vagin, je ressort lui lèche la rai jusquà son petit trou que je force doucement. Elle relève les fesses au maximum. Toujours en léchant, je remonte vers son clito suce entre mes lèvres. Elle gémit, se tortille sur le bureau,
Martine (suppliante) arrêtes arrête cest trop bon, trop bon ohhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ta langue ooui enocre ta langue
Et dans une jouissance intense elle détend ses jambes, et me coince la tête entre ses cuisses. Je récupère sur la langue de longues coulées de cyprine, que javale avec plaisir. Elle reprend ses esprits, ses jambes souvrent, je peux me relever. Je bande comme un fou. Elle retient sa jupe relevée avec sa main. Délicatement, je lui pose la main sur le ventre, remonte sur les seins que je caresse. Je colle mon ventre au sien. Nos regards se croisent, mon ventre se colle au sien. Elle sourit en constatant mon état. Je défais ma ceinture, fais sortir ma verge qui vient taper sur son pubis. Je lui arrache son string, place ma bite à lentrée de sa grotte humide, et dun coup de reins rageur, je la pénètre et lui tenant les hanches. Sous le choc elle sursaute et soupir, tourne la tête sur le côté dirigeant son regard vers la porte.
Martine : (me prenant par les poignets et se mettant assise sur le bureau, lair paniqué) : arrête arrête mon mari est devant le magasin, il regarde par ici.
Moi (surpris) : ne tinquiète pas il ne peut pas nous voir, il fait noir dans le bureau, et lintervalle entre la porte et le mur est trop petit. Aller laisses toi faire. De toute façon on ne peut pas sortir du bureau.
Sur ces mots je la prends dans mes bras, pose mes lèvres sur les siennes, mes mains dans son dos sous le gilet dégrafé, font sauter le soutien-gorge, et libèrent deux seins magnifiques et ferme, à la peau douce et soyeuse. Elle savoure mes caresses, colle son bassin contre le mien. Je minstalle entre ses cuisses de nouveau ouvertes. Quand tout à coup
Martine (me repoussant encore toujours paniquée) : non attend, il fait quoi, il est ou, il doit se demander ou je suis.
Moi (un peu en colère, la retournant sur le bureau ou elle se retrouve à plat ventre, et lui tournant la tête en direction de son mari) tu vas pouvoir regarder ce quil fait pendant que je te saute.
Martine (voulant se relever) non attend
Mais il est trop tard, jai déjà relevé sa jupe, et je menfonce dans son intimité dans un soupir rauque. La tenant par les hanches je commence à la limer, lentement sortant complètement et rentrant jusquaux couilles, qui frappent ses fesses. Elle se laisse faire, elle respire plus fort, elle a passé une main sous son ventre, et se branle. Elle ne quitte pas des yeux son mari.
Moi : (toujours en action) tu mouilles de te faire baiser, alors que ton mari est à 10 mètres, qui ne peut pas te voir
Martine : cest très excitant surtout que tu me baises bien Au fait tu ne jouis pas dans ma chatte
Moi : ok, je me viderai ailleurs
Mes va et vient commencent à faire leurs effets, elle soupir de plus ne plus, elle se trémousse et frotte ses fesses contre mon ventre pour que je là pénètre encore plus profond. Elle se cambre jai une vue plongeante et excitante sur son petit trou. Je sors mon pénis trempé de mouille et le pose dans sa raie pour lubrifier lendroit intime. Jhumidifie 2 doigts dans son vagin, et je viens forcer son anus pendant que ma bite reprend sa place et son pilonnage
Martine (les yeux toujours rivés sur son mari et un doigt sur le clito) non tu ne me sodomises pas. Huuuuuuuuuuuuuuuuuuummmmmmmmmmmmmm ouiiiiiiiiiiiiiiiita queue est trop bonne hummmmmmmmmm.
Et elle moffre encore plus sa croupe.
A ce moment là, on entend une douce musique.
Martine (tout affolée sortant dune poche se trouvant dans sa jupe retroussée jusquaux hanches, cherchant à avoir une voix normale, et me faisant signe de sortir de son ventre) oui mon chéri, tu es ou ?
Elle na pas réussi a méjecter je suis toujours en elle, je bouge doucement. La situation lexcite tellement quelle a du mal à ne pas gémir.
DECROCHANT LE TEL
Martine (ne bougeant plus essayant de gérer son plaisir) oui, mais comme tu mas dit que tu avais du retard je suis allé faire des achats
Mari :
Martine : tu auras la surprise, cest que pour toi mon amour
Mari
Martine : oui je taime, ouiiii tu pourras me faire ce que tu veux
Mari :
Martine : oh oui mon amour, je te sucerai a fond, je boirai ton jus
A ces mots , plus la situation, la femme que je baise en ligne avec son mari
Je suis au bord de lexplosion, je me retire et je fais glisser martine sur le sol. lle est à moitié assise ou à moitié à genoux devant moi Elle a presque fini sa communication avec son mari
Martine : oui je te retrouve à la voiture, et tu me sauteras sur le parking comme une chienne. Oui oui
Au moment où elle va raccrocher, je lui glisse ma tige bien raide entre les lèvres, te je me vide à grands jets chauds, sur sa langue, dans sa gorge. Je jouis ne silence. Jentends encore la voix de son mari à qui elle ne peut pas répondre, vu la situation. Elle raccroche.
Je me suis retiré, elle me regarde comme sonnée, les larmes aux yeux, le maquillage dégoulinant sur les joues, et du sperme coulant aux coins des lèvres
Martine (que jaide à se relever) : salop
Moi : tu nas pas aimé ?
Martine : non pas la fin, comment je vais faire maintenant
Moi : comme tu es une chienne, tu vas, aller au parking complétement nue, sous ton manteau, en arrivant tu ne lembrasses pas, tu le pousses derrière un arbre et tu le suces à fond. Il va être sur un petit nuage, te dire que tu es une vraie pute, et tout ira bien.
Martine : (ramassant ses habits) tu crois
Moi : oui certain du moins moi je serais aux anges , au fait tu me donnes mes chaussures
Martine : (me donnant la boîte avec un sourire coquin) tiens salop
Nous avons fini de nous préparer, regardé si le chemin était dégagé et en nous quittant
Martine : je voulais te dire, cest la première fois que je fais ça, que je trompe mon mari, je ne voudrais pas que tu croies, que je suis une femme facile.
Mais jai adoré, ce que nous avons fait.
Moi : tu as mon numéro, appelles moi, pour me dire quel jour je peux venir, car je nai pas payé les chaussures
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